• inventaire topographique, Inventaire du parc naturel régional des Baronnies provençales
maison
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
  • (c) Parc naturel régional des Baronnies Provençales

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Parc naturel régional des Baronnies Provençales - Serres
  • Commune Rosans
  • Lieu-dit
  • Adresse rue du Barry , rue du Tricot , deuxième maison
  • Cadastre 1839 F1 81  ; 1984 F1 178  ; 2020 000F 178
  • Dénominations
    maison
  • Parties constituantes non étudiées
    cellier, cuvage

Commentaire historique

L'origine des façades de cette maison remonte vraisemblablement à la fin du 16e siècle ou au début du 17e siècle. Dans le cadastre de 1570, ce quartier situé dans la partie basse du bourg intra muros est nommé « pied de Ville ».

Mais il est possible qu'il s'agisse déjà d'un remaniement d'un bâtiment plus ancien (15e siècle ?). La disposition intérieure du rez-de-chaussée surélevé et de l'étage était alors différente de celle d'aujourd'hui. En effet, à cette époque, un escalier en vis desservait à la fois cette maison et celle située de l'autre côté de la rue du Tricot, étant installé dans la construction enjambant cette ruelle en formant un passage. Construction qui était originellement plus haute d'un niveau, comme en témoignent les arrachements de maçonnerie.

Les élévations de la maison ont été plus tard remaniées. Mais la plupart des encadrements en pierre de taille datent de cette époque charnière entre le 16e siècle et le 17e siècle : porte cintrée du logis et galerie à croisée et demi-croisées sur la façade nord, demi-croisées sur la façade sud. L'encadrement de cette porte, de par sa forme en arc plein-cintre et son décor de tore, est à rapprocher de quatre autres portes conservées sur des maisons étudiées au bourg de Rosans. Deux portent une date : 1608 (voir dossier IA05001548) ; 1626 (voir dossier IA05001541), cette dernière présentant également des coussinets. Les deux autres sont ornées d'un écusson anépigraphe sur leur clef (voir dossiers IA05001543 et IA05001565).

Vue d'ensemble prise du nord.Vue d'ensemble prise du nord. Elévation nord, état actuel.Elévation nord, état actuel. Elévation nord, proposition de restitution des ouvertures.Elévation nord, proposition de restitution des ouvertures.

Sur le plan cadastral de 1839, la parcelle possède un plan identique à l'actuel ; à cette époque, la parcelle mitoyenne à l'est (aujourd'hui vide de construction) est uniquement occupée par un petit bâtiment non contiguë. Bien qu'existant, le passage couvert au-dessus de la rue du Tricot n'est pas dessiné sur ce document (comme tous les passages couverts du bourg). Le bâtiment est mentionné comme une « maison » de 50 m² d'emprise au sol, possédant 6 ouvertures et imposée dans la 4e catégorie fiscale (sur 8). Elle appartient alors à Collombe Roux, institutrice, qui possède également une partie de la maison située de l'autre côté de la rue du Tricot ainsi que, très certainement, le bâtiment du passage couvert qui les relie et où se trouve l'escalier en vis (voir dossier IA05001543). En 1846, cette maison passe à François Faure, gendre Dominique Roux.

Plan de masse d'après le plan cadastral de 1839, section F1. Echelle d'origine 1/1000e.Plan de masse d'après le plan cadastral de 1839, section F1. Echelle d'origine 1/1000e.

L'évolution de la propriété de cette maison au cours de la seconde moitié du 19e siècle témoigne à la fois d'un morcellement successif du bâtiment et de l'imbrication des propriétés avec les maisons voisines. Cette situation complexe conduit à finalement déclasser une partie de la maison en « bâtiment rural » au début du 20e siècle.

En 1850, Jacques Bonfils – qui possède déjà une partie de la maison de l'autre côté de la rue du Tricot – en acquiert une partie (sans doute les pièces sud, desservies par l'escalier situé sur le passage couvert). Dès 1855 elle passe aux sœurs Emilie et Marie Faure. L'année suivante, en 1856, la partie restée à François Faure passe à Victor Depeyre, époux Faure. En 1862, celui-ci morcelle encore plus le bâtiment en vendant la moitié de sa part à Victor-Antonin Bompard, cantonnier. La sienne revient à Florent-Henry-Louis Arnaud, à La Fare (Drôme), en 1879. La maison est ainsi partagée entre trois propriétaires.

La rénovation de la matrice cadastrale en 1882 permet de remettre à jour les informations cadastrales. Ainsi, la partie possédée par Florent-Henry-Louis Arnaud comporte 2 ouvertures. Ce propriétaire possède également une maison située de l'autre côté de la rue du Barry (1839 F1 233). Celle du cantonnier Victor-Antonin Bompard possède 2 ouvertures. Il possède aussi une partie de la maison située de l'autre côté de la rue du Tricot (1839 F1 77P). Quant aux sœurs Emilie et Marie Faure, leur partie comprend 3 ouvertures.

En 1892, Marie Faure, épouse de Victor Depeyre, devient la seule propriétaire de sa partie – sa sœur Emilie n'étant plus mentionnée. Cette même année Florent-Henry-Louis Arnaud obtient une partie de la maison située de l'autre côté de la rue du Tricot (1839 F1 77P). En 1906, la partie de Marie Faure passe au menuisier Auguste Richaud, puis en 1909 à Henri Richaud, également menuisier. En 1907, celle du cantonnier Victor-Antonin Bompard revient à Geoffroy Garçin, marchand forain, qui possède aussi une partie de la maison située de l'autre côté de la rue du Tricot (1839 F1 77P). En 1910, ce propriétaire converti ses deux morceaux de maisons en « bâtiment rural ».

Le premier niveau de l'élévation nord montre une très importante reprise en sous-œuvre, incluant la porte orientale et la fenêtre, peut-être réalisée en même temps que la fermeture partielle de la galerie du second niveau. La réfection de la maçonnerie basse visait manifestement à corriger la déformation de cette façade entraînée par le surpoids de la galerie du second niveau. En revanche, le rétrécissement des baies correspond plus à une logique de réduction des ouvertures soumises à l'impôt. Ces travaux semblent avoir été effectués au cours de la seconde moitié du 19e siècle.

L'actuelle disposition intérieure du rez-de-chaussée surélevé et de l'étage, ainsi que leurs aménagements (escalier, cloisons, cheminée, pile d'évier, sols, enduits, etc.) ne sont pas antérieurs à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle. Le fait que les cloisons en briques soient restées brutes dans les pièces sud pourraient peut-être indiquer que ce réaménagement a été réalisé après 1910, date de la conversion partielle de la maison en bâtiment rural. Il est probable qu'à cette occasion les accès, la configuration et l'équipement du logis subsistant dans la partie nord aient été modernisés.

Plan de masse d'après le cadastre de 2021, section 000F. Echelle d'origine 1/500e.Plan de masse d'après le cadastre de 2021, section 000F. Echelle d'origine 1/500e.

Description architecturale

Cette maison est située dans la partie sud du bourg intra muros, entre la rue du Barry et la rue du Tricot. Mitoyenne à l'ouest, traversante et adossée parallèlement au sens de la pente, elle comporte un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé et un étage carré.

Vue d'ensemble prise du nord-est.Vue d'ensemble prise du nord-est. Elévation nord.Elévation nord. Partie abritant l'escalier à vis, bâtie sur le passage couvert, vue prise de l'est.Partie abritant l'escalier à vis, bâtie sur le passage couvert, vue prise de l'est. Elévation sud, premier niveau. Porte du cellier et porte murée.Elévation sud, premier niveau. Porte du cellier et porte murée. Elévation sud, partie haute.Elévation sud, partie haute.

Coupo-élévation de la façade sud et élévation intérieure sud.Coupo-élévation de la façade sud et élévation intérieure sud. Coupe longitudinale BB et façade est.Coupe longitudinale BB et façade est. Coupe longitudinale AA.Coupe longitudinale AA. Coupe schématique AA.Coupe schématique AA.

Fonctions et aménagements intérieurs

Plans : étage de soubassement et rez-de-chaussée surélevé.Plans : étage de soubassement et rez-de-chaussée surélevé. Plans : étage et toiture.Plans : étage et toiture.

L'étage de soubassement est occupé par une grande pièce anciennement à usage de cellier et de cuvage (cuve de fermentation du vin), comme en témoigne la présence d'une trappe vinaire murée pratiquée dans l'épaisseur de la voûte en berceau plein-cintre. Elle est accessible par une porte piétonne ouverte côté sud, surmontée d'un jour. Une ancienne porte, murée, est située dans l'angle sud-oriental. Cet étage de soubassement ne communique pas avec le rez-de-chaussée surélevé.

Etage de soubassement, cellier. Vue de volume prise du nord.Etage de soubassement, cellier. Vue de volume prise du nord.

Le rez-de-chaussée surélevé, auquel on accède par deux portes piétonnes ouvertes côté nord, est réservé au logis. Il est séparé en deux pièces (nord et sud) par une cloison en briques pleines montées sur chant. Le sol est en carreaux de terre cuite, les murs sont enduits et le plafond est en planches sur solives. Une cheminée est adossée au mur oriental, avec des jambages, un manteau et une hotte maçonnés et enduits. L'angle nord-ouest est occupé par la montée de l'escalier tournant menant à l'étage. Cet escalier, entièrement construit en menuiserie, est fermé par une cloison à pans de bois et maçonnerie légère. Quelques-unes de ses marches et contremarches en planches sont intégrées dans la cloison en brique qui sépare les deux pièces.

Rez-de-chaussée surélevé, cuisine. Mur est, cheminée.Rez-de-chaussée surélevé, cuisine. Mur est, cheminée. Rez-de-chaussée surélevé, escalier. Vue de volume.Rez-de-chaussée surélevé, escalier. Vue de volume. Rez-de-chaussée surélevé, pièce sud. Cloison nord et ancrage des marches de l'escalier.Rez-de-chaussée surélevé, pièce sud. Cloison nord et ancrage des marches de l'escalier.

L'étage est également séparé en deux pièces par une cloison en brique. Le sol est en plancher, les murs sont enduits et le plafond en planches sur solives est recouvert d'un badigeon. Dans la pièce nord, une pile d'évier monolithe est installée dans l'embrasure de la demi-croisée murée orientale. L'angle sud-ouest de cette pièce est occupé par la cloison fermant la cage de l'escalier.

Etage, pièce nord. Vue de volume prise du nord-est.Etage, pièce nord. Vue de volume prise du nord-est. Etage, pièce nord. Plafond peint.Etage, pièce nord. Plafond peint. Etage, pièce nord. Mur nord, pile d'évier installée dans l'embrasure de la baie à demi-croisée occidentale.Etage, pièce nord. Mur nord, pile d'évier installée dans l'embrasure de la baie à demi-croisée occidentale. Etage, pièce sud. Cloison nord, en briques.Etage, pièce sud. Cloison nord, en briques.

Il faut ici rappeler que la disposition intérieure originelle du rez-de-chaussée surélevé et de l'étage était différente puisqu'un escalier en vis hors-œuvre, aménagé dans une construction installée au-dessus du passage couvert de la rue du Tricot, desservait à la fois cette maison et celle située de l'autre côté de la rue (voir dossier IA05001543).

Elévation intérieure nord et coupe partielle CC sur la façade nord.Elévation intérieure nord et coupe partielle CC sur la façade nord. Rez-de-chaussée surélevé, l'escalier en vis installé sur le passage couvert. Vue de volume prise du nord.Rez-de-chaussée surélevé, l'escalier en vis installé sur le passage couvert. Vue de volume prise du nord. Elévation sud et passage couvert.Elévation sud et passage couvert.

Matériaux et mise en œuvre

L'ensemble du bâtiment est construit en maçonnerie de moellons calcaires et de grès, avec des chaînes d'angle en gros moellons équarris côté est. Côté ouest, la maçonnerie est en relative continuité avec celle de la maison mitoyenne. Les élévations conservent les vestiges d'un enduit rustique.

Seule la porte murée de l'élévation sud présente des piédroits en moellons avec un linteau en bois. Ailleurs les encadrements sont très majoritairement de pierre de taille de grès. Sur l'élévation sud, c'est le cas de la porte du cellier, surmontée au deuxième et au troisième niveau par une baie à demi-croisée dont les traverses ont été mutilées. Ces trois encadrements sont chanfreinés.

Elévation sud, premier niveau. Porte du cellier et porte murée.Elévation sud, premier niveau. Porte du cellier et porte murée. Elévation sud, deuxième niveau. Baie à demi-croisée.Elévation sud, deuxième niveau. Baie à demi-croisée.

Au premier niveau de l'élévation nord, l'encadrement de la porte occidentale est en arc plein-cintre, soutenu par deux coussinets à corniche moulurée. Les arêtes des piédroits et de l'arc sont moulurées en quart-de-rond et l'on remarque qu'un décor sculpté ornait le claveau central : armoiries (?) gravées dans un médaillon circulaire souligné par un cordon. On note en outre que la face extérieure des coussinets a été bûchée, probablement pour éliminer un décor sculpté (retour de la corniche moulurée ?) et lisser la façade.

Elévation nord, premier niveau. Porte du logis.Elévation nord, premier niveau. Porte du logis. Elévation nord, premier niveau. Porte du logis, décor mutilé.Elévation nord, premier niveau. Porte du logis, décor mutilé. Elévation nord, premier niveau. Porte du logis, détail d'un corbelet de l'encadrement.Elévation nord, premier niveau. Porte du logis, détail d'un corbelet de l'encadrement.

Au premier niveau de cette même élévation nord, l'encadrement de la porte orientale est constitué de blocs remployés, avec un linteau droit en bois. La base du piédroit oriental, commune avec la chaîne d'angle, est chanfreinée alors que le reste est à arêtes vives.

Elévation nord, premier niveau. Porte est.Elévation nord, premier niveau. Porte est.

Toujours sur l'élévation nord, le second niveau conserve une galerie originellement constituée d'une large baie à croisée accostée de deux demi-croisées, l'ensemble étant assis sur une corniche saillante et moulurée en doucine sur filet. Les piédroits communs à la croisée et aux demi-croisées sont plus massifs, traversant toute l'épaisseur du mur et servant aussi de piliers pour les arrières linteaux monolithes ; ces piédroits sont en outre prolongés sous la corniche par d'autres blocs en pierre de taille. Les arêtes sont ornées d'une moulure en quart-de-rond, y compris celles des traverses conservées sur les demi-croisées. Ces dernières ont été murées. La croisée centrale a été rétrécie avec un nouveau jambage en briques pleines et son linteau a été remplacé par une pièce de bois bien équarrie.

Elévation nord, second niveau. Galerie murée, mutilée et repercée.Elévation nord, second niveau. Galerie murée, mutilée et repercée. Elévation nord, second niveau. Restitution de la galerie.Elévation nord, second niveau. Restitution de la galerie. Elévation nord, second niveau. Baie à demi-croisée orientale, murée.Elévation nord, second niveau. Baie à demi-croisée orientale, murée. Elévation nord, second niveau. Baie à demi-croisée occidentale, murée.Elévation nord, second niveau. Baie à demi-croisée occidentale, murée.

Etage, pièce nord. Mur nord, embrasure de la baie à demi-croisée occidentale.Etage, pièce nord. Mur nord, embrasure de la baie à demi-croisée occidentale. Etage, pièce nord. Mur nord, embrasure de la baie à demi-croisée orientale.Etage, pièce nord. Mur nord, embrasure de la baie à demi-croisée orientale.

La charpente est à pannes et le toit à longs pans est couvert en tuiles creuses posées sur des chevrons taillés en quartons ou laissés en bois de brin. Sur l'élévation nord, l'avant-toit est constitué d'un rang de génoise ; côté sud, il est simplement réalisé par le débord des tuiles de couverture. La saillie de rive du pignon oriental est également constituée du débord des tuiles.

Charpente à pannes.Charpente à pannes. Couverture en tuile creuse.Couverture en tuile creuse.

L'origine de cette maison remonte vraisemblablement à la fin du 16e siècle ou au début du 17e siècle, mais il est possible qu'il s'agisse du remaniement d'un bâtiment plus ancien (15e siècle). L'évolution de la propriété de cette maison au cours de la seconde moitié du 19e siècle illustre à la fois le morcellement successif du bâtiment et l'imbrication foncière avec les maisons voisines. Une situation complexe qui conduit finalement à son déclassement partiel en bâtiment rural au début du 20e siècle, une partie des aménagements actuels datant de cette époque.

  • Période(s)
    • Principale : 15e siècle , (incertitude)
    • Principale : limite 16e siècle 17e siècle
    • Principale : limite 19e siècle 20e siècle
    • Secondaire : 1er quart 20e siècle

Cette maison, traversante et adossée parallèlement au sens de la pente, comporte un étage de soubassement, occupé par un cellier-cuvage couvert par une voûte en berceau plein-cintre, un rez-de-chaussée surélevé et un étage carré réservés au logis.

L'ensemble du bâtiment est construit en maçonnerie de moellons calcaires et de grès, avec des chaînes d'angle en gros moellons équarris. Les élévations conservent les vestiges d'un enduit rustique. Les encadrements des ouvertures sont réalisés en pierre de taille de grès, pour certains chanfreinés. Il faut souligner la présence remarquable, au second niveau de la façade nord, d'une ancienne galerie composée de deux baies à demi-croisée encadrant une baie à croisé. L'ensemble étant muré et repercé.

Le toit à longs pans, supporté par une charpente à panne, est couvert en tuiles creuses posées sur des chevrons taillés en quartons ou laissés en bois de brin.

  • Murs
    • grès moellon sans chaîne en pierre de taille enduit
    • calcaire moellon sans chaîne en pierre de taille
  • Toits
    tuile creuse
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré
  • Couvrements
    • voûte en berceau plein-cintre
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Escaliers
    • escalier hors-oeuvre : escalier en vis en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant en charpente
  • Typologies
    A1 : maison avec partie agricole, artisanale ou commerciale en partie basse
  • Statut de la propriété
    propriété privée

Documents d'archives

  • [Cadastre par confronts de la communauté de Rosans.] / 1570 [registre relié, incomplet : f° 138 à 319, nom du notaire inconnu]. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 E 6468.

    1570
  • Matrices cadastrales de la commune de Rosans. / 1839-1911 [registre papier]. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 P 1241 à 3 P 1243.

    F° 389, 1839. F° 162, 1846. F° 48, 1850. F° 160, 1855. F° 572, 1856, 1862. F° 661, 1862. F° 13, 1879. F° 11, 1910.
  • Etat des sections cadastrales de la commune de Rosans. / Par Truchy, géomètre, 1840 [registre papier]. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 P 1240.

    Section F1, 1840.
  • Matrices cadastrales des propriétés bâties de la commune de Rosans. / 1882-1911 [registre papier]. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 P 1244.

    F° 19, 1882. F° 44, 1882, 1907. F° 89, 1882, 1892. F° 229, 1906. F° 16, 1909.

Documents figurés

  • Plan cadastral de la commune de Rosans. / Dessin, encre et lavis par Truchy, géomètre, 1839. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 3 P 1239.

    Section F1, 1839.
Date(s) d'enquête : 2019; Date(s) de rédaction : 2020
(c) Parc naturel régional des Baronnies Provençales
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général