Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.
Dossier d’œuvre architecture IA06002827
| Réalisé par
- recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
maison de villégiature (villa balnéaire) dite Villa Les Lucioles
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
- (c) Ville de Nice
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
Localisation
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Aire d'étude et canton
Nice - Nice
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Commune
Nice
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Lieu-dit
Mont-Boron
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Adresse
2 chemin des Crêtes du Mont-Boron
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Cadastre
2022
KI
00245, 00246
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationmaison de villégiature, villa balnéaire
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AppellationsVilla Les Lucioles
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Parties constituantes étudiées
Le parisien Charles Corardy acquiert une villa et son terrain attenant en 1929. L'acte d'achat du 24 juin mentionne que "les constructions comprises dans la présente vente sont en mauvais état et vont être entièrement démolies par lui et qu'il se propose de faire construire sur le terrain une maison réservée exclusivement à l'habitation". Le permis de construire de la nouvelle maison est déposé la même année par les architectes Charles Dalmas, Marcel Dalmas et Marcel Guilgot. En avril 1936, Corardy demande à l'architecte Honoré Aubert une extension formée par un salon au sud-ouest, modifiant par la même occasion l'arrivée sud de la galerie. Cela pourrait correspondre à la refonte paysagère du jardin de ce côté. C'est peut-être à cette date qu'un vitrail du maître-verrier Fassi est inséré à l'extérieur, au sud-ouest (disparu depuis). L'extension de 1936 a ensuite été détruite au profit d'une terrasse surélevée et d'un nouvel aspect de la galerie à ce niveau (date inconnue).
Après une période où la villa a perdu sa polychromie et pâti d'un manque d'entretien, elle bénéficie d'une restauration exemplaire en 2019-2020 (architecte Bernard Lloze, fresquiste Leonardo Gianuzzi). Elle retrouve à l'ouest sa configuration de 1929 et tous les éléments de décor intérieurs et extérieurs originaux ont été rénovés. A cette occasion, une porte piétonne avec auvent a été réalisée au sud du terrain en reprenant le style du mur de clôture au nord. Les fresques retrouvées en 2019 sont peut-être l'oeuvre des Designori, peintres coutumiers de tels décors et souvent employés par les architectes Dalmas.
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Période(s)
- Principale : 2e quart 20e siècle , daté par source
- Secondaire : 1er quart 21e siècle , daté par source
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Dates
- 1929, daté par source
- 1936, daté par source
- 2019, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Dalmas Charlesarchitecte attribution par sourceDalmas CharlesCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Architecte niçois, formé à l'École des Arts Décoratifs de Nice puis à l'École des Beaux-Arts de Paris où il intègre l'atelier de Victor Laloux. Reçu au concours du Grand Prix de Rome. Il enseignera plus tard à l'École des Arts Décoratifs de Nice. Son style se caractérise par l'élégance décorative, la clarté de la composition en plan comme en façade. Spécialiste des programmes d'hôtels et d'immeubles de standing, Il a été président du Syndicat des Architectes de la Côte d'Azur. Son fils Marcel Dalmas a étroitement collaboré avec lui.
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Auteur :
Dalmas Marcelarchitecte attribution par sourceDalmas MarcelCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Architecte niçois. Fils de l'architecte Charles Dalmas, formé à l'École des beaux-arts, il est Grand prix de Rome 1914. Architecte du département des Alpes Maritimes, il prépare les plans d'urbanisme de la ville de Nice. Enseignant à l'école des arts décoratifs de Nice il devient conseiller municipal de la ville de Nice.
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Auteur :
Guilgot Marcel-Victorarchitecte attribution par sourceGuilgot Marcel-VictorCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Architecte. Il s'installe à Nice en 1924 où il collabore avec les architectes Charles et Marcel Dalmas jusqu'en 1938, puis il exerce seul. Actif dans les Alpes Maritimes de 1929 à 1978.
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Auteur :
Aubert Honoréarchitecte attribution par sourceAubert HonoréCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Architecte, Nice, 1ère moitié 20e siècle. Diplômé de l'École Nationale des Arts Décoratifs de Paris, Honoré Aubert s'installe comme architecte à Nice en 1919. Élève puis salarié de l'architecte Lucien Barbet au sein de son agence, il prend sa succession. Inventeur d'une déclinaison niçoise de l'Art Déco qui associe opus de pierre et bétons colorés. Il est l'un des architectes les plus prolifiques de cette période. Travaillant seul, il s'associe a son fils Joseph à partir de 1937. Après-guerre, son agence est l'une des plus importantes de Nice et produit à ce titre de très nombreux immeubles au caractère moderne souvent raffiné.
Source : https://www.pss-archi.eu/architecte/8445
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Auteur :
Lloze Bernardarchitecte attribution par sourceLloze BernardCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Architecte né à Perpignan, diplômé en 2006 de l'école d'architecture de Marseille.
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Auteur :
Gianuzzi Leonardopeintre attribution par sourceGianuzzi LeonardoCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Fresquiste intervenant sur la Côte-d'Azur, fin 20e - début 21e siècle.
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Auteur :
Designori ou Dessignori ou De Signoripeintre (incertitude), attribution par analyse stylistiqueDesignori ou Dessignori ou De SignoriCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Lignée de peintres décorateurs sur la Côte d'Azur, à compter de la 2nd moitié du 19e siècle. C'est le père, François Designori, (né à Vérone le 8 janvier 1852 et mort à Cannes le 21 février 1927), qui le premier s'installe à Cannes après s'être formé tout seul au cours de ses voyages. Sa spécialité est la grisaille. Il a collaboré aux fresques du Panthéon en 1906. Il fait l'objet d'une notice dans le Dictionnaire biographique et historique Alpes-Maritimes et Monaco (p. 518). Son frère Dominique (né à Vérone le 18 novembre 1860 et mort à Cannes le 24 mai 1928) est également peintre. Ses fils sont aussi devenus peintres et décorateurs. François (né à Cannes en 1881) et Ferdinand (Cannes, 1889-Cannes, 1946). Ils sont installés à Cannes mais interviennent dans la région. Ils collaborent souvent avec les architectes Dalmas comme à l'hôtel de France, à la villa Laure au Mont-Boron, au Ruhl ou au Palais de la Méditerranée à Nice. (Véronique Thuin)
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Auteur :
La villa, de grande taille, est construite sur une parcelle en terrasse, élevée de trois niveaux. La pente du terrain permet deux accès fermés par une grille en ferronnerie de style Art déco. Le corps principal forme un ensemble composite qui associe trois volumes sans distinguer de façade principale. L'étage de soubassement présente un appareillage de pierre irrégulier alors que les autres niveaux sont enduits. La façade orientée mer est marquée par un arrondi à l'est (avec terrasse sommitale ouverte sur l'horizon à travers des arcades) et un oriel. Les éléments de décoration caractérisent un style régionaliste provençal : composition de volumes imbriqués, rangs de génoises en bordure de rive ou marquant certains niveaux, enduit de couleur ocre (à l'origine "à la tyrolienne") contrastant avec une large composition peinte sous-toiture. Un faux pigeonnier est situé sur la façade ouest. Sur la façade nord, un ensemble rectangulaire de carreaux de céramiques rouges est apposé au milieu de la composition peinte. Le style Art déco est également identifiable à travers les portes d'entrée, la forme de l'oriel et des motifs de ferronnerie. Présence d'un accès à la porte d'entrée sous la forme d'une remarquable et originale galerie couverte, aux arcs brisés. La partie vers l'Ouest, où se développait l'essentiel du jardin, a été le plus sujette aux extensions-transformations comme le montrent les différentes photographies. Toiture en bâtière, correspondant aux divers frontons, le tout couvert de tuiles creuses. Même type de tuiles sur galerie d'accès. L'intérieur, conservé, montre un décor cossu, éloigné d'un style néo-régionaliste : plafond avec caissons, rampe art déco de l'escalier tournant à retours avec jour. L'étage de soubassement constitue un étage de service mais la cuisine est placée au rez-de-chaussée à côté de la salle-à-manger (selon plans originels).
La villa a été parfaitement restaurée en 2019. Cette restauration a permis de retrouver une coloration proche de l'original et de faire renaître les peintures couvrant largement le haut des façades. La restauration a permis aussi de reprendre le mur de soutènement sud, dans le style art déco qui avait été exécuté au nord en 1929, avec porte piétonne à fronton.
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Murs
- pierre moyen appareil
- crépi
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Toitstuile creuse
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Étagesétage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 2 étages carrés
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Couvertures
- toit en bâtière
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
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Techniques
- peinture
- ferronnerie
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Représentations
- arabesque
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Précision représentations
Peinture couvrant l'ensemble sous-toiture de la partie principale de l'édifice, au motif d'arabesque. La peinture bleue est appliquée dans une incision du ciment. Reprise du même motif sur le fronton de la porte piétonne d'accès au jardin. Ferronnerie Art déco des garde-corps et de la clôture.
Z Nice repérage
- 01-DENO maison
- 02-CHRONO 1920-1945
- 03-CARACTERE Art déco
- 04-TENDANCES néo-provençal
- 05-INTEGRITE réduite
- 06-VISIBILITE bonne
- 07-SITUATION isolé
- 08-IMPLANTATION sur jardin ou parc
- 09-MATERIAUX non applicable
- 10-MACONNERIE enduit et appareil
- 11-SUR FACADE bow-window
- 12-ENTREE non applicable
- 13-TOIT non applicable
- 14-COMBLES non applicable
- 15-DOME non applicable
- 16-BELVEDERE non applicable
- 17-FRISE peinture décorative sur façade
- 18-CERAMIQUE autres
- 19-MATERIEUX GROS OEUVRE non applicable
- 20-SITE dimension paysagère
- 21-LOTISSEMENT non applicable
- 22-PERGOLA oui
- 23-JOINTS non applicable
- 24-CLOTURES oui
- 25-AGREMENTS oui
- 26-COUR ANGLAISE non applicable
- 27-Châssis vitré et verrière non applicable
- 28-Eléments de distribution intérieur en verre non applicable
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Statut de la propriétépropriété d'une personne privée
- (c) Ville de Nice
- (c) Ville de Nice
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Image non consultable
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- (c) Ville de Nice
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- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Ville de Nice
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Ville de Nice
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Métropole Nice Côte d'Azur
- (c) Ministère de la culture, Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine
- (c) Ville de Nice
- (c) Ville de Nice
- (c) Ville de Nice
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Ville de Nice
- (c) Ville de Nice
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Ville de Nice
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- (c) Ville de Nice
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- (c) Ville de Nice
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- (c) Ville de Nice
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Ville de Nice
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Ville de Nice
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- (c) Ville de Nice
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- (c) Ville de Nice
- (c) Ville de Nice
Documents d'archives
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[Achat Charles Corardy, chemin des crêtes du Mont-Boron, Nice]. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice : conservation des hypothèques, vol 533 - n°48 (24 juin 1929).
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Nice, demande de permis de construire pour la villa Les lucioles par Charles et Marcel Dalmas, Marcel Guilgot architectes, août 1929. Archives communales, Nice : 2T573 780
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Nice, demande de permis de construire modificatif pour la villa Les lucioles, par Honoré Aubert architecte, avril 1936. Archives communales, Nice : 2T827 212
Bibliographie
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STEVE, Michel. Le ravalement et la conservation patrimoniale à Nice. Nice : ville de Nice, 2019. 55 p. ; 21 cm.
p. 34
Documents figurés
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Propriété de M. Corardy "Les lucioles", façade principale. / Tirage de plans. Charles et Marcel Dalmas, Marcel Guilgot. Août 1929. Archives communales, Nice : 2T573 780.
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Propriété de M. Corardy "Les lucioles", façade sur le jardin [ouest]. / Tirage de plans. Charles et Marcel Dalmas, Marcel Guilgot. Août 1929. Archives communales, Nice : 2T573 780.
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Propriété de M. Corardy "Les lucioles", façade nord. / Tirage de plans. Charles et Marcel Dalmas, Marcel Guilgot. Août 1929. Archives communales, Nice : 2T573 780.
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Propriété de M. Corardy "Les lucioles", façade est. / Tirage de plans. Charles et Marcel Dalmas, Marcel Guilgot. Août 1929. Archives communales, Nice : 2T573 780.
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Propriété de M. Corardy "Les lucioles", plan du sous-sol. / Tirage de plans. Charles et Marcel Dalmas, Marcel Guilgot. Août 1929. Archives communales, Nice : 2T573 780.
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Propriété de M. Corardy "Les lucioles", plan du rez-de-chaussée. / Tirage de plans. Charles et Marcel Dalmas, Marcel Guilgot. Août 1929. Archives communales, Nice : 2T573 780.
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Propriété de M. Corardy "Les lucioles", plan du 1er étage. / Tirage de plans. Charles et Marcel Dalmas, Marcel Guilgot. Août 1929. Archives communales, Nice : 2T573 780.
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Propriété de M. Corardy "Les lucioles", plan du 2e étage. / Tirage de plans. Charles et Marcel Dalmas, Marcel Guilgot. Août 1929. Archives communales, Nice : 2T573 780.
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Propriété de M. Corardy, villa "Les lucioles" (au Mont-Boron) [plan de l'extension]. / Tirage de plan. Honoré Aubert. 1936. Archives communales, Nice : 2T827 212.
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Propriété de M. Corardy, villa "Les lucioles" (au Mont-Boron) [façade sur jardin transformée]. / Tirage de plan. Honoré Aubert. 1936. Archives communales, Nice : 2T827 212.
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[Villa Les lucioles, Nice, façade principale]. / Photographie anonyme, non datée [circa 1930]. Collection Didier Gayraud.
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[Le jardin de la Villa Les Lucioles avant 1936]. / Photographie noir et blanc anonyme. Non datée [entre 1929 et 1936]. Collection particulière.
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[Jardin de la villa Les Lucioles, Mont-Boron, Nice, après 1936]. / photographies (lot de 6), négatifs sur plaques de verres. Jean Giletta. Non datées [après 1936]. Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Charenton-le-Pont : GLT 02467.
Date(s) d'enquête :
2016;
Date(s) de rédaction :
2016
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Prédal Christophe
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Prédal Christophe
Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.
Articulation des dossiers
Parties constituantes
Fait partie de
Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.