Photographe au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1970 à 2006.
- inventaire topographique
- enquête thématique régionale, architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Var - Hyères
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Commune
Hyères
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Lieu-dit
Ile de Port-Cros
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Adresse
3e fort
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Cadastre
1983
J4
347
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Dénominationsfort
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Appellationsfort de Port Man
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Dossier dont ce dossier est partie constituante
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Parties constituantes non étudiéesouvrage fortifié, édifice logistique, cour, ouvrage extérieur
Construction et armement
Construction attribuée à Richelieu, entre 1633 et 1640. L'ouvrage figure, sensiblement tel quel, sur l'atlas de Louis XIII.
Aucun renseignement sur la période de plus d'un siècle courant jusqu'au milieu du XVIIIe siècle.
Tour et dehors [?] du Port mail. [Vue perspective du fort de Port Man et coupe de la tour.] [vers 1660]A l'époque, l'ouvrage - probablement dans son état d'origine - est constitué :
- d'une tour à canon se dressant à la pointe même,
- d'une double caponnière,
- d'un ouvrage en queue d'hironde, assurant la défense arrière, vers l'intérieur de l'île, relié à la tour par la double caponnière.
L'accès se fait par une porte au milieu de la face nord-ouest de la caponnière.
Un plan - non signé - de 17551 donne l'essentiel d'un projet - en cours - visant à couvrir la double caponnière, un peu élargie, pour en faire un casernement convenable, élargir le fossé de tête de la queue d'hironde, construire un magasin à poudre, et réorganiser la batterie, le tout déjà estimé en 1748 pour 14260 livres. On sait, en 1752, qu'on a dépensé à Port Man, en 1750 4776 livres, rien en 1751 et 335 livres en 1755. Reste à dépenser : 7889 livres, dont les 3000 livres pour 1753.
Il s'agit essentiellement de travaux d'entretien et d'aménagement. Les années suivantes on se préoccupe de continuer les escarpements, puis de refaire la toiture (1766). Total : 8908 livres.
En 1774, dans le cadre du programme général des travaux des îles d'Hyères, on prévoit un agrandissement du fort, et une réparation générale, pour 15000 livres de travaux neufs "non urgents", 3000 de réparations non urgentes et 1200 urgentes.
On propose, simultanément, la construction d'une redoute en maçonnerie, avec corps de garde et magasin à poudre, sur le plateau dominant l'ouvrage (pour 9100 livres).
Considéré comme en bon état en 1792, le fort est occupé en 1793 par les anglais, en même temps qu'ils s'emparent de Toulon : à leur départ, ils saccagent l'ouvrage, brulent les menuiseries et charpentes, renversent les parapets, et comblent la citerne. En 1795, les réparations et aménagements sont estimés à 20.000 livres, or aucun crédit n'est disponible et cette situation va durer longtemps. Sommairement déblayé et aménagé, il est armé, en 1798, de 4 pièces de 36, 24, 18 et 12 sur affûts marins, avec, pour le service, 4 canonniers et 3 gardes nationaux.
En fait, c'est en 1810 - dans le cadre du blocus continental – qu’un effort de remise à hauteur va être entrepris sous l'impulsion personnelle de l'empereur Napoléon 1er (décret impérial du 14 août 1810) et l'armement porté à 2 canons de 36, 2 de 24, 1 de 16, 1 mortier de 8 pouces et 1 mortier de 12 pouces servis par 14 canonniers et 25 fantassins.
La tour est remaniée, le deuxième niveau (ancien étage de batterie à ciel ouvert) est voûté (1813) et surmonté d'une plateforme pouvant recevoir 3 caronades2 de 36.
De même, le flanc nord-ouest de l'ouvrage est reconstruit plus loin pour augmenter l'espace disponible à l'intérieur de l'ouvrage, permettant la création d'une sorte de cour très allongée, entre le casernement et la nouvelle courtine. La face droite de la queue d'hironde est de même, élargie, et l'entrée de l'ouvrage déplacée vers l'avant et placée, bien défilée, juste derrière le massif de la queue d'hironde.
En 1814, avec la chute de l'Empire, l'ouvrage est mis en sommeil pour plus d'un quart de siècle. Ce n'est qu'à partir de 1841 que la "Commission mixte d'armement des côtes" reprend l'organisation défensive du littoral. C'est la sous-commission chargée du 5ème arrondissement maritime qui est chargée de l'étude des îles d'Hyères : elle propose, à Port Man, un armement de 2 canons de 30, 2 obusiers de 22 cm, 1 mortier de 32 cm pour l'action côtière et, pour la défense de l'ouvrage, 1 obusier de 12 et 8 fusils de rempart, le tout servi par un gardien de batterie, 25 canonniers et 15 fantassins. Ces propositions sont approuvées en 1847 par le Ministre.
Divers projets d'aménagement sont émis en 1847, puis 1855, 56 et 57 (projet de construction d'une caserne à l'épreuve, semblable à un corps de garde défensif type 1846), 1858, 59, 60, 61 (remplacement de la queue d'hironde et du casernement par une tour-réduit type 1846 n° 1). Finalement, on se contentera, en 1861, d'un simple réaménagement pour 5 pièces de canon et une pièce de 4 rayée de montagne. La porte d'entrée est reconstruite.
Désignée en 1875 par la nouvelle commission de défense des côtes, pour être déclassé à échéance de mise en service des nouveaux ouvrages (Eminence et Repentance) vers 1885, il conservera, à titre provisoire, un mortier de 32 cm à plaque: l'opération réalisée, Port Man perd, alors, sa qualité de batterie de côte.
Analyse architecturale
Situation
Vue aérienne prise du nord.A l'extrémité de la pointe de Port Man, extrémité orientale de l'île de Port Cros, sur un promontoire rocheux étroit et très allongé qui a, bien sûr, déterminé la forme de l'ouvrage. A 30 m de hauteur, l'ouvrage domine le détroit d'environ 1200 m de large séparant Port-Cros de l'île du Levant, accès secondaire à la rade d'Hyères, et commande - ce semble avoir été sa mission principale - la calanque de Port Man, mouillage abrité et jugé dangereux pour la sécurité de l'île.
Le "fort" de Port Man est constitué
- d'une tour à canon
- d'un ouvrage dit "queue d'hironde" reliés par deux éléments de courtine parallèles incluant un bâtiment et constituant le corps central de l'ouvrage.
La tour
Tour vue du sud-est.Implantée à l'extrémité de la pointe, c'est une tour d'artillerie cylindro-conique de morphologie analogue à celles du Petit Langoustier, de l'Estissac et de l'ouvrage primitif de l'Eminence. Elle ne diffère (ou différait) de celles-ci que par un diamètre moindre (environ 12 m au niveau du cylindre) une épaisseur de mur un peu plus faible (2, 4 m) et une hauteur originelle de 10 m, côté mer, portée en 1813 à 15 m environ.
L'intérieur comporte 3 niveaux.
- Un rez-de-chaussée (partiellement enterré) voûté en coupole, à l'origine desservi par un œil au sommet de la voûte, bouché depuis, et remplacé par un passage d'accès direct depuis la cour.
- Un premier étage, autrefois batterie à ciel ouvert avec quatre embrasures à canon (dont deux braquées sur l'anse voisine), un four à pain et deux niches dans les parois. Ce niveau a été, en 1813, voûté et ses embrasures bouchées, afin de le transformer en abri passif. C'est à ce niveau que se faisait l'unique accès au bâtiment, encore en service aujourd'hui.
Tour. Entrée du deuxième niveau. A gauche, départ de l'escalier montant à la plateforme.- Une plateforme (deuxième étage) à ciel ouvert, desservie par escalier courbe montant du premier étage dans l'épaisseur du mur, et bordée d'un parapet assez mince découpé de quatre embrasures à canon décalées de 72°. De toutes les tours des îles d'Hyères, Port Man est celle qui présente le plus d'analogies avec les tours génoises de Corse, notamment par l'escalier courbe.
- Les remaniements: voûtes, passages, escaliers etc. exécutés en 1813 sont habillés en briques minces.
- Comme pour les tours de même type des îles d'Hyères (Petit Langoustier, etc) la brisure entre l'embase tronconique et le cylindre supérieur est soulignée par un bandeau plat.
La queue d'hironde
Front sud (queue d'hironde). Saillant sud-ouest.Partie de l'ouvrage surélevée, tournée vers l'intérieur de l'île pour assurer la protection arrière de l'ouvrage. A l'origine, cette partie était symétrique, avec front de tête brisé en dedans, à deux faces égales et s'inscrivait dans un rectangle de 14,50 m de front sur 12 m de profondeur. En 1813, on l'a élargi en allongeant la face droite, et porté la surface d'emprise à 24 m de front et 20 m de profondeur à droite (la gauche restant inchangée). Actuellement l'aile gauche est occupée par un petit bâtiment sans étage, couvert en bâtière. Escarpe revêtue surmontée d'un parapet d'artillerie, le tout précédé d'un fossé à contrescarpe irrégulière, non revêtue, et qui semble ne pas avoir été achevée.
Le corps central de l'ouvrage
A l'origine la tour et la queue d'hironde étaient reliées par une double caponnière constituée de deux murs parallèles (largeur hors tout 4, 80 m) l'entrée de l'ouvrage se faisant par une porte latérale percée à mi- longueur du mur nord-ouest.
Au milieu du XVIIIe siècle, après arasement des parapets latéraux, on a élargi la double caponnière en la coiffant d'un bâtiment plus large, dont les longs pans furent plaqués aux murs primitifs, et percés latéralement de créneaux de fusillade. Ce bâtiment, non voûté mais simplement couvert d'une toiture en tuiles à deux pans, était destiné à la fois au logement de la garnison et à l'usage de communication, comme précédemment.Ensemble de l'ouvrage pris en longueur depuis le haut de la tour. A gauche, bâtiment du casernement. Au fond, queue d'hironde.
En 1811-14, on a élargi l'aire du pied de la tour et construit une nouvelle escarpe au nord-ouest, de façon à créer une sorte de cour allongée entre le bâtiment central et la nouvelle muraille, en même temps qu'on agrandissait la queue d'hironde. De la sorte on dégageait, au pied de la tour, l'espace nécessaire à l'installation des pièces de canon battant l'anse de Port Man ; on créait une circulation à ciel ouvert distincte du bâtiment ; le bâtiment central était dès lors réservé à sa fonction d'habitation et de magasin.
La cour étant à un niveau plus bas que le sol intérieur du bâtiment, on a construit des perrons d'accès, au centre, et à la plateforme d'extrémité nord, cette dernière prolongée, d'ailleurs, par une traverse en maçonnerie avec passage couvert en dessous.
Le bâtiment proprement dit, à simple rez-de-chaussée surélevé, est un rectangle très allongé divisé par des murs transversaux en un simple alignement de pièces. Des arcs en plein cintre tendus entre les longs pans servent à supporter la charpente. Le pignon sud-ouest est mitoyen de celui du petit bâtiment occupant l'aile gauche de la queue d'hironde.
L'escarpe nord-ouest, en très mauvais état, est percée de créneaux de fusillade de type archère.
Porte de l'ouvrage. Vue de l'intérieur.Le dernier élément singulier est la porte du fort, percée dans l'escarpe nord-ouest juste derrière la queue d'hironde. Précédée d'un tronçon de fossé que franchissait le pont-levis, la baie en plein cintre s'ouvre au fond d'une feuillure destinée à recevoir le tablier relevé. Les montants sont en gros appareil harpé, la plate-bande à claveaux porte un entablement portant un tableau où est portée en majuscules et en relief l'inscription "fort de Port Man", lui-même surmonté d'une corniche en doucine droite.
Le pont-levis était à chaîne et contrepoids, ces derniers descendants verticalement dans des élargissements du passage, abritant également les poulies, comme dans les tours et corps de garde défensifs type 1846.
Décor similaire au revers, l'ensemble étant soigneusement dressé. Sur la clé, au centre de la plate-bande est gravée la date 1861 correspondant à l'achèvement du dernier remaniement de l'ouvrage.
Conclusion
Petit ouvrage curieux et intéressant, valorisé par un site de grande beauté. Les dernières restaurations effectuées se sont malheureusement limitées au bâtiment central, pour des raisons de nécessités d'accueil, alors que le reste de l'ouvrage est toujours en mauvais état : si le gros-œuvre de la tour est bon, les enduits sont à refaire complètement. Mais la courtine nord-ouest menace ruine : l'extérieur du mur, complètement affouillé par les embruns, tend à se fracturer horizontalement au niveau des créneaux et va s'effondrer à la première tempête un peu violente.
La construction initiale du fort est attribuée à Richelieu, entre 1663 et 1640. L'ouvrage figure dans l'atlas de louis XIII. Il est constitué, à l'époque, d'une tour à canon et d'une queue d'hironde reliées par une double caponnière. En 1793, le fort est occupé par les Anglais qui le saccagent avant leur départ. En 1810, sous l'impulsion de l'empereur Napoléon 1er, un effort est effectué de remise à hauteur. La tour est remaniée, l'intérieur est aménagé. Des projets sont élaborés à partir de 1847, suite aux propositions de la commission mixte d'armement des côtes de 1841. On se contente, finalement, de quelques aménagements. Après 1875, Port Man perd sa qualité de batterie de côte.
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Période(s)
- Principale : 2e quart 17e siècle
- Secondaire : 1er quart 19e siècle
L'ouvrage de Port Man est constitué d'une tour à canon, d'un ouvrage en forme de queue d'hironde, reliés par deux éléments de courtine parallèles incluant un bâtiment et constituant le corps central de l'ouvrage. La tour, de forme cylindro-tronconique, est élevée sur trois niveaux : un rez-de-chaussée voûtée en coupole, un premier étage voûté et une plate-forme à ciel ouvert. L'escarpe de la queue d'hironde est précédée d'un fossé. L'aile gauche est occupée par un petit bâtiment couvert d'un toit en tuiles à deux pans. Le corps central est occupé par une cour bordée d'un bâtiment rectangulaire, allongé, et couvert d'un toit de tuiles à deux pans, à fonction de logement et de magasin.
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Murs
- pierre moellon
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Toitstuile creuse
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Étages1 étage carré
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Couvrements
- coupole
- voûte en berceau
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Couvertures
- terrasse
- toit à longs pans pignon couvert
- pignon couvert
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier droit sur voûte
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Statut de la propriétépropriété publique, Propriété du Parc National de Port-Cros de puis le 28/03/1977.
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Éléments remarquablestour, courtine
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Sites de protectionsite classé
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Protectionsinscrit MH, 1947/02/12
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Référence MH
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
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Documents figurés
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Port Mail [Vue en perspective de la pointe de la côte de Port-Cros avec le plan du fort de Port Man.] / Dessin à la plume. Dans : "Description générale et particulière des costes et isles de Provence". / Christophe Tassin, vers 1635, pl. 15. Bibliothèque Méjanes, Aix-en-Provence : Ms 703 (791) R 148.
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Tour du Port Mail. / Dessin, [avant 1643]. Service Historique de la Défense, Vincennes : Atlas de Louis XIII, T. 2, planche 60.
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Tour et dehors [?] du Port mail. [Vue perspective du fort de Port Man et coupe de la tour.] / Dessin, [vers 1660]. British library, Londres : K. LXX. S5.
-
Plan du fort qui défend le Port man a l'autre bout de l'Isle de Portecros. / Dessin, 1719, 40 x 27 cm. Service Historique de la Défense, Vincennes : Atlas des Places de Provence, ms. 117, f° 37.
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Plan de la Tour de Port Man dans l'Isle de Portecros. / Dessin, 1775, 40 x 50 cm. Service Historique de la Défense, Vincennes : Atlas dit de Louis XV, Places du département de Toulon, feuille III.
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Fort de Port Mann. Plan de situation. / Dessin, 1818-1822, 97 x 62,5 cm. Service Historique de la Défense, Vincennes : Atlas des Batteries de côte, volume Toulon et îles, ms. 201, pl. 3.
-
Plans et Profils du fort de Port-Mann. / Dessin, 1818-1822, 97 x 62,5 cm. Service Historique de la Défense, Vincennes : Atlas des Batteries de côte, volume Toulon et îles, ms. 201, pl. 21.
Lieutenant-colonel du génie, docteur en histoire. Chargé de cours à l'École supérieure du génie de Versailles, Yvelines.
Expert en architecture militaire auprès de l'Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Réalise de 1986 à 1996 l’étude de l’architecture militaire (16e-20e siècles) de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur : départements des Hautes-Alpes, des Alpes-de-Haute-Provence, partie des Alpes-Maritimes, ensemble des îles d’Hyères dans le Var.
Principales publications : La Muraille de France ou la ligne Maginot (1988)
Les derniers châteaux-forts, les prolongements de la fortification médiévale en France, 1634-1914 (1993)
La barrière de fer, l'architecture des forts du général Séré de Rivières, 1872-1914 (2000)
Lieutenant-colonel du génie, docteur en histoire. Chargé de cours à l'École supérieure du génie de Versailles, Yvelines.
Expert en architecture militaire auprès de l'Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Réalise de 1986 à 1996 l’étude de l’architecture militaire (16e-20e siècles) de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur : départements des Hautes-Alpes, des Alpes-de-Haute-Provence, partie des Alpes-Maritimes, ensemble des îles d’Hyères dans le Var.
Principales publications : La Muraille de France ou la ligne Maginot (1988)
Les derniers châteaux-forts, les prolongements de la fortification médiévale en France, 1634-1914 (1993)
La barrière de fer, l'architecture des forts du général Séré de Rivières, 1872-1914 (2000)