Dossier d’œuvre architecture IA06003237 | Réalisé par ;
Thuin-Chaudron Véronique (Rédacteur)
Thuin-Chaudron Véronique

Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
;
Prédal Christophe (Rédacteur)
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
  • recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
hôtel de voyageurs dit hôtel Winter Palace, actuellement immeuble
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Ministère de la culture, Direction régionale des Affaires culturelles Provence-Alpes-Côte d'Azur, Conservation régionale des Monuments historiques

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Nice
  • Commune Nice
  • Lieu-dit Cimiez
  • Adresse 82 boulevard de Cimiez , Montée Saint-Valérien
  • Cadastre 2017 LM 0079
  • Précisions
  • Dénominations
    hôtel de voyageurs
  • Appellations
    Winter Palace
  • Destinations
    immeuble
  • Parties constituantes étudiées
  • Parties constituantes non étudiées
    jardin d'agrément, boutique

L'établissement, nouvellement construit, ouvre pour la saison, en décembre 1905. Il est présent dans l'annuaire de 1906. La même année, l'édifice obtient la médaille de vermeil au concours municipal d'architecture. On félicite les commanditaires : Charles Dalmas (actionnaire-architecte), Léopold Israël et Raymond Caressa. Ils ont acheté le terrain en 1904 pour 25 frs le mètre carré soit 186 000 frs à Henri Germain. Il s'agit du premier palace édifié par Charles Dalmas. L'entrepreneur est Marius Bavastro, utilisant le brevet de béton armé de Boullanger et Schuhl. R. Falzetti est félicité pour son travail d'ornemaniste. L'entreprise Pellarin a réalisé les sols en mosaïque. Le premier directeur est le célèbre hôtelier Joseph Agid qui a conçu l'aménagement de l'hôtel. Le succès étant immense, un agrandissement est opéré et est effectif pour la saison 1911 avec 85 chambres supplémentaires. On ne sait quand l'avant-corps du rez-de-chaussée est prolongé jusqu'au boulevard de Cimiez afin d'agrandir la salle de restaurant (sans doute avant 1914). En 1914, Dalmas et Israël vendent leurs parts à Caressa pour 260 000 frs. Pendant la Première Guerre mondiale, Joseph Agid directeur de l'hôtel, met son établissement à la disposition de l’autorité militaire qui accueille des blessés comme hôpital complémentaire (N°14). En avril 1920 Caressa vend l'hôtel à Jean Gianotti pour 1 100 000 frs.

Le palace ferme en 1936. En février 1941, une demande de transformation en 38 appartements est déposée par le promoteur Victor-Joseph Saglia sous la conduite de l'architecte Louis Milon de Peillon. Le permis est autorisé à condition notamment de n'édifier aucun bâtiment ni même édicule dans le parc. Les appartements sont livrés en 1944. En 1947, Louis Milon de Peillon ajoute des versants de tuiles sur une partie du toit-terrasse sujet à infiltrations. Une restauration des façades a été menée en 2010, sous la conduite de l'architecte Gilles Gauvain (agence Architectes Studio).

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 19e siècle
  • Dates
    • 1905, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Dalmas Charles
      Dalmas Charles

      Architecte niçois, formé à l'École des Arts Décoratifs de Nice puis à l'École des Beaux-Arts de Paris où il intègre l'atelier de Victor Laloux. Reçu au concours du Grand Prix de Rome. Il enseignera plus tard à l'École des Arts Décoratifs de Nice. Son style se caractérise par l'élégance décorative, la clarté de la composition en plan comme en façade. Spécialiste des programmes d'hôtels et d'immeubles de standing, Il a été président du Syndicat des Architectes de la Côte d'Azur. Son fils Marcel Dalmas a étroitement collaboré avec lui.

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      architecte, auteur commanditaire attribution par source
    • Auteur :
      Milon de Peillon Louis
      Milon de Peillon Louis

      Architecte né à la Turbie (06), architecte à Nice dans les années 1930-1950.

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Pellarin Philippo et Angelo
      Pellarin Philippo et Angelo

      Mosaïstes, fin 19e - début 20e. Les frères Pellarin, Philippo et Angelo, sont d'importants mosaïstes, émigrés de Sequals dans la région du Frioul. Ils sont spécialistes du terrazzo, des mosaïques romaines et vénitiennes. Ils ont travaillé en France et en Europe (par exemple à la maternité de Nîmes, à la grande infirmerie de l'arsenal à la Seyne, à la loggia du Musée royal des Beaux-arts d'Anvers par exemple). Sur la Côte-d'Azur, ils ont exercé au casino de Monte Carlo, au casino de Nice, à la Préfecture de Nice, au kursaal de San Remo, au palais Carnoles de Menton, à la Casa del More à Cabbe-Roquebrune (Source : Annuaire des Alpes-Maritimes, 1908, p. 1146). Ils sont installés à Nice, au 42 boulevard de Riquier (Véronique Thuin).

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      mosaïste attribution par source
    • Auteur :
      Falzetti R.
      Falzetti R.

      Sculpteur ornemaniste, début 20e siècle, ayant travaillé notamment à Nice aux hôtels Alhambra et Winter palace. Apparaît dans l'annuaire des Alpes-Maritimes en 1899 (p. 736) et on le trouve dans les annuaires jusqu'en 1909. En 1904 il fait les ornements du palais du roi du carnaval (journal La vie mondaine à Nice, 11 février 1904).

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      stucateur attribution par source
    • Auteur :
      Bavastro Marius
      Bavastro Marius

      Entrepreneur de maçonnerie. Il a travaillé notamment avec Charles Dalmas. Il est associé à J. Cianuti. Il est concessionnaire du brevet de béton armé Schuhl. (Véronique Thuin)

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      entrepreneur de maçonnerie attribution par source
    • Personnalité :
      Agid Joseph
      Agid Joseph

      Joseph et ses frères Alexandre et John font carrière dans l'hôtellerie. Avec son frère John, il part travailler à Londres dans un grand hôtel, le Savoy, au départ comme simple groom, puis occupe des responsabilités. Les frères se rendent en Egypte où Joseph devient directeur Général du Gezireh Palace au Caire à l'âge de 26 ans pour la Compagnie internationale des Wagons-lits. Ils travaillent ensuite en 1900 à Paris pour la Compagnie internationale des Wagons-lits dans les hôtels de la place du Trocadéro qu'ils équipent de meubles du Bon Marché, qu'ils revendent ensuite pour leur propre compte. Avec Alexandre, il mènent parallèlement une carrière d'hôteliers à Royat : ils achètent un premier hôtel en 1901 puis en 1909 l'Hôtel continental qu'ils rebaptisent Hermitage et font édifier toujours en 1909 le Royat Palace. (Véronique Thuin)

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      habitant célèbre attribution par source
    • Personnalité :
      Saglia Victor-Joseph
      Saglia Victor-Joseph

      Promoteur immobilier niçois. il se spécialise notamment dans la transformation des anciens palaces niçois en appartements à compter de 1935.

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      promoteur attribution par source

La façade principale de l'hôtel, au sud, s'intègre dans la pente : perpendiculaire au boulevard de Cimiez, orientée au sud sur un vaste jardin incliné, cette monumentalité est tempérée par un habile ordonnancement qui hiérarchise et organise les principaux volumes. L'élévation principale était à l'origine centrée sur un pavillon large de neuf travées (quatre étages dont un attique), cantonné de deux ailes plus basses d'un niveaux, de cinq travées chacune. L'extension de 1911 a supprimé la symétrie. Aujourd'hui, les parties les plus élevées ont quatre étages sur rez-de-chaussée. Malgré l'ampleur du programme, le bâtiment développe une certaine discrétion quant à ses volumes et intégration dans le site (en comparaison des palaces antérieurs de la colline de Cimiez, Excelsior Regina et Riviera). L'élévation de la façade principale est animée par l'alternance de bow-window en encorbellement et de travée plate. La façade est composée dans un répertoire maitrisé de formes savantes (baies cintrées, frontons, consoles, voussures clavées, masques en agrafe, harpage des baies et chaîne d'angle saillante, ferronnerie). Cette syntaxe classique est revisitée, mise au goût du jour et transposée dans une échelle inédite qui pourrait paraître massive. Le résultat est une formule caractéristique de cet architecte qui associe une relative extravagance et un répertoire de formes plutôt classiques, que certains critiques identifient à un néo-Louis XVI caractéristique d'un goût éclectique qui perdure au début du 20e siècle. Les façades principales (sud et ouest) bénéficient d'un parement de pierre de taille formant gouttereaux, avec joints gris en relief. Ces pierres forment sans doute aussi le gros-oeuvre, entre poteaux et poutres de plancher en béton armé. Le retour de l'ordonnancement principal sur la façade postérieure expose, quant à lui, un enduit d'imitation pierre. Enfin, les façades nord correspondant aux pièces de service reçoivent un simple enduit, sans modénatures. L'utilisation de parties en pierres et d'autres enduites amène un effet de relative polychromie. Les pièces de réception au rez-de-chaussée sont identifiées par de grandes baies en anse de panier ouvrant sur le paysage. La partie correspondante au hall fait l'effet d'une véranda et est d'ailleurs marquée comme " terrasse vitrée" sur le plan. L'hôtel est en position dominante sur le boulevard, permettant aux pièces de réception de bénéficier ici d'une vue dégagée (salle-de-restaurant). L'étage de soubassement côté boulevard est dévolu à des boutiques (présence ancienne d'une pharmacie).

Les parties monumentales originelles étaient coiffées d'une succession de toitures à longs pans, ou à pavillon à faible pente, dissimulées par une balustrade ornée de pots à feux. Les bâtiments bas des annexes au nord sont à terrasse béton. L'extension de 1911 est à terrasse avant qu'une partie ne soit couverte de tuiles mécaniques suite à des problèmes d'infiltration. Présence d'un grand escalier avec ascenseur et nombreux escaliers de service (tournants à retour avec jour). La distribution au rez-de-chaussée, qui comporte les espaces de réception mais aussi des chambres, se fait au moyen d'une grande galerie traversante au 2/3 nord du bâti. Les volumes internes, ordonnés sans grandiloquence, confèrent une certaine intimité à l'ensemble.

  • Murs
    • béton béton armé enduit
    • enduit d'imitation
    • pierre moyen appareil
  • Toits
    tuile mécanique, béton en couverture
  • Étages
    étage de soubassement, 4 étages carrés
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit en pavillon
    • toit à longs pans croupe
    • terrasse
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie, suspendu
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Jardins
    rocaille de jardin
  • Techniques
    • maçonnerie
    • décor stuqué
    • ferronnerie
    • mosaïque
  • Représentations
    • tête de femme, marronnier
  • Précision représentations

    Le décor néo-Louis XVI se concentre en linteau de baies, avec prédominance au niveau des fenêtres des salles de réception : cartouche à cuir découpé, volutes, enroulements de feuillage, tête féminine, coquille. Ces ornements se retrouvent en frontons (brisés ou à base interrompue) sommitaux. Les baies du rez-de-chaussée sont ponctuées de pilastres à chapiteau composite. Un travail de rocaillage constitue le soubassement de la balustrade au niveau des boutiques. A l'intérieur, dans les espaces communs, les murs revêtent un faux-appareil de pierre. Le hall, au plafond à caissons rectangulaires, est divisé au moyen de colonnes cannelées avec chapiteau ionique à cornes et chute de culots. Décor de fausses arcatures sur les murs avec tête de Méduse dans les écoinçons. Les boiseries de la salle-à-manger seraient des imitations du décor du grand salon du Petit Trianon.

    Les garde-corps offrent une grande diversité de motifs, selon les niveaux, depuis des arabesques à tonalité art nouveau avec feuilles de marronniers jusqu'aux lignes verticales à crochets, en passant par des cercles noués.

Z Nice repérage

  • 01-DENO hôtel de voyageur
  • 02-CHRONO 1860-1919
  • 03-CARACTERE éclectique
  • 04-TENDANCES néo-classique
  • 05-INTEGRITE complète
  • 06-VISIBILITE bonne
  • 07-SITUATION isolé
  • 08-IMPLANTATION sur jardin ou parc
  • 09-MATERIAUX oui
  • 10-MACONNERIE enduit et appareil
  • 11-SUR FACADE bow-window
  • 12-ENTREE porche
  • 13-TOIT toit terrasse
  • 14-COMBLES non applicable
  • 15-DOME non applicable
  • 16-BELVEDERE non applicable
  • 17-FRISE frise en relief
  • 18-CERAMIQUE non applicable
  • 19-MATERIEUX GROS OEUVRE béton armé
  • 20-SITE dimension paysagère
  • 21-LOTISSEMENT non applicable
  • 22-PERGOLA non applicable
  • 23-JOINTS non applicable
  • 24-CLOTURES oui
  • 25-AGREMENTS non applicable
  • 26-COUR ANGLAISE oui
  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Éléments remarquables
    fronton, garde-corps, élévation, porche, vestibule
  • Protections
    inscrit MH, 2021/09/10
  • Précisions sur la protection

    Inscription MH par arrêté du 10 septembre 2021 : façades et toitures de l’immeuble avec la terrasse des boutiques ouvrant sur le boulevard de Cimiez ; À l’intérieur, vestibule d’entrée, grand hall, salle des courriers, cage d’escalier avec son ascenseur ; jardin avec sa clôture et le portail d’entrée sur le boulevard de Cimiez situés 82bis boulevard de Cimiez, figurant au cadastre section LM sur la parcelle n°79, tels que délimités en rouge (extérieurs) et en bleu (intérieurs) sur les plans annexés à l’arrêté.

  • Référence MH

Documents d'archives

  • [Vente Hôtel Winter Palace, Nice]. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice : conservation des hypothèques, vol 60 - n°4 (4 avril 1920).

  • Nice, demande de transformations intérieures de l'ancien hôtel Winter-Palace, par Louis Milon de Peillon architecte, 1941. Archives communales, Nice : 2T952 225.

  • Dossier de protection au titre des Monuments Historiques du Winter-Palace (ancien) à Nice, octobre 2020. Direction régionale des affaires culturelles de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Conservation régionale des Monuments historiques, Aix-en-Provence

Bibliographie

  • Annuaire des Alpes-Maritimes : 1910. Nice : Chini et cie éditeurs, 1910. 1555 p. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice.

    p. 1091 (Encart publicitaire de l'entreprise de mosaïque Pellarin, référençant l'immeuble).
  • Annuaire des Alpes-Maritimes : 1906. Nice : Imprimerie niçoise, 1906. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice.

  • STEVE, Michel. Charles Dalmas architecte 1863-1938. Nice : Institut d'études niçoises, 2018. 166 p. ; 30 cm.

    p. 28-29
  • THUIN-CHAUDRON, Véronique. Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914, Nice : Serre, 2009, 560 p.

    p. 225, 530.

Documents figurés

  • Plan de la commune de Nice [circa 1920-1930]. / Dessin à l'encre sur papier. 1e quart 20e siècle. Archives communales, Nice : 1Fi 93 001 à 1Fi 93 044.

  • Hôtel Winter-Palace à Cimiez. Architecte M. Dalmas. Photographie, plan du 4e étage / Photographie noir et blanc, plan imprimé, [circa 1910]. Dans : "L'architecture du Littoral (Côte d'Azur)" / PLANAT Paul, Paris : Librairie de la construction moderne, [s.d.], p. 35.

  • Hôtel Winter-Palace à Cimiez. Architecte M. Dalmas. Plans du rez-de-chaussée, 1er et 2e étage / Photographie noir et blanc et plans imprimés, [circa 1910]. Dans : "L'architecture du Littoral (Côte d'Azur)" / PLANAT Paul, Paris : Librairie de la construction moderne, [s.d.], pl. 39.

  • Hôtel Winter-Palace à Cimiez. Architecte M. Dalmas. plan du 3e étage / Photographie noir et blanc, plan imprimé, [circa 1910]. Dans : "L'architecture du Littoral (Côte d'Azur)" / PLANAT Paul, Paris : Librairie de la construction moderne, [s.d.], pl. 40.

  • Hôtel Winter-Palace à Cimiez. Architecte M. Dalmas. [Grand hall]. / Photographie noir et blanc, plan imprimé, [circa 1910]. Dans : "L'architecture du Littoral (Côte d'Azur)" / PLANAT Paul, Paris : Librairie de la construction moderne, [s.d.], pl. 41.

  • Hôtel Winter-Palace à Cimiez. Architecte M. Dalmas. [Salle-à-manger]. / Photographie noir et blanc, plan imprimé, [circa 1910]. Dans : "L'architecture du Littoral (Côte d'Azur)" / PLANAT Paul, Paris : Librairie de la construction moderne, [s.d.], pl. 42.

  • 1239 Nice - L'hôtel winter Palace. / Carte postale, [s.l.] : L. L., [1906-1911]. BMVR de Nice - bibliothèque Romain Gary : ECP1725.

  • 109 - Winter-Palace - Nice Cimiez. / Carte postale, Nice : Editions Giletta, [1906-1911]. Collection particulière.

  • 822 NICE - Hôtel Winter-Palace. Cimiez. / Carte postale, Nice : Baylone frères, [1906-1911]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 2388.

  • La Côte d'Azur - 3 Nice Cimiez. Winter-Palace. / Carte postale, Paris : Catala, Châlon-sur-Saône : B.F., [1906-1911]. Archives communales, Nice : 10 Fi 343.

  • 1021 Nice - Le Winter Palace. / Carte postale, [post 1911]. Collection particulière.

  • Winter-Palace - Nice, Cimiez / Carte postale anonyme, [post 1911]. Collection particulière.

  • Le Winter-Palace est en vente par appartements. / Publicité imprimée issue de L'Eclaireur de Nice, 21 février 1941. Dans : "Hôtels et palaces, Nice" / BOTTARO Alain, THUIN Véronique, Nice : Giletta, 2019, p. 122.

  • [Winter Palace, Nice]. / Photographie positive noir et blanc par le service photographique de la ville de Nice, 1979. Archives communales, Nice : fonds photographique municipal, en cours de cotation.

Date(s) d'enquête : 2017; Date(s) de rédaction : 2017
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Thuin-Chaudron Véronique
Thuin-Chaudron Véronique

Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Prédal Christophe
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.