Auteur
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

  • Dénominations
    ferme
  • Aires d'études
    Argentière-la-Bessée (L')
  • Adresse
    • Commune : Saint-Martin-de-Queyrières

HISTORIQUE

Chronogrammes

Le plus grand nombre des chronogrammes relevés sur les demeures de la commune remontent au XVIIIe ou au XIXe siècle. (pour le détail cf. IA05000495).

Incendies

Le village de Saint-Martin a été ravagé en 1775 par un incendie qui a détruit la plus grande partie des maisons (A.D. de l'Isère).

DESCRIPTION

On ne traitera ici que des aspects propres à l'architecture des maisons de Saint-Martin-de-Queyrières. Pour les aspects généraux à l'ensemble du canton, se reporter aux observations générales cantonales.

A. L'habitat permanent

1. Situation

a) Les villages

Les villages actuellement habités en permanence sont situés sur les basses pentes de la vallée, entre 1150 et 1200 m d'altitude. Ils occupent des replats (Sainte-Marguerite, Le Villaret), les cônes de déjection des torrents (Prelles), ou se sont développés à l'abri des verrous glaciaires (Saint-Martin, Queyrières).

Un certain nombre de villages qui ne sont plus actuellement fréquentés que l'été étaient jusqu'au début du siècle habités toute l'année (information des habitants). Il s'agit de Sachas (1372 m), Piolier (1414 m) et Bouchier (1495 m). L'altitude et l'éloignement de la route nationale expliquent l'abandon de ces sites qui ne sont plus actuellement fréquentés que par des vacanciers. Entre les deux guerres, ils ont pu être utilisés comme étape d'estivage (information orale). Il est possible que Clot-la-Rama ait été également un village permanent, mais les informations sur ce point sont contradictoires.

Les villages permanents sont actuellement formés de demeures, d'une ou plusieurs églises ou chapelles, d'un four à pain, et d'une école (fermée). Tous les commerces sont regroupés au chef-lieu.

b) Les demeures

- Mitoyenneté

Les demeures sont indépendantes, ou mitoyennes par groupe de deux ou trois. Les agglomérations sont relativement denses : il n'y a souvent que quelques mètres entre les différentes constructions. En fonction du terrain ou de la pente les accès aux différents niveaux de deux maisons différentes peuvent donc s'interpénétrer. Cf. à ce sujet l'étude de l'espace de circulation aménagé devant les demeures 29-30-31 à Saint-Martin. A Queyrières, un certain nombre de maisons sont reliées par un passage couvert qui protège les circulations et ménage les différents accès. Cf. IA05000339 à Queyrières.

- Orientation

Prelles. Parcelles 4339 et 4343. Façade sud-est. Noter les toits à demi-croupes débordant largement au-dessus de la façade, de façon à abriter les balcons.Prelles. Parcelles 4339 et 4343. Façade sud-est. Noter les toits à demi-croupes débordant largement au-dessus de la façade, de façon à abriter les balcons.

Toutes les façades sont tournées vers le sud ou le sud-est. Elles ne se font donc pas face de part et d'autre d'une rue. Une seule exception, au chef-lieu : les maisons qui bordent la route nationale ont toutes leur façade sur la route, qu'elle regarde vers l'est ou l'ouest. Certaines de ces maisons ont deux façades : l'une donnant sur la route, l'autre convenablement orientée.

- Forme du parcellaire

La plus grande partie des parcelles bâties ont la forme d'un rectangle. D'autres moins nombreuses affectent un plan en L. Certaines parcelles sont étroites et allongées. Au Villaret en particulier on trouve des parcelles larges de 5 à 6 mètres sur 15 mètres de long (cf. IA05000348).

Parcelles

rectangulaires

Parcelles en L

Parcelles étroites

et allongées

Saint-Martin

55%

35%

10%

Bouchier

70%

30%

0%

Queyrières

40%

50%

10%

Le Villaret

60%

20%

20%

Formes du parcellaire

- Superficie des demeures

Seules quelques grosses demeures, à Saint-Martin, ont une surface au sol supérieure à 200 mètres carrés. Pour les trois sites test étudiés, Saint-Martin, Sainte-Marguerite et Villard-Meyer, 40 %des demeures ont une surface au sol comprise entre 70 et 100 mètres carrés, 20 % entre 100 et 130 mètres carrés et 18 % ont une surface au sol supérieure à 130 mètres carrés.

2. Parti d'ensemble

L'habitat permanent n'est formé que de "maisons-blocs" regroupant sous le même toit "écurie", grange et logis. On notera cependant la présence, exceptionnelle dans cette région, de "chambres ménagères" indépendantes de la maison. Ce type de construction est moins fréquent que dans l'Oisans mais se rencontre dans tous les villages permanents de la commune. Il arrive également que les caves à légumes soient indépendantes de la maison. Elles sont généralement situées en face de la demeure, mais à Bouchier elles sont toutes regroupées au-dessus du village et creusées sous les rochers à flanc de montagne.

Les "celliers" contenant un pressoir, si fréquents dans les communes voisines de L'Argentière, Les Vigneaux ou La Roche-de-Rame, sont exceptionnels à Saint-Martin-de-Queyrières. Nous n'en avons repéré que quatre. Les habitants de la commune possédaient des celliers indépendants situés soit dans les vignes mêmes (par exemple à La Vignette) soit dans les villages plus proches du vignoble (par exemple à Géro ou aux Gillis sur la commune de La Roche-de-Rame).

3. Matériaux

Le marbre rose de pays, si fréquemment utilisé dans les communes situées au sud, n'apparaît qu'exceptionnellement à Saint-Martin-de-Queyrières : quelques chambranles de portes à Saint-Martin (demeures 130 : IA05000329, 131 : IA05000330).

4. Structure et distribution

a) L'écurie

L'écurie se trouve toujours au rez-de-chaussée. Nous n'avons recensé que trois cas de maisons permanentes à écurie plafonnée. Le voûtement est la règle.

Sur les seize maisons sélectionnées pour étude, six écuries sont voûtées en berceau à lunettes, trois d'arêtes sans pilier, six d'arêtes retombant sur pilier central, et une seule d'arêtes retombant sur deux piliers centraux. Sur l'ensemble de la commune la diffusion de ces trois types de voûtement semble sensiblement équivalente : sur les soixante maisons repérées, dix-huit sont voûtées en berceau à lunettes, vingt-et-une d'arêtes sans pilier, dix-neuf d'arêtes retombant sur un pilier central. Aucune voûte catalane n'a été repérée.

b) Le logis

Sainte-Marguerite. Parcelle 2381. Façade sud. Les arcs protègent l'entrée de la cuisine au rez-de-chaussée.Sainte-Marguerite. Parcelle 2381. Façade sud. Les arcs protègent l'entrée de la cuisine au rez-de-chaussée.

La cuisine est la pièce d'habitation principale. Trois des maisons sélectionnées ne comportent qu'une cuisine ; pour cinq d'entre elles nous n'avons pu déterminer avec certitude la présence d'une chambre à coucher. Donc pour environ un tiers de notre échantillonnage le logis se limite à une seule cuisine dans laquelle se trouvaient des lits.

Pour onze des seize maisons étudiées, le logis se trouve à l'étage. Trois d'entre elles comportent une cheminée dans l'écurie ; cinq autres pourraient en avoir eu une. Nous avons recueilli plusieurs témoignages affirmant que les familles s'installaient à l'écurie pendant les mois les plus froids : de Noël à mars environ.

Quatre maisons comportent deux cuisines : l'une située au rez-de-chaussée à côté de l'écurie était utilisée l'hiver. C'était la "cuisine basse". La seconde située à l'étage était appelée "cuisine d'été". La présence de ces "cuisines basses", souvent transformées en cave après l'abandon de cette pratique, n'est pas toujours facile à identifier. Leur nombre a pu être sous-estimé. Une seule maison ne comporte qu'une cuisine unique au rez-de-chaussée. C'est le seul cas repéré dans les villages permanents de la commune.

Les "cuisines basses" sont dans la plupart des cas voûtées, en berceau ou en berceau à lunettes. A Bouchier, deux pièces qui semblaient avoir cette fonction étaient couvertes de voûtes "vallousiennes" à pénétrations arrondies. Les cuisines situées à l'étage sont dans la grande majorité des cas couvertes d'un plafond plâtré : les trois-quarts des maisons repérées ont un logis à l'étage plafonné.Le nombre de chambres à coucher varie de 0 à 2 selon l'importance de la maison. Parmi les maisons sélectionnées, deux n'en ont qu'une, six en ont deux. La limite entre chambre ménagère et chambre à coucher n'est souvent pas très nette. Les deux fonctions sont, surtout dans les maisons modestes, assez fréquemment réunies dans la même pièce.

Plus de la moitié des maisons étudiées comportent une, et plus rarement deux chambres ménagères, situées au niveau du logis ou de la grange. Ces pièces sont parfois voûtées, d'arêtes ou en berceau. Il existait également des "chambrons" en pan-de-bois construits sur les balcons ou les passa de grange. Ils ont souvent disparu. Les caves à légumes, profondément enterrées dans le sol, sont voûtées en berceau.

5. Élévations

a) Les systèmes de circulation

La circulation entre les différents espaces de la maison (grange, écurie et logis) se fait uniquement par l'extérieur, par un système d'escaliers, d'échelles et de balcons. C'est la forme que prend ce système de circulation (dont le principe est toujours identique) qui donne son aspect extérieur à la maison. On distinguera les balcons sur console et les balcons sur arcs de pierre. De nombreuses demeures comportent au rez-de-chaussée un ou plusieurs arcs en pierre qui supportent le balcon du premier étage (type I de la typologie des façades à arcades. Ce premier balcon est généralement surmonté par un ou plusieurs balcons sur consoles.

Prelles. Parcelle 4867. Façade sud-ouest. L'arc supporte le balcon de la grange au deuxième étage.Prelles. Parcelle 4867. Façade sud-ouest. L'arc supporte le balcon de la grange au deuxième étage.

Plus rares sont les demeures à plusieurs niveaux d'arcades. On les rencontre essentiellement dans les villages proches de la vallée de la Durance, Saint-Martin, Prelles et Sainte-Marguerite.

- Façades de type II : un seul niveau d'arcs supportant le balcon du deuxième étage :

II A : Prelles : p. 4867 et 4869.

II B : Prelles : p. 4654.

II C : Sainte-Marguerite : p. 2313 - 2314

Saint-Martin : p. 181-182.

- Type III : deux (ou plus) niveaux d'arcs superposés et symétriques.

III A 1 : Le Villaret : p. 348 IA05000346

III B 2 : Saint-Martin : p. 63 IA05000328, p. 70, p. 160-161

Queyrières : p. 368

Sainte-Marguerite : p. 2239.

III C 2 : Prelles : p. 4655

III C 3 : Saint-Martin : p. 194 IA05000331

- Type IV : deux ou plusieurs niveaux d'arcs superposés mais non symétriques:

Prelles : p. 4687, 4649

Sainte-Marguerite : p. 2315 et p. 2400.

- Type V : deux niveaux d'arcs non superposés.

Bouchier : p. 3643.

Les piliers qui séparent les arcades peuvent être en pierre de taille ou en maçonnerie.

Les différents balcons de façade communiquent généralement entre eux par des échelles de meunier dont la position est parfois périlleuse. Mais, exceptionnellement, les balcons peuvent être reliés par des escaliers en pierre, construits sur les arcs. C'est une des originalités de la commune.

L'accès à la porte charretière de la grange se fait soit de plain-pied, si l'enterrement de la maison dans la pente le permet, soit par un plan incliné, soit, ce qui est encore particulier à la commune, par un escalier en pierre ou un escalier mobile en bois. Cette dernière solution laisse supposer que le foin était rentré à dos d'homme.

b) Le décor

Les façades peintes, si fréquentes à L'Argentière, Vallouise ou La Roche-de-Rame, sont très rares à Saint-Martin-de-Queyrières et se rencontrent essentiellement au chef-lieu. A noter une belle façade peinte en trompe-l’œil à Sainte-Marguerite (cf. IA05000343).

On a recensé quelques cadrans solaires souvent effacés : Saint-Martin : p. 181 ; Sachas : p. 2288 ; Prelles : p. 4654, 4686, 5058 ; Queyrières : p. 691.

Prelles. Cadran solaire daté 1899.Prelles. Cadran solaire daté 1899. Sachas. Parcelle 2288. Le cadran solaire.Sachas. Parcelle 2288. Le cadran solaire.

La façade de quelques demeures est ornée d'une treille qui s'accroche sur les balcons.

6. Toitures

Les toits sont à deux longs pans, exceptionnellement à demi-croupes, et débordent largement au-dessus du pignon et de la façade principale. L'avant-toit est masqué par des planches.

La grande majorité des maisons sont couvertes en tôle ondulée ; quelques rares toitures sont encore couvertes de bardeaux (6 à Saint-Martin) ou d'ardoises. Sur les cartes postales du début du siècle une grande partie des maisons sont couvertes en bardeaux.

Saint-Martin. Parcelle 27. Vue de volume prise du sud-est. Le toit à croupes est couvert d'ardoises mécaniques.Saint-Martin. Parcelle 27. Vue de volume prise du sud-est. Le toit à croupes est couvert d'ardoises mécaniques.

B. L'habitat saisonnier

1. Situation

On trouve deux types de constructions liées à l'exploitation des différents étages de végétation et utilisées de façon saisonnière.

- Des granges isolées dans les prés d'altitude, où l'on stockait le foin fauché sur place.

- Les chalets utilisés pendant l'estivage des vaches.

a) Mode de groupement des chalets

Les chalets sont regroupés en villages situés entre 1700 et 2100 m d'altitude. Les habitants de chaque village permanent se rendaient à un village de chalets particulier : ceux de Prelles, Sachas et Le Villaret à Ratière (1800 m) ; ceux de Bouchier et Villard-Meyer à la Blétonnée (1720 m) ; une autre partie des habitants de Prelles au Sapet (1730 m). Sur la rive gauche, les habitants de Queyrières et Sainte-Marguerite utilisaient les Oriols du même nom ; ceux de Saint-Martin, les chalets de Clot-la-Rama, du Poux, et de Roche-Baron.

Un grand nombre de chalets sont actuellement en ruines. Des sites comme la Blétonnée ou l'Oriol de Sainte-Marguerite ont pratiquement disparu. Il faut se référer au cadastre napoléonien pour évaluer l'importance qu'ont pu avoir les villages saisonniers. La plupart comptaient alors une vingtaine de constructions. Seul Ratière, avec une centaine de chalets, avait une importance exceptionnelle. Les chalets sont très souvent mitoyens par petits groupes. C'est particulièrement net à Ratière, mais également valable dans les autres sites (Le Poux).

b) Les pratiques pastorales

La garde des vaches était collective dans chaque village saisonnier, qui possédait ses alpages particuliers. Chacun était berger à tour de rôle. Par contre la traite était familiale. Chaque soir un membre de chaque famille montait au chalet où les vaches rentraient pour la nuit. Il effectuait la traite du soir, préparait le fromage, dormait sur place et faisait la traite du matin avant le départ du troupeau pour les alpages. Il rejoignait alors les siens pour les foins ou la moisson, et revenait le soir suivant au chalet. A Saint-Martin-de-Queyrières l'estivage ne donnait pas lieu à un déplacement familial comme à Cervières ou dans l'Oisans.

2. Parti d'ensemble

Chaque chalet possède une cave où l'on conservait le lait avant la fabrication du fromage. Certaines sont mitoyennes du chalet, d'autres indépendantes.

3. Les matériaux

Les matériaux et leur mise en œuvre sont identiques à ceux des maisons permanentes. Les chalets sont construits en pierre à l'exception d'un seul, à l'Oriol de Sainte-Marguerite, dont l'étage est construit en empilage de madriers de mélèze comme les chalets de Puy-Saint-Vincent. Dans la mesure où tous les chalets de l'Oriol de Sainte-Marguerite sont en ruines, il est difficile de dire s'il existait d'autres chalets en empilage.

4. Structure

Les chalets sont généralement de petite taille. A Ratière ils ont tous une surface au sol comprise entre 20 et 30 mètres carrés et ne comportent qu'un seul étage. Mais on rencontre également quelques constructions plus importantes, à Clot-la-Rama ou au Pas-du-Rif.

Alors que la voûte est largement utilisée dans l'habitat permanent, elle n'apparaît qu'exceptionnellement dans l'habitat saisonnier. Les caves, entièrement enterrées dans le sol, sont habituellement les seules pièces voûtées. Les écuries et les pièces d'habitation sont couvertes d'un plafond en planches à solives apparentes. A noter à Ratière (p. 513) une écurie dont le plafond en planches est supporté par deux arcs en pierre (deux couvrements de ce type ont été repérés à Champoléon, canton d'Orcières).

L'écurie se trouve toujours au rez-de-chaussée. Le logis est formé par une pièce unique qui servait à la fois de cuisine et de chambre. Le logis peut se trouver à l'étage au-dessus de l'écurie (cf. dossier IA05000340 à Ratière, IA05000333 à l'Oriol de Queyrières et IA05000334 à l'Oriol de Sainte-Marguerite), soit, plus rarement, au rez-de-chaussée à côté de l'écurie. Dans ce cas le logis est souvent en ressaut sur la façade de l'écurie.

Dans un seul des chalets repérés la cuisine occupe un angle de l'écurie dont elle est séparée par des cloisons en pan-de-bois. Il faut donc traverser l'écurie pour accéder à la cuisine (cf. dossier IA05000335 au Poux).

Certains chalets dont la cuisine est en ressaut au rez-de-chaussée comportent à l'étage une chambre, qui semble être davantage une chambre ménagère qu'une chambre à coucher.

5. Élévation

Compte-tenu de l'importance de la pente, les chalets dont le logis est à l'étage ne comportent souvent pas d'escalier extérieur. L'accès à la cuisine se fait de plain-pied. Dans les autres cas, l'accès à l'étage se fait par un balcon et un escalier en bois, rarement par un escalier en pierre supporté par un arc. Les chalets ne comportent pas de balcon de grange.

6. Couverture

Les toits à deux pans sont couverts de tôle ondulée ou de bardeaux. Il arrive que les fermes de charpente, posées sur le mur-pignon, servent de pan-de-bois à la maçonnerie. (cf. dossier IA05000333 à l'Oriol de Queyrières).

L'ensemble des habitations étudiées apparaît sur le cadastre napoléonien (1837). Certaines dates portées par les bâtiments correspondent au 18e siècle.

  • Période(s)
    • Principale : 18e siècle
    • Principale : 19e siècle
  • Typologies
    maison bloc type IB0 : logis à l'étage, absence de balcons ; maison bloc type IB1 : logis à l'étage, un seul balcon ; maison bloc type IB2 : cuisine à l'étage et balcons multiples reliés par des échelles meunières
  • Toits
    tôle ondulée, ardoise, bardeau
  • Murs
    • pierre
    • bois
    • moellon sans chaîne en pierre de taille
    • pan de bois
  • Décompte des œuvres
    • étudiées 22

Annexes

  • Annexe n°1
Date d'enquête 1982 ; Date(s) de rédaction 1998