Dossier d’aire d’étude IA00064572 | Réalisé par ;
Gontier Claudie (Contributeur)
Gontier Claudie

Ingénieur d'étude-chercheur au service régional de l'Inventaire général de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1974 à 2015.

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  • inventaire topographique
présentation de la commune de Vidauban
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Dracénie Provence Verdon agglomération
  • Adresse
    • Commune : Vidauban

I. Situation, caractéristiques géographiques, économiques et démographiques

A. Situation géographique

1. le territoire

Le territoire de Vidauban, d'une superficie de 7 604 hectares, se situe en partie dans le pays calcaire et en partie dans le pays granitique, les deux ensembles géologiques étant séparés par le prolongement de la dépression permienne.

Le terroir se divise en fait en cinq zones naturelles :

- au nord de la R.N. 7, une zone de collines calcaires qui culminent à 266 m. au Signal de Vidauban ;

- la vallée de l'Argens. C'est là que s'est installé le village ;

Au sud de la dépression, le terrain granitique se différencie en :

- une zone de plaines ou de collines de faible hauteur au sud-ouest ;

- une zone de collines plus hautes (environ 300 m.) au nord-est : elle correspond aux contreforts des Maures ;

- le sud de la commune est traversé par l'Aille qui coule dans le sens sud-ouest/nord-est et détermine avec ses affluents une zone de "terrains sans consistance, appuyés sur des masses de porphyre"1.

2. Paysages

La quasi totalité des zones de plaines est plantée de vignes. Les collines calcaires du nord sont couvertes de forêts de chênes-verts. Au sud du terroir et sur les collines granitiques on trouve plutôt des pins maritimes et quelques chênes-lièges.

3. Voies de communication

La commune de Vidauban est traversée dans sa partie nord par la R.N. 7 qui reprend un trajet important depuis l'antiquité, l'autoroute A.8 et la voie de chemin de fer Paris-Italie. A partir de la R.N. 7 divergent des routes secondaires qui relient entre eux les villages du pays varois :

- au nord : la départementale 73 vers Taradeau ; la départementale 48 vers Lorgues ; la départementale 84 vers Lorgues ou Le Thoronet ;

- au sud : la départementale 48 vers La Garde-Freinet ou Plan-de-la-Tour ; la départementale 72 vers Sainte-Maxime ou Plan-de-la-Tour.

La commune est également parcourue par de nombreux chemins ou pistes plus ou moins carrossables qui desservent les hameaux ou les exploitations agricoles qui se répartissent sur l'ensemble du territoire.

4. Données économiques et démographiques

Actuellement (en 1986), la principale activité est la production viticole. Chaque plaine si minime soit-elle est plantée de vignes mais les grandes exploitations se situent principalement dans la dépression permienne et dans le sud de la vallée de l'Aille. Il faut ajouter à cela quelques petites entreprises à caractère artisanal, telle par exemple une entreprise de travail de liège liée antre autres à la production viticole (bouchons).

En 1835, l'agriculture produisait du blé, du vin, des légumes, des plantes potagères. On élevait des volailles notamment des dindons2. Les forêts de pins de plusieurs espèces étaient exploitées (ramassage des pignons...) On ne signalait alors aucune industrie mise à part une petite filature de soie. En 1838, Brémond dans ses Statistiques du département du Var cite comme productions principales de l'agriculture le vin, le blé et les haricots noirs (ce légume était produit dans les terres arides appuyées sur le grès)3.

Les dépôts de l'Argens servaient alors à faire des briques et des tuiles. C'est d'ailleurs à proximité de la vallée de l'Argens qu'ont été localisées les anciennes tuileries dont aucune n'est encore actuellement en activité. Brémond mentionne également une chapellerie qui employait 34 ouvriers (alors que les 47 autres du département n'en employaient que deux). Elle confectionnait des chapeaux grossiers en laine commune ou d'agneau, en poil de lapin et de veau. Mise à part la laine, les matières premières venaient de Marseille. La production était écoulée pour un tiers dans les Basses-Alpes et les deux tiers restants sur place. Il y avait également une fabrique de bouchons.

Situation industrielle et commerciale pour le mois de mars 1866 (source : Archives communales, série F. 2) :

- une filature de soie. Ne fonctionne pas

- une fabrique d'eau de vie. Ne fonctionne pas.

- quatre fabriques de bouchons. Peu actives.

- douze tuileries et briqueteries. Fabrication lente. Une seule travaille.

- une fabrique de tomettes. Fonctionne bien. Fabrication en grande partie par les machines.

- deux chapelleries. Travail lent.

- une ressence. Travaille à la saison.

- trois scieries. Fonctionnent bien.

- six fabriques de bois, résine. Peu actives.

Situation en 1880 :

Etablissements

Nombre de personnes employées

Bouchonniers

8

41

Chapeliers

2

58

Charrons

3

6

Cordiers

1

-

Serruriers

3

3

Tuileries

8

-

La commune de Vidauban comptait en 1790 1356 habitants. Ce chiffre passe successivement à 1485 habitants en 1800, 1650 en 1835, 2088 en 1838, 2611 en 1962, 2757 en 1968, 2930 en 19754. A partir de là, l'augmentation de la population s'est accélérée, surtout à partir de la fin des années 1980 : 3805 habitants en 1982, 5460 en 1990, 7311 en 1999, 9569 en 2006, 10608 en 2011, 11545 en 2016, 12616 en 2019. Cet accroissement a nécessairement entraîné un important mitage périurbain sous la forme de lotissements, qui ont profondément modifié la densité et l'implantation du bâti communal.

II. Les constructions rurales

A. Comparaison de l'état actuel avec celui du 19e siècle

1. Etat actuel (en 1986)

La majorité de l'habitat dispersé visité existe sur le cadastre de 1834. Il s'agit presque exclusivement de constructions mentionnées comme "bastides" ou "maisons" sur le cadastre. La fonction de ces unités (exploitations agricoles) a en général été conservée. Les modifications effectuées entre 1834 et le début des années 1980 vont essentiellement dans le sens de l'extension : ajout d'autres logis ou de bâtiments d'exploitation. Très peu ont été transformés en résidences secondaires et lorsque c'est le cas il s'agit de petites exploitations situées dans les zones de collines plus pauvres au sud-ouest par exemple.

Les "bastidons" ou bergeries mentionnés en 1834 constituent un habitat plus fragile lié à un mode d'économie rurale qui n'a plus cours. Beaucoup ont été abandonnés et sont en ruine. C'est le cas par exemple de toutes les bergeries qui étaient situées dans les Maures, à l'extrême sud-est de la commune.

Les écarts ont connu une fluctuation. Ils sont mentionné en grande partie en ruine sur le cadastre de 1951. Leur restauration, tout au moins en ce qui concerne ceux qui sont d'accès facile, a débuté à partir des années 1970 avec souvent la transformation des demeures en résidences secondaires ou de néo-résidents. L'écart de Chaume constitue un bon exemple de cet état de fait. Inversement, l'écart du Pommier, isolé, est abandonné au début des années 1980.

A cela, il convient d'ajouter les constructions récentes - du 20e siècle - où en général n'est représentée que la fonction résidentielle, sous la forme de pavillons avec jardinets aux alentours du village, ou de villas réparties au bord des routes, dont la densité décroît avec l'éloignement de l'agglomération.

2. Etat au 19e siècle

Sections

A

B

hors village

C

D

E

F

G

H

I

K

Total rural

maison

6

-

-

7

-

-

-

12

9

25

24

83

maison et cave

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

1

1

bastide

2

-

3

4

34

12

4

7

4

8

19

97

masure

-

-

-

6

4

2

1

7

1

3

-

24

bastidon

3

-

8

22

10

3

2

9

8

15

29

109

écurie

-

-

-

3

-

2

-

-

-

-

2

7

écurie et grenier

2

-

-

-

17

5

1

5

5

6

6

47

bergerie

-

-

-

3

16

4

6

7

4

1

3

44

loge à cochon

-

-

-

1

2

2

1

2

1

5

1

15

pigeonnier

1

-

-

-

-

-

-

-

-

-

2

3

poulailler

-

-

-

-

-

1

-

-

-

-

-

2

aire

5

-

-

3

2

1

-

-

-

1

15

27

plâtrière ancienne

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

1

1

moulin à farine

1

-

-

-

-

1

-

-

-

-

-

2

fabrique de tuiles

1

-

-

-

-

-

-

-

-

3

2

6

scie à eau

-

-

-

-

-

1

-

-

-

-

-

1

pressoir

-

-

-

-

-

-

-

-

-

1

-

1

réservoir

1

-

-

-

-

-

-

-

1

6

4

12

fontaine

-

-

-

-

-

-

-

-

-

2

2

4

forge

-

-

-

-

1

4

-

-

-

-

-

5

chapelle

1

-

1

1

-

-

-

-

1

-

-

4

four

-

-

-

1

9

1

1

2

-

2

3

19

cimetière

-

-

-

1

-

-

-

-

-

-

-

1

hangar

-

-

-

-

1

1

-

1

1

5

-

9

cave

-

-

-

-

-

-

-

-

1

-

1

2

cellier

-

-

-

-

1

-

-

-

-

-

-

1

bergerie-grenier

-

-

-

-

2

-

-

-

-

-

-

2

écurie-masure

-

-

-

-

1

-

-

-

-

-

-

1

loge à cochon-poulailler

-

-

-

-

-

-

-

-

-

1

1

ruine

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

7

7

cave et grenier à foin

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

3

3

puits

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

4

4

grenier

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

1

1

écurie-loge à cochon

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

2

Bâtiments (hors agglomération) d'après les états de section du cadastre de 1834.

Les constructions sont réparties sur presque toute la commune avec quelques zones désertes qui correspondent aux sommets des collines et aux bois, Bois d'Astros, à l'extrême nord de la commune, Bois du Rouquan, au sud. La majorité des édifices mentionnés comme "bastides" se trouvent à l'est de la commune, dans la zone des Maures. Cela correspond à l'écart du Pommier et à de grandes exploitations agricoles qui regroupaient plusieurs familles et qui, pour certaines, sont maintenant en ruine : l'Aubé, les Héritiers, Garandin... C'est dans cette zone que se trouve aussi le plus de bergeries.

B. Caractéristiques observables des constructions anciennes

1. Les écarts

Ils sont au nombre de cinq.

Trois d'entre eux sont situés à l'extrême ouest de la commune, proches de la R.N.7, en terrain calcaire. Einesi est au centre du terroir, en bordure de la vallée de l'Aille [référence du dossier = IA00064507]. Seul le Pommier connaît une position plus isolée dans les Maures, à l'est de la commune [référence du dossier = IA00064535]. C'est le seul en 1986 à être abandonné. Les autres sont toujours habités et ont été restaurés. Ces écarts n'ont pas de structure urbaine, c'est-à-dire pas d'équipements spéciaux (chapelles, etc.). Ce sont plutôt des regroupements de demeures et de dépendances à fonction agricole réparties en petits îlots délimités par des voies de desserte. En général, les logis sont au centre de l'écart et les dépendances agricoles, souvent occupées par les animaux (étables, loges à cochons...) se trouvent en périphérie. On peut aussi avoir les logis regroupés dans certains îlots et les dépendances agricoles dans d'autres.

Ecarts

nombre de maisons

référence du dossier

les Blaïs

6

IA00064547

Chaume

11

IA00064524

Einesi

5

IA00064507

le Pommier

7

IA00064535

Ramatuelle

8

IA00064540

nombre de maisons par écart (d'après le cadastre de 1834).

Ecart de Chaume. Alignement sud du hameau pris du nord.Ecart de Chaume. Alignement sud du hameau pris du nord.Ecart dit hameau d'Einesi. Vue prise du sud du groupe d'habitations n°1.Ecart dit hameau d'Einesi. Vue prise du sud du groupe d'habitations n°1.

2. Des exploitations agricoles regroupant plusieurs logis mitoyens, de même statut social

C'est la forme la plus fréquente dans le terroir de Vidauban. treize exemples de ce type ont été rencontrés. Ils se situent tous (mis à part Coua de Can à présent englobé dans l'habitat pavillonnaire qui se développe autour de Vidauban) au sud de la dépression permienne, c'est-à-dire en terrain granitique.

Il peut s'agir de deux petits logis accolés accompagnés de bâtiments d'exploitation occupés par une même famille, c'est le résultat d'un agrandissement (par exemple la Rourède [référence du dossier = IA00064499], Jérôme du Rouquan [référence du dossier = IA00064534], etc.) ou bien d'exploitations regroupant en fait plusieurs familles et prenant l'allure de petits écarts (la Bastide Blanche [référence du dossier = IA00064509], Bérard [référence du dossier = IA00064513]...).

3. Des petites exploitations agricoles

Elles comportent un seul logis accompagné de bâtiments d'exploitation et sont au nombre de neuf sur la commune. Là aussi, toutes sont situées en terrain granitique. Dans le cas le plus fréquent, on a un logis où sont accolés des remises et appentis et qui donne sur une terrasse en terre battue plantée d'arbres (mûriers, acacias...). Séparés de cet ensemble on trouve les annexes agricoles : remises, poulaillers...

Dans deux cas (Mouresse occidental et Bourgarel), on trouve un seul ensemble où tout est mitoyen [respectivement référence des dossiers = IA00064519 et IA00064515] :

- Mouresse occidental : au logis sont accolés de façon irrégulière et dans tous les sens remises et hangars ;

- Bourgarel : le logis et les habitants d'exploitation forment un alignement continu. Une partie du rez-de-chaussée du logis est même occupée par une bergerie, une loge à cochon et un poulailler.

A l'inverse, comme à la Bastide Christophe ou Christou [référence du dossier = IA00064503], on peut avoir des unités complètement différenciées : dans ce cas, trois unités éparses avec le logis isolé, les remises puis la porcherie-poulailler.

Ferme à Bourgarel.Ferme à Bourgarel. Bastide Christou. Vue d'ensemble prise du nord-ouest.Bastide Christou. Vue d'ensemble prise du nord-ouest.

4. Les grandes exploitations agricoles

Au nombre de dix, elles se caractérisent par la présence d'une maison de maître au caractère architectural plus ou moins affirmé et de logements pour les ouvriers agricoles. Elles sont réparties sur toute la commune, sauf dans la partie est qui correspond à la zone de collines des Maures.

5. Les châteaux

Ils sont au nombre de trois : les châteaux Vieux et Neuf d'Astros, compris dans un ensemble castral (IA83003320) et la ferme de Châteauneuf. Ils sont chacun situés au pied des collines calcaires du nord. Bien que par leur fonction on puisse les définir comme exploitations agricoles (ce sont des domaines viticoles en activité), il convient de les distinguer de la catégorie précédente pour le caractère monumental et soigné de la demeure.

6. Les "pavillons"

Nous faisons figurer dans cette rubrique toutes les demeures qui ne présentent pas de dépendances agricoles. Cela recouvre toutefois des réalités différentes :

- Ribas est une maison de campagne ;

- Repenti : petit "château" construit au 18e siècle où la fonction résidentielle domine. Il n'y a pas de dépendance agricole dans les alentours immédiats ;

- Château-Reynier : c'est la demeure correspondant le mieux à la définition du "pavillon" ;

- Clos de Vidal : s'il fut un temps où c'était une exploitation agricole, aujourd'hui seule la fonction résidentielle subsiste [référence du dossier = IA00064498] ;

- Coua de Can : pavillon à la sortie est du village [référence du dossier = IA00064544].

Toutes ces demeures sont situées dans une zone calcaire, à proximité du village, et facilement accessibles.

7. Habitat temporaire

Seuls deux "cabanons' ont été étudiés. Les bergeries, en ruine, n'ont pas été visitées.

8. les édifices industriels

Nous avons pu observer :

- deux anciennes tuileries (dont l'une fait l'objet du dossier IA00064522) situées au quartier du Plan, non loin de la vallée de l'Argens dont on utilisait les dépôts. La tuilerie non étudiée était située sur la parcelle 1976 K92. Construite en maçonnerie de brique sans enduit, elle était sommée d'un toit à longs pans couvert en tuile creuse. Un escalier de distribution dans-oeuvre assurait la circulation entre les niveaux. Dans ce même quartier nous avons également repéré un four sans spécification d'utilisation. Peut-être s'agissait-il d'un four à cuire les briques ;

- un ancien moulin, qui faisait partie du domaine d'Astros [référence du dossier = IA00064531] ;

- une ancienne scierie installée sur les bords de l'Aille [référence du dossier = IA00064527].

Ancienne tuilerie devenue restaurant au Plan.Ancienne tuilerie devenue restaurant au Plan. Scierie Bou. Au premier plan, le lit de l'Aille. A gauche, la scierie, à droite les étables.Scierie Bou. Au premier plan, le lit de l'Aille. A gauche, la scierie, à droite les étables.

9. Edifices religieux

La commune compte quatre chapelles, toutes situées au nord de la commune : les chapelles Sainte-Anne, Sainte-Brigitte, Saint-Lambert et Saint-Pons [respectivement référence des dossiers = IA00064526, IA00064459, IA00064525 et IA00064494]. Deux autres ont disparu : les chapelles Saint-Roch et Saint-Sébastien (voir en Annexes).

1Voir C.-N. Noyon, "Statistique du département du Var", p. 496.2Voir Etienne Garcin, "Dictionnaire historique et topographique de la Provence ancienne et moderne".3Voir Noyon, op. cit., note 1.4Ces trois derniers chiffres sont extraits du "Recensement général de la population", 1975.

Bibliographie

  • GARCIN, Etienne. Dictionnaire historique et topographique de la Provence ancienne et moderne. 2 volumes. Chez l'auteur : Draguignan, 1835.

  • MULON, Marianne. Recherches sur l'histoire de Vidauban (Var) : examen des données cadastrales. Dans Actes du 90e congrès national des Sociétés savantes, section Archéologie, Nice, 1965. Paris : Bibliothèque nationale, Comité des travaux historiques et scientifiques, 1966, p. 372-401.

  • NOYON, C.-N. Statistique du département du Var. - Draguignan : Imprimerie de H. Bernard, 1838.

    p. 496.

Documents figurés

  • Carte de France dite carte de Cassini. / Dessin à l'encre par César-François Cassini de Thury, seconde moitié du 18e siècle. Bibliothèque nationale de France, Paris.

    Feuille n° 154.

Annexes

  • Deux édifices religieux disparus : les chapelles Saint-Roch et Saint-Sébastien.
Date d'enquête 1977 ; Date(s) de rédaction 1986
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Gontier Claudie
Gontier Claudie

Ingénieur d'étude-chercheur au service régional de l'Inventaire général de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1974 à 2015.

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