Dossier d’œuvre architecture IA05001658 | Réalisé par
Bonan Aurélie (Contributeur)
Bonan Aurélie

Chercheur Inventaire Région Sud, à partir de février 2013.

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  • inventaire topographique, Inventaire du parc naturel régional des Baronnies provençales
Eglise paroissiale Saint-Julien et chapelle de pénitents blancs
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Parc naturel régional des Baronnies Provençales - Serres
  • Commune Orpierre
  • Adresse place des Aires
  • Cadastre 1838 B 41  ; 2022 B1 276
  • Dénominations
    église paroissiale, chapelle
  • Genre
    de pénitents blancs
  • Vocables
    Saint-Julien

Historique détaillé

Aux origines de l'église paroissiale

Sise en dehors des remparts peut-être dès le 12e siècle, l'église d'Orpierre est attestée dans le compte des décimes de 1274. Elle est détruite en juillet 1561, durant les guerres de Religion, et l'office du 27 décembre de la même année est célébré dans une maison de village. Les principaux notables et le curé Bonnet -qui devient pasteur- embrassent le protestantisme (R. Chauvet). L'archiprêtre du Rosanais se déplace pour que soient maintenus les offices. La visite pastorale du 30 juin 1612 décrit une église Saint-Julien "toute ruinée, n'y ayant que les fondementz". Le service divin se fait alors chez Elie Bardel, ancien curé. Le 8 octobre 1627, une confrérie des pénitents blancs est établie à Orpierre par le curé Pierre Charbonnel. Une chapelle est construite pour les accueillir sur les ruines de l'ancienne église en 1641. Elle ne possède pas de clocher mais un beffroi de charpente avec une cloche unique. L'accès se fait grâce à une ouverture dans les remparts et une passerelle.

Orpierre (638 m). Vue générale.Orpierre (638 m). Vue générale.Orpierre (Hautes-Alpes). La place et l'église.Orpierre (Hautes-Alpes). La place et l'église.

Peu après la Révocation de l'Edit de Nantes, Monseigneur Charles-Bénigne Hervé, évêque, comte et seigneur de Gap, visite la paroisse d'Orpierre le 25 décembre 1685. L'église, ou plutôt la chapelle de pénitents, est alors en "assez bon état, voûtée et couverte de tuiles, ayant néanmoins besoin d'être agrandie [du côté du ruisseau] attendu le grand nombre de nouveaux convertis". L'évêque requiert également l'établissement d'un secondaire pour assister le curé. Lors de la visite pastorale du 25 septembre 1713, l'évêque recommande le carrelage de la sacristie - construite entre temps - et la réalisation d'un confessionnal et d'une chaire en noyer. Lors de la visite pastorale suivante, le 31 août 1740, l'édifice a manifestement était agrandi, vraisemblablement sous l'impulsion du curé Claude Reynier (R. Chauvet). Une chambre est située au-dessus de la sacristie qui se trouve elle-même du côté de l'épître, "humide et dominée par le terrain du cimetière", pourvue d'un autel maçonné. L'espace de la chambre est distinct du presbytère. La chaire a été réalisée. Une tribune accueillant les pénitents est décrite crevassée de tous côtés mais fermant à clef. A gauche de la nef, l'autel de la confrérie du rosaire est installé dans une chapelle. De l'autre coté, sont situés la chapelle de saint Joseph et son autel. L'édifice est en bon état général (élévations extérieures, toit et clocher). Il ne dispose toujours pas de confessionnal. L'évêque demande un nouvel agrandissement et des réparations à la tribune.

La Révolution et le 19e siècle

A la Révolution, le curé d'Orpierre prête serment. Le mobilier est saisi ; le bâtiment intact est fermé en 1794 et 1795. L'Eglise est invendue en l'an IX, sa valeur est estimée à 500 francs. Deux ans plus tard, la voûte s'effondre. L'office est provisoirement donné dans la chapelle de pénitents attenante. On apprend que celle-ci, située au sud-est, communiquait avec l'église grâce à un couloir. Elle accueille un tiers des fidèles. La nef de l'église est reconstruite en 1813 pour un coût de 600 francs mais sans cloches, ni clocher. Ce dernier envisagé dès 1822 est construit en 1834. Il est l'oeuvre de Joseph Andréoly, architecte-voyer, et de Joseph Giudice, entrepreneur en maçonnerie résidant à Orpierre. Contrairement à la délibération municipale du 28 avril 1830, il est attenant au mur sud et non au nord de l'édifice, exhaussé de cinq mètres et possède une corniche de pierre. Son financement fut difficile. La visite pastorale de 1838 atteste d'une église en bon état en dépit de problèmes d'humidité, notamment au niveau de la sacristie et de la chapelle des pénitents (élévations intérieures et meubles dégradés). Dès 1837, des travaux d'assainissement sont votés. Ils sont menés à bien par Andréoly et Giudice en 1840. Quasiment toutes les toitures et le mur pignon de la nef sont repris. La sacristie est mieux ajourée et les murs sont renformis.

Malgré ces travaux, en 1844 et 1846, l'église est décrite en mauvais état, son humidité est décriée. Elle est également jugée trop petite. Elle est dite "réparée" lors de la visite suivante en 1849 sauf la chapelle des pénitents. Le 29 juillet 1856, l'architecte Goulain établit un devis pour de menues réparations à l'église : reprise de l'angle haut du pignon, renforcement de la voûte, pavement de cailloux sur le parvis, génoise de la toiture de la sacristie et reprise d'un partie d'un mur, creusement d'un fossé d'assainissement. Votés le 18 mai 1857, les travaux sont réalisés en 1859 par Ferdinand Michel et Pierre Guillaume, maçons à Orpierre.

Encore indiquée en "médiocre état", en 1864, l'église bénéficie de nouveaux travaux de restauration et d'agrandissement trois ans plus tard. Recommandés par l'architecte Goulain (devis du 16 octobre 1865), ces derniers sont confiés à Lucien Corréard, entrepreneur, par adjudication du 14 janvier 1867. Il s'agit de de carreler et planchéier les sols, de réparer diverses menuiseries, d'enduire de badigeon les élévations et de réaliser le raccord de la voûte. Le chœur, sous-dimensionné par rapport à la nef, est agrandi. La voûte de celle-ci, trop basse et fendue, donne au vaisseau une lourdeur extrême. Les chapelles et le chœur sont donc remaniés pour 9 811 francs d'après le compte-général des travaux du 24 novembre 1869. Les murs de la nefs sont reconstruits et non surélevés en raison de leur état. Monseigneur Guilbert, évêque de Gap, bénit la nouvelle église le 26 avril 1868.

[Plan de l'église d'Orpierre par Goulain en 1859].[Plan de l'église d'Orpierre par Goulain en 1859].Evolution du bâti depuis le milieu du 19e siècle.Evolution du bâti depuis le milieu du 19e siècle.

La chapelle de pénitents s'étant écroulée, un devis pour une nouvelle chapelle est établi par Jacques Laval, le 8 décembre 1876. Reconstruite à son emplacement actuel, elle est bénie le 13 décembre 1877, une fois les travaux achevés. En 1896, le beffroi de charpente accueillant les cloches est réalisé par Manent, forgeron au Pont-de-Cheneau (Vosges).

L'époque contemporaine : le 20e siècle

Les visites pastorales de 1912, 1921 et 1929 décrivent une église en bon état. L'éclairage électrique est installé en 1932. En 1949, l'intérieur de l'église est blanchi. En 1950, le parvis est aménagé, les gouttières et chéneaux sont refaits, les élévations ouest et sud, recrépies. En 1961, le plancher du chœur est remplacé par du carrelage en granite, par Georges Aubert, Ernest Bouillet et Emile Marcellin, artisans locaux. L'église est convenable et propre. En 1971, le sol des chapelles de saint Joseph et de la Vierge sont rehaussés et un carrelage en harmonie avec celui du chœur est posé. En 1975, des travaux de réfection concernent la toiture et les élévations de la chapelle de pénitents. Un chauffage propice à l'utilisation de la chapelle comme lieu de culte l'hiver est mis en place.

Description détaillée

Situation et plan d'ensemble

Située au nord-est du bourg, en dehors des remparts et à proximité immédiate du torrent du Belléric, l'église paroissiale d'Orpierre est un édifice orienté. L'entrée se fait par la façade, à l'ouest, ou bien par une porte de l'élévation sud, contigüe au clocher-tour hors-oeuvre. De plan en croix latine, l'église possède un vaisseau unique flanqué d'un transept nord-sud et d'une sacristie au sud-est. Au nord-ouest, la chapelle de pénitents, de plan allongé, est partie constituante de l'édifice. Anciennement, cette partie de l'édifice était accessible depuis l'ouest -et l'extérieur du bâtiment- par une porte désormais murée (la date portée de 1733 semble se dessiner sur la clé, remploi ?).

Plan de l'église et disposition intérieure.Plan de l'église et disposition intérieure.Coupe longitudinale nord/sud de l'église.Coupe longitudinale nord/sud de l'église.Vue de la porte murée de la chapelle de pénitents.Vue de la porte murée de la chapelle de pénitents.

Matériaux, toits et couverture

Les élévations de l'édifice sont en maçonnerie de grès ; les moellons sont extraits du lit des rivières voisines et la pierre de taille, de la carrière de Saint-Roch. Parpaings pour la chapelle de pénitents. Les murs sont crépis et blanchis à la chaux (enduit dans un état de conservation variable). Des tuiles creuses couvrent le bâtiment hormis le clocher, couvert de tuiles plates à crochet. Le pignon est couvert. Charpente en bois de sapin (?) sur extrados de voûte. La voûte est en brique : elle est en berceau plein cintre pour la nef et la chapelle de pénitents, en anse de panier pour la sacristie, voûtée d'arêtes pour les bras du transept. L'abside semi-circulaire est voûtée d'ogives ; le chevet des chapelles est plat. La nef revêt un toit à deux pans (longs pans), le chevet, un toit en croupe ronde, le clocher, une flèche carrée à égout retroussé. La sacristie et les chapelles sont couvertes d'un toit à un pan. La génoise est à un rang au niveau de la chapelle de pénitents, deux rangs pour la sacristie et trois rangs pour la nef et les bras du transept.

Vue extérieure d'ensemble depuis le sud-ouest.Vue extérieure d'ensemble depuis le sud-ouest.Vue extérieure d'ensemble depuis le sud-est.Vue extérieure d'ensemble depuis le sud-est.

Elévations et distribution intérieures

La nef à deux travées, rythmée par des arcs doubleaux, est percée de plusieurs renfoncements. Au nord, un premier renfoncement accueille les fonts baptismaux et permet l'accès à la chapelle de pénitents. Un second renfoncement constitue une chapelle : il accueille l'autel secondaire du Sacré-Cœur et sa statue. Au sud-ouest, un renfoncement abrite le confessionnal. Face à la chapelle du Sacré-Cœur, ont été aménagés dans l'élévation sud le vestibule d'entrée secondaire et l'accès au clocher (des échelles en bois permettent l'accès aux étages). Chacun des bras du transept accueille à l'est une chapelle (un autel secondaire, surmonté d'une statue) et à l'ouest, un tableau monumental. Intégrée aux lambris, une porte, située dans la partie sud du chœur, mène à la sacristie.

Vue intérieure depuis l'ouest.Vue intérieure depuis l'ouest.Vue intérieure depuis le chœur. Vue intérieure depuis le chœur.

Baies et pavement

En façade, au-dessus de la porte d'entrée, a été réalisé un large oculus. Chacun des bras du transept en possède également un. Le chevet est percé de trois lancettes en plein cintre, la chapelle de pénitents, de deux baies plein-cintre (mur nord) et d'une verrière circulaire (mur ouest). La sacristie est éclairée par une baie rectangulaire de facture récente. Le clocher est percé de quatre baies plein-cintre.

Sol en tomettes de terre cuite dans la nef et la chapelle de pénitents, carrelage dans le chœur et dans les bras du transept, chappe en béton peint dans la sacristie.

Si l'église originelle date des 12e ou 13e siècles, elle fut détruite lors des guerres de Religion. Une chapelle de pénitents, bâtie à son emplacement en 1641, est adjointe d'une nef et de chapelles entre 1713 et 1740, peut-être en 1733. Le clocher est bâti en 1834 par Joseph Andréoly, architecte, et Joseph Giudice, entrepreneur en maçonnerie. A la fin des années 1850, des réparations recommandées par l'architecte Goulain sont réalisées par Ferdinand Michel et Pierre Guillaume, maçons à Orpierre. Lucien Corréard, entrepreneur, remanie le transept et le chœur, en 1868 ; Jacques Laval reconstruit la chapelle de pénitents au nord-est, en 1877. En 1896, Manent, forgeron, bâtit un beffroi de charpente. En 1971, Georges Aubert, Ernest Ernest et Emile Marcellin posent un carrelage de granite dans le chœur.

Située place des Aires, l'église paroissiale d'Orpierre est un édifice orienté, au plan en croix latine, principalement bâti en maçonnerie de grès. Pourvue d'un vaisseau unique, elle est flanquée d'un transept nord-sud, complété au sud, par un clocher-tour et une sacristie, hors-oeuvre. La chapelle de pénitents, de plan allongé, est accolée mur nord de la nef.

  • Murs
    • grès moellon enduit
    • grès pierre de taille
    • parpaing de béton
  • Toits
    tuile plate mécanique, tuile creuse
  • Plans
    plan en croix latine
  • Étages
    1 vaisseau
  • Couvrements
    • voûte en berceau plein-cintre
    • voûte en berceau en anse-de-panier
    • voûte d'arêtes
    • voûte d'ogives
  • Couvertures
    • toit à longs pans pignon couvert
    • toit à deux pans
    • toit à un pan
    • croupe ronde
    • flèche carrée
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune

Documents d'archives

  • Procès-verbal de la visite pastorale d'Orpierre, 30 juin 1612. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : G 781.

  • Procès-verbal de la visite pastorale d'Orpierre, 25 décembre 1685. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : G 785.

  • Mémoire ou registre général de toutes les confréries (...) du diocèse de Gap, 1695. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : G 939.

    8 octobre 1627
  • Procès-verbal de la visite pastorale d'Orpierre, 25 septembre 1713. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : G 787.

  • Procès-verbal de la visite pastorale d'Orpierre, 31 août 1740. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : G 788.

  • Etat des biens nationaux restant à vendre, an VI-an IX. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 Q 397.

  • Devis et détail pour la construction d'un clocher pour l'église de la commune d'Orpierre, 9 mai 1822. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Courrier du préfet des Hautes-Alpes, 22 octobre 1824. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Correspondance à M. le maire d'Orpierre, 14 mai 1830. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Devis des travaux à faire pour la reffection de la toiture et des murs de l'église d'Orpierre, 10 janvier 1837. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Cahier des charges en vue des réparations et agrandissement de l'église d'Orpierre, [1865 ?]. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Délibération du conseil municipal de la commune d'Orpierre, 20 mai 1867. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Mémoire d'honoraires de l'architecte Goulain, 25 juin 1867. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Certificat de paiement de Lucien Corréard, 6 octobre 1868. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Compte général de travaux à l'église paroissiale d'Orpierre, 24 novembre 1869. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Procès-verbal de la visite pastorale d'Orpierre, 24 mai 1838. Centre diocésain Pape François, Gap : non coté.

  • Questionnaire sur l'état des paroisses, Orpierre, 1er novembre 1844. Centre diocésain Pape François, Gap : non coté.

  • Procès-verbal de la visite pastorale d'Orpierre, 15 mai 1846. Centre diocésain Pape François, Gap : C1 2018/3/7.

  • Procès-verbal de la visite pastorale d'Orpierre, 19 avril 1849. Centre diocésain Pape François, Gap : C1/2018/3/7.

  • Statut et règlement des pénitents blancs d'Orpierre, 1868. Centre diocésain Pape François, Gap : C4/2018/3/14.

  • Livre de paroisse d'Orpierre, 1873-1963. Centre diocésain Pape François, Gap : C1/2018/3/7.

    25 avril 1864, 26 avril 1868, 13 décembre 1877, 1894, 1961
  • Procès-verbal de la visite pastorale d'Orpierre, 17 octobre 1912. Centre diocésain Pape François, Gap : non coté, fonds Bonnabel.

  • Procès-verbal de la visite pastorale d'Orpierre, 3 avril 1921. Centre diocésain Pape François, Gap : non coté, fonds Bonnabel.

  • Procès-verbal de la visite pastorale d'Orpierre, 2 septembre 1927. Centre diocésain Pape François, Gap : non coté, fonds Bonnabel.

  • Questionnaire pour la visite pastorale, année 1929. Centre diocésain Pape François, Gap : non coté, fonds Bonnabel.

  • Délibération du conseil municipal de la commune d'Orpierre, 29 mars 1975. Centre diocésain Pape François, Gap : D/2018/3/22.

  • Délibération du conseil municipal d'Orpierre, 22 octobre 1950. Archives communales, Orpierre : non coté.

    P. 156

Bibliographie

  • Orpierre. Notre église. Dans : "Annuaire administratif du département des Hautes-Alpes". Gap : semaine du 2 au 9 avril 1971.

  • ARTHAUD, Rodolphe. MAFFRE, J. et alii. Orpierre, la baronnie. Gap : Imprimerie Louis-Jean, 1986.

    P. 69
  • CLOUZOT, Etienne. Pouillés des provinces d'Aix, d'Arles et d'Embrun. Diocèse de Gap. Paris, Imprimerie Nationale, 1923, CLIII-315 p.

    P. 75
  • CHAUVET, Raymond. Baronnie d'Orpierre, Principauté d'Orange, les Chalons-Nassau, 1300-1600. Orpierre : auto-édition, volume N° 1, 2000.

    P. 66, 69, 77
  • CHAUVET, Raymond. Histoire des princes d'Orange et de la Baronnie d'Orpierre et Trescléoux, 1600-1789. Orpierre : auto-édition, volume N° 2, 2007.

    P. 29
  • OLLIVIER, Patrick. Les Baronnies, Mode d'emploi d'un fragment de paradis. Avignon (?) : Aubanel, 1996.

    P. 216, 221
  • ROMAN, Joseph. Tableau historique du département des Hautes-Alpes. Paris : Imprimerie Nationale, 1887-1890. 2 vol.

    Orpierre
  • TALEB, Lila. Naissance et implantation de la Réforme dans les Baronnies (2nde moitié du XIVe siècle). Mémoire de Master 1 (Histoire) sous la direction d'Yves Krumenacker. Université de Lyon : juillet 2019.

    P. 22

Documents figurés

  • Plan cadastral de la commune d'Orpierre. / Dessin, encre et lavis, géomètres non mentionnés, 1838. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 P 992 à 3 P 993.

    3 P 992
  • [Plan de l'église d'Orpierre par Goulain en 1859]. / Dessin à l'encre noire. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Coupe de la nef et des chapelles [de l'église d'Orpierre par Goulain en 1859]. / Dessin à l'encre noire. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 1 O 1571.

  • Orpierre (638 m). Vue générale. / Carte postale, sd. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : Editions Abeil, F 3413/24/a.

  • Orpierre (Hautes-Alpes). La place et l'église. / Carte postale, sd. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : L. Roux, 6 Fi 927.

Date d'enquête 2022 ; Date(s) de rédaction 2023
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Parc naturel régional des Baronnies Provençales
Bonan Aurélie
Bonan Aurélie

Chercheur Inventaire Région Sud, à partir de février 2013.

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