Chargée de mission Inventaire et médiation du patrimoine pour la Provence Verte Verdon.
- enquête thématique régionale, patrimoine religieux de Provence Verte Verdon
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Provence Verte Verdon
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Pays de la Provence Verte - Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
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Commune
Pourcieux
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Lieu-dit
Saint-Martin
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Cadastre
1809
A
875
;
1970
AD
177
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Dénominationschapelle
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VocablesSaint-Martin
La chapelle médiévale
Une première chapelle Saint-Martin probablement médiévale existe sur le territoire de Pourcieux, bien que son vocable ne soit pas directement mentionné dans les chartes de l’abbaye de Saint-Victor de Marseille, faisant probablement partie des chapelles citées en 1098 aux côtés de l’église paroissiale (Référence dossier : IA83003395) : « ecclesia parrochialis sancti Victoris de Porcils cum capellis suis » lors de leur confirmation à l’abbaye par l’archevêque d’Aix-en-Provence. Au 16e siècle, la chapelle et ses alentours sont cités dans les archives de la communauté, servant alors de refuge lors d’épidémies. En 1580 notamment, le conseil de communauté fait état de Marseillais venus y faire quarantaine au regard de la peste. Un an plus tard, en 1581, le conseil autorise une famille d’Aix-en-Provence à faire quarantaine près de la chapelle. Cet usage de l’édifice comme lieu de quarantaine confirme ainsi sa situation rurale et donc éloignée du village et de ses habitants.
La chapelle moderne
Dès le début du 18e siècle, la communauté envisage la réparation, si ce n’est la reconstruction de la chapelle Saint-Martin. En 1712, le conseil de communauté autorise sa réparation, « estant de lhonneur des habitants quune telle reparation fu faistre dailleurs que chaqu’un croit que labadon dune telle chapelle attire mille malheurs au lieu ». La dévotion envers saint Martin, patron du village, est alors forte chez les habitants. Encore en 1726, le conseil délibère d’affecter le produit d’une taxe à l’entretien de l'édifice.
Malgré ces premières initiatives, la décision est prise le 11 juin 1726 de faire construire une nouvelle chapelle Saint-Martin à proximité de la chapelle médiévale, qui sera quant à elle détruite. Les devis et plan sont dressés le 13 juin 1726 par Jean Jauffret maître-maçon de Trets, selon lesquels « la comunaute de pourciou va fere premieremant fondre la viele chapele et la fere a landre que les consul undiqueront de la faire conformemant au diplan ». Ainsi, tous les débris issus de l’édifice détruit, tels que les tuiles, bois et pavés, pourront être réutilisés pour l’édification de la nouvelle chapelle. Le projet comprend notamment la construction au-devant de l’édifice d’un « parape » doté d’un banc en pierre pour les fidèles et visiteurs. Le prix-fait est passé le même jour, le 13 juin 1726, auprès des maîtres-maçons de Rians François Pelotier et Guillaume Davin. Il précise la localisation du nouvel édifice : « au terrain qu il y a tour e sentout de lanciene ». À la lecture des comptes trésoraires, les travaux sont entrepris à l'été 1726, à moitié réalisés à l’automne et finalement achevés trois ans plus tard en 1729. La recette de la nouvelle chapelle est de fait établie le 29 août 1729 et la réception des travaux le 18 septembre 1729. Celles-ci font état d’augmentations réalisées au cours du chantier, à savoir « trois ancoutres […] de chaque coste de la chapelle » et « un arc doubleau qui a eté fait au lieu d’une poutre ». La même année, la communauté somme à François Pelotier, en compensation de ces augmentations réalisées sans avis préalable, de faire fermer l’entrée de la chapelle élevée à l’est « attendu l’incommodité qu’elle donnerait » pour en ouvrir une au sud.
Plan de la chapelle de Saint-Martin de Pourcieux, 1726.
Suite à l’édification de la nouvelle chapelle Saint-Martin, le conseil de communauté décide dès 1729 la réalisation d’un retable et d’un tableau par le peintre Revel, confirmée par une quittance du 9 octobre 1729. Néanmoins, dès la seconde moitié du 18e siècle, l’édifice nécessite déjà de premières réparations. En 1761, le conseil autorise de faire réparer la chapelle « qui menace ruine ».
Une chapelle contemporaine ?
Suite à la délibération de 1761, les mentions concernant la chapelle Saint-Martin dans les archives communales se raréfient, même si dans le troisième quart du 18e siècle, l’édifice figure toujours sur la carte de Cassini. Un siècle plus tard, une réponse adressée en 1882 par le curé de Pourcieux à une circulaire de l’évêque interroge la possibilité d’une nouvelle reconstruction de la chapelle Saint-Martin au cours du 19e siècle. En effet, le curé signale qu’il « existe dans la paroisse de Pourcieux une chapelle St Martin (récente de 1850) qui a succédé à une ancienne chapelle qui existait à environ 250 mètres en dessous de l’actuelle ». Au 20e siècle, cette affirmation est renouvelée à l’occasion de l’inventaire des biens paroissiaux de 1906, la chapelle Saint-Martin intégrée à la liste des biens dépendant de la fabrique succursale de Pourcieux. La rubrique « Déclaration » dévoile que « les représentants de la fabrique déclarent que la chapelle Saint-Martin a été bâtie vers 1855 par la fabrique au moyen des dons de fidèles ». Enfin, dans les années 1970, le chanoine Malausse témoigne d’une ancienne chapelle Saint-Martin « en ruines au siècle dernier » et que « vers 1850, on construisait, 250 mètres plus loin, une autre chapelle sous ce même vocable ». L'hypothèse d’une nouvelle reconstruction de la chapelle dans les années 1850 pourrait en effet s’expliquer par l’état de ruine dans lequel se trouve la chapelle moderne dès la seconde moitié du 18e siècle. Elle pourrait en outre expliquer l’absence de la chapelle moderne dans le plan cadastral de 1809, celle-ci étant alors possiblement en ruine voire détruite lors de l’établissement du plan ; mais aussi la rareté des mentions présentes dans les archives communales. Cependant, l’absence d’archives communales concernant cette possible reconstruction de l’édifice au 19e siècle ne permet pas de confirmer pleinement cette hypothèse.
Au cours du 20e siècle, la chapelle est progressivement abandonnée, d’autant plus après la Seconde Guerre mondiale, et menace ruine dans la seconde moitié du siècle. En 1972, les travaux dus au tracé de l’autoroute A8 entraînent la démolition de l’édifice, situé sur l’axe projeté.
Hypothèses de localisation des chapelles successives
Suite à la démolition de la chapelle dans les années 1970, des observations sur les parcelles voisines ont parallèlement été menées pour préciser la localisation de la chapelle médiévale primitive, sachant seulement que celle-ci était située autour la chapelle moderne grâce aux archives. En ce sens, la découverte de céramique grise médiévale de type pégau, de tegulae, d’une boucle de ceinture en bronze et d’ossements humains à l’emplacement de la parcelle A 875 du plan cadastral de 1809 a permis d’attester a minima d’une fréquentation médiévale de la parcelle, voire de l’existence selon Robert Rieu d’un lieu de culte primitif accompagné d’un cimetière ou du moins entouré de quelques tombes. Des tombes en lauzes avaient par ailleurs été relevées dans le secteur au cours de précédentes observations, comme notifié par Gérin-Ricard et Arnaud d’Agnel en 1907. Cet emplacement hypothétique de la chapelle Saint-Martin primitive était renforcé, toujours selon Robert Rieu, par la présence d’un édifice identifié comme masure sur ladite parcelle A 875 du plan cadastral de 1809, alors que la chapelle moderne n’était pas figurée. L’édifice primitif aurait ainsi pu être désaffecté suite à la construction de la chapelle moderne avant de disparaître au 19e ou au 20e siècle, ou être directement détruit à la fin des années 1720 puis remplacé par une habitation. Cette seconde possibilité paraît plus probable à la lecture des archives liées à la construction de la chapelle moderne qui prévoient la « fonte », soit la démolition de la chapelle primitive. Selon l'hypothèse d’une nouvelle reconstruction de l’édifice au 19e siècle à quelques mètres au-dessus de la chapelle moderne, la localisation précise de cette dernière devient à son tour incertaine, laissant comme seule certitude la concentration des différentes chapelles Saint-Martin au sein d’un même secteur.
Plan de masse et de situation d'après le cadastre de 1809 (section A, parcelle 875).
Une chapelle Saint-Martin primitive, probablement médiévale, existe à Pourcieux à l’écart du village, citée dans les archives au 16e siècle alors qu'elle sert de refuge lors des épidémies. Ce premier édifice est reconstruit au 18e siècle au vu de la forte dévotion envers saint Martin, patron du village, laissant place à une chapelle moderne bâtie à proximité de la chapelle initiale entre 1726 et 1729 par les maîtres-maçons de Rians François Pelotier et Guillaume Davin, selon le devis et le plan de Jean Jauffret, maître-maçon de Trets. Si la chapelle étudiée est communément apparentée à cet édifice moderne, dès la seconde moitié du 18e siècle, ce dernier nécessite cependant déjà des réparations, présenté comme menaçant ruine par la communauté. Selon plusieurs archives, la chapelle aurait ainsi subi une nouvelle reconstruction au 19e siècle entreprise vers les années 1850. En 1972, la chapelle Saint-Martin, abandonnée depuis le début du 20e siècle, est définitivement démolie en raison des travaux dus au tracé de l’autoroute A8.
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Période(s)
- Principale : Milieu du Moyen Age , (incertitude), , (détruit)
- Principale : 2e quart 18e siècle , daté par source , (détruit)
- Principale : 3e quart 19e siècle , daté par source , (incertitude), , (détruit)
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Dates
- 1729, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Pelotier Françoismaître maçon attribution par sourcePelotier François
Maître-maçon de Rians actif dans le deuxième quart du 18e siècle. Il participe notamment à l'édification de la chapelle Saint-Martin de Pourcieux (83) en 1726-1729.
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Auteur :
Davin Guillaumemaître maçon attribution par sourceDavin Guillaume
Maître maçon de Rians (Var) actif au milieu du 18e siècle. Il remporte les enchères du premier projet de l'église paroissiale d'Artigues (Var) et participe à la construction de la chapelle Saint-Martin de Pourcieux (83) en 1726-1729.
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Auteur :
Jauffret Jeanmaître maçon attribution par sourceJauffret Jean
Maître-maçon de Trets actif dans le deuxième quart du 18e siècle. Il dessine les plan de la chapelle Saint-Martin de Pourcieux (83) construite entre 1726 et 1729.
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Auteur :
Des photographies de la chapelle prises peu avant sa démolition permettent de dresser une description minimale de l’édifice. Situé au nord du village à l’écart des habitations, non orienté, celui-ci présentait un plan allongé terminé par un chevet plat. Construit en moellons enduits, il était couvert d’un toit à longs pans à tuiles creuses avec avant-toit à deux génoises. Ses élévations est et ouest étaient chacune percées de trois baies en plein cintre. Il s’ouvrait au sud par un portail en arc brisé en pierre de taille surmonté d’un oculus. La façade principale était terminée par un clocher-mur couronné d’une croix. A l’intérieur, la nef, voûtée en berceau brisé, était rythmée par trois travées délimitées par deux arcs doubleaux retombant sur des chapiteaux surmontant des pilastres. Un emmarchement à un degré menait au chœur. L’ensemble des murs était recouvert d’un enduit.
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Murs
- pierre moellon enduit
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Toitstuile creuse
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Plansplan allongé
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Étages1 vaisseau
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Couvrements
- voûte en berceau brisé
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans
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État de conservationdétruit
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Statut de la propriétépropriété de la commune
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Provence Verte Verdon
- (c) Archives départementales du Var, Draguignan
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- (c) Provence Verte Verdon
- (c) Archives départementales du Var, Draguignan
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- (c) Provence Verte Verdon
- (c) Bibliothèque nationale de France
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Documents d'archives
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Délibérations du Conseil de la communauté de Pourcieux, 1580-1608. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - BB 1.
f° 3, 1580 ; f° 8, 1581. -
Délibérations du Conseil de la communauté de Pourcieux, 1656-1672. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - BB 4.
f° 337, 1670. -
Délibérations du Conseil de la communauté de Pourcieux, 1672-1700. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 -BB 5.
f° 136, 1679. -
Délibérations du Conseil de la communauté de Pourcieux, 1700-1729. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - BB 6.
f° 134, 1712 ; f° 303 et 313, 1726. -
Délibérations du Conseil de la communauté de Pourcieux, 1729-1751. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - BB 8.
f° 3,4 et 6, 1729 ; f° 115, 1741 ; f° 125, 1743. -
Délibérations du Conseil de la communauté de Pourcieux, 1752-1766. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - BB 9.
f° 9, 1752 ; f° 175, 1761 ; f° 235, 1766. -
Délibérations du Conseil de la communauté de Pourcieux, 1766-1790. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - BB 10.
f° 8, 1766. -
Devis et plan de la chapelle Saint-Martin de Pourcieux. 1726. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - DD 8.
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Extrait du prix-fait de la chapelle Saint-Martin de Pourcieux. 1726. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - DD 8.
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Recette de la chapelle Saint-Martin de Pourcieux. 29 août 1729. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - DD 8.
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Lettre autorisant procession à la chapelle Saint-Martin de Pourcieux. 1624. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - GG 6.
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Inventaire sommaire des archives communales antérieures à 1790. Pourcieux. 1578-1790. Archives départementales du Var, Draguignan : 2 MI 20. Disponible en ligne : <https://archives.var.fr/arkotheque/consult_fonds/fonds_seriel_resu_rech.php?ref_fonds=19>. Date de consultation : 2024.
Mention des comptes trésoraires du Conseil de la communauté de Pourcieux : CC 58, 1726 et 1729. -
Inventaire des biens dépendant de la fabrique de l'église succursale de Pourcieux dressé en exécution de l’article 3 de la loi du 9 décembre 1905. 27 janvier 1906. Archives départementales du Var, Draguignan : 5 V 5.
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Arrentement du prieuré de Pourcieux. 12 décembre 1726. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Marseille : 1 G 635.
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Réponse à la circulaire n° 28 de Monseigneur l’Evêque. 1882. Archives diocésaines de Fréjus-Toulon, Solliès-Ville : 2 F 027 Prcx. Disponible en ligne : <https://fraec83-num.fr/s/public/item/14971#?c=&m=&s=&cv=>. Date de consultation : 2024.
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[Fiche sur la chapelle Saint-Martin de Pourcieux, années 1960-1970]. Archives diocésaines de Fréjus-Toulon, Solliès-Ville : fonds Chanoine Louis Malausse 1 F. Disponible en ligne : <https://fraec83-num.fr/s/public/item/7358>. Date de consultation : 2024.
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Démolition de la chapelle Saint-Martin de Pourcieux suite aux travaux de l’autoroute. 1972. Archives communales, Pourcieux : 2 R.
Bibliographie
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ACHARD, Claude-François. Description historique, géographique et topographique des villes, bourgs, villages et hameaux de la Provence ancienne et moderne, du Comté-Venaissin, de la principauté d'Orange, du comté de Nice etc. Aix-en-Provence : Pierre-Joseph Calmen, 1788, 2 vol.
p. 237-238. -
GÉRIN-RICARD, Henry de, ARNAUD D'AGNEL, Gustave. Les Antiquités de la vallée de l'Arc-en-Provence. Aix-en-Provence : Imprimerie B. Niel, 1907. Disponible en ligne : <https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb321593585>. Date de consultation : 2024.
p. 211. -
GUERARD, Benjamin, DELISLE Léopold, De WAILLY Natalis. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille. Collection des cartulaires de France, t. VIII, éditeur B. Guérard, Paris : Typographie de Ch. Lahure, 1857, 2 volumes, CLVI-651-945 p.
CSV 224, 1098. -
RIEU, Robert. La chapelle Saint-Martin à Pourcieux. Dans : Polypus, 1973, p. 6-8.
Documents figurés
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Carte de France dite carte de Cassini. / Dessin à l'encre par César-François Cassini de Thury, seconde moitié du 18e siècle. Bibliothèque nationale de France, Paris.
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Plan de la chapelle Saint-Martin de Pourcieux. / Dessin, 1726. Archives départementales du Var, Draguignan : E dépôt 114 - DD 8.
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Plan cadastral de la commune de Pourcieux. 1809. / Dessin à l'encre sur papier par le géomètre de 1ère classe Souriguere, 1809. Archives départementales du Var, Draguignan : 3PP 096 01/1 à 3PP 096 02/2.
Section A, n° de plan 01/2, parcelle 875. -
Plan cadastral de la commune de Pourcieux. 1970. / Dessin à l'encre sur papier, 1970. Archives départementales du Var, Draguignan : 2144 W 1416 à 2144 W 1425.
Section AD, parcelle 177. -
[Vue extérieure d'ensemble depuis le sud, vers 1972]. / Photographie noir et blanc, vers 1972. Dans : RIEU, Robert. "La chapelle Saint-Martin à Pourcieux", Polypus, 1973, p. 6-8.
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[Vue extérieure d'ensemble depuis l'est de la chapelle Saint-Martin de Pourcieux, vers 1792]. / Photographie noir et blanc, vers 1972. Dans : RIEU, Robert. "La chapelle Saint-Martin à Pourcieux", Polypus, 1973, p. 6-8.
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[Vue intérieure vers le chœur de la chapelle Saint-Martin de Pourcieux, vers 1972]. / Photographie noir et blanc, vers 1972. Dans : RIEU, Robert. "La chapelle Saint-Martin à Pourcieux", Polypus, 1973, p. 6-8.
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