Dossier d’œuvre architecture IA04001851 | Réalisé par
Mosseron Maxence (Contributeur)
Mosseron Maxence

Chercheur au Service régional de l'Inventaire de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur (2007-2022).

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  • inventaire topographique
demeure des barons de Glandevez puis caserne de Bois-Gérard puis centre de loisirs, actuellement centre de loisirs et boutique
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays Asses, Verdon, Vaïre, Var - Entrevaux
  • Commune Entrevaux
  • Lieu-dit
  • Adresse rue Basse des Remparts
  • Cadastre 1816 G 311, 312, 313 ; 2020 G 251
  • Dénominations
    demeure, caserne
  • Précision dénomination
    demeure des barons de Glandevez, caserne de Bois-Gérard
  • Destinations
    centre de loisirs, boutique
  • Parties constituantes étudiées
  • Parties constituantes non étudiées
    cellier, boutique, centre de loisirs

Le bâtiment fut construit au début du 17e siècle pour servir d'hôtel à la famille des barons de Glandevez jusqu'à la Révolution française. Un plan militaire de la place forte d'Entrevaux pour l'année 1752 et dressé en 1751 par l'ingénieur Bernardy précise le nom des particuliers "possédant des maisons qui communiquent au rempart" et confirme cette propriété. Celle-ci ne prit fin qu'à la Révolution, lorsque la demeure fut réquisitionnée pour servir de caserne aux troupes affectées à la place d'Entrevaux, qui n'en possédait pas. Dans un mémoire daté de 1752, Pierre Joseph de Bourcet, lieutenant général des armées du roi et commissaire principal pour la limite des frontières de Dauphiné, de Provence et de Bourgogne, écrivait en effet que "les privilèges de cette ville l'exempte de tout logement des gens de guerre" et suggérait la rue de l'Orbitelle pour édifier une caserne. L'armée se rabattit finalement sur l'ancienne demeure de la famille Glandevez. L'édifice devenu bien national fut estimé le 29 prairial An III de la République (17 juin 1795) la somme de vingt mille livres et continua à accueillir les militaires en attendant un aménagement dédié à cette destination (deux compagnies de volontaires l'occupaient à cette date).

Sous la direction du capitaine du génie Thomas Brusco (entre 1813 et 1844) furent entrepris des travaux d'aménagement de l'ancien hôtel pour une meilleure utilisation fonctionnelle des locaux à leur usage de caserne militaire. A partir de 1821 notamment le Corps Royal du Génie, Direction de Toulon, décida de dresser des plans d'aménagement des façades extérieures et de la distribution intérieure qui permettent de montrer un état des lieux (par Banchetet) et, au moins pour le rez-de-chaussée et le premier étage, un projet envisagé (par Ducros). Pour ce faire, les deux lots de la demeure noble divisée à la Révolution (parcelles 312 et 313), auxquels s'ajoutait celui correspondant à la parcelle 311 et propriété du sieur Deprats en 1750, qui appartenaient encore tous trois à Charles Henry Léon en 1816, furent préalablement acquis par l'administration militaire. L'entrée rue Basse des Remparts donnait alors directement sur une tour d'escalier en vis faisant saillie en demi-hors oeuvre, qui a disparu depuis. En effet, très vite il fut décidé d'aligner la façade sur rue, ce qui entraîna la destruction de la tour d'escalier pour un escalier intérieur tournant, toujours en place. En 1822 l'aile en retour de la caserne fut raccordée à la tour de la Caserne (référence du dossier : IA04001854). L'alignement partiel (la façade sur rue conserve une forme générale en biseau) envisagé dès 1821 fut réalisé en 1823, dont l'entrée conserve la date par une inscription. On projeta des agrandissements nécessaires à l'accueil des troupes, dans le but de créer un ensemble militaire déployé entre les deux tours bastionnées défensives de la place, celle de la Portette à l'ouest (référence du dossier : IA04001853) et celle de la Caserne à l'est, reliées par le front de bâtiment et la cour de l'ancien hôtel, qui servaient déjà d'annexes (respectivement magasin des subsistances et réfectoire). Il fallait pour cela racheter les maisons mitoyennes (Bonnetty : ancienne parcelle 310, et Roux : ancienne parcelle 309). Ces acquisitions n'intervinrent qu'au début du siècle suivant.

En 1899 en effet la jauge de la caserne n'avait pas évolué : elle demeurait celle de l'ancien hôtel de Glandevez. L'opération se déroula en deux temps : rachat de l'immeuble Simonot en 1913 puis de l'immeuble Martel en 1915, ce qui entraîna une réorganisation générale grâce à la création d'un ensemble unitaire entre les deux tours. Réaménagement anachronique cependant de la désormais éphémère caserne dite de Bois-Gérard : Entrevaux avait en effet perdu son intérêt stratégique et en 1922 on évacuait la majeure partie du personnel militaire, avant le déclassement officialisé par décret du 30 novembre 1928.

La municipalité fit alors l'acquisition des locaux (le 2 juillet 1930), avec pour objectif l'aménagement d'un hôpital destiné à remplacer celui, vétuste, de la place du Planet, dit hospice Saint-Jacques (référence du dossier : IA04001595). A cette occasion, des plans furent dressés par l'architecte Adolphe Philippon, mais l'opération n'aboutit pas. Le bâtiment correspondant à l'ancien hôtel des barons de Glandevez est aujourd'hui géré par l'Association pour la Protection du Patrimoine Entrevalais : il accueille notamment un centre de loisirs (salle de sport et dortoir). Un bail locatif a été accordé à une boutique d'artisan mosaïste. Les deux immeubles achetés en 1913 et 1915 accueillent quant à eux des logements privés.

L'état antérieur à l'alignement sur rue dont a été frappée la façade de l'ancien hôtel des barons de Glandevez en 1821 est discernable sur le plan d'Entrevaux dressé par Vauban en 1700, celui de la ville et du château d'Entrevaux de 1723 établi par l'ingénieur Paul-François de Lozières-d'Astier, le plan des fortifications et du château daté de l'An II de la République, ainsi que sur le cadastre napoléonien de 1816 : sur chacun de ces documents graphiques la tour d'escalier hors-oeuvre ou demi hors-oeuvre est clairement identifiable. Les archives du service historique de la Défense au château de Vincennes conservent les plans de transformation du bâtiment, et surtout les élévations et plans de distribution par étage de l'ancien hôtel. On y découvre un édifice, côté rue Basse, présentant une façade irrégulière à ressauts successifs et comportant six travées. L'alignement a unifié la façade, qui présente un coude au niveau de l'entrée principale, mais les deux immeubles ajoutés à l'ensemble au début du 20e siècle constituent des entités architecturales indépendantes (hauteur), et ce même si les encadrements en pierre de taille et arc segmentaire des fenêtres au rez-de-chaussée de la façade sur cour correspondent pour les deux bâtiments. La façade sur la Rue Basse présente une organisation ordonnancée à huit travées avec une entrée datée de 1823 : la porte reçoit un encadrement en brique pleine et arc segmentaire recouvert d'un enduit peint imitant lui-même la brique : elle ouvre sur un couloir traversant qui mène à la cour intérieure pavée adossée à l'enceinte fortifiée percée de meurtières. Le couloir, aveugle dans sa partie ouest, est fragmenté en travées voûtées d'arêtes délimitées par des pilastres en plâtre. Coudé à 90 degrés vers l'est, il ouvre sur des pièces et notamment un escalier qui descend en sous-sol sur un espace de caves en enfilade et voûtées en berceau. La cage d'escalier - recouverte d'un enduit d'imitation en pierre de taille - contient un escalier quart tournant à une volée et quatre noyaux, avec jour central et espace de circulation à l'étage, voûté d'arêtes, pour conduire aux différentes pièces ainsi qu'à la volée suivante permettant de desservir l'étage supérieur, sur deux étages carrés successifs. L'accès au comble mansardé s'effectue par un escalier tournant à deux volées qui n'est pas dans le prolongement du précédent mais ménagé dans un espace réservé. La plupart des pièces sont voûtées en arc segmentaire, certaines ne le sont pas, une l'est en voûte d'arêtes. L'aile en retour sur la cour - que le plan de Boniface levé en 1753 désigne sous la dénomination "ancienne tour" - permet d'articuler le bâtiment entre rue et cour intérieure à l'ancienne tour bastionnée dite de la Caserne (REF=IA04001854). On y accède depuis les espaces intérieurs de l'ancienne caserne (premier étage carré) ainsi que depuis la cour par un escalier extérieur en équerre puis par un escalier dans-oeuvre tournant à deux volées droites et jour central et palier intermédiaire. L'ancien hôtel et ancienne caserne dite de Bois-Gérard, ensemble composite, présente malgré les réaménagements successifs dont il a fait l'objet une véritable unité architecturale et décorative renforcée par les contrevents peints en vert et l'avant-toit traité à trois rangs de génoise. En revanche, si le toit à longs pans du corps principal est couvert en tuile creuse, celui de l'aile en retour l'est en tuile plate mécanique. Affecté à des fonctions de centre de loisirs (salle de sport, dortoirs, réfectoire, sanitaires), le bâtiment accueille aussi un commerce loué à un artisan. Ces nouvelles destinations n'ont pas entraîné d'aménagement particulier.

  • Murs
    • calcaire
    • enduit
    • moellon
  • Toits
    tuile creuse
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée, 2 étages carrés, étage de comble
  • Couvrements
    • voûte en berceau
    • voûte d'arêtes
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
  • Typologies
    B : maison sans partie agricole, artisanale ou commerciale
  • État de conservation
    remanié
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune

L'ancien hôtel a intégré la tour dite de la Caserne lorsqu'elle est devenue caserne de la ville

Documents d'archives

  • Procès verbaux d'estimation des biens nationaux. 29 prairial An III (1795/06/15). Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains : 1 Q 065.

    Article 146. Description et estimation de la demeure du ci-devant Raymond Glandeves alors occupée (en 1795) par deux compagnies de volontaires et estimée selon les critères de 1790 à 4 000 livres et ceux de 1795 à 20 000 livres.
  • Procès verbaux d'estimation des biens nationaux, commune d'Entrevaux, 1796. 15 thermidor An IV (1796/08/02). Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains : 1 Q 076.

    Article 36. Sur les dégâts entraînés par la mise à disposition de l'ancien hôtel des barons de Glandevez aux hommes de la troupe.

Documents figurés

  • PLAN D'ENTREVAUX/Pour servir au Projet de lannée/1752. / Plan à l'encre et à l'aquarelle par André Bernardy. 1751. Echelle de 40 toises. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 773.

    Carton 1, chemise n° 9. "LEGENDE/Des particuliers qui possedent des/maisons qui communiquent au/Rempart" : le bâtiment correspond à la lettre S du plan accompagné de la mention : "mr le baron de Glandevés".
  • Plan cadastral de la commune d'Entrevaux, 1816 / Dessin à l'encre par Allemand, Aubert, Beaudun, Mathieu, 1816. Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains : 105 Fi 076 / 001 à 028.

  • Corps Royal du Génie/Direction de Toulon/Place d’Entrevaux/Projets des ouvrages proposés pour 1821/Plan d’une partie de la Place/Servant à faire voir l’emplacement de la caserne de la ville./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Pinot, 1820/10/19. Echelle au 1/200e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. "Vu par le Capne du Génie en Chef Brusco/ Vu par le Directeur des fortifications Pinot".
  • Projets pour l'année 1821/Batimens militaires art. 1er/Pour réparer la caserne de la ville - Plan des caves./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Banchetet, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. "Corps Royal du génie, Direction de Toulon, Place d'Entrevaux, Projet des ouvrages proposés pour 1821, Bâtimens militaires".
  • Projets pour l'année 1821/Batimens militaires art. 1er/Pour réparer la caserne de la ville - Plan du rez de chaussée./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Banchetet, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. "Corps Royal du génie, Direction de Toulon, Place d'Entrevaux, Projet des ouvrages proposés pour 1821, Bâtimens militaires".
  • Projets pour l'année 1821/Batimens militaires art. 1er/Pour réparer la caserne de la ville - Plan du 1er étage./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Banchetet, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. « Corps Royal du génie, Direction de Toulon, Place d'Entrevaux, Projet des ouvrages proposés pour 1821, Bâtimens militaires".
  • Projets pour l'année 1821/Batimens militaires art. 1er/Pour réparer la caserne de la ville - Plan de l’ancien/2e étage, faisant partie/de celui projeté./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Banchetet, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. « Corps Royal du génie, Direction de Toulon, Place d'Entrevaux, Projet des ouvrages proposés pour 1821, Bâtimens militaires".
  • Projets pour l'année 1821/Batimens militaires art. 1er/Pour réparer la caserne de la ville - Plan des anciens galetas, dans lequel les n° 15, 16 et 17/deviennent le 2e étage projeté./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Banchetet, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. « Corps Royal du génie, Direction de Toulon, Place d'Entrevaux, Projet des ouvrages proposés pour 1821, Bâtimens militaires".
  • Projets pour l'année 1821/Batimens militaires art. 1er/Pour réparer la caserne de la ville – Elévation sur la rue./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Banchetet, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. « Corps Royal du génie, Direction de Toulon, Place d'Entrevaux, Projet des ouvrages proposés pour 1821, Bâtimens militaires".
  • Projets pour l'année 1821/Batimens militaires art. 1er/Pour réparer la caserne de la ville – Elévation du côté des remparts./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Banchetet, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. « Corps Royal du génie, Direction de Toulon, Place d'Entrevaux, Projet des ouvrages proposés pour 1821, Bâtimens militaires".
  • Projets pour l'année 1821/Batimens militaires art. 1er/Pour réparer la caserne de la ville – Coupe suivant AB./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Banchetet, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. « Corps Royal du génie, Direction de Toulon, Place d'Entrevaux, Projet des ouvrages proposés pour 1821, Bâtimens militaires".
  • Projets pour l'année 1821/Batimens militaires art. 1er/Pour réparer la caserne de la ville – Coupe suivant CD – Coupe suivant EF – Coupe suivant GH./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Banchetet, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. « Corps Royal du génie, Direction de Toulon, Place d'Entrevaux, Projet des ouvrages proposés pour 1821, Bâtimens militaires".
  • Projets pour l'année 1821/Batimens militaires art. 1er/Pour réparer la caserne de la ville – Coupe suivant IK./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Banchetet, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 35. « Corps Royal du génie, Direction de Toulon, Place d'Entrevaux, Projet des ouvrages proposés pour 1821, Bâtimens militaires".
  • Corps Royal du Génie/Direction de Toulon/Place d’Entrevaux/Bâtimens militaires/Projets pour 1821 – Projet de réparation et amélioration/de la Caserne/Joint aux apostilles du Directeur – Plan du Rez de Chaussée./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Pinot, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 36.
  • Corps Royal du Génie/Direction de Toulon/Place d’Entrevaux/Bâtimens militaires/Projets pour 1821 – Projet de réparation et amélioration/de la Caserne/Joint aux apostilles du Directeur – Plan du 1er Etage./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Pinot, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 36.
  • Corps Royal du Génie/Direction de Toulon/Place d’Entrevaux/Bâtimens militaires/Projets pour 1821 – Projet de réparation et amélioration/de la Caserne/Joint aux apostilles du Directeur – Coupe suivant AA./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Pinot, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 36.
  • Corps Royal du Génie/Direction de Toulon/Place d’Entrevaux/Bâtimens militaires/Projets pour 1821 – Projet de réparation et amélioration/de la Caserne/Joint aux apostilles du Directeur – Coupe suivant BB./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Pinot, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 36.
  • Corps Royal du Génie/Direction de Toulon/Place d’Entrevaux/Bâtimens militaires/Projets pour 1821 – Projet de réparation et amélioration/de la Caserne/Joint aux apostilles du Directeur – Elévation suivant CC./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Pinot, 1820. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 36.
  • Corps Royal du Génie/Direction de Toulon/Place d’Entrevaux & dépendances/Projets pour 1823/art. 1er & 2e des bâtimens militaires - Plan & coupe de l’Etage sous-comble/de la Caserne de la ville, ainsi que du petit corps/de logis joignant la tour cotée 20./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Riouffe Lombard, 1822. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 41, feuille n° 5. "fait et dessiné par le garde du génie, en chef/Riouffe-Lombard/Vu par le Directeur des/fortifications Pinot".
  • Corps Royal du Génie/Direction de Toulon/Place d’Entrevaux & dépendances/Projets pour 1823/art. 1er & 2e des bâtimens militaires – Coupe & élévation suivant AB, BC./ Plan à l’encre et à l’aquarelle par Riouffe Lombard, 1822. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 41, feuille n° 5. "fait et dessiné par le garde du génie, en chef/Riouffe-Lombard/Vu par le Directeur des/fortifications Pinot".
  • Corps Royal du Génie/Direction de Toulon/Plan d’Entrevaux/Projet pour 1824/art. 1er Bâtimens militaires – Plan de l’Etage sous comble/de la Caserne de la Ville. /Plan à l’encre et à l’aquarelle par Riouffe Lombard, 1823. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 41, feuille n° 2. "Dessiné par le Capitaine du Génie en chef Brusco/Vu par le Directeur des fortifications Pinot".
  • Corps Royal du Génie/Direction de Toulon/Plan d’Entrevaux/Projet pour 1824/art. 1er Bâtimens militaires – Coupe suivant le ligne AB/horizontale à la Cote 561 m. /Plan à l’encre et à l’aquarelle par Brusco, 1823. Echelle au 1/100e. Service Historique de la Défense, Vincennes : 1 VH 774.

    Carton 2, chemise n° 41, feuille n° 2. "Dessiné par le Capitaine du Génie en chef Brusco/Vu par le Directeur des fortifications Pinot."
  • DEPARTEMENT DES BASSES ALPES/COMMUNE D'ENTREVAUX/AMENAGEMENT D'UN HOPITAL HOSPICE/DANS L'ANCIENNE CASERNE/PLAN DU REZ-DE-CHAUSSEE./ Plan à l'encre par Adolphe Philippon, 1930/05/20. Echelle au 1/100e. Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains : E DEP 076 / 3M1.

    "Vu et Approuvé par/nous Dr Liautaud/médecin traitant de l'hospice/d'Entrevaux le 26 août 1930 (signature)/Vu et Approuvé/Le Président de la Commission/Administrative de l'hospice/Entrevaux le 28 août 1930 (signature)".
  • DEPARTEMENT DES BASSES ALPES/COMMUNE D'ENTREVAUX/AMENAGEMENT D'UN HOPITAL HOSPICE/DANS L'ANCIENNE CASERNE/PLAN DU PREMIER ETAGE./ Plan à l'encre par Adolphe Philippon, 1930/05/20. Echelle au 1/100e. Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains : E DEP 076 / 3M1.

    "Vu et Approuvé par/nous Dr Liautaud/médecin traitant de l'hospice/d'Entrevaux le 26 août 1930 (signature)/Vu et Approuvé/Le Président de la Commission/Administrative de l'hospice/Entrevaux le 28 août 1930 (signature)".
  • DEPARTEMENT DES BASSES ALPES/COMMUNE D'ENTREVAUX/AMENAGEMENT D'UN HOPITAL HOSPICE/DANS L'ANCIENNE CASERNE/PLAN DU DEUXIEME ETAGE./ Plan à l'encre par Adolphe Philippon, 1930/05/20. Echelle au 1/100e. Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains : E DEP 076 / 3M1.

    "Vu et Approuvé par/nous Dr Liautaud/médecin traitant de l'hospice/d'Entrevaux le 26 août 1930 (signature)/Vu et Approuvé/Le Président de la Commission/Administrative de l'hospice/Entrevaux le 28 août 1930 (signature)".
Date d'enquête 2009 ; Date(s) de rédaction 2010
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Mosseron Maxence
Mosseron Maxence

Chercheur au Service régional de l'Inventaire de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur (2007-2022).

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