Cet oratoire n'est pas figuré sur la Carte des frontières Est de la France, de Colmars à Marseille, dressée dans les années 1780. Sa construction remonte sans doute au premier quart du 19e siècle ; il figure sur le plan cadastral de 1835, où il est situé dans une parcelle de "pâturage" appartenant à la commune de La Palud.
L'enquête de 1987 indique qu'il constituait une halte lors de la procession de l'Ascension, et qu'il faisait partie d'une série de trois oratoires installés sur l'échine rocheuse de La Graou, en direction de la route de la Maline. Le vocable est alors perdu.
La plaque en bois peinte date de la fin du 20e siècle.