Recherche
Besoin d'aide ? Retrouvez nos conseils pour la recherche sur cette page.
Rechercher dans :
- Tout
- Dossiers
- Illustrations
Affiner les résultats :
- Toutes les personnalités
- Dianous de la Perrotine Alexandre de (7)
- Corrèze Joseph (6)
- Tournadre Jean-Joseph-Amable (5)
- Geoffroy (4)
- Niquet Antoine (4)
- Riouffe-Lombard (4)
- Séré de Rivières Raymond Adolphe (3)
- Boyer André (2)
- Graillet (2)
- Le Prestre de Vauban Sébastien (2)
- Long Antoine (2)
- Millot (2)
- Picot Edouard (2)
- Pingault (2)
- Ramet (2)
- Salanson Adrien-Charles (2)
- Baillardel de Lareinty Félix (1)
- Biguet (1)
- Carron (1)
- Chaussegros Gaspard (1)
- Coste (1)
- Dautheville (1)
- Gombert François (1)
- Huard (1)
- Joly A. (1)
- Jouslard de (1)
- La Salle de (1)
- Louis A. (1)
- Mandar Charles François (1)
- Marchand (1)
- Meunier (1)
- Nocher E. (1)
- Pallard-Desportes Marc-Alphonse (1)
- Pinot Charles-Antoine (1)
- Raucourt Antoine (1)
- Sorbier Jean-François (1)
- Tournadre Bernard-Antoine (1)
- Toutes les périodes
- 1er quart 19e siècle (24)
- 3e quart 19e siècle (7)
- 4e quart 17e siècle (7)
- 2e quart 19e siècle (5)
- 2e quart 17e siècle (4)
- 2e quart 20e siècle (4)
- 4e quart 19e siècle (4)
- 4e quart 18e siècle (3)
- 1er quart 18e siècle (2)
- 1er quart 20e siècle (2)
- 2e quart 18e siècle (2)
- milieu 19e siècle (2)
- 18e siècle (1)
- 1ère moitié 16e siècle (1)
- 3e quart 20e siècle (1)
- milieu 20e siècle (1)
- Toutes les œuvres
- batterie (11)
- fort (6)
- redoute (4)
- édifice logistique (2)
- caserne (1)
- corderie (1)
- Tous les départements
- Var (24)
- Tous les types d'enquête
- enquête thématique régionale (24)
- inventaire topographique (8)
- Toutes les illustrations
- Tous les types
-
caserne du Jeu de Paume, puis Gouvion-Saint-Cyr, actuellement lycée Bonaparte Toulon - avenue Winston ChurchillDescription :relève spécifiquement des canons de l’architecture militaire La distribution intérieure est assurée parCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurIllustration :Plan de repérage des restes conservés de l'enceinte urbaine, des bâtiments militaires de la ville Bâtiments militaires : projets pour 1864-1865 - agrandir la caserne du Jeu de Paume Bâtiments militaires : projet supplémentaire pour 1868-1869. Etendre la caserne du Jeu de Paume Bâtiments militaires : projet pour 1868-1869. Etendre la caserne du Jeu de Paume et porter sa Projets pour 1874-1875 : bâtiments militaires. Etendre la caserne du Jeu de Paume. 1874Auteur :[ingénieur militaire] Salanson Adrien-Charles [ingénieur militaire] Nocher E. [ingénieur militaire] Joly A. [ingénieur militaire] Pinot Charles-AntoineTexte libre :Considérations historiques et topographiques générales Les bâtiments militaires aujourd’hui encore postérieurement à cet agrandissement. Les autres bâtiments militaires encore en place font partie intégrante de , pour de véritables bâtiments militaires non incorporés aux ouvrages de l’enceinte, ce qui exclut ceux l’époque de Vauban, soit au XVIIIe siècle. Les autres établissements militaires en ville avaient été acquis en réutilisant soit des maisons, comme c’était le cas pour l’hôpital militaire, à la gorge du bastion usage militaire, mais en récupérant des maisons, tel le magasin de la fortification près du flanc droit les ressources du casernement ont été augmentées depuis 1841, du fait des bâtiments militaires a été détruit en 1859. A partir de 1760 environ, cette aire était occupée par l’hôpital militaire de formant loggia à chaque étage. En 1859, la caserne et l’hôpital militaire furent isolés dans une zone non . A cette date, il n’était plus question de conserver l’hôpital militaire (démoli en 1866), car laHistorique :l’hôpital militaire de la garnison, constitué de la réunion d’une dizaine de maisons acquises et adaptées bloc cubique de 5 travées régulières haut de trois étages. En 1859, la caserne et l’hôpital militaireRéférence documentaire :Bâtiments militaires : projets pour 1864-1865. Agrandir la caserne du Jeu de Paume. / Dessin, encre Bâtiments militaires : projet pour 1868-1869. Etendre la caserne du Jeu de Paume et porter sa Bâtiments militaires : projet supplémentaire pour 1868-1869. Etendre la caserne du Jeu de Paume Projets pour 1874-1875 : bâtiments militaires. Etendre la caserne du Jeu de Paume. / Dessin, encre
-
batterie de côte de Fabrégas ou de La Verne La Seyne-sur-Mer - près de Fabrégas La Verne Mar Vivo - bâti lâcheStatut :propriété publique (?) terrain militaireCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurTexte libre :l'ancienne redoute retranchée dans laquelle sont intégrés les bâtiments militaires. En 1811, Napoléon valide périmètre orthogonal de l'ancien terrain militaire, dont les trois côtés à angle droit, déterminent une aire de desserte locale dans une zone résidentielle, où l’on ne reconnaît plus d’ancienne route militaire
-
Batterie de côte de Portissol Sanary-sur-Mer - près de Portissol Pointe du Bau Rouge - en écartDescription :l'histoire militaire du site, l'avant et l'après de la batterie. Les infrastructures des deux épaulements tronconique, construite en blocage de pierres de tout venant, n'est pas un bâtiment militaire à l'origineCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurAuteur :[ingénieur militaire] Niquet Antoine [ingénieur militaire] Dianous de la Perrotine Alexandre de [ingénieur militaire] Geoffroy [ingénieur militaire] Riouffe-Lombard [ingénieur militaire] Corrèze Joseph [ingénieur militaire] MillotTexte libre :à 28m d'altitude, et celle de l'épaulement de la batterie de 1847 à 22m. L'ancien terrain militaire l'histoire militaire du site, l'avant et l'après de la batterie. Néanmoins, les infrastructures des , construite en blocage de pierres de tout venant revêtue d'un enduit couvrant, n'est pas un bâtiment militaire
-
fort Malbousquet ToulonCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurIllustration :Plan de repérage des restes conservés de l'enceinte urbaine, des bâtiments militaires de la villeAuteur :[ingénieur militaire] Louis A. [ingénieur militaire] Dautheville [ingénieur militaire] Long Antoine [ingénieur militaire] Corrèze JosephTexte libre :atlas militaire de Toulon : « …redoute en pierres sèches commencée en 1770 qu’on eut quelque crainte de
-
Batterie de côte Saint Pierre des Embiez Six-Fours-les-Plages - Saint-Pierre - - en écartCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurIllustration :Détail de l'île des Embiez sur la "carte militaire de la reconnaissance de la rade du Brusc et du Atlas des bâtiments militaires. batterie St-Pierre des Embiez. [Plans et coupes du réduit] 1879Auteur :[ingénieur militaire] Dianous de la Perrotine Alexandre de [ingénieur militaire] Geoffroy [ingénieur militaire] Riouffe-Lombard [ingénieur militaire] Long Antoine [ingénieur militaire] Coste [ingénieur militaire] Niquet AntoineTexte libre :large, ce qu’elles ne font pas à présent". La carte militaire de la reconnaissance de la rade du Brusc point en rapport avec l’importance de son objet militaire. Il convient de l’améliorer en laRéférence documentaire :Atlas des bâtiments militaires. batterie St-Pierre des Embiers. Corps de garde n°2 pour 40 H
-
redoute dite fort Napoléon La Seyne-sur-Mer - CaireCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurAuteur :[ingénieur militaire] Sorbier Jean-François [ingénieur militaire] Tournadre Bernard-AntoineTexte libre :courtine), donc sur la capacité du logement militaire (500 à 600 hommes). De plus, dans le projet initial militaire du fort (1877), utilisé comme casernement, les dehors ont cessé d’être entretenus et sont . L’administration militaire a conservé la jouissance du fort jusqu’en 1973, date à laquelle un bail de location a réalisations « idéales » de l’architecture militaire de la Renaissance, au premier rang desquelles le « FortHistorique :militaire du fort (1877), utilisé comme casernement, les dehors ont cessé d’être entretenus et sont . L’administration militaire a conservé la jouissance du fort jusqu’en 1973, date à laquelle un bail de location aRéférence documentaire :CROS, Bernard. Citadelles d'Azur, quatre siècles d'architecture militaire varoise. Aix-en-Provence
-
batterie de la Carraque Saint-Mandrier-sur-Mer - la CarraqueCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurIllustration :Atlas des bâtiments militaires. Place de Toulon. Batterie du Cap Cépet. Caserne de la Carraque Atlas des bâtiments militaires. Batterie centrale de la Carraque et batterie sud-est. 1904 Atlas des bâtiments militaires. Batterie centrale de la Carraque et batterie sud-est. 1904. DétailAuteur :[ingénieur militaire] Dianous de la Perrotine Alexandre de [ingénieur militaire] Picot Edouard [ingénieur militaire] Tournadre Jean-Joseph-Amable [ingénieur militaire] Corrèze Joseph [ingénieur militaire] Séré de Rivières Raymond Adolphe [ingénieur militaire] Pingault [ingénieur militaire] Ramet [ingénieur militaire] GrailletRéférence documentaire :Atlas des bâtiments militaires. Place de Toulon. Batterie du Cap Cépet. Caserne de la Carraque Atlas des bâtiments militaires. Batterie centrale de la Carraque et batterie sud-est. / Dessin
-
batterie de côte de la Cride Sanary-sur-Mer - Pointe de la Cride - isoléCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurIllustration :Plans et coupes du réduit de la batterie de La Cride - Atlas des bâtiments militaires - 1879Auteur :[ingénieur militaire] Corrèze Joseph [ingénieur militaire] Millot [ingénieur militaire] Dianous de la Perrotine Alexandre de [ingénieur militaire] Geoffroy [ingénieur militaire] Riouffe-Lombard
-
Batterie de côte du Bau Rouge La Seyne-sur-Mer - près de Fabrégas - chemin du bord de mer - en écartCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurAuteur :[ingénieur militaire] Dianous de la Perrotine Alexandre de [ingénieur militaire] Tournadre Jean-Joseph-Amable [ingénieur militaire] La Salle de [ingénieur militaire] Niquet AntoineTexte libre :. L'ancienne batterie du Bau Rouge ne connaît une nouvelle occupation militaire -éphémère- que durant zone résidentielle, où l’on ne reconnaît plus d’ancienne route militaire. Les éléments deHistorique :réhabilitée vers 1762 et son armement est indiqué sur une carte militaire en 1770, soit deux canons de 24 nouvelle occupation militaire durant l'occupation allemande, après septembre 1943, comme point d'appuiRéférence documentaire :Plan et profils de la batterie du Bau Rouge ainsi que des bâtiments militaires qui en dépendent
-
fort de la Croix des Signaux Saint-Mandrier-sur-Mer - la Croix des Signaux - isoléCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurAuteur :[ingénieur militaire] Dianous de la Perrotine Alexandre de [ingénieur militaire] Picot Edouard [ingénieur militaire] Tournadre Jean-Joseph-Amable [ingénieur militaire] Corrèze Joseph [ingénieur militaire] Graillet [ingénieur militaire] Séré de Rivières Raymond Adolphe [ingénieur militaire] Pingault [ingénieur militaire] Ramet
-
fort Sainte-Agathe dit Château de Porquerolles Hyères - Ile de Porquerolles - en écart - Cadastre : 1983 J1 1254Cadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurAppellations :des ouvrages militaires des îles d'HyèresTexte libre :ingénieur militaire (Bonnefons ?) - dans le tome 2 de la Topographie du Var (publiée par Caron dans compte fait qu'un château, et le seul édifice militaire occupé en permanence dans l'île. Les so1dats sont , créneaux de fusillade. La tour est la seule partie ayant conservé un décor spécifiquement militaire
-
batterie et poste photo électrique de Marégau Saint-Mandrier-sur-Mer - Pointe de MarégauCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurAuteur :[ingénieur militaire] Tournadre Jean-Joseph-Amable
-
fort de la Vigie Hyères - Ile de Port-Cros - 1er fort - isolé - Cadastre : 1983 J4 1233Cadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurTexte libre :au centre. L'ouvrage, resté dans le domaine militaire, est toujours utilisé comme base de mesures du : ouvrage plus curieux qu'intéressant du point de vue de 1'architecture militaire. Pourrait constituer une
-
redoute du Pradeau Hyères - la Tour FondueCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurTexte libre :intérieure un peu plus basse propre aux bâtiments militaires, avec porte particulière. Un plan des batteries partie des murs des bâtiments militaires. La partie de l’enceinte enveloppant la batterie proprement dite . Les bâtiments militaires sont pour l’essentiel les casernements, groupés dans le secteur nord/nordRéférence documentaire :p. 37-38. CROS, Bernard. Citadelles d'Azur, quatre siècles d'architecture militaire varoise. Aix-en
-
corderie ToulonCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurObservation :vocation autant, sinon plus, des bâtiments industriels que des bâtiments militaires stricto sensu. MalgréIllustration :Plan de repérage des restes conservés de l'enceinte urbaine, des bâtiments militaires de la villeAuteur :[ingénieur militaire] Le Prestre de Vauban Sébastien [ingénieur, ingénieur militaire] Gombert FrançoisTexte libre :formations à caractère plus militaire, telle l’école de maistrance, installée dans le pavillon oriental vers
-
fort Saint-Elme Saint-Mandrier-sur-Mer - Saint-Elme (hauteur)Cadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurObservation :bastionné très homogène représentatif de l'architecture militaire de la décennie 1840, bien représentée parTexte libre :Portugal, et rétrogradé gouverneur militaire à Marseille. Établi à la hâte et l'économie par les colonels du terrain militaire, conformément aux exigences du comité. Par ailleurs, des changements de détailRéférence documentaire :, feuille d'atlas des bâtiments militaires n° 63. la Défense, Vincennes : EG Nice Toulon, art. 2 / 8915, feuille d'atlas des bâtiments militaires n° 25.
-
redoute dite fort de l'Alycastre Hyères - Ile de Porquerolles l' Alycastre - isolé - Cadastre : 1983 J3 267Cadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurTexte libre :ouvrage militaire isolé et se distingue d'un« château », à la fois résidence privée et ouvrage défensif vue de l'architecture militaire, ouvrage très intéressant, au même titre que ses homologues de la même
-
édifice logistique dit Magasin général ToulonCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurIllustration :Plan de repérage des restes conservés de l'enceinte urbaine, des bâtiments militaires de la villeAuteur :[ingénieur militaire] Le Prestre de Vauban SébastienTexte libre :, ancien professeur de fortifications à l’école militaire de Pont-le-Voy et ingénieur des ponts et
-
batterie de côte du Cap Negre Six-Fours-les-Plages - Cap Nègre - isoléCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurTexte libre :désarmée en 1889, la batterie du Cap Nègre reste dans le domaine militaire, mais est abandonnée. Du début au Commandement militaire maritime italien en France. Les Italiens ayant capitulé en septembre 1943 zone militaire. Plan, distribution spatiale, circulations et issues, structure et mise en œuvre LeRéférence documentaire :la Défense, Vincennes : EG Nice Toulon feuille d'atlas des bâtiments militaires Art. 2 / 8915.
-
batterie du centre Hyères - Ile de Bagaud - 2e batterie - isolé - Cadastre : 1983 J4 1241Cadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur