Dossier d’œuvre architecture IA06002946 | Réalisé par
Hérault Marie (Rédacteur)
Hérault Marie

Architecte diplômée d’État. Historienne des jardins et du paysage. Doctorante en histoire de l'art.

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Prédal Christophe (Rédacteur)
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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  • recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
jardin d'agrément du château du Mont-Boron dit Château de l'Anglais
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Métropole Nice Côte d'Azur

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Nice - Nice
  • Commune Nice
  • Lieu-dit Mont-Boron
  • Adresse avenue Jean Lorrain
  • Cadastre 2017 KH 0160  ;
  • Dénominations
    jardin d'agrément
  • Appellations
    Jardin du Château de l'Anglais
  • Dossier dont ce dossier est partie constituante

HISTORIQUE

Le Mont Boron n’est pas encore « la plus voluptueuse, la plus somptueuse des collines niçoises » que décrit en 1920 Dominique Durandy. En 1856 il s’agit encore d’un promontoire vierge de toute construction - exception faite du Mont Alban – et de route. Rocailleux, les terrains dit de « bandites » appartiennent à la ville et sont loués par des bergers descendant de la montagne en hiver. Ce promontoire à l’est de Nice possède néanmoins une vue sur toute la Baie des Anges et bien au-delà. Un colonel anglais à la retraite, Robert Smith (1787-1873), a pour hobby la construction de demeures de style indien. Il a en effet fait toute sa carrière militaire en Inde et à restaurer de nombreux édifices. Peintre à ses heures, il aime croquer sur ses carnets de paysages des bâtiments comme le Qutb Minar de Dehli, le Fort Rouge ou la tombe de Sfdar Jang Hean’Red. Ses tableaux évoquant les Indes sont des peintures reconnues. En 1846 il aménage à Rome une villa dans le style indien et en 1854 il conçoit une autre « folie », à Paignton, le Redcliffe Tower, d’inspiration indienne A 69 ans il achète le 6 avril 1856 à la ville de Nice pour 10 000 f un peu plus de 22 406 m², « une terre en friche, sans aucune plantation, presque entièrement rocailleuse et abrupte » où il va établir une troisième folie, variante des précédentes.

Son idée : « rendre à la culture une portion de terrain rocailleux et inculte qui se trouve sur le versant du couchant du promontoire de Montboron et y construire une bâtisse qui ne manquera pas de concourir à l’embellissement de ce quartier » Il y fait en effet construire une demeure de style éclectique adoptant des références à l'architecture moghole - en référence à ses années de service en Inde. En 1860 il devient membre de la Société Centrale d’Agriculture, d’Horticulture et d’Acclimatation de Nice et des Alpes-Maritimes. Il décède en Angleterre en 1873 laissant son œuvre non achevée. Son fils vend en 1875 la propriété qu’il a au préalable agrandie en achetant une petite parcelle triangulaire située à l’est de la propriété en dessous de la route de Villefranche (afin de conserver le mur de clôture construit par le colonel).

Le comte Melchior Gurowski de Wczele, consul d’Autriche-Hongrie à Nice est l’acheteur. La propriété, renommée "Château du Mont-Boron" est alors décrite comme « château, rotonde, galeries, villa et autres bâtiments tous incomplets et en mauvais état, et un terrain inculte, rocailleux, complanté de diverses plantes d’agrément, le tout clos de murs sauf du côté de la mer ». C'est probablement lorsque le comte Melchior Gurowski de Wczele est le propriétaire que le parc devient plus arboré. Certaines photographies montrent en effet que le terrain était encore très aride lorsque le colonel Smith en était le propriétaire (entre 1856 et 1873). Les terrains au-dessus de la route de Nice à Villefranche (dont la villa des Tours) ne sont pas compris dans la vente dont le montant est de 45 000 F. Le comte agrandit le domaine en achetant en avril 1875 la propriété qui le jouxte à l’est, en dessus et en dessous de la nouvelle route de Villefranche. Il meurt en 1908. Dominique Durandy signale en 1920 que ces cendres reposent dans la petite « fabrique » (petite construction élevée dans un jardin) en forme de mausolée miniature au bout de la propriété, actuellement située au 13 avenue Jean Lorrain. Mais aucun document ne le prouve. Comme pour Robert Smith, aucun document ou presque ne nous est parvenu si ce n’est le plan et sa réalisation en 1913 d’un pavillon de gardien de plan carré, d’environ 5m de côté, sommé de deux tourelles à bulbes. Son esthétique respecte celle instaurée par Smith, ce qui laisse penser que le comte Gurowski et son fils Dudley lui ont été fidèle par certains côtés. Cependant de nombreux bouleversements ont transformé profondément l’idée originelle, notamment l’ajout d’un étage qui annule l’effet des deux tours latérales ou la modification du crénelage. Le fils de Melchior, le comte Dudley Beaumont Gurowski de Wczele se défait de la propriété en 1926 pour un montant de 1 925 000F. L’acquéreur est la société à responsabilité limitée dite « Château du Mont-Boron », également désignée comme « société du Cap de Nice », société formée entre M. Guenot et M. Léon Klibansky, banquier. La création d’un lotissement (35 parcelles) est approuvée en septembre 1927. A cette date, le château semble divisé en appartements. Le Château passe de société civile en société civile et en 1934 sa destruction est envisagée. Il faut croire que le Château est devenu un emblème niçois car l’annonce de cette destruction crée une grande émotion dans la population et le projet est annulé. En 1945 il semblerait qu’un restaurant de luxe ait pris place aussi dans le Château qui redevient une copropriété dès 1958, ce qu'il est toujours aujourd'hui.

DESCRIPTION

Plan d'ensemble de la propriété et description des bâtiments

D'une surface d'environ 23 250 m2 à l'origine, la propriété Smith occupait un terrain en pente culminant à 67 mètres au dessus de la mer et y descendant abruptement sur une centaine de mètres. La route de Nice à Villefranche - actuel boulevard Carnot - scindait la propriété en deux, laissant à l'est une parcelle triangulaire de 1 700 m2, occupée par deux bâtiments en construction, un pavillon et un espace libre portant la mention "terres", mentionnés sur les états de section du cadastre de 1871. Ces constructions étaient sans doute destinées à la domesticité (Gayraud, 2011, p.56). La partie principale de la propriété, à l'ouest de la route de Nice à Villefranche occupait une surface d'environ 21 550 m2. A l'ouest de la demeure et descendant vers la mer jusqu'à une bande de pâtures parallèle au rivage se déploie un parc d'environ 1,4 hectares. Plusieurs zones aux abords directs de la demeure portent la mention "terres", ce qui les distingue du "parc" désignant la plus grande partie de la propriété.

Plan de la propriété Smith en 1871, DAO Marie Hérault.Plan de la propriété Smith en 1871, DAO Marie Hérault.

Peut-être sont-ce à l'époque des parterres découpés de gazon dont le plan de ... nous livre un détail. La propriété Smith est un véritable belvédère sur la Baie des Anges qui lui fait face. En 1861, André Burnel, journaliste à la Revue de Nice, livre une description de la propriété du colonel Smith, que ce dernier lui a fait visiter : « Des pièces d’eau ont été creusées dans le rocher, des arbustes et des arbres ont été plantés sur la terre apportée à grand frais, là où le roc le plus aride existait il y a quatre ans à peine. Des parterres garnis de roses, de géraniums et de fleurs rares sont éparpillés çà et là sur le rebord de la corniche élevée qui domine la mer. » (Revue de Nice, 1861, reproduit dans Gayraud, 2011, p.55). Ce témoignage traduit l'étonnement de l'époque quant à la prouesse d'avoir créé un jardin sur l'aride terrain préexistant. On note la présence sur le cadastre de six réservoirs répartis sur le site ainsi que de nombreuses fabriques. Une promenade dessert les fabriques reliées entre elles par des passerelles en pierre permettant de jouir du paysage environnant depuis différents points de vue et niveaux.

De très nombreux éléments du parc originel ont disparu suite à son lotissement : « Si seuls subsistent aujourd’hui le château et quatre constructions extérieures, la "Villa Smith" se décomposait à l'origine en un grand bâtiment d'habitation flanqué de trois tours, la terrasse circulaire dominant un immense jardin parcouru par un complexe réseau de pavillons, de grandes allées et de belvédères, de fontaines et de kiosques, de rampes et d'escaliers de maçonnerie tandis qu'un jardin singulier, presque chaotique, descendait sans interruption de la crête vers la côte rocheuse » (Brun, 2017, p.154-155). On peut encore observer dans le parc le monument élevé par Smith à la mémoire de ses chevaux et les tombes des chiens du comte Gurowski de Wczele.

Le bâtiment principal se compose d’un long corps formant une galerie à arcades dont le centre est surmonté d’une tour ronde massive à fenêtres et oculi et dont les extrémités sont formées de deux tourelles. Un escalier à double révolution descendait jusqu’à une rotonde dont la coupole est percée d’ouvertures. Le château, élevé sur un rez-de-jardin abritant une partie des communs, comportait deux niveaux. Un rez-de-chaussée à arcades couvrant toute la longueur de la bâtisse était surmonté d’un étage consacré aux chambres dont les fenêtres s’ouvraient sur une large terrasse. Au-dessus, sur le toit-terrasse, un escalier extérieur permettait de rejoindre la tourelle centrale ornée de larges créneaux et d’échauguettes à bulbe rappelant les palais indiens. Pour parachever son œuvre, Robert Smith ajouta sur ce toit deux constructions aux allures de frontons semi-circualires dentelés rappelant, encore une fois sans les imiter, les édicules coiffant le sommet des temples de Madurai ou du Palais des vents à Jodphur. On ne sait si c'est le Major Smith ou le Comte Gurowski qui ont inséré des touches plus anglaises au moyen d’appliques en terre cuite : des masques de lions, des médaillons représentant Saint Georges terrassant le dragon et d’autres médaillons symbolisant les nations britanniques, la rose, le chardon et le trèfle. Ces derniers sont d’ailleurs repris en décoration intérieure dans la coupole de la Rotonde. D’autres éléments, comme des croix en relief ou des animaux marins viennent compléter le dispositif décoratif.

C’est Hippolyte Mayrargues qui décrit le plus le lieu en 1877, sans distinguer les travaux de Smith et de Gurowski : « A peine entré dans le jardin, on voit, à gauche, une maison bâtie en briques rouges et dont l’aspect est vraiment monumental. Cette maison a trois étages : le rez-de-chaussée est divisé en salon, boudoir, salle à manger, salle de billard. Au milieu d’une vaste antichambre qui sépare le salon des communs, est un magnifique escalier en marbre, menant à une salle de spectacle de forme ronde où peuvent tenir quatre à cinq cent personnes. Le plafond de cette salle est vitré, ce qui permet d’y jouer, même en plein jour. De petites loges l’entourent ; elles sont séparées par des cloisons, de manière à former, les jours de fêtes, autant de petits salons pour les soupers ». A l’intérieur, elle est décorée de médaillons de Victoria et d’Albert ainsi que de Napoléon III et de l’impératrice Eugénie.

Hippolyte Mayrargues continue par la description du terrain : « Un vaste bassin, en rocaille, dessiné d’une manière très pittoresque, domine le terrain de la villa et alimente toute la propriété. De l’autre côté de la route se trouvent d’autres constructions de même style auxquelles l’ancien propriétaire de la villa avait donné le nom de "Melon Lodge". On descend de deux façons à la mer : par une route et par un escalier. J’ai parlé plus haut de la route ; l’escalier a plus de deux cents marches. Du reste, il n’est pas fatigant, car de distance en distance, se trouve, soit un pavillon, soit un abri, soit une terrasse où l’on se repose sur de beaux bancs en marbre et l’on admire le paysage qui s’étend devant vos yeux ravis. L’escalier conduit à un port en miniature creusé dans le roc ; de chaque côté de l’anse on a percé un abri : l’un pour un yacht de plaisance que l’on peut facilement mettre à l’eau ; l’autre sert de cabine aux habitants du château lorsqu’ils veulent se baigner. Enfin, sur des rochers qui s’avancent dans la mer, une croix de marbre blanc indique les limites de la propriété. L’on peut venir s’y asseoir, y pêcher ou contempler la mer qui s’étend aussi loin que l’on jette les yeux et dont la frange blanche vient se briser à vos pieds. Je crois qu’il est impossible de trouver à Nice un endroit plus poétique, plus beau, plus souverainement imposant que ce coin de terre. Tout dans la villa de Wczelle est fait pour charmer la vue, élever l’esprit et réjouir le cœur ».

A partir de 1856, le colonel anglais Robert Smith (1787-1873) fait édifier sa demeure de style éclectique, adoptant des références à l'architecture moghole - en référence à ses années de service en Inde - connue sous le nom de « château de l'anglais » sur le cap de Nice à l'est de la ville.

Le fils de Robert Smith vend la propriété en 1875 au comte Melchior Gurowski de Wczele, originaire de Pologne, consul d’Autriche-Hongrie à Nice. La propriété est renommée « Château du Mont Boron ». C'est probablement lorsque le comte Melchior Gurowski de Wczele est le propriétaire que le parc devient plus arboré. La propriété est une nouvelle fois vendue par le fils du comte Melchior Gurowski de Wczele dans les années 1920.

Elle passe alors entre les mains de différentes sociétés immobilières qui entreprennent le lotissement progressif des terrains. En 1926, la société immobilière "La Concorde" acquiert le terrain qu'elle lotit et divise en 35 parcelles. Cette même société trace l'actuel boulevard Jean Lorrain, qui traverse latéralement le bas de la propriété. Elle conserve toutefois le château, laissé hors lot à ce moment là. En 1927, le château lui-même est divisé en appartements. Il s'agit encore aujourd’hui d’une copropriété (depuis 1949).

La cour et les jardins du château sont inscrits au titre des monuments historiques depuis le 6 juin 2000.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 19e siècle , daté par source
    • Secondaire : 4e quart 19e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1856, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Smith Robert , dit(e) colonel Smith
      Smith Robert

      Ingénieur du génie civil à partir de 1803 pour le compte de la Compagnie des Indes Orientales, il restaure comme architecte plusieurs monuments indiens : le Fort-Rouge, la mosquée Qutb Minar de Dehli ou la tombe de Sfdar Jang Hean'Read. Il construit dans un style néo-gothique les églises Saint-James à Dehli et Saint-George à Pennang en Malaisie. En 1846 il aménage à Rome une villa dans le style moghol et en 1854 il construit à Paingnton le Redcliffe Tower, d'inspiration indienne.

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    • Auteur :
      Gurowski de Wczele Melchior
      Gurowski de Wczele Melchior

      Le comte Melchior Gurowski de Wczele, consul d'Autriche-Hongrie à Nice. Il est également Commandeur de l'ordre royal d'Isabelle la catholique, Officier de l'Instruction publique, Commandeur de l'ordre souverain de Malte, Chevalier de la couronne de fer ou Chevalier de la Légion d'honneur. Il est propriétaire du château du Mont-Boron de 1875 à 1908. Son fils vendra la propriété en 1926.

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D'une surface d'environ 23 250 m2 à l'origine, la propriété Smith occupait un terrain en pente culminant à 67 mètres au dessus de la mer et y descendant abruptement sur une centaine de mètres. A l'ouest de la demeure et descendant vers la mer jusqu'à une bande de pâtures parallèle au rivage se déploie un parc d'environ 1,4 hectares. La propriété Smith est un véritable belvédère sur la Baie des Anges qui lui fait face. De très nombreux éléments du parc originel ont disparu suite à son lotissement ; des éléments restants sont dispersés dans les jardins de certaines villas. A l'origine très aride (comme l'ensemble de la colline avant les campagnes de reboisement de la fin du 19ème siècle) et plein de rochers, le terrain est aujourd'hui davantage arboré (pins maritimes notamment) en raison des plantations effectuées par les propriétaires successifs.

  • Plans
    jardin irrégulier
  • Élévations extérieures
    jardin en pente, jardin accidenté, jardin en terrasses
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur
  • Jardins
    pièce de gazon, groupe d'arbres
  • Techniques
  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Protections
    inscrit MH, 2000
  • Précisions sur la protection

    Éléments protégés au titre des Monuments historiques : garage ; cour ; jardin ; décor intérieur ; élévation ; plafond ; coupole par arrêté du 20/06/2000.

Bibliographie

  • HEAD, Raymond. Colonel Robert Smith : Artist, Architect and Engineer. Dans Country Life, 28/05/1981.

  • GAYRAUD Didier. Le Château Smith, dit Château de l'Anglais ou Château de Mont Boron. Dans Nice Historique n°565, 2011.

  • BOURSIER-MOUGENOT, Ernest. Inventaire des parcs et jardins remarquables des Alpes-Maritimes. Nice : Conseil général des Alpes-Maritimes, 1994. 161 p.

    p. 101
  • GAYRAUD, Didier. Belles demeures en Riviera, 1835-1930. Nice : Éditions Gilletta-Nice-matin, 2005, 303 p.

    p. 168

Documents figurés

  • [Vue du château de l'Anglais] / photographie positive à partir d'un négatif sur verre au collodion [Détail sur le château de l'Anglais] par Charles Nègre. Non datée [vers 1860]. 18 x 24 cm. Archives départementales des Alpes-Maritimes : 8 FI 15.

  • Nice, le Château de l'Anglais Smith / Aquarelle par Vincent Fossat, 19ème siècle. 15,8 cm x 22,6cm. Nice, Bibliothèque de Cessole, n° d'inv. 4437 (C.5).

  • Collection artistique - 143 - Nice, le Château Smith. / Carte postale anonyme, non datée. Archives communales, Nice : 10 Fi 475.

  • [Château Smith à Nice] Album de photographies dit Album Cane. / Photographie sur papier albuminé par Jean Giletta. Non daté [1893 à 1899] ; 30 x 44 cm.

  • [château de l'Anglais]. / Photographie noir et blanc par Eugène Degand. Non datée [circa 1860]. Collection particulière.

  • Nice - entrée du château des [sic] Anglais - Mont-Boron. / Carte postale anonyme. Non datée. Collection particulière.

    Collection particulière
  • 159 - Nice - Château de Mont-Boron, vieille porte sur la terrasse de vis à vis. / Carte postale anonyme. Non datée. Collection particulière.

  • 504 - Nice - Château de l'Anglais, première terrasse. / Carte postale anonyme. Non datée. Archives communales, Nice : 10 Fi 199.

  • Nice - La Réserve et l'entrée du port, vus du château de l'Anglais. / Carte postale anonyme. Non datée. Collection particulière.

  • Plan schématique d'ensemble du lotissement de superluxe du Château de l'Anglais, bd Carnot à Nice par Mr P. Piccon, 30 juin 1927. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice : 03E114/706.

Date d'enquête 2017 ; Date(s) de rédaction 2017
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Hérault Marie
Hérault Marie

Architecte diplômée d’État. Historienne des jardins et du paysage. Doctorante en histoire de l'art.

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Prédal Christophe
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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