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ouvrage fortifié dit crémaillère du Faron Toulon - Mont FaronDescription :'occupe ce fort. A la gorge de la partie rampante du retranchement, la route militaire du Mont-FaronCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurAuteur :[ingénieur militaire] DauthevilleTexte libre :sur l’achèvement de la tour de la Croix-Faron : (60.000 f) et de la route militaire du Faron (40.000 actuelle du Mont Faron reprend à peu près le tracé du chemin, puis route militaire amorcé vers 1766 . L’ensemble de l’ouvrage est desservi à la gorge par les lacets quelque peu irréguliers de la route militaireRéférence documentaire :P. 121. CROS, Bernard. Citadelles d'Azur, quatre siècles d'architecture militaire varoise. Aix-en
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ouvrage fortifié dit retranchement du Pas de Leydet ; poudrière actuellement chapelle Notre Dame du Faron Toulon - Mont FaronDescription :militaire, longe à droite (au sud) la petite éminence rocheuse bien dégagée à 509 m d'altitude que couronneCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurTexte libre :explicitement, avec une zone de servitude militaire associée, sur son tracé linéaire complet suivant du Pas de la Masque. D’après la légende d’un plan du domaine militaire dressé en 1855 pour synthétiser des recherches sur l’origine des propriétés militaires sur le Faron, « L’extrémité nord du le nouveau tracé direct de la route militaire du Faron créé en 1875 entre la tour Beaumont et la Beaumont, sur un « Plan du terrain militaire des ouvrages du Faron » datable du début du XXe siècle. La , ancien aumônier militaire, qui avait choisi le vocable de Notre-Dame de préférence à celui de Jeanne de ceux qui tombèrent pour la libération de la France ; hommes et femmes, civils et militaires branche ouest la « route du Faron », ancienne route militaire, après la desserte du fort du Grand Saint Beaumont. C’est l’ancien tracé de la route militaire. La route du Faron (tracé de 1875) se continue à l’est batteries annexes indiquées au début du XXe siècle, l’ancienne route militaire se continue sur le plateauHistorique :, attenante au retranchement. A cette date est créé un nouveau tracé de la route militaire du Faron passant
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ouvrage fortifié : batterie de la Croix des Signaux Saint-Mandrier-sur-Mer - la Croix des Signaux - en écartCadre de l'étude :enquête thématique régionale architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'AzurTexte libre :réserve ?). Le 14 octobre 1902, l'autorité militaire décide le déplacement du mausolée Latouche-Tréville pierre par pierre, le monument est reconstruit dans le cimetière militaire de l'hôpital de Saint-Mandrier allemand au Commandement militaire maritime italien en France, occupation qui dure jusqu'au 8 septembre sont desservis, depuis l'esplanade d'entrée du fort, par un chemin militaire qui contourne le fort par l'identique dans le cimetière militaire de la marine de Saint-Mandrier. Des graffiti, parfois millésimésHistorique :Signaux, 200m en contrebas à l'est / sud-est de la batterie principale. L'autorité militaire déplace en cimetière militaire de l'hôpital de Saint-Mandrier. En 1912-1913, la batterie principale estRéférence documentaire :Atlas des bâtiments militaires. Batterie annexe de la Croix des Signaux. [Plan de situation, plan P. 128. CROS, Bernard. Citadelles d'Azur, quatre siècles d'architecture militaire varoise. Aix-en
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