Dossier d’œuvre architecture IA84001061 | Réalisé par
Van Bost Nathalie (Rédacteur)
Van Bost Nathalie

Chercheur pour le patrimoine industriel à l'Inventaire Nord-Pas-Calais de 1991 à 2018 (DRAC puis Région Nord-Pas-Calais dès 2007 et Hauts-de-France suite à la réforme des collectivités en 2016). Puis chercheur à l'Inventaire Provence-Alpes-Côte d'Azur à partir de 2018.

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  • enquête thématique régionale, hameaux de forestage de Harkis en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Hameau de forestage de Harkis de Pertuis
Œuvre monographiée
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
  • (c) Archives communales, Pertuis

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Vaucluse - Pertuis
  • Hydrographies l'Eze
  • Commune Pertuis
  • Adresse boulevard Jean Guigues
  • Cadastre 2020 CK 01 254, 261 à 269
  • Dénominations
    écart
  • Précision dénomination
    hameau de forestage

Lors de la séance du Conseil municipal du 29 mai 1963, le maire Jean Guigues "indique qu’à la suite de la visite du capitaine Bouleau, du camp de Saint-Maurice l’Ardoise, chargé de procéder à l’installation d’un hameau de Harkis, comprenant 24 familles, il a été décidé par la commission des travaux publics d’accepter cette installation dans le territoire de la commune si un terrain pouvait convenir à cette installation. Un terrain a été recherché et paraît convenir à l’implantation des bâtiments nécessaires pour la construction de ce hameau. Il est situé aux abords de la rivière de l’Eze, d’une superficie de 80 ares et au prix de 90 000F. L’acquisition du terrain au lieu-dit « Le Pont », appartenant à M. Morello Albert, est validée par le Conseil municipal qui demande de déclarer le projet d’utilité publique, accordée le 5 août 1963. Le montant de la dépense sera acquitté par un emprunt auprès d’une caisse publique. Un bail de 3, 6 ou 9 ans est consenti par la commune à l’Etat (Ministère de l’Intérieur, service des Rapatriés) le 25 juin 1963 pour la location du dit terrain mis à disposition pour y faire édifier un camp de Harkis dont il assurera seul l’entretien. Le loyer annuel s’élève à 2875F par an."

L'entreprise Lécorché est chargée de la construction de 28 logements soit 7 baraquements (168m2) de 4 logements de type A (environ 24m2). Au premier trimestre 1964, l'ingénieur en chef du Génie Rural, en visite sur place, préconise la construction de celliers pour éviter le stockage du bois dans les logements exigus, le goudronnage de la voie de desserte du hameau, le remplacement de la station d'épuration ou le raccordement au réseau général pour l'évacuation des eaux usées du hameau (collecteur d’eau).

La construction et les différents aménagements s’étalent sur une période de 2 ans entre 1963 et 1965. Deux entreprises de Cadenet se chargent des travaux de terrassements (entreprise Pardigon) et de la construction des plates-formes en ciment (société Gautier) à l’été avant le montage des préfabriqués construits par la firme Lécorché à Moyenmoutier dans les Vosges (qui sous-traite avec la société Schroth d'Altkirsch en Alsace). En juin 1963, le terrassement, réalisé au préalable par le Génie rural est terminé et les travaux débutent en juillet. Début octobre les travaux de fondations sont avancés et le hameau est terminé en novembre ; à cette date il reste à finaliser les travaux de VRD. En fin d’année l’électrification du hameau est réalisée par l’entreprise Trindel basée à Marseille. Les travaux de finition tels que la peinture des parois extérieures et intérieures (plaques de fibrociment, contreplaqué, panneaux en bois, montants métalliques et boulonnerie) se feront au cours de l’année 1964. L’aménagement des voies et dégagements (chemins d’accès, dégagements devant les logements, espaces verts, jardins potagers, étendoirs, celliers) sont réalisés par la main-d’œuvre musulmane sous la direction du service des Eaux et Forêts en accord avec le chef du hameau. Le goudronnage des voies est effectuée par la compagnie générale des goudrons et bitumes pour la somme de 2970F.

Les familles, environ 120 personnes, s'installent en janvier 1964. Il est prévu "d'affecter 2 classes préfabriquées pour la rentrée suivante. Un rapport souligne l’importance de l’intégration scolaire des enfants pour la rentrée prochaine. Du matériel scolaire en provenance de Saint-Maurice-l’Ardoise va meubler les classes.

La liaison au réseau d’assainissement de la ville dont le coût est estimé à 300000F, est prise en charge par le Ministère des Rapatriés, et entreprise en avril 1964.

En avril 1964 un rapport d’inspection indique que des travaux complémentaires sont encore à engager dont la construction de celliers. Réalisés en maçonnerie d’agglomérés, briques et plaques de tôle ondulées, ils seront posés sur le fronton de chaque bâtiment par l’entrepreneur A. Macia de Roussillon en décembre 1964. Dix mois après l’installation des familles, il est question de poser une clôture « suite à la demande du chef de hameau et du maire pour éviter les risques d’accidents, le hameau étant situé entre la rivière l’Eze et le chemin départemental 119, et assurer au village une certaine indépendance ». Un grillage en fil galvanisé, de 1,50m de hauteur enserrera le hameau dont l’accès se fera par un portique et un portail respectivement de 1 et 8m de large. Les travaux d’alimentation en eau potable et d’assainissement reviennent à l’établissement Louis Matière d’Arpajon-sur-Cère qui signe le PV de réception définitive en mars 1965. A cette même date il est nécessaire de rénover les portes et les volets de mauvaise qualité soumis aux intempéries, et de colmater des fuites d’eaux dans les logements. Finalement l’entreprise Schroth remplacera les 56 portes vitrées des logements par des portes pleines.

Chaque famille dispose d’un logement préfabriqué séparé ; l’éclairage est à leur charge tandis que l’éclairage extérieur par 9 lampes est assumé par la commune. En 1972, le hameau, géré par 2 européens, héberge 22 familles soit 160 personnes. 20 ex-Harkis sont employés par l'O.N.F. pour effectuer des « travaux financés en totalité par le Ministère de l’Agriculture avec comme organisme employeur l’O.N.F., travaux qui consistent à l'entretien des pistes et des points d'eau de D.F.C.I., aux débrousaillements des bords des routes, plantation et entretien des bois touristiques, lutte contre les incendies de forêts. Les Harkis perçoivent un salaire de 1200F auquel s'ajoutent les allocations familiales et de logement. »

A l’annonce de la fermeture du site pour 1973, alors que le bail de location vient d’être reconduit, le maire regrettant « le départ des Harkis tant sur le plan humain que sur le travail effectué depuis leur arrivée, adresse une demande au député Georges Santoni pour qu’il intervienne pour le maintien du hameau forestier. Les Harkis souhaitant rester employés de l’ONF pourraient choisir de s’installer dans les hameaux du Var ou des Alpes-Maritimes. Certains d’entre eux seront employés dans les services communaux de la voirie. A cette date 20 familles sont à reloger. Les Harkis du hameau sont déplacés dans le Gard et remplacés par ceux de Cucuron.

Le chantier ONF est définitivement fermé le 1er octobre 1973 et converti en Cité d’Accueil pour personnes sans ressource et Harkis retraités. Un bâtiment reste la propriété de la commune dont l'entretien ainsi que celui de la voirie et de l’éclairage restent à sa charge. Les autres bâtiments sont gérés par le Ministère du travail. En 1975, l'ex-hameau forestier est rebaptisé Groupement d'assistés de Pertuis et propose des logements gratuits pour personnes en difficultés. En 1981, 14 familles soit 80 personnes y vivent dans l'attente de relogement prévu avec l'OPHLM du Vaucluse et la mairie. En 1983 une étude sanitaire déclare insalubres les logements encore habités ; des procédures d’expulsion et de relogement se mettent en place. La mairie cède un terrain à l’OPHLM du Vaucluse en vue de la construction de 14 logements individuels, le « Clos des Jardins » dont le chantier démarre en 1985. En octobre 1986 le dernier baraquement doit être détruit.

La construction et les aménagements du hameau s'étendent sur une période de 2 ans entre 1963 et 1965. C'est l'entreprise Lécorché Frères qui est en charge de la construction des baraquements. Deux entreprises de Cadenet assurent les travaux de terrassements (entreprise Pardigon) et la construction des plates-formes en ciment (société Gautier). L’électrification est réalisée par l’entreprise Trindel de Marseille. Les travaux d’alimentation en eau potable et d’assainissement reviennent à l’établissement Louis Matière. Les familles s'installent en janvier 1964 alors que les travaux ne sont pas encore terminés. Le hameau est fermé en 1973 et le dernier baraquement détruit en 1986.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1964, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Entreprise Lécorché Frères ( - 1984)
      Entreprise Lécorché Frères

      Une entête de lettre de 1963 signale l'activité de l'entreprise Lécorché Frères : scierie et menuiserie mécaniques, constructions modernes à éléments standard fabriqué en série, breveté S.G.D.G., puis sous l'appellation Lécorché Frères, entreprise générale de constructions industrialisées en 1976. L'usine et le siège s'installent à Moyenmoutier en 1951. La direction commerciale est basée au 12 rue du Regard à Paris (6e), les Services extérieurs composés de poseurs au 35 Rue Collaverie à Livry Gargan en Seine-Saint-Denis. Le constructeur est sollicité dans les années 1960 par le Ministère des Rapatriés et le Génie Rural pour la construction de 200 logements (baraquements) préfabriqués destinés aux Harkis et leurs familles. Spécialisé dans la production de bâtiments préfabriqués en bois, son activité a été florissante après la Seconde Guerre mondiale lorsqu'il a fallu reconstruire le pays. L'entreprise a fourni à l'Education Nationale des salles de classes, des ateliers et des gymnases réalisés en panneaux de fibro-ciment (ciment amiante garni de polyuréthane). Elle est sollicitée par différents ministères : affaires sociales, travail, agriculture, équipement et autres collectivités communales ou hospitalières. Près de 200 personnes y ont travaillé. L'activité s'est arrêtée en 1976 ou 1977 et les nombreux bâtiments du site de l'usine tombés en ruine puis détruits.

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      entrepreneur de charpenterie attribution par source
    • Auteur :
      Entreprise L. Matière
      Entreprise L. Matière

      L'Entreprise L. Matière est basée à Arpajon-sur-Cère. Active dans les années 1960 dans le secteur de la voirie et de l'hydraulique.

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      entrepreneur attribution par source

Le hameau forestier est implanté sur un terrain de 8400m2 figurant sur la section I n°1383, sis au quartier dit du Pont au bord de la rivière Eze. Il est constitué de 7 bâtiments de construction légère en rez-de-chaussée d'une superficie au sol de chacun de 168m2. Les logements d'une superficie de 21m2 sont des "maisons préfabriquées, avec eau et sanitaires, de type F4 et F5 meublées".

  • Murs
    • ciment amiante
  • Toits
    ciment amiante en couverture
  • Étages
    en rez-de-chaussée
  • Couvertures
    • toit à deux pans
  • État de conservation
    détruit
  • Statut de la propriété
    propriété privée

Documents d'archives

  • Délibération du Conseil municipal de la commune de Pertuis. Acquisition d'un terrain pour installation des Harkis. 25 mai 1963. Archives communales, Pertuis : 1D38.

    423, 424, 1963
  • Documents relatifs à l'acquisition et au bail de location du terrain en vue de l'implantation du hameau, 1963. Archives départementales de Vaucluse, Avignon. juin 1963 : 176 W 592.

  • Hameau de Pertuis, construction et aménagements 1963-1965. Archives départementales du Var, Draguignan. 1963, 1965 : 1042 W 613.

  • Commune de Pertuis, construction du hameau [1963-1972] : suivi des différents postes de travaux (fondations, VRD), aménagements de celliers, d'une clôture, entretien des bâtiments, peinture. Archives départementales de Vaucluse, Avignon. 18 mars 1964 : 176 W 591.

  • Hameau forestier : matériel scolaire provenant des camps de Saint-Maurice-l'Ardoise et Rivesaltes réparti dans les hameaux de Fuveau, La Roque-d'Anthéron, Jouques, Apt, Cucuron, Pertuis, Sault. mars 1965. Archives communales, Pertuis : 1T 21.

  • MAURY, R. L'activité des hameaux forestiers harkis dans le Vaucluse, décembre 1963 - décembre 1966. décembre 1967. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 1042 W 614.

  • Délibération du Conseil municipal de la commune de Pertuis. Hameau forestier : les Harkis habitants ce hameau viennent d'être déplacés dans le Gard. Ils doivent être remplacé par ceux de Cucuron. 5 juillet 1973. Archives communales, Pertuis : 1D40.

    109, 1973
  • Délibération du Conseil municipal de la commune de Pertuis. Harkis : Monsieur le maire rappelle à ces collègues que les Harkis, jusqu'alors implantés dans le hameau forestier du bord de l'Eze, doivent quitter leur logement puisque ce camp est maintenant utilisé à d'autres fins et sert notamment d'accueil aux Harkis retraités. 25 juin 1974. Archives communales, Pertuis : 1D40.

    162,1974
  • Documents relatifs au relogement des habitants du hameau forestier. Archives départementales de Vaucluse, Avignon. 1975 : 1132 W 30.

  • Délibération du Conseil municipal de la commune de Pertuis. Relogement des familles du hameau de Harkis, suite à la suppression de ces camps, pour permettre une meilleure intégration. Les bâtiments seront enlevés et remplacés par des bâtiments en dur. 27 juin 1980. Archives communales, Pertuis : 1D41.

    48, 1980
  • Délibération du Conseil municipal de la commune de Pertuis. Hameau de Harkis : erreurs de l'administration centrale dans la gestion et les modalités de relogement des familles harkies. 16 mars 1981. Archives communales, Pertuis : 1D41.

    96, 97, 1981
  • Circulaire ministérielle sur l'amélioration des conditions de logement des familles françaises musulmanes rapatriées d'Afrique du Nord : relogement définitif des familles enclavées dans les anciennes cités Sonacotra (dont la mini-cité d'accueil de Pertuis) et dans les 8 derniers hameaux de forestage que comptent le Var et les Alpes-maritimes, 23 novembre 1981. Archives communales, Pertuis : 7W21.

  • Délibération du Conseil municipal de la commune de Pertuis. Hameau de Harkis : cession du terrain par bail emphytéotique de 55 ans à l'office public d'H. L. M. du Vaucluse pour la construction de 14 logements individuels locatifs, en échange d'un loyer annuel de 30F. 26 septembre 1984. Archives communales, Pertuis : 7W21.

  • Plan cadastral [du hameau de forestage de Pertuis en 1964]. Archives communales, Pertuis : 1T 21.

Bibliographie

  • MOUMEN, Abderahmen. Les rapatriés français musulmans en Vaucluse. Dans : Etudes vauclusiennes 65-70, 2001-2003. p. 19-25.

  • REY, J.-C. Sault, Pertuis, Cucuron et Apt, on attend les anciens Harkis qui s'installeront dans leurs villages vers le 25 novembre. Dans : Le Méridional, 27 octobre 1963.

  • REY, J.-C. Pertuis, Cucuron, Apt et Sault vont héberger des Harkis d'ci peu. Dans : Le Méridional, 3 juillet 1963.

  • MOUMEN, Abderahmen. Les Français musulmans en Vaucluse 1962-1991. Installation et difficultés d'intégration d'une communauté de rapatriés d'Algérie. Paris : L'Harmattan, 2003.

  • KADER HAMADI, Abdel. Mémoire des lieux : les "camps" ouverts aux "Harkis" dans le sud de la France. Dans : Bulletin de l'association de géographes français, 83e année, 2006-1, p. 115-119 (mars).

  • J. T.. Des plaques et des maisons pour les Harkis. Dans : La Provence, 26 septembre 2016.

  • REY, J.-C. Sur les quatre camps des ex-Harkis installés en Vaucluse, Trois le sont dans le Luberon : Apt, Pertuis, Cucuron et Sault. Dans : Le Méridional, 9 octobre 1963. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 176 W 591.

  • Des ex-harkis menacés d'expulsion de leur logement, 1974. Dans : La Marseillaise, 17 juin 1974.

Documents figurés

  • Projet d'un hameau de harkis, plan coté. / Tirage de calque, non daté. Archives départementales du Var, Draguignan. : 746 W 68.

  • Projet d'un hameau de Harkis, aménagement des voies et dégagements, clôture. / Tirage de calque, non daté. Archives départementales de Vaucluse, Avignon. non daté : 1042 W 613.

  • Projet d'un hameau de Harkis, aménagement des voies et dégagements, clôture. / Tirage de calque, non daté. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 176 W 591.

  • Projet d'un hameau de Harkis, aménagement des voies et dégagements, clôture. Détail. / Tirage de calque, non daté. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 1042 W 613.

  • Plan de situation au 1/20 000e, [plan masse pour électrification]. / Tirage de calque, 1963. Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 1042 W 613.

  • Pertuis, un bâtiment tous les cinq jours au village des Harkis. [Vue partielle du montage des baraquements]. / Photographie, 1963. Dans : Le Méridional, 24 octobre 1963.

  • Projet de hameau de Harkis, aménagement des voies et dégagements, celliers, étendoirs, espaces goudronnés et verts. / Tirage de calque avec rehauts en couleur, 18 mars 1964. Archives départementales de Vaucluse, Avignon. 18 mars 1964 : 176 W 591.

  • [Vue aérienne de la cité prise en avril 1964.] / Photographie aérienne, IGN, 27 avril 1964. Institut Géographique National, Saint-Mandé.

  • [En-tête de lettre de la] société des entreprises Schoth et Cie [chargée du] remplacement des portes extérieures à Pertuis, Cucuron et Fuveau, 18 septembre 1965. Dans "Secrétariat du Préfet, hameaux de Harkis, 1962-1972". Archives départementales de Vaucluse, Avignon : 176 W 591

  • Passerelle de l'Eze ; en arrière-plan, le hameau des Harkis / Photographie, s. d. Archives communales, Pertuis : 2 Fi 1.1.2.5.48.

Annexes

  • Hameaux forestiers du Vaucluse, éléments provenant des A.D. 176W591
  • Extrait de délibération du conseil municipal en date de 13 septembre 1983 sur la situation du hameau de Pertuis, A.C.Pertuis, Service des archives, 1983, 7W21
  • Direction des affaires sociales et sanitaires, Conseil départemental d'hygiène : rapport sur l'insalubrité d'un groupe d'habitation abritant des familles harkies à Pertuis, 18 octobre 1983, A.C. Pertuis, Service des archives, 7W21
  • Pertuis, Cucuron, Apt et Sault vont héberger des Harkis d'ici peu, extrait du Méridional, 3 juillet 1963. 1255 W 4
  • Historique du hameau forestier rédigé par Isabelle Wangler archiviste de la commune, 2018.
  • Dépouillement des archives du Vaucluse concernant le hameau de Pertuis
  • Dépouillement des archives communales concernant le hameau de Pertuis
Date d'enquête 2019 ; Date(s) de rédaction 2019
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Van Bost Nathalie
Van Bost Nathalie

Chercheur pour le patrimoine industriel à l'Inventaire Nord-Pas-Calais de 1991 à 2018 (DRAC puis Région Nord-Pas-Calais dès 2007 et Hauts-de-France suite à la réforme des collectivités en 2016). Puis chercheur à l'Inventaire Provence-Alpes-Côte d'Azur à partir de 2018.

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