Le cadastre de 1835 ne mentionne aucune construction à cet emplacement, qui fait alors partie d'un "pré" de fauche (1835 C1 150) appartenant à Achard André. On notera qu'aucun toponyme faisant allusion à une éventuelle fontaine ou source aménagée située aux alentours n'est mentionné dans ce document ; en revanche on relèvera divers micro-toponymes pour les nombreuses parcelles de prés de fauche avoisinantes.
La construction de cet ensemble lavoir-abreuvoir ne semble donc pas antérieure à la seconde moitié du 19e siècle.
L'ensemble toit et charpente a été refait à la fin du 20e siècle.