La signature sur l'une des verrières permet d'attribuer les trois à un peintre verrier avignonnais nommé Martin et de les dater de 1881.

Dans les notes de E. Esménard, il est dit que c'est un certain Monsieur Santon, natif de Viens, docteur en médecine à Bollène, qui fit remplacer les anciennes vitres par ces deux vitraux, heureuse initiative due à M. l'abbé Devaux, alors curé de Viens.

Dès 1850, il semblerait que Monseigneur Jean-Marie-Mathias Debelay, évêque d'Avignon (1848-1863), venu pour la confirmation, conseille le curé Luc de remplacer les vitraux du sanctuaire par des vitraux figurés (registre des délibérations de la fabrique).