Dossier d’œuvre architecture IA06004241 | Réalisé par
  • inventaire topographique
ferme
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) SIVOM Pays de Vence
  • (c) Inventaire général, Région Provence-Alpes-Côte d'Azur

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays de Vence
  • Commune La Gaude
  • Adresse 112 voie communale des Maires
  • Cadastre 1834 D 675 ; 687 ; 688  ; 2021 BC 36
  • Dénominations
    ferme
  • Parties constituantes non étudiées
    entrepôt agricole, aire à battre, pressoir à vin, séchoir, cellier

Commentaire historique

Vue d'ensemble prise de l'est. Vue d'ensemble prise de l'est. Bâtiment du logis. Vue d'ensemble prise de l'est depuis la voie communale des Maires. Bâtiment du logis. Vue d'ensemble prise de l'est depuis la voie communale des Maires. Bâtiment du logis. Elévation sud sur la voie communale des Maires, vue d'ensemble prise du sud-ouest.Bâtiment du logis. Elévation sud sur la voie communale des Maires, vue d'ensemble prise du sud-ouest.

La construction de cette ferme remonte très probablement à l’époque Moderne. A l’origine, la maison-bloc était sans doute constituée uniquement des deux premières travées de la partie sud-est. Elle fut agrandie progressivement vers l’est puis au nord, au moins par l’ajout de deux extensions lisibles sur les élévations. Le dernier ajout pourrait remonter au quatrième quart du 18e siècle, voire au premier quart du 19e siècle, considérant notamment l’encadrement de la porte du logis de la façade ouest, caractéristique de ceux observés dans la commune à cette période. Le plan cadastral napoléonien levé en 1834 confirme que l’ensemble des adjonctions avait déjà été construites à cette date. La propriété appartenait alors à Emilie Berenger, demoiselle à La Gaude. Cela englobait la maison d’une superficie de 500 mètres carrés et dotée de 10 ouvertures imposables (D 675), un hangar de 42 mètres carrés (D 687), une aire à battre de 148 mètres carrés (D688), un jardin de 90 mètres carrés (D 689) et deux terrains d’oliviers d’environ 2000 mètres carrés (D 676 et 690). La propriétaire possédait d’autres terrains, de vignes notamment, disséminés à l’extérieur du bourg. Au total, sa propriété foncière s’étendait à 31 550 hectares, lui valant 600 francs de revenus. Elle est ensuite transmise à plusieurs héritiers : Carbonel en 1879, Trastour en 1883 et Grazielly en 1917.

A partir de 1882, 12 ouvertures imposables sont signalées sur les matrices cadastrales. La lecture des élévations révèle une surélévation de l’angle sud-est de la maison, avec l'ouverture d'une baie supplémentaire côté sud. Celle-ci a pu intervenir dans la seconde moitié du 19e siècle. Une carte postale montrant un état autour de 1910 atteste de cette augmentation. La façade sud a probablement été harmonisée à ce moment. Les encadrements en briques et ceux en pierre de taille des portes des celliers semblent stylistiquement contemporaines.

1180. – LA BASSE-GAUDE (A.-M.) / La Place et la Fontaine. – FL. [Vue prise du sud. En arrière plan au centre, la façade sud de la ferme surélevée].1180. – LA BASSE-GAUDE (A.-M.) / La Place et la Fontaine. – FL. [Vue prise du sud. En arrière plan au centre, la façade sud de la ferme surélevée].

Aujourd’hui, la propriété appartient à la famille Feraud qui l’occupe au quotidien.

Analyse architecturale

Cette ferme se situe au cœur du quartier de Trigan, à l’intersection de deux voies : l’ancien chemin menant à Vence (actuel voie communale des Maires) au sud et la voie communale des Trigans à l’ouest. Elle se compose d’une maison-bloc en hauteur entourée au nord-ouest d’un verger, au nord-est d’un entrepôt agricole ouvert sur une aire à battre et de terrains d’oliviers qui s’étendent à l’est.

Bâtiment principal

Plan et élévations

Le bâtiment du logis, implanté perpendiculairement à la pente, sans mitoyenneté, est le résultat de l’augmentation d’au moins deux extensions accolées à l’est puis au nord à une première maison-bloc, ainsi que d’une surélévation de l’angle sud-est, lisible sur les deux façades. Le plan final est en forme de L. La maison se compose de deux étages de soubassements, d’un rez-de-chaussée surélevé et d’un étage de comble. L’accès au logis se fait par une porte aménagée sur la façade est qui remplace l’ancienne entrée principale au deuxième niveau de la façade ouest desservie par un escalier parallèle.

Bâtiment du logis. Vue d'ensemble prise de l'ouest depuis la voie communale des Trigans. Bâtiment du logis. Vue d'ensemble prise de l'ouest depuis la voie communale des Trigans.

Construite en maçonnerie de moellons calcaire, la façade orientée au sud donnant sur la voie communale des Maires et celle à l'ouest donnant sur la voie communale des Trigans sont couvertes d’un enduit rustique au mortier de gypse, tandis que les élévations moins visibles depuis la rue (façades nord et est) présentent un enduit à pierres vues, ponctué de nombreuses inclusions de cailloux, galets et briques, particulièrement pour la partie nord.

Les ouvertures sont de formes et de matériaux variés : les deux portes des celliers du premier niveau de l’élévation de la façade sud présentent des encadrements en pierre de taille aux finitions grossièrement épannelées avec les arêtes ciselées. La forme de leur arc diffère cependant : celle à l’ouest est couverte de deux claveaux disposés en arc brisé tandis que celle à l’est en possède trois assemblés en arc en plein-cintre. Sur la façade est, la porte du logis se distingue par un encadrement en pierre de taille calcaire en arc segmentaire, avec les finitions bouchardées et les arêtes ciselés. Les baies du logis ouvertes sur la rue sont façonnées au mortier avec feuillure. Elles sont occultées à l’intérieur par des volets et à l’extérieur par des persiennes articulées. Les appuis des ouvertures du dernier niveau de l’élévation de la façade sud sont soulignés de deux corbeaux en bois qui pourraient correspondre à des supports accueillant des planches servant de séchoirs temporaires, ou éventuellement de potences pour des fils à linges. Enfin, certains encadrements ont été montés en briques avec des arcs segmentaires.

Bâtiment du logis. Elévation sud, partie centrale.Bâtiment du logis. Elévation sud, partie centrale.Bâtiment du logis. Elévation sud, premier niveau. Porte d'entrée du cellier est. Bâtiment du logis. Elévation sud, premier niveau. Porte d'entrée du cellier est. Bâtiment du logis. Elévation est, premier niveau. Porte du logis.Bâtiment du logis. Elévation est, premier niveau. Porte du logis.

Bâtiment du logis. Elévation sud, partie ouest, premier niveau. Ancienne porte d'accès au cellier ouest.Bâtiment du logis. Elévation sud, partie ouest, premier niveau. Ancienne porte d'accès au cellier ouest.Portail d'accès à l'escalier extérieur menant à l'entrée du logis au sud-est de la propriété.Portail d'accès à l'escalier extérieur menant à l'entrée du logis au sud-est de la propriété.

La toiture diffère selon les parties de la maison : celle au sud-ouest est à long pans, tandis que les adjonctions vers l’ouest et la partie nord ne présentent qu’un seul pan. Les avant-toits et les saillies de rives sont agrémentés de deux rangées de génoises soulignées d’un filet de mallons de terre cuite, avec une génoise en éventail dans l’angle sud-est qui assure une prolongation entre les deux façades. L’ensemble est couvert de tuiles creuses.

Fonctions et aménagement intérieurs

Le premier étage de soubassement, uniquement pour la partie sud de la maison, comprenait initialement trois celliers, deux aujourd’hui, correspondant chacun aux différentes extensions. Ils disposaient tous d’une entrée indépendante sur la façade sud. Celle située le plus à l’ouest a été à-demi murée et l’accès se fait depuis par le cellier central réuni avec le cellier ouest par une porte percée à l’intérieur, dans l’ancien mur-pignon de la première maison-bloc. Ce cellier comprend deux parties distinctes : à l’ouest, la salle de pressurage avec un pressoir à vin et trois banquettes de stockage maçonnées pour accueillir les tonneaux de vin ; à l’est, un espace accueillant les cuves vinaires et une banquette de stockage.

Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier ouest. Vue de volume prise de l'est. Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier ouest. Vue de volume prise de l'est. Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier central. Vue de volume prise de l'ouest. Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier central. Vue de volume prise de l'ouest.

Le pressoir à vin, d’environ 2,5 mètres de hauteur, correspond aux modèles anciens de pressoirs à vis comparables à ceux des moulins à huile produits jusque dans la seconde moitié du 19e siècle. Entièrement en bois, il se compose d’un socle avec un plateau carré sur lequel étaient déposés les raisins. Deux montants l’encadrent et traversent une poutre en partie haute au centre de laquelle est disposée la vis de pressurage. Celle-ci s’abaissait sur le plateau grâce à l’insertion d’une barre dans sa tête manipulée ensuite par la force de l’homme. Les traces de son fonctionnement s’observent sur la voûte. Un espace creusé dans le sol permet d’insérer un tonneau dans lequel le jus pressé est directement récupéré. A côté de ce pressoir, un cabestan a été fixé au sol. Il se compose d’un arbre mobile, scellé en partie basse sur un milliaire en pierre calcaire et rattaché au sommet à une poutre dont les extrémités s’ancrent dans la maçonnerie de la pièce. La corde enroulée autour de l’arbre était fixée à l’extrémité de la barre en bois des presses à bras, ce qui réduisait les charges lors de l’abaissement de la vis. Cet espace est éclairé par l’ancienne porte à demi-murée en partie basse et par deux autres jours : un à l’ouest et le second sur la façade sud.

Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier ouest. Pressoir à vis. Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier ouest. Pressoir à vis. Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier ouest. Pressoir à vis. Détail des marques occasionnées par la vis du pressoir sur la voûte.Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier ouest. Pressoir à vis. Détail des marques occasionnées par la vis du pressoir sur la voûte.Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier ouest. Cabestan.Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier ouest. Cabestan.

La seconde partie du cellier à l’est est plus étroite. Les cuves vinaires, de forme circulaire, sont en bois cerclées de fer et mesurent environ 2 mètres de hauteur. Elles sont disposées respectivement dans les angles nord-ouest et sud-ouest de la pièce, de part et d’autre de la porte menant à la salle de pressurage. Un petit pressoir vertical plus moderne se trouve également dans cette pièce. Il s’agit d’un mécanisme à vis verticale mécanique muni d’une cage en bois. Cette pièce est éclairée par deux jours de part et d’autre de la porte d’entrée. Elle correspond à la première extension de la maison-bloc.

Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier central. Vue de volume prise de l'est avec les deux cuves vinaires en bois.Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier central. Vue de volume prise de l'est avec les deux cuves vinaires en bois.Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier central. Pressoir à vis mécanique.Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier central. Pressoir à vis mécanique.

La partie la plus à l’est, correspondant à la deuxième extension du bâtiment, devait être un autre cellier ayant aussi pu servir d’étable. Un jour a été percé à l’est de l’entrée.

Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier est. Vue de volume prise du sud. Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier est. Vue de volume prise du sud. Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier est. Vue de volume prise du sud-ouest.Bâtiment du logis. Premier étage de soubassement, cellier est. Vue de volume prise du sud-ouest.

L’ensemble de cet étage de soubassement est pavé de carreaux de terre cuite, disposés de manière anarchique dans les deux premières pièces, en chevrons pour la salle située à l'extrémité est. Les pièces sont couvertes d’une voûté coffrée en berceau segmentaire. Un arc doubleau scinde le cellier ouest en deux parties.

Le deuxième étage de soubassement accueille le logis, accessible par une porte sur la façade est. Le vestibule dessert au sud une salle à manger et au nord une cuisine. Depuis la salle à manger, les pièces de la partie sud de la maison se succèdent vers l’ouest en enfilade : salle à manger, salon, puis deux chambres, la dernière remplaçant une cuisine accessible à l’origine depuis l’entrée initiale sur la façade ouest (source orale). Dans la partie nord, la cuisine est équipée d’une grande cheminée à manteau incluant un four à pain. Un tournebroche mural à contrepoids permettait d’y faire cuire la viande.

Bâtiment du logis. Deuxième étage de soubassement, cuisine. Porte du four à pain dans la cheminée.Bâtiment du logis. Deuxième étage de soubassement, cuisine. Porte du four à pain dans la cheminée.Bâtiment du logis. Deuxième étage de soubassement, cuisine. Tourne-broche à contrepoids mural. Bâtiment du logis. Deuxième étage de soubassement, cuisine. Tourne-broche à contrepoids mural.

Une souillarde, pièce dédiée initialement à laver la vaisselle, a été aménagée dans l’angle nord-ouest de la pièce. Un deuxième cellier a été installé au nord, accessible par une porte depuis la cuisine, à l’ouest de la cheminée. L’arrière du four à pain y est visible ainsi que des banquettes de stockages maçonnées. Une ancienne porte de service permettait d’accéder directement à cet espace depuis l’extérieur à l’est et desservait aussi la souillarde, signalant le développement de parties uniquement dédiées au service. Le cellier est également pavé de carreaux de terre cuite (feuillets). Ses murs sont blanchis à la chaux et une voûte en berceau plein cintre couvre l’ensemble.  

Deuxième étage de soubassement, cellier. Vue de volume prise de l'ouest avec la cloison de la chambre de cuisson du four à pain au premier plan. Deuxième étage de soubassement, cellier. Vue de volume prise de l'ouest avec la cloison de la chambre de cuisson du four à pain au premier plan. Deuxième étage de soubassement, cellier. Vue de volume prise de l'est.Deuxième étage de soubassement, cellier. Vue de volume prise de l'est.

Le rez-de-chaussée surélevé est accessible depuis le vestibule par un escalier droit maçonné. Initialement la partie sud-ouest de la maison ne comprenait à ce niveau que des espaces de stockage et de séchage pour les récoltes (témoignage oral), tandis que la partie surélevée dans l’angle sud-est et celle au nord étaient réservées au logis. Une porte a été murée sur la façade nord, elle permettait d’accéder directement à ce niveau depuis l’arrière de la maison. L’étage de comble, uniquement pour la partie nord de la maison, présente une baie sur sa façade sud munie d’un volet à planches avec des trous d’envol, indiquant la présence d’un pigeonnier.  

Dépendances

Un entrepôt agricole avec son aire à battre se situe au nord-est de la maison, adossé à un mur séparant le terrain de la propriété voisine. De plan allongé, il s’élève sur un seul niveau. Il est ouvert dans sa partie ouest, sur ses pans occidental et méridional et clos à l’est. Son usage était certainement double : la partie ouverte avait probablement une vocation de remise agricole et celle fermée permettait de loger les bêtes. L’étable est accessible par une large porte au sud et aérée par un fenestron au sud et une fente à l’est. Un toit en appentis couvert de tuiles creuses repose sur des piliers maçonnés en moellons calcaire.

Entrepôt agricole sous appentis et aire à battre. Vue d'ensemble prise du nord-ouest. Entrepôt agricole sous appentis et aire à battre. Vue d'ensemble prise du nord-ouest.

Un accès direct à cet espace depuis la rue est possible par le portail au nord-ouest de la ferme depuis la montée du Trigan, en empruntant un chemin aménagé en pas-d’âne.

Chemin aménagé en pas d'âne au nord de la maison, permettant d'accèder à l'entrepot agricole et à l'aire à battre au nord-ouest, depuis la voie communale des Trigans. Chemin aménagé en pas d'âne au nord de la maison, permettant d'accèder à l'entrepot agricole et à l'aire à battre au nord-ouest, depuis la voie communale des Trigans.

La construction de cette ferme remonte très probablement à l’époque Moderne. Constituée initialement de la partie sud-ouest, elle est le fruit de l'ajout successif de plusieurs parties avant la levée du cadastre de 1834, dont le plan figuré la fait apparaître sans ses dispositions actuelles. L'angle sud-est de la maison fut surélevé ensuite, peut-être dans la seconde moitié du 19ème siècle. Une photo ancienne prise vers 1900 atteste de l'existence de cette partie.

  • Période(s)
    • Principale : Temps modernes
    • Principale : 2e moitié 19e siècle

Cette ferme se compose d’un bâtiment principal flanqué de deux rues au sud et à l'ouest, avec un verger au nord-ouest, un entrepôt agricole ouvert sur une aire à battre au nord-est et des terrains d’oliviers à l’est.

Le bâtiment du logis, implanté perpendiculairement à la pente sans mitoyenneté, est constitué d'une maison-bloc en hauteur comprenant deux étages de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé et un étage de comble. Le premier étage de soubassement est accessible de plain-pied sur la façade sud, le second par un escalier extérieur parallèle à la façade à l'ouest et par un escalier droit parallèle aménagé sur la déclivité du terrain menant à l'entrée principale à l'est. Le rez-de-chaussée surélevé et l'étage de comble sont desservis par un escalier droit maçonné dans-œuvre prenant naissance dans le vestibule de l'entrée principale. Les celliers sont voûtés en berceau segmentaire au premier étage de soubassement et en berceau plein-cintre au second étage de soubassement. La maison est construite en maçonnerie de moellons calcaire et recouverte d'un enduit rustique au mortier de gypse au sud, tandis que les autres façades présentent un enduit à pierres vues. Le toit, à long pans à l'ouest et à un pan pour les parties accolées postérieurement, est couvert de tuiles creuses.

  • Murs
    • calcaire moellon sans chaîne en pierre de taille enduit
  • Toits
    tuile creuse
  • Étages
    2 étages de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, étage de comble
  • Couvrements
    • voûte en berceau segmentaire
    • voûte en berceau plein-cintre
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • toit à un pan
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier droit en maçonnerie
  • Typologies
    F3a2 : ferme à maison-bloc en hauteur, à bâtiments accolés et/ou disjoints
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
Image non communicable
Image non communicable
Image non communicable

Documents d'archives

  • Matrice cadastrale des propriétés bâties de la commune de La Gaude, 1837-1913. / Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice : 03P_0566.

    Folios 92, 1385, 1414.
  • Matrice cadastrale des propriétés bâties de la commune de La Gaude, 1882-1911. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice : 03P_0566.

    Folios 42B, 179.

Documents figurés

  • Plan cadastral de la commune de La Gaude, 1834. / Dessin à l’encre sur papier, par Me Sabatier, 1834. Échelle 1/2500e. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice :  25FI 065 1 D.

    Section D, parcelles 675, 676, 687, 688, 689 et 690.
  • 356 – LA BASSE-GAUDE (Alpes-Maritimes). / Carte postale en noir et blanc, vers 1900. La Gaude : collection particulière.

    [La ferme se situe à droite de l'îlot à l'extrémité gauche de la photo. Vue de la façade ouest et nord de la partie sud et de la façade ouest de la partie nord de la ferme].
  • 1180. – LA BASSE-GAUDE (A.-M.) / La Place et la Fontaine. – FL.  / Photographie en noir et blanc, 1955, extrait de "Mémoires en Images". La Gaude / Marie-Odile Ascher, Saint-Cyr-sur-Loire : Alan Sutton, 2003.

    p. 51, en arrière plan au centre, la façade sud de la ferme surélevée.
Date d'enquête 2021 ; Date(s) de rédaction 2021
(c) SIVOM Pays de Vence
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Articulation des dossiers