Dossier d’œuvre architecture IA84000997 | Réalisé par
  • opération ponctuelle
Chapelle Sainte-Catherine
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Apt
  • Commune Apt
  • Adresse 50 rue Scudéry
  • Cadastre 1812 Q 840  ; 2019 AW 210
  • Dénominations
    chapelle
  • Vocables
    Sainte-Catherine
  • Parties constituantes non étudiées
    fontaine

Fondation de l'abbaye

En 1299, l'abbaye est fondée par l'évêque d'Apt, Raimond (ou Raymond) de Bot, qui y est probablement inhumé après sa mort en 1303. Raimond de Bot est évêque d'Apt entre 1275 et 1303, il fait bâtir l'abbaye et la dote de ses propres biens. Selon l'acte de fondation, cette dernière est placée sous le titre de Sainte-Catherine et sous la règle de saint Augustin. La communauté ne doit compter, selon ses statuts, que cinquante et une religieuse plus l'abbesse. Une pierre, aujourd'hui conservée au musée d'Apt, porte inscription de cette fondation. Elle se trouvait, selon X. Mathieu, au-dessus de la porte du cloître démoli en 1857. On trouve ensuite mention du monastère dans l'enquête de Leopardo Da Foligno en 1333 puis dans les pouillés du diocèse d'Apt en 1350 (compte des décimes) : "monasterium Sanctae Katerine de Apta".

Le 17e siècle : siècle d'or de l'abbaye

En 1638, Mgr Modeste de Villeneuve des Arcs réforme le monastère et remet notamment en vigueur la clôture. Il rétablit l'ordre par une sentence épiscopale et, en 1639, trois religieuses arrivent du monastère Sainte-Madeleine-du-Val (près du Puy-en-Velay) pour aider à retrouver la discipline monastique. Françoise du Mazel devient alors abbesse du monastère. L'église de l'abbaye Sainte-Catherine a alors un aspect différent, l'évêque ordonne en effet que : "les galeries et tribunes de l'église [soient] trelissées de bois d'une canne de hauteur avec un trelis au devant à ce qu'elles ne soyent veues des personnes séculières". On peut voir dans l'oculus médiéval, aujourd'hui aveugle, désaxé et placé en remploi sur la façade est de la chapelle, un vestige de cet édifice ancien.

Celui-ci est en effet profondément remanié en 1653 : Françoise du Mazel commande par prix-fait à Esprit et Germain Reynier, maîtres-maçons d'Apt d'exhausser d'une canne [environ 2 mètres] les murs de l'église, de refaire le couvert avec une génoise "comme celle de l'église des Révérends Pères Récollets", ainsi qu'un plafond avec poutres apparentes, le tout enduit de plâtre. Dans la visite de 1659, l'évêque remarque de l'église n'est "point pavée" mais "qu'il y a à un bout de lad. esglise des malons destinés pour le pavé d'icelle", l'édifice est donc en passe d'être pavé de carreaux de terre cuite, et donc sans doute d'être achevé.

En 1659, la décision est prise d'établir une fontaine "sur la petite place qui est au devant du monastère Sainte-Catherine", en prenant l'eau à la fontaine Saint-Martin déjà existante (toujours visible place Saint-Martin sur le cadastre de 1812). En fait, l'idée est d'apporter l'eau à l'hôpital Saint-Castor dont un des murs donne alors sur cette place, l'eau arriverait donc à l’hôpital, dans un lavoir de sa basse-cour mais "coulerait également au dehors pour la plus grande commodité des habitans". Il pourrait s'agir de la fontaine qui se trouve actuellement contre le mur est de la chapelle. Cette fontaine, aujourd’hui adossée, aurait en effet été déplacée au 19e siècle lors de l'élargissement de la place Ripert-de-Montclar. Par ailleurs, en 1670, un prix-fait mentionne la commande de l'abbesse, Honorade de Brunet, pour une vasque en "pierre de feu de neuf pans et quart de longueur et deux pans et demi de hauteur" (soit environ 2m25 par 0m62) : pourrait-il s'agir du bassin de cette même fontaine ?

En 1670, Jean de Gaillard est nommé évêque d'Apt, il est confirmé en 1671. Lui aussi réforme l'abbaye de Sainte-Catherine. En 1672, il nomme ainsi à la tête de l'abbaye une parente, Louise de Village de la Salle ; la propre mère de l'évêque est également une de Village de la Salle. En 1675, c'est cette abbesse qui commande au maître-architecte d'Apt Esprit Rochas la construction du chœur. Il s'exécute en suivant les plans de Louis-François de Royers de la Valfenière. Dans le prix-fait, il est question d'une "impériale de 18 pans de hauteur" [une coupole va couvrir le chœur, elle fera environ 4m50 de haut], de "cinq vitrails de maçonnerie [baies à remplage] pour donner le jour au chœur". Le chœur est alors "côté jardin", il n'est pas, comme aujourd'hui, cerné par des bâtiments. Les baies auront donc été murées postérieurement, on n'en trouve plus trace aujourd'hui. Un an après, en 1676, le retable est réalisé sur prix-fait également (Référence IM84002465), le tableau d'autel est peint par Gilles Garcin en 1677 (Référence IM84002466). Cette même année, Esprit Rochas est chargé de réaliser les porte de l'église ainsi que "l'escalier du sanctuaire". Il s'agit sans aucun doute ici de la porte encore visible aujourd'hui, quoique murée, sur le mur oriental de la chapelle. L'encadrement de pierres de taille à fronton brisé surmonté d'un édicule à niche est caractéristique de cette période. On peut imaginer qu'il s'agit là de l'entrée de la chapelle à cette époque ; la porte qui perce aujourd'hui le mur nord date probablement du 19e siècle.

L'ensemble du décor intérieur de l'édifice présente un iconographie cohérente avec d'une part des figurations en lien avec la sainte titulaire de la chapelle, Catherine d'Alexandrie et, d'autre part, avec saint Augustin. Quand ce n'est pas la représentation d'un ou plusieurs épisodes de la vie de Catherine ou d'Augustin d'Hippone, on figure un emblème, un symbole qui y fait allusion directement (roue dentée et épée pour la première, cœur enflammé pour le second). Les commanditaires sont également présents par le biais de leurs armoiries : Louise de Village de la Salle avec le didelta chargé d'un cœur, l'évêque de Villeneuve des Arcs avec également ses armoiries complètes au-dessus de l'arc triomphal.

Le 18e siècle : suppression de l'abbaye et installation de l'hôpital Saint-Castor

En 1748, Mgr de Vaccon, après la mort de la dernière abbesse de Sainte-Catherine Mme de Mélan, survenue en 1745, sachant que "la collation de l'abbaye lui appartient pleno jure", décide de "supprimer le monastère de l'abbaye Sainte-Catherine", son décret est confirmé par lettres patentes du roi en septembre de la même année. Il ne reste alors que cinq religieuses de chœur, la plupart "avancées en âge et infirmes", elles vont rejoindre la communauté des religieuses de sainte Ursule où, selon les terme du décret, "elles seront regardées en tout comme si elles étaient professes de ladite maison ou communauté". "Les biens, rentes et revenus" du monastère sont partagés entre les couvents des visitandines et des ursulines d'Apt. En échange de quoi, d'une part lesdites communautés verseront une pension aux anciennes chanoinesses de Sainte-Catherine et, d'autre part, feront dire des messes basses pour toutes les fondations de l'ancienne chapelle Sainte-Catherine du monastère.

"La chapelle, maison conventuelle, jardin, enclos et tous les bâtiments enfermés présentement dans la clôture du monastère de Sainte-Catherine" sont donnés "moyennant quelques redevances" à l’hôpital Saint-Castor, "attendu que leur hopital n'est pas logeable surtout pour les malades" et "qu'au monastère de ste Catherine les malades seraient logés d'une manière saine et commode et à un coin de la ville, d'où les maladies contagieuses ne pourraient pas se communiquer si facilement dans icelle". Cet hôpital d'Apt, probablement fondé au 13e siècle, dont la première mention attestée date de 1349, est "un des des plus anciens de la Province" selon le Livre rouge de l'hôpital. Après le déménagement, "la maison et dépendances du vieux hôpital" sont vendus, "à l'exception de la fontaine et de la conduite" à André Chastan, avocat ainsi que mentionné dans le registre des délibérations de l'hôpital, en date du 16 mai 1749. On peut ainsi, grâce au plan restituant l'état de la ville d'Apt en 1779, situer précisément ce vieil hôpital : au nord de l'abbaye Sainte-Catherine, à l'angle de la rue des pénitents blancs et de la rue du Vieil Hôpital.

La maison conventuelle est cependant jugée "mal bâtie et menaçant ruine". En échange de ce don, les recteurs de l'hôpital s'engagent à faire dire deux messes par semaine fondées en la chapelle de Sainte-Catherine et d'y "laisser subsister la congrégation qui y est établie, ce qui indique donc que la chapelle demeure dévolue au culte, l'évêque se réserve d'ailleurs le droit d'y "faire faire toute instruction qu'[il] juger[a] à propos". Les recteurs devront également verser une pension à vie aux anciennes religieuses. L'hôpital est effectivement et officiellement transféré dans l'ancien monastère le 10 janvier 1749. En 1762, un cimetière est établi dans l'enclos de l'hôpital : "au haut du jardin, à côté de la tour, touchant les murailles de la ville". En 1767, on établi une chapelle des morts dans ce cimetière "dans la tour des murailles de la ville" (délibération en date du 9 juin 1767). Dans l'inventaire des biens de l'hôpital réalisé en 1770, il est question de "la maison servant d'hôpital autrefois appartenant à l'abbaye Ste Catherine consistant en bâtiment et jardin" mais aussi de deux autres maisons et de "deux à trois acquisitions" : l’hôpital s'est donc agrandi. Cela est bien visible sur le cadastre napoléonien de 1812 : les bâtiments sont vastes et englobent la chapelle Sainte-Catherine qui n'est pas indiquée sur ce document, ils englobent également l'ancienne chapelle des pénitents blancs qui est encore indépendante sur le plan restitué de 1779. L'hôpital demeure à cet emplacement jusqu'en 1857, date à laquelle il est déplacé dans les bâtiments réaménagés et agrandis de la Charité.

1857 : départ de l'hôpital. Les dévolutions contemporaines

En 1857, le cloître et une grande partie des bâtiments anciennement conventuels sont alors démolis ou changent de destination. L’îlot est complètement démembré, les bâtiments sont divisés, transformés en habitations et une nouvelle rue perce l'ensemble de part en part, du nord au sud, l'actuelle rue René-Cassin. La chapelle devient alors propriété de la Congrégation des demoiselles, dite du Saint-Nom-de-Marie. Les matrices cadastrales donnent pour propriétaires indivis les demoiselles Carbonnel, Robert et Royère à partir de 1869 puis les demoiselles Pauline Sauvan, Claire Suau, Philippine Ribbe et Louise Jean à partir de 1899. En 1863, ces demoiselles ont "agrandi et embelli" la chapelle (notamment grâce au don du curé Arnaud). C'est probablement à la faveur de ce changement de propriétaire, et de statut, que l'actuelle porte d'entrée a été percée dans la façade nord. La chapelle prend le nom de "chapelle des Demoiselles".

En 1946, l'archiprêtre Brémond, curé d'Apt, met à la disposition de la ville la chapelle, alors désaffectée, pour y installer le musée. En 1950, débutent les premières opérations de nettoyage et d'aménagement. Le 24 avril 1952, le musée archéologique d'Apt est inauguré. En 1959-1960, il est agrandi par l'aménagement nouvelles salles dans le sous-sol avec percement d'un escalier dans la nef.. En 1972, le musée quitte la chapelle pour la maison curiale.

La chapelle est aujourd'hui, et depuis 1959, propriété de l'association diocésaine d'Avignon. Après le départ du musée, la chapelle aurait été un temps dévolue au culte réformé.

Le haut de mur aveuglant le chœur au niveau de l'arc triomphal a du être placé au cours du 20e siècle pour soutenir l'édifice qui a visiblement des problèmes de structure. On peut par ailleurs s'interroger sur les deux grandes arcades aveugles, à l'ouest et à l'est du chœur.

La chapelle est à l'origine celle du monastère Sainte-Catherine. Le monastère est fondé en 1299, il existe une chapelle primitive qui est agrandie et transformée en 1653, un chœur lui est adjoint en 1675, peu de temps après un décor de gypseries est réalisé dans la nef.

En 1748, l'évêque attribue la chapelle, en même temps que le cloître et les bâtiments adjacents, à l'hôpital Saint-Castor.

  • Statut de la propriété
    propriété d'une association diocésaine
  • Protections
    classé MH, 1984/12/31
  • Précisions sur la protection

    1984/12/31 : classé MH.

  • Référence MH
  • POEZEVARA, Sandra. A l'origine du musée d'Apt (1865-1972). Dans : Archipal, n°82, juillet 2018.

    p. 73-87.
  • ROURE, Michel. L'abbaye Sainte-Catherine à Apt. Dans : Bulletin de Saint-Anne d'Apt, n°391, été 2018.

Documents d'archives

  • DE VILLENEUVE DES ARCS, Modeste. Verbal faict par Mgr d’Apt pour la réception des religieuses du Puy en la comté de Vellay entrées dans le monastère Sainte Catherine d’Apt de l’ordre de sainct Augustin. 21 décembre 1638. Musée Arbaud, Aix-en-Provence : non coté.

  • Procès-verbaux des visites pastorales, évêché d'Apt. 1638-1659. Musée Arbaud, Aix-en-Provence : non coté.

  • Prix-fait donné à Esprit et Germain Raynier pour l'agrandissement de la chapelle Sainte-Catherine d'Apt. Dans minutes de Me Jean-Baptiste Lazare, notaire à Apt, 1630-1676. 24 septembre 1653. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 3 E 2 769.

    f°200-202.
  • Prix-fait donné à Audré Aubert et Paris Gassin par l'abbesse du monastère Sainte-Catherine pour la réalisation du bassin d'une fontaine. Dans minutes de Me Jean-Baptiste Lazare, notaire à Apt, 1669-1671. 29 octobre 1670. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 3 E 2 894.

    f°92v-93r
  • Prix-fait donné à Esprit Rochas pour la réalisation du chœur de la chapelle Sainte-Catherine d'Apt. Dans minutes de Me Jean-Baptiste Lazare, notaire à Apt, 1673-1689. 8 janvier 1676. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 3 E 2 895.

    f°156v-158.
  • Prix-fait donné à Esprit Rochas pour la réalisation des portes de la chapelle Sainte-Catherine d'Apt. Dans minutes de Me Jean-Baptiste Lazare, notaire à Apt, 1673-1689. 27 février 1677. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 3 E 2 895.

    f°295-297.
  • Décret de Mgr l'évêque d'Apt portant suppression du monastère de l'abbaye de Sainte-Catherine de la ville d'Apt. 15 juillet 1748. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : H DEPOT APT A1.

  • Lettres patentes de Louis XIV sur décret de M l'évêque d'Apt portant suppression du monastère de Ste Catherine d'Apt en union aux communautés de la Visitation et de Ste Ursule et à l'hopital de St Castor d'Apt, septembre 1748. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : H DEPOT APT A1.

  • Registre des délibérations de l'hôpital Saint-Castor d'Apt. 1717-1767. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : H DEPOT APT D2.

  • Inventaire général des effets, meubles et immeubles, papiers et autres objets de l'hopital St Castor de cette ville d'Apt. 10 mai 1770. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : H DEPOT APT D1.

  • Livre Rouge ou inventaire général, historique et raisonné de tous les titres et documents de l'hôtel-dieu de la ville d'Apt sous le titre de Saint Castor. 1769. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : H DEPOT APT D2.

Bibliographie

  • ALBANES, Joseph-Hyacinthe. Gallia Christiana Novissima. Tome 1 : Aix, Apt, Fréjus, Gap, Riez et Sisteron. Montbéliard : Société anonyme d'imprimerie montbéliardaise, 1899.

    p. 238-240 : vie de Raimond Bot, évêque d'Apt entre 1275 et 1303.
  • BOZE, Elzéar. Histoire de l'église d'Apt. Apt : J. Trémollière, 1820.

    p. 160-166.
  • BRUNI, René. Apt plurielle et singulière. Barbentane : Equinoxe, 2000.

    p. 11 ; 43.
  • CARBONNEL, M. Etudes historiques sur les institutions charitables de la ville d’Apt. Dans : Annales de la Société littéraire, scientifique et artistique d'Apt (Vaucluse), 1864-1865 (1866).

  • CLOUZOT, Etienne. Pouillés des provinces d'Aix, d'Arles et d'Embrun. Diocèse d'Apt, dir. Maurice Prou, Paris : Imprimerie nationale, 1923.

  • CODOU, Yann, dir. POEZEVARA, Sandra, dir. Saintetés aptésiennes. Trésors, architecture et dévotions dans une cité épiscopale. Apt : Ville d'Apt Editions, 2018.

  • DA FOLIGNO, Leopardo. L'enquête générale de Leopardo da Foligno en Provence, 1331-1333. Dir. Thierry Pécout, Paris : Editions du Comité des Travaux Historiques et Scientiques, 2008-2013, 7 volumes.

    Volume 6, p. 276 et 289.
  • MATHIEU, X. Feuilleton du Mercure aptésien : abbaye de Sainte-Catherine à Apt. Dans : Le Mercure aptésien, mars 1863.

  • MASSON-LAUTIER, Maïna. La chapelle Sainte-Catherine d’Apt et son mobilier : un ensemble exceptionnel du XVIIe siècle. Dans : Provence historique, tome LXXII, fasc. 272, juillet-décembre 2022, p. 475-500.

  • SAUZE, Elisabeth. Une inscription du musée d'Apt. Dans : Provence historique, tome LXX, fascicule 268, juillet-décembre 2020, p. 295-296.

Documents figurés

  • Plan cadastral de la commune d'Apt / Dessin à l'encre sur papier, 1812. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 3 P 2 - 003 / 001 à 028.

    Feuille 3 P 2 - 003 / 28.
  • [Vue du musée archéologique d'Apt, chapelle Sainte-Catherine.] / Carte postale, Cim éditeur, avant 1950. Musée d'Apt : non coté.

    Avant 1950.
  • [Vue du musée archéologique d'Apt, chœur de la chapelle Sainte-Catherine.] / Carte postale, Cim éditeur, avant 1950. Musée d'Apt : non coté.

    Avant 1950.

Annexes

  • Transcription et traduction de l'inscription de fondation de la chapelle Sainte-Catherine d'Apt
Date d'enquête 2018 ; Date(s) de rédaction 2019
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général