La villa L'Aubet est enregistrée au cadastre en 1951. Elle est l’œuvre de l'architecte André Barbier-Bouvet.
- recensement du patrimoine balnéaire
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Baussan FrançoiseBaussan FrançoiseCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Sainte-Maxime - Grimaud
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Commune
Sainte-Maxime
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Lieu-dit
Petite Corse
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Adresse
25 avenue Général-Touzet-du-Vigier
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Cadastre
2012
AE
197
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationmaison de villégiature, villa balnéaire
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AppellationsL'Aubet
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Période(s)
- Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
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Dates
- 1951, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Barbier-Bouvet Andréarchitecte attribution par sourceBarbier-Bouvet AndréCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
La villa L'Aubet est construite au milieu d'une parcelle d'environ 1 362 mètres carrés, entre l'avenue Général-Touzet-de-Vigier et la mer. La propriété est entièrement ceinte d'un mur qui la masque en partie à la vue.
La partie sud de la parcelle, sur l'avenue, est occupée par un jardin méditerranéen (pins, agaves...), la partie nord-est, par une terrasse en terre-plein en balcon sur la mer, dont le mur de soutènement est construit dans la même pierre que les rochers sur lequel il s'appuie.
La villa est de plan allongé, constituée d'un volume d'un étage carré, approximativement en L, au sud-est, auquel est accolé un autre volume en rez-de-chaussée, au nord-ouest.
L'ensemble est construit en béton armé enduit, couvert en terrasse.
La maison est orientée au nord-est, vers la mer. L'angle rentrant du L délimite une terrasse au rez-de-chaussée et à l'étage.
L'ensemble est très épuré, sans décor, adouci par l'arrondi de l'angle sud-ouest.
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Murs
- béton béton armé enduit
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Toitsbéton en couverture
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Étagesrez-de-chaussée, 1 étage carré
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Couvertures
- terrasse
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Typologiesplan-masse composite ; volumétrie composite ; élévation sans axe ; caractère moderne
Z Maisons Maxime
- Titre courant maison de villégiature (villa balnéaire) dite L'Aubet
- Sélection oui
- Lieu-dit Petite Corse
- Adresse Général-Touzet-du-Vigier (avenue) 25
- Datation 1946-1969
- Date 1951
- Architecte Barbier-Bouvet (André)
- Type Villa "moyenne" à traitement architectural soigné
- Plan-masse composite
- Volumétrie composite
- Elévation principale sans axe
- Caractères moderne
- Couronnement Autre
- Entrée principale position sur façade antérieure
- Entrée principale niveau rez-de-chaussée
- Entrée secondaire position ne sait pas
- Entrée secondaire niveau ne sait pas
- Escalier extérieur non
- Perron non
- Porche oui
- Terrasse oui
- Pergola non
- Balcon non
- Galerie non
- Loggia oui
- Bow-window non
- Corps en arrondi oui
- Date de saisie 2013-10-22T00:00:00.000+02:00
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Statut de la propriétépropriété d'une personne privée
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Ministère de l’économie et des finances
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Bibliographie
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Répertoire de l'inventaire partiel de l'architecture de villégiature à Sainte-Maxime pendant la période de l'entre-deux-guerres. - Saint-Tropez : Syndicat Mixte du Golfe de Saint-Tropez / Pays des Maures, inventaire non publié, 2003.
Fiche d'inventaire 71
Documents figurés
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Villa L'Aubet. Sainte-Maxime. / Photographie couleur, auteur inconnu, date de prise de vue inconnue. Collection particulière.
André Barbier-Bouvet est né à Versailles en 1892. Il fait des études d'architecture à l' Ecole des Beaux-Arts de Paris dont il est diplômé en 1913. En 1918, il est choisi par le gouvernement français pour faire les plans et construire la nouvelle ville de Meknès au Maroc. Il réside à Meknès jusqu'à la fin de l'opération en 1925. En vacances chez des amis à Sainte-Maxime (83), il décide de s'y installer et ouvre un bureau d'étude en 1926. Grâce à ses nombreuses relations dans le milieu des grands industriels, il y construit de très grandes demeures, mais aussi de nombreuses résidences secondaires plus modestes. Il travaille également pour la ville. Il décède à Sainte-Maxime en 1958.