Dossier d’œuvre architecture IA00064524 | Réalisé par
  • inventaire topographique
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Œuvre étudiée
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  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Dracénie Provence Verdon agglomération - Vidauban
  • Commune Vidauban
  • Lieu-dit Chaume
  • Cadastre 1834 K 833-861  ; 1951 K 493-527
  • Dénominations
    écart
  • Parties constituantes non étudiées
    maison, puits, four à pain, étable à chevaux, grange, aire à battre, porcherie

Lieu habité au 14e siècle ; le toponyme de "chaume" figure sur le cadastre de 1684 ; en 1834, le hameau se compose d'une douzaine de maisons, d'une douzaine d'édifices agricoles, d'un four à pain ; date portée : 1886 sur une maison, 1700 sur un puits moderne ; rénovation au 20e siècle et constructions nouvelles. Sur le cadastre de 1951, presque la moitié des édifices sont signalés comme étant ruinés. En 1982, ils ont quasiment presque tous été restaurés et sont souvent utilisés comme résidences secondaires. L'écart s'est ensuite développé à partir du noyau préexistant pour devenir un des nombreux points de fixation de l'habitat périurbain sous forme de lotissement. L'expansion a véritablement commencé dans les années 1990.

  • Période(s)
    • Principale : 14e siècle , (incertitude)
    • Principale : 17e siècle , (incertitude)
    • Principale : 18e siècle
    • Principale : 19e siècle
    • Principale : 20e siècle
  • Dates
    • 1700, porte la date, daté par source, daté par travaux historiques
    • 1886, porte la date

L'écart est situé dans la partie nord-ouest de la commune de Vidauban, et au sud-ouest du centre de l'agglomération, dans une zone de collines boisées. Il s'est développé pour abriter un lotissement périurbain. En 1982, l'ensemble était composé d'une cinquantaine de bâtiments (essentiellement des habitations) répartis en dix-sept petits îlots. A l'entrée sud de l'écart, sur un puits moderne, on peut lire l'inscription contemporaine "Hameau de Chaume - 1700". La vocation agricole de l'écart a désormais disparu, comme en témoigne la présence de piscines d'agrément. La mise en oeuvre du bâti ancien fait état d'une maçonnerie de moellon calcaire partiellement enduite ou enduite en totalité, avec un couronnement de génoise à double rang la plupart du temps et des toits à longs pans couverte de tuile creuse. Certaines maisons disposent de courettes encloses privatives.

  • Murs
    • calcaire moellon
    • enduit partiel
    • moellon sans chaîne en pierre de taille
  • Toits
    tuile creuse
  • État de conservation
    restauré, vestiges
  • Statut de la propriété
    propriété privée

écart semi urbanisé

Date(s) d'enquête : 1986; Date(s) de rédaction : 1987
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Articulation des dossiers