Dossier d’aire d’étude IA83001584 | Réalisé par
  • recensement du patrimoine balnéaire
Présentation de l'aire d'étude de Sainte-Maxime
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  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

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  • Aires d'études
    Sainte-Maxime
  • Adresse
    • Commune : Sainte-Maxime

MILIEU PHYSIQUE

La commune de Sainte-Maxime s'étend sur une superficie de 8161 hectares formant un quadrilatère irrégulier, perpendiculaire à la côte, d'environ 6 km X 12 km. Elle est bordée par les communes du Muy au nord, du Plan-de-la-Tour au nord-ouest, de Grimaud à l'ouest et de Roquebrune-sur-Argens à l'est. Le territoire est presque entièrement occupé par le massif des Maures, avec des altitudes moyennes autour de 100-250 mètres et un point culminant à 532 mètres (le Peigros). La retombée des Maures sur la mer se fait par une succession de collines en pente modérée. La zone des micaschistes des Maures présente un couvert naturel de cistes, pins, chênes lièges et arbustes de maquis. La côte est constituée de grès rouges et verts. Schistes et grès sont les deux matériaux utilisés dans la construction traditionnelle locale.

Les plaines sont très rares, limitées à une étroite bande côtière et aux vallées du Préconil et de son affluent le Bouillonnet. Le territoire est également parcouru par d'autres ruisseaux descendant des Maures, le vallon de la Croisette, en limite ouest, le vallon de la Nartelle et la Garonnette en limite est. La ville est elle-même traversée par le ruisseau de l'Estagnou (actuellement de l’Épagneul). Jusqu'au milieu du 19e siècle, la plaine qui va de l'embouchure du Préconil (à l'origine un delta) à l'actuelle place Louis-Blanc était une zone de marécages, la Jonquière.

La commune présente une dizaine de kilomètres de côtes, sur la rive nord du golfe de Saint-Tropez, majoritairement sableuses (plages du casino, de la Croisette, de la Nartelle, des Éléphants). Le cap des Sardinaux est une avancée dominant la mer de ses 68 mètres et déterminant une côte plus rocheuse.

Le climat est doux, bien ensoleillé. Les contreforts des Maures forment un abri contre les vents du nord.

HISTORIQUE

1. Un territoire peu peuplé jusqu'au 18e siècle

Les premiers foyers d'habitats sont fort anciens. En témoignent l'oppidum du Meinier (6e siècle-1e siècle av. J.C.) et la présence de villae romaines dont on peut encore voir des viviers creusés dans la roche au nord de la pointe des Sardinaux.

A partir du 7e siècle, les terres côtières appartiennent à l'abbaye de Lérins. Elles sont désignées au 11e siècle sous le vocable de Sancta Maxima [1]. Le peuplement est quasiment inexistant. Au nord de la commune actuelle se trouve le castrum du Revest, peuplé du milieu du 11e siècle à la fin du 14e siècle, qui compte environ 200 habitants au début du 14e siècle [2]. Mais bien que faisant maintenant partie de la commune de Sainte-Maxime, le Revest est historiquement et géographiquement lié à Roquebrune-sur-Argens.

Sainte-Maxime devient possession de l'abbaye du Thoronet au début du 16e siècle. La construction de l'édifice fortifié que l'on désigne actuellement sous le nom de Tour carrée aurait été commencée en 1519 sous l'impulsion de François de Rivière, abbé du Thoronet. En 1557 [3], l'abbé Jacques Jouvenel des Ursins, abbé du Thoronet de 1557 à 1561, est à l'origine d'un projet de peuplement d'une trentaine d'hectares de terre côtière fractionnée en 300 lots. Les raisons sont économiques. Il s'agit de mettre en culture des terres improductives et de les rentabiliser.

L’opération rencontre un grand succès auprès de populations de la région (Cannes, Riez, Draguignan, Brignoles…). Elle est formalisée par un acte

d’habitation signé le 8 juillet 1557, un des exemples les plus tardifs dans la région de ce mode de colonisation pratiqué au Moyen-Age pour repeupler les territoires après la guerre de 100 ans. Les terres sont attribuées sous diverses conditions dont ici le versement d’une pension annuelle à l’abbé et le paiement de droits et taxes diverses. Les accaptants sont également tenus de faire édifier une église et de poursuivre la

construction de la tour en l’élevant de deux étages voûtés dans les huit ans. La fondation est mentionnée comme ayant pour nom Bastida Maximae. Elle abrite environ 8000 habitants. Mais très rapidement, les difficultés pour payer les sommes dues entraînent l’abandon des terrains

et le départ des habitants. La communauté ne se reconstituera pas avant longtemps.

Une des plus anciennes représentations de Sainte-Maxime, en 1634 [4], montre uniquement la présence de la tour, d'une église, de la maison dite des moines de Lérins, d'une maison et d'un enclos carré cantonné par deux tourelles. Cet enclos n'apparaitra plus sur les figurations postérieures (carte des frontières 1748-1780, cadastre napoléonien). La maison des moines de Lérins était une construction (logement et chapelle) antérieure au 15e siècle, qui abritait quelques moines et servait d'accueil pour les voyageurs. Située à l'emplacement de l'îlot entre la place Colbert et la place des Sarrasins, elle est mentionnée comme auberge appartenant à un particulier sur le cadastre de 1819. Le bâtiment a été détruit en 1923. Il était alors encore désigné sous l'appellation de la Vieille Auberge. [5]

Le peuplement reprend dans la deuxième moitié du 17e siècle et Sainte-Maxime est érigée en paroisse en 1672 [6]. Il semblerait toutefois que la population y demeure très réduite, limitée à quelques cabanes de pêcheurs, quelques bastides dans les collines. En 1685, il existe deux moulins appartenant à l'abbaye du Thoronet. Les vestiges de l'un constituent les parties basses de la tour d'habitation de la propriété le Vieux Moulin. C.-F. Achard, médecin marseillais, nous apprend que 40 ans avant la rédaction de sa description historique de la Provence, c'est à dire vers 1748, il n'y a que 3 maisons réunies, les autres étant dispersées dans la campagne et que cela représente 20 familles.

2. De l'essor du port de commerce aux débuts de la station balnéaire : 2e moitié 18e siècle-19e siècle

2.1. La construction de la jetée (1748) et les mutations du 18e siècle

Une des premières grandes mutations est induite par la construction d'une jetée sur décision du Parlement de Provence en 1748 [7]. Jusqu'à cette date, la communauté vivait en autarcie, très isolée du reste de la province. Elle n'était reliée que par un seul chemin en direction de Fréjus, par le col du Meinier (chemin de la Vierge Noire) et le col du Bourgnon. La route royale et Draguignan ne sont accessibles qu'à cheval ou à dos de mulet. Le courrier arrive de Saint-Tropez par la mer. Le trafic maritime qui aurait permis d'exporter les productions locales, dont le blé, le bois de pin et le liège, est rendu très malaisé par l'absence de quai. L'embarquement se fait directement sur la plage du village et sur la plage de la Nartelle.

La construction de la jetée permet l'essor économique de la communauté en offrant un débouché pour ses productions. En 1750 [8], deux rues existent, vraisemblablement la rue du Port (rue Gabriel-Péri) et la Seconde rue (rue de Lorraine). En 1761 [9], demande est faite aux consuls de prévoir un agrandissement pour l'église, qui sera en fait reconstruite, conséquence de l'augmentation de la population qui atteint 678 habitants en 1765. A la veille de la Révolution, en 1788, C.-F. Achard nous dit que le commerce maritime enrichit ce petit village. Il ne mentionne pas du tout les productions locales comme il le fait habituellement mais il faut bien qu'il en existe pour alimenter ce commerce. Ce sont celles mentionnées dans les états de sections cadastrales en 1819 et dans les Statistiques du département du Var en 1838 où il est dit que le territoire est aride et sablonneux mais donne de l'huile, du froment, du blé, du seigle et du vin. On y récolte les roseaux dans les zones marécageuses (appelés canniers sur les matrices cadastrales de 1819) et on y exploite le pin et le chêne-liège.

Sur la carte des frontières de la Provence levée par les ingénieurs militaires entre 1764 et 1769 le village semble avoir déjà le développement qu'il a sur le cadastre napoléonien. Il est délimité par les actuelles rue Hoche, impasse de l'Enclos, place Mireille-de-Germond, avenue Charles-de-Gaulle, place Louis-Blanc, rue des Sarrasins et place du Marché. Le monogramme 1758 a été trouvé dans une maison au 34, rue d'Alsace. Sur la carte, la redoute (batterie) qui se trouvait à l'emplacement des immeubles Le Grand Large, avenue du Général-Leclerc, est mentionnée ainsi que vraisemblablement aussi celle de la pointe des Sardinaux. Il n'y a pas encore de véritable route mais il est possible d'aller par la mer jusqu'à Saint-Tropez d'où part une voie importante qui, à travers les Maures, rejoint la route royale au Luc. A cette époque, Sainte-Maxime fait partie du diocèse du Fréjus et de la viguerie de Draguignan.

2.2. Le 19e siècle : la construction de la route (1880-1895) et du chemin de fer (1889)

La matrice cadastrale de 1819 nous indique que l'on a 350 habitants au chef-lieu (954 pour l'ensemble de la commune). On note également 3 moulins à vent, à farine, en activité près du village et deux moulins à eau, 5 moulins à huile (dont un toujours en activité Grande Rue, en 1914), à sang, une scie à eau près du hameau du Revest, 5 fours à pain. Les maisons et bastides n'ont que peu de valeur. Il n'y a pas d'entrepôts liés au port.L'économie repose sur la production du blé, du vin et de l'huile. Le vin, de bonne qualité et supportant bien le transport, est la principale production. Il est surtout exporté vers Nice. L'huile est également de bonne qualité. Les autres sources de revenus sont le foin, les roseaux, le bois et le liège. Les roseaux sont récoltés dans les canniers des bords de rivières. Ils sont utilisés pour la réalisation des plafonds en canisses et plâtre, des claies pour les vers à soie et le séchage des fruits, des clôtures, des peignes à carder. Il est dit que la production est en baisse à cause de la concurrence des roseaux d'Espagne. Le bois de pin, et de chêne dans une moindre mesure, sert au chauffage (vers Marseille et Toulon) et à faire des poteaux pour les mines d'Afrique du nord. Le pin est également producteur de résine. Il faut y rajouter la pêche vraisemblablement active et dont le toponyme de la Madrague témoigne de la pratique de la pêche au thon. Les Statistiques du département du Var, en 1838, mentionnent la présence pendant la belle saison de pêcheurs génois venant s'établir à Sainte-Maxime, comme sur d'autres points de la côte varoise.

L'exportation des denrées se fait toujours par bateaux. En 1838, le port est décrit comme un ensemble dynamique. C'est un abri sûr, équipé d'un môle orienté nord-est / sud-ouest, de 7 mètres de long, avec un mur d'abri au-dessus de 2 mètres de haut. Il abrite deux petits bâtiments de cabotage à demeure. En 1835, il a reçu 118 bâtiments à l'importation et 117 à l'exportation. Ce commerce portuaire restera prospère jusqu'à la première guerre mondiale où il sera alors supplanté par les voies terrestres. En 1888, les pêcheurs demandent à bénéficier d'une cale de

halage.

En 1845, le territoire de la commune est amputé de sa partie occidentale (section du Plan et une partie de la section de San Peïre pour agrandir la commune du Plan-de-la-Tour [10].

Au début du siècle, le village n'est encore relié que par des chemins muletiers. En 1838, le prolongement jusqu'à Fréjus via Sainte-Maxime de la Route Royale n°98 de Toulon à Saint-Tropez est vivement réclamé. Il est dit que cela ouvrirait un puissant débouché et apporterait richesse et vie, en particulier pour la fabrique de tuiles et moellons établie récemment. [11] En 1852 [12], on évoque au Conseil Général un projet de route du littoral pour rallier Fréjus sans passer par les cols du Meinier et du Bourgnon dont la dangerosité pour les voitures est attestée par exemple par la statue de la Vierge Noire (chemin de la Vierge Noire), ex-voto évoquant un accident en 1881. Le décret impérial portant sur le prolongement de la route impériale jusqu'à Fréjus est signé le 2 avril 1870 [13]. La réalisation prendra environ 25 ans. Le tracé du tronçon oriental La Batterie-La Garonnette est approuvé en 1879. L'avis favorable pour le début des travaux est donné en 1880. A l'ouest, un pont à tablier métallique est construit sur le Préconil en 1886 [14]. Il remplace une passerelle aménagée en 1860 [15]. Jusque-là le franchissement n'était possible qu'à gué.Les travaux de la route sont achevés vers 1895. La route reliant Sainte-Maxime au Muy et au-delà Draguignan, par

le col de Gratteloup, en travaux dans les années 1860, est achevée en 1876.

Parallèlement Sainte-Maxime est reliée par la ligne de chemin de fer Hyères-Saint-Raphaël ouverte en 1890. Cette ligne fait partie du réseau des lignes de chemin de fer d'intérêt local (plan Freycinet de 1879). Elle est exploitée par la Compagnie Sud France, puis après sa faillite en 1926 par la Compagnie des Chemins de fer de Provence [16]. Sainte-Maxime est dotée d'une gare en 1892 composée d'un bâtiment pour les voyageurs, d'une halle avec des dépendances pour les marchandises, de lieux d'aisance et d'une lampisterie. Une halte est également aménagée à La Nartelle. La ligne est bénéficiaire jusqu'en 1918. Elle subit à partir des années 1920 la concurrence de l'automobile. Elle est alors subventionnée jusqu'en 1948 date à laquelle elle est déclassée. La gare, qui se trouvait sur la place Jean-Mermoz, a été détruite en 1967. [17]

2.3. Les débuts de la station balnéaire (1880-1895)

Le grand tournant pour Sainte-Maxime a lieu dans le 4e quart du 19e siècle. Bien que bénéficiant d'un climat doux, bien ensoleillé, abrité des vents du nord et de l'est par les contreforts des Maures, la côte varoise comprise entre Hyères et Saint-Raphaël, correspondant à la côte rocheuse des Maures, n'est pas touchée par le tourisme avant les années 1880. Cela est principalement dû aux difficultés d'accès : pas de chemin de fer avant 1890, pas de route carrossable avant 1895.

Vivant principalement de la production et de l'exportation du vin, la communauté est touchée de plein fouet par la crise du phylloxera (1863-1874). Cela crée une opportunité d'achat à bas coût de terres auprès de propriétaires très endettés dans l'idée de les revendre à des

hivernants. En 1881, il est fait allusion au site qui désire attirer des constructeurs de villa [18]. En 1882 [19], on note déjà la présence de

nombreuses familles d'étrangers. La mutation est totalement amorcée en 1894 [20] où Sainte-Maxime demande l'appellation de Sainte-Maxime-sur-Mer (Cf. dossier Station balnéaire). Elle bénéficie de l'eau courante en 1896. [21]

La population au cours du 19e siècle est restée relativement stable oscillant autour des 1050 habitants, avec des alternances de périodes de hausse et de baisse. Le point culminant, en 1793, est de 1200 habitants, le plus faible, de 941 habitants en 1872 (crise du phylloxera ? exode rural ?). La croissance est constante à partir de 1896, début de la station balnéaire. On passe de 1020 habitants en 1896 à 1390 habitants en 1911 (+ 370 habitants), de 1503 habitants en 1921 à 2628 habitants en 1936 (+ 1125 habitants), de 2688 habitants en 1946 à 13337 habitants en 2011 (+ 10649 habitants). [22]

Sainte-Maxime fait partie de la communauté de communes du golfe de Saint-Tropez qui associe les 12 communes des cantons de Grimaud et Saint-Tropez et dont elle est la commune la plus peuplée.

NOTES

[1] Atlas historique : Provence, Comtat Venaissin, Principauté de Monaco, Principauté d'Orange, Comté de Nice, Sainte-Maxime, notice du répertoire topographique p. 199.

[2] Inventaire des castra désertés du département du Var. Volume 2002. Le Revest. P. 131-134.

[3] Atlas historique : Provence, Comtat Venaissin, Principauté de Monaco, Principauté d'Orange, Comté de Nice, Sainte-Maxime, notice du répertoire topographique p. 199.

[4] TASSIN, Christophe. Golphe de Grimaut. Carte de 1634.

[5] GERMOND, Jean-Daniel de. Sainte-Maxime. P. 63.

[6] GERMOND, Jean-Daniel de. op. cit. P. 5

[7] ACHARD, Claude-François. Description historique, géographique ... P. 472.

[8] GERMOND, Jean-Daniel de. Sainte-Maxime. P. 7.

[9] id.

[10] GERMOND, Jean-Daniel de. Histoire et histoires... de Sainte-Maxime.

[11] Statistique du département du Var. Chapitre XXVI, p. 493-494.

[12] FAUSSILLON, Edme. Sainte-Maxime, de l'agriculture ancestrale au tourisme roi, 1789-1999.

[13] Décret portant que la route impériale n°98, de Toulon à Saint-Tropez sera prolongée ...

[14] GERMOND, Jean-Daniel de. Histoire et histoires... de Sainte-Maxime. P. 63.

[15] id. P. 60.

[16] Atlas historique : Provence, Comtat Venaissin, Principauté de Monaco, Principauté d'Orange, Comté de Nice, carte 257 et commentaire p. 82-84.

[17] GERMOND, Jean-Daniel de. Sainte-Maxime. P. 53-55.

[18] GERMOND, Jean-Daniel de. Histoire et histoires... de Sainte-Maxime. P. 215.

[19] id.

[20] FAUSSILLON, Edme. Sainte-Maxime, de l'agriculture ancestrale au tourisme roi, 1789-1999.

[21] GERMOND, Jean-Daniel de. Histoire et histoires... de Sainte-Maxime. P. 311.

[22] Evolution de la population de 1793 à 2011. Sources : EHESS et INSEE. Dans : Sainte-Maxime. Article Wikipédia.

Sainte-Maxime a fait l'objet d'un acte d'habitation en 1557. Toutefois le peuplement ne débute vraiment que dans la 2e moitié du 18e siècle. La station balnéaire voit ses débuts à la fin du 19e siècle. Elle se développera au 20e siècle.

Documents d'archives

  • Sainte-Maxime. Etat de sections des propriétés foncières bâties et non bâties. 1819. Archives départementales du Var, Draguignan : 3 PP 1319.

    Tableau de la classification des propriétés foncières. P. 31-38.
  • Enquête de pré-inventaire des castra désertés du département du Var. 2000-2003. Région Provence-Alpes-Côte d'Azur, Direction de la Culture, Service Inventaire et Patrimoine, Marseille : non coté.

    Volume 2002. Le Revest. P. 131-134.

Bibliographie

  • ACHARD, Claude-François. Description historique, géographique et topographique des villes, bourgs, villages et hameaux de la Provence ancienne et moderne, du Comté-Venaissin, de la principauté d'Orange, du comté de Nice etc. Aix-en-Provence : Pierre-Joseph Calmen, 1788, 2 vol.

    Sainte-Maxime. Pages 472-473.
  • BARATIER, Edouard, DUBY, Georges, HILDESHEIMER, Ernest. Atlas historique : Provence, Comtat Venaissin, Principauté de Monaco, Principauté d'Orange, Comté de Nice. Paris : Armand Colin, 1969

    Cartes 101, 125, 257 et commentaire p. 82-84, notice du répertoire topographique p. 199.
  • Faussillon, Edme. Sainte-Maxime, de l'agriculture ancestrale au tourisme roi, 1789-1999. - Nice : Serre éditeur, 2000, 310 p.

  • Germond, Jean-Daniel de. Histoire et histoires... de Sainte-Maxime. - Gap : imprimé chez Louis-Jean à compte d'auteur, 1990, 472 p.

  • Germond, Jean-Daniel de. Sainte-Maxime. - Marguerittes : Editions de l'Equinoxe, 1993, 99 p.

  • Décret portant que la route impériale n°98, de Toulon à Saint-Tropez sera prolongée depuis cette dernière ville jusqu'à Fréjus (Var) et prendra la dénomination de Route Impériale n° 98 de Toulon à Fréjus. Dans : Bulletin des lois de l'Empire français, n°1815, p. 692, 1er semestre 1870.

    Décret du 2 avril 1870.
  • NOYON, C.-N. Statistique du département du Var. - Draguignan : Imprimerie de H. Bernard, 1838.

    Chapitre XXVI : Dictionnaire historique et descriptif des communes. Sainte-Maxime, p. 493-494.
  • Eglise catholique du Var. diocese-frejus-toulon.com. Sainte-Maxime. Accès internet : <URL : http://www.diocese-frejus-toulon.com/Sainte-Maxime-eglise-Sainte-Maxime.html>

  • Sainte-Maxime. Article Wikipedia. Accès internet : <URL : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sainte-Maxime>

    Démographie. Evolution de la population d 1793 à 2011. Sources : EHESS et INSEE.

Documents figurés

  • Golphe de Grimaut / carte, par Tassin, Christophe, 1634. Accès internet : <URL : http://cartanciennes.free.fr//maps/grimaud.jpg>

    Bibliothèque nationale de France, Paris
    Carte de 1634.
  • Cartes des frontières Est de la France, de Colmars à Marseille. / Dessin à l'encre sur papier, par Jean Bourcet de La Saigne et Jean-Claude Eléonore Le Michaud d'Arçon, 1764-1778. Echelle 1/14000e. Cartothèque de l’Institut Géographique National, Saint-Mandé : CH 194 à 197.

    Feuille 196. planches 42 et 47. Sainte-Maxime, Golfe de Grimaud, Saint-Tropez, Gassin.
  • Plan cadastral de la commune de Sainte-Maxime, 1814. / dessin à l'encre, coloré par Vouriguère, 1814. Archives départementales du Var, Draguignan.

    Tableau d'assemblage, échelle 1/20000. Section Au du Village, échelle 1/1250.

Annexes

  • Liste des édifices étudiés dans la commune de Sainte-Maxime (83)
Date d'enquête 2011 ; Date(s) de rédaction 2012
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général