Dossier d’aire d’étude IA00049804 | Réalisé par
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présentation de la commune d'Orcières
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  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

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    Orcières
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    • Commune : Orcières

Ce chapitre a été rédigé à partir de l'ouvrage de Paul Castela : "D'Orcières à Merlette, la mutation du pays du Drac Noir" - Nice, 1984.

I. Le milieu naturel

A. Le relief

Le bassin du Drac noir, modelé par l'érosion glaciaire, forme un grand cercle constitué par les trois cirques juxtaposés des Estaris-Piniers, du Mourre-Froid et de Roanette, et d'un grand plan incliné, le Drouvet. L'ensemble est délimité sauf à l'ouest par une ligne de crêtes très nette dont le point culminant est le Grand-Pinier (3117 m) mais dont 13 autres sommets dépassent 3000 m.

Les massifs qui encerclent la commune sont formés de grès, de calcschiste gris, de calcaires vaseux mais principalement de flysch. Les pentes entaillées de replats glaciaires sont couvertes de dépôts morainiques. On distingue très nettement des Estaris à Montcheny la succession de replats glaciaires bordés de bourrelets morainiques donnant un profil très original au versant dominant la Combe.

Entre les sommets qui encadrent la commune n'existent que des cols élevés et d'accès difficile. Les trois principaux sont le col des Tourettes qui assure le passage vers Réallon et Embrun et a tenu un rôle très important au Moyen-Age, le col de Roanette qui permet d'accéder aisément à Ancelle, et le col de Dormillouse qui fut surtout utilisé aux XVIe et XVIIe siècles pour assurer la liaison avec la communauté protestante de Freissinières.

B. L'hydrographie

L'ensemble du territoire d'Orcières forme une gouttière drainée par le Drac et ses affluents, de régime torrentiel. La gravière du Drac qui peut paraître démesurément large en été peut se remplir brutalement pendant les crues de printemps ou d'automne. Certaines inondations particulièrement violentes sont restées gravées dans les mémoires, comme celle de mai 1856 ou celle de l'automne 1928 qui a arraché tous les ponts, et emporté les moulins de Prapic, la scierie Marchand, l'usine électrique et une partie importante des prés et champs riverains. Ce risque potentiel explique qu'à l'exception des moulins et scieries il n'y ait aucune construction à proximité du Drac et de ses affluents.

C. Le climat

Situé à la charnière des Alpes du Nord et des Alpes du Sud, l'Orciérois subit des influences climatiques très variées. L'air chaud et sec méditerranéen et l'air humide océanique s'affrontent sur ces montagnes. Si les influences du nord l'emportent en hiver avec le froid et la neige, la chaleur et la sècheresse de type méditerranéen dominent en été.

Les étés sont chauds, secs et courts. Le paysan ne peut compter que sur deux mois sans gel : juillet et août. Le reste de l'année est marqué par des précipitations abondantes (1286 mm en moyenne entre 1951 et 1961 alors que la moyenne du département est de 870 mm), des amplitudes thermiques journalières et saisonnières marquées, de violents orages qui donnent au climat un aspect rude. L'épaisse couche de neige qui recouvre le sol pendant les quatre à cinq mois d'hiver dépasse souvent 2 m à l'altitude des villages, et provoque des avalanches dévastatrices qui chaque année ravagent la forêt, menacent les hameaux et retardent les travaux agricoles.

Le climat de la vallée du Drac Noir a imposé pendant des siècles un rythme de travail très dur au paysan mais a également permis le développement touristique de la commune. Il offre au citadin la certitude d'un été chaud et sec, d'un enneigement important de 5 à 6 mois à 2000 m d'altitude, une atmosphère lumineuse sans vent ni brouillard qui annonce le midi, atouts qu'a su habilement exploiter à l'adret la station de Merlette.

II. La végétation et le paysage cultural

A. Les étages de végétation et de culture

Dans la partie basse de la vallée, le long du Drac en aval des Usclas, le pin sylvestre et le sapin se mêlent aux hêtres, trembles, bouleaux et noisetiers. La forêt de mélèze couvre presque toutes les pentes de l'Ubac du fond de vallée à 2200 m d'altitude. Elle est mêlée jusqu'à 1500 m de cultures variées et de prairies qui étaient autrefois irriguées. A l'adret il n'existe que deux petits massifs forestiers : la forêt des Marches et Chauffarel et celle de Prapic et du Cotechit.

Cultures et prairies basses régulièrement fauchées garnissent jusqu'à 1850 m ce versant bien exposé. Les champs entourés d'arbres sont séparés par des casses (clapiers) de taille souvent importantes et sont disposés en terrasses en pente séparées par un talus appelé brouo.

Au-dessus de 1850-1900 m s'étendent de beaux pâturages à vaches, puis à moutons. Au-dessus de 2000 m la végétation disparaît.

B. Le hameau et son terroir

Chaque hameau possède le terroir qui l'environne. Il en occupe généralement le centre et est auréolé de ses jardins aux cultures les plus délicates, de ses cultures et enfin de ses prés. Caractéristique à cet égard est le village des Plautus, dominant ses jardins et quelques arbres, entouré des cultures exigeant les soins les plus importants. Plus loin dans le bas de la pente, les prés de bas et les champs de blé. Plus haut, d'autres cultures (seigle, pomme de terre : où les champs sont les plus hauts de la commune) puis des prés irrigués et enfin des prés de haut et les pâturages de Merlette.

L'utilisation des différents étages de végétation alourdit considérablement le travail du paysan. Celui-ci est obligé de faire des déplacements énormes pour ramasser son foin ou rentrer son bois : il n'a le temps de ne faire parfois que deux ou trois voyages par jour de son champ à sa ferme. Un Prapicois ramassant du foin à Vallon Cros ne peut effectuer que deux trajets avec son mulet, et ne rentre au maximum que 350 kgs de foin, dans le jour, s'étant levé à l'aube et ayant terminé son second voyage à la nuit.

C. L'émiettement parcellaire

La superficie de la commune est de 9.510 hectares, mais la partie exploitable ne représente que 4.099 hectares. D'après le cadastre la répartition des terres était en 1928 la suivante : terres labourables : 597 ha ; prés : 720 ha ; bois : 2.781 ha.

Ces 4.099 hectares étaient divisés en 6.600 parcelles. Aucune ferme ne possède d'exploitation d'un seul tenant. L'émiettement parcellaire domine, poussé jusqu'à l'extrême. D'où de difficiles problèmes de communications pour parvenir aux champs, avec une série de sentiers zigzaguant entre les parcelles.

D. La répartition de la propriété

En 1836 le nombre d'exploitations agricoles étaient d'environ 550. 150 d'entre elles comptaient entre 0 et 2 ha. Elles appartenaient à des paysans qui louaient leurs services à d'autres. Le plus grand nombre des exploitations (300 environ) se situaient entre 6 et 12 ha. Quelques-unes seulement dépassaient les 20 ha. Mais les chiffres donnés par le cadastre englobent landes, clapiers et pâturages d'altitude. On peut considérer qu'en moyenne la moitié de la superficie donnée pour chaque exploitation est réellement exploitable.

III. Le système agro-pastoral

Si l'on en croit les cahiers de doléances rédigés par les habitants d'Orcières en 1789 l'élevage n'était alors qu'une activité d'appoint. Chaque propriétaire possédait en moyenne une paire de vaches pour le lait et le labour et une dizaine de brebis. Ces chiffres sont certainement sous-estimés et ne tiennent pas compte des bêtes achetées ou prises en location l'été et revendues l'hiver. L'élevage ovin d'abord, puis bovin à partir de 1870, semble pourtant, au cours du XIXe siècle, avoir pris une place de plus en plus grande. En 1810 le nombre de moutons est si grand qu'il inquiète la municipalité. En 1824, un arrêté municipal limite le nombre de chèvres. En 1850 il y a en moyenne 45 ovins et caprins par famille.

Au milieu du XIXe siècle les habitants de la vallée élevaient 4590 ovins et quelques centaines de vaches pour le lait et le labour. Ils fabriquaient un fromage fait d'un mélange de lait de vache et de brebis appelé tomme de Champoléon qu'ils commercialisaient à Gap, Embrun ou Saint-Bonnet. La nourriture d'hiver du bétail était assurée par le foin des prés de fauche. Les "prés de bas" irrigués par des canaux, fumés et soigneusement entretenus recouvraient 650 ha ; les prés de haut de moindre qualité 250 ha. L'été vaches et brebis paissaient dans les grands pâturages d'altitude qui représentent 62 % de la superficie de la commune, et sont, dans leur grande majorité, communaux. Ils y étaient rejoints par les troupeaux transhumants de Provence. Au milieu du XIXe siècle on estimait que l'été 12.300 ovins au total estivaient dans les montagnes d'Orcières.

L'annexion des pâturages d'altitude possédés jusqu'à la Révolution par des seigneurs qui les louaient aux bergers de Provence et l'amélioration des communications ont sans doute beaucoup fait pour cette évolution. Mais en période de pression démographique la culture des céréales restait primordiale. Le seigle était cultivé sur jachère jusqu'à sa limite climatique, 1800 à 1900 m d'altitude à l'adret. 100 hectares étaient consacrés au seigle au milieu du XIXe siècle. Les champs de bas de vallée les mieux exposés étaient semés en blé de printemps (8 à 10 ha) ou d'automne {13 ha), en orge (15 ha) ou en avoine (18 ha). Les pommes de terre, le produit des jardins potagers tenaient également une place importante dans l'alimentation. Enfin les cultures industrielles, colza, lin et chanvre n'occupaient que des parcelles minuscules.

L'outillage était, et est resté jusqu'à la dernière guerre très rudimentaire : l'araire, le traîneau, la faux et la faucille ont subsisté dans certains cas jusqu'à nos jours la pente des prés et des champs ne permettant pas la modernisation.

L'exode rural, les pertes de la première guerre mondiale puis la création de la station de ski d'Orcières-Merlette ont modifié ce système. Il ne subsiste plus en 1984 que 28 agriculteurs dont 7 pratiquent une double activité. Les agriculteurs les plus âgés se sont refusés à l'évolution. Ils continuent à faucher leur foin à la faux, à le transporter en traîneau, à pratiquer un élevage extensif. D'autres au contraire ont agrandi leur exploitation en louant les champs restés libres, ont modernisé leur matériel et se sont spécialisés dans l'élevage ovin.

IV. L'évolution démographique

Comme dans l'ensemble du département la population d'Orcières s'est fortement accrue pendant la première moitié du XIXe siècle. Le maximum démographique, 1527 habitants, est atteint en 1851. Entre 1817 et 1961 la population reste supérieure à 1450 personnes. Mais après cette date, elle se met à décliner assez rapidement (du fait de l'émigration) : la commune a perdu un tiers de ses habitants à la veille de la première guerre mondiale. Les pertes démographiques s'accélèrent après 1918 (634 habitants en 1936) et surtout 1945, jusqu'à la création de la station de Merlette dans les années 60 (512 habitants en 1962). Puis,fait exceptionnel dans les Hautes-Alpes, la population s'accroit à nouveau : il y a 850 habitants permanents en 1975.

Tableau n° 1 : Évolution de la population d'Orcières aux XIXe et XXe siècles

1698

1535 h 1

1780

1125 h 2

1789

1200 h 3

1790

1110 h

1796

1481 h

1801

1304 h

1806

1330 h

1817

1448 h

1820

1459 h

1831

1459 h

1841

1477 h

1851

1521 h

1861

1230 h

1881

1241 h

1891

1250 h

1901

1123 h

1906

1085 h

1936

634 h 4

1954

535 h 5

1962

512 h 6

1968

734 h 7

1975

855 h 8

1982

891 h 9

Mais cette reprise démographique ne doit pas faire illusion. Si la station de Merlette a créé 160 emplois pour les autochtones, l'augmentation de la population concerne surtout le village d'Orcières (26 familles en 1955, 41 en 1962) et Merlette. La population des hameaux excentriques continue à diminuer et reste très marquée par les caractéristiques montagnardes : moyenne d'age élevée, fort taux de masculinité, nombreux célibataires. D'autre part le nombre d'agriculteurs (ils étaient 550 au milieu du XIXe siècle) a considérablement diminué.

80 % de la population active travaille actuellement dans le secteur tertiaire et en particulier le tourisme.

Enfin il faut noter qu'aux 850 habitants permanents viennent s'ajouter pendant les trois mois d'été, et l'hiver, pendant la saison skiable, plusieurs milliers de touristes. Il existait en 1962 1200 résidences secondaires, leur nombre s'est très certainement accru. Une grande partie se trouve à Merlette, mais on a aussi transformé des maisons anciennes, et construit à la périphérie des hameaux traditionnels.

Tableau n° 2 : Répartition géographique de la population

F

1780

F

1955

H

1954

F

1962

H

1962

F

1984

H

1984

A

1984

Distance

approxim.par rapport

au chef-lieu

Archinard

7

4

14

3

17

2

6

1

5 km

Les Audiberts

24

10

43

10

33

7

15

3

3 km

Arthouze

3

0

0

0

0

5 km

Bousensayes

9

4

13

5

14

5

18

0

1, 6 km

Les Chabauds

1

2

1

2

0

0

0

2 km

Champ la Peyre

5

13

2

10

1

2, 5 km

La Crau

1

5

0

0

0

1, 5 km

Les Estaris

24

12

23

6

19

7

15

0

5 km

Les Fourès

14

4

33

5

29

8

25

2

1 km

Les Jouglards

3

1

1

6

2

6 km

Les Lauzes

5

1

0

0

0

Les Marches

19

9

37

9

30

5

16

3

2, 6 km

Montcheny

16

7

29

6

29

5

15

1

1 km

Orcières

14

26

112

41

127

43

137

3

Prapic

35

11

43

12

33

10

25

1

4, 6 km

Les Plantus

6

5

20

5

19

5

12

2

5 km

Pont-Peyron

0

0

0

0

2 km

Les Quartiers

8

2

1

6

2

1, 5 km

Les Ratiers

8

3

12

4

11

4

9

2

2 km

Les Rouffins

4

2

7

1

6

1

2 km

Les Roussins

9

4

10

1

2

3, 4 km

Serre-Eyraud

8

5

33

5

22

7

29

3

8 km

Les Tourengs

10

6

28

8

34

6

19

0

4 km

Les Usclas

12

4

23

7

21

7

10

5

1 km

Les Veyers

17

9

53

12

53

9

30

1

4, 5 km

Veyret

1

0

0

0

7 km

Total

535

134

713

34

Légende : F : nombre de familles par hameau

H : nombre d'habitants par hameau

A : nombre d'exploitants agricoles par hameau.

Evolution du bâti :

D'après les matrices cadastrales étudiées par Paul Castela (Au Pays du Drac Noir)

1802. Nombre de bâtiments :

Habitat permanent :

Archinard : 11

Les Audiberts : 36

Les Estaris : 36

Les Marches : 36

Orcières : 14

Les Plautus : 13

Prapic : 49

Les Vayers : 19

Quelques fermes isolées sont des foyers de peuplement permanent : La Maisonnasse, les Jouglards, la Chabanne, Arthouse.

Chalets d'estive :

Forests des Baniols : 9

Forests des Estaris : 24

Forests des Marches : 10

Forests de Merlette : 15

1828. 347 bâtiments d'habitation

18 moulins à eau

3 usines et manufactures

De 1842 à 1860 ont été construits :

16 maisons

1 moulin

1 scierie.

1Abbé Guillaume. Mouvement de la population des Hautes-Alpes au XIXe siècle. Dans Bulletin de la Société d'Etudes des Hautes-Alpes, 1928.2Castela, Paul. Le Pays du Drac Noir, 1958.3Ibid.4Ibid.5Ibid.6Leynaud et Teissère. Problèmes agricoles de la commune d'Orcières. Bureau pour le Développement agricole, 1962.7Recensement de l'INSEE.8Ibid.9Ibid.

Bibliographie

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  • ROMAN, Joseph. Tableau historique du département des Hautes-Alpes. Paris : Imprimerie Nationale, 1887-1890. 2 vol.

  • ROMAN, Joseph. Répertoire archéologique du département des Hautes-Alpes. Paris : Imprimerie nationale, 1888.

  • BLANCHARD, Raoul. Population du diocèse de Gap du XVIIe siècle à nos jours. Dans Bulletin de la Société d'Etudes des Hautes-Alpes, 1918.

    P. 43.
  • GUILAUME, Paul abbé. Mouvement de la population du département des Hautes-Alpes au XIXe siècle. Dans Bulletin de la Société d'Etudes des Hautes-Alpes, 1908, n° 57.

  • NICOLLET, F. N. Affouagement des communes des Hautes-Alpes de 1662 à 1666. Dans Bulletin de la Société d'Etudes des Hautes-Alpes, 1902-1903.

  • MIEGE, J. L'évolution démographique du Champsaur entre 1846 et 1946.

  • VALENTIN DU CHEYLARD, Roger. La population des taillabilités du Dauphiné en 1868. Dans Bulletin de la Société départementale d'Archéologie et de Statistique de la Drôme. Valence, t. XXXIX, 1905, t. XLX, 1907, t. XLII, 1908.

  • BLANCHARD, Raoul. Le Haut-Dauphiné à la fin du XVIIe siècle, d'après les procès-verbaux de la révision des feux de 1700. Dans Recueil des travaux de l'Institut de Géographie alpine, III, 1915.

  • CASTELA, Paul. La vie pastorale dans le Haut-Champsaur. Dans Revue de Géographie Alpine, tome XLVI, fasc. III, 1958.

    P. 508.
  • CASTELA, Paul. Au Pays du Drac Noir. Draguignan : Association des hauts-alpins de Toulon et du Var, 1958.

  • DUBOIS, G. Un manuscrit de l'intendant dauphinois Fontanieu : mémoires généraux sur les productions et le commerce du Dauphiné. Dans Bulletin de la Société Scientifique du Dauphiné, 1933.

  • GUILLAUME, Paul. Etat du département des Hautes-Alpes vers 1789. Dans Bulletin de la Société d'Etudes des Hautes-Alpes, 1888 et 1912.

  • LADOUCETTE, Jean-Charles-François de. Histoire, topographie, antiquités, usages, dialectes des Hautes-Alpes. Paris : Fantin, Carilhan Goeury, Delaunay, Rey et Gravier, 1834, XVI-664 p.

  • LEYNAUD, TEISSEYRE. Problèmes agricoles de la commune d'Orcières. Bureau pour le développement agricole, 1962.

  • MEIZEL, J. Les Jésuites à Orcières : la paroisse de Serre-Eyraud. Gap, 1935.

  • RAULIN, Henri. L'architecture rurale française. Corpus des genres, des types et des variantes. Dauphiné. Paris : musée national des arts et traditions populaires, Berger-Levrault éditeur, 1977.

    P. 216-217.
  • CASTELA, Paul. D'Orcières à Merlette. La mutation du Pays du Drac Noir. Edité pour le compte de l'Office du Tourisme d'Orcières-Merlette. Nice : Imp. Gamba, 1984.

  • EYRAUD, Jean-Pierre. Le protestantisme dans la vallée du Champsaur. Collection Connaissance du Champsaur. Gap : Imprimerie des Alpes, 1985.

  • MALLE, Marie-Pascale. L'architecture rurale du Champsaur. Dans Le Monde alpin et rhodanien, n° 4, 1983.

    P. 29-76.

Annexes

  • Liste des écarts
Date d'enquête 1979 ; Date(s) de rédaction 1988
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général