Dossier d’œuvre objet IM06002416 | Réalisé par
  • recensement du patrimoine balnéaire
Ensemble de peintures monumentales (décor intérieur), Maison de villégiature (villa balnéaire) dite Les Colombières
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Menton
  • Commune Menton
  • Lieu-dit les Colombières
  • Adresse 312 route de Super Garavan
  • Cadastre 2013 AP 159
  • Emplacement dans l'édifice Toutes les pièces du rez-de-chaussée et de l'étage.
  • Dénominations
    peinture monumentale

L'ensemble des pièces de la villa, y compris les W-C, est orné d'un décor peint réalisé par Ferdinand Bac lui-même entre 1920 et 1923 (1927 pour le dressing dit La volière).

La technique principale est celle de la peinture à fresque. Dans un article paru en 1924, Ferdinand Bac nous dit que son travail de peintre-décorateur aux Colombières lui a été inspiré en 1920 par des peintres en bâtiment qui traçaient des guirlandes de glycines au pochoir dans la maison construite par le philosophe Fouillée. Certains décors sont rapportés et peints sur des panneaux de contre-plaqué ou de métal.

Ferdinand Bac a lui-même donné en 1925 une description et une interprétation des décors de la villa, à destination de Mme Ladan-Bockairy. Cet ouvrage, Les Colombières, ses jardins et ses décors, commentés par leur auteur, illustré de dessins en couleurs de F. Bac est cité et commenté dans l'article en ligne du collectif Safran Architecture.

Description iconographique des décors peints

Rez-de-chaussée :

Vestibule. Panneau peint en grisaille.Vestibule. Panneau peint en grisaille.Ferdinand Bac précise que l'ensemble des fresques de cet étage participe de l'hommage qu'il veut rendre à la mer Méditerranée.

Le vestibule est orné de trois panneaux peints en grisaille représentant des personnages à l'antique. A droite de l'entrée, le panneau contre-plaqué de 91 cm sur 124 cm présente une femme au bain. Il est daté et signé : F. Bach Invenit Janv. 1922. Lui faisant face, une peinture sur métal de même dimension, figure une femme de profil, vêtue d'une tunique. Elle tient un rameau d'olivier et deux colombes l'entourent. Inscription : F. Bac. Invenit. Fév. 1922. Face à l'escalier, sur un grand tableau de 200 cm sur 125 cm, peint sur métal, des personnages offrent des sacrifices, des fruits, un coq, un bélier autour d'un petit autel. Inscription : Ferdinand Bac 1922. Ces thèmes font référence à l'accueil. A coté, un petit W-C a été tapissé d'un paravent peint par Ferdinand Bac et représentant une scène de toilette dans la Grèce antique.

Office : Comme dans l'ensemble des pièces la partie basse est peinte en gris avec un tracé simulant un appareil en pierre de taille. Une arcature peinte rythmée par des portes surmontées d'un belvédère court sur les quatre murs. Des pilastres en trompe-l’œil cantonnent la pièce.

Le salon-bibliothèque. Mur nord.Le salon-bibliothèque. Mur nord.La salle à manger : « La salle à manger gagna ainsi son décor synthétique, avec son rappel de l’Acropole, ses ruines de Sicile, les formes enfin par lesquelles l’épopée gréco-romaine reçut son expression. Tout ce qu’Horace pouvait éprouver en buvant le vin de sa vigne se trouve exprimé au surplus dans une inscription qui recèle toute la joie antique : La vie, réduite au plaisir d’une maison paisible dont les rumeurs du dehors ne troublent point la sérénité et qui vit heureuse du produit de sa terre. Ainsi qu’en mon âme apparaissent les horizons riants que, pèlerin du Latium, je parcourus autrefois, j’ai tenté sur ces murs d’en égrener les souvenirs. » 1 De part et d'autre de l'entrée, deux femmes assises, de profil, présentent l'une des oranges, l'autre une jarre. Sur le mur est, un temple grec en ruine domine un paysage où la fenêtre serlienne d'une villa rappelle la véritable baie qui ouvre la pièce sur le décor naturel, de même qu'un obélisque est un rappel de celui du jardin. Signature : FERDINAND BAC PRIMAVERA 1920. Au-dessus de la serlienne, une citation latine (vers d'Horace ?) et date MDCCCCXX-XXII.

Le salon-bibliothèque est quant à lui, décoré par de grandes peintures murales inspirées par l’Espagne. Il y juxtapose « une tour sarrasine, une suite de monastères, murailles de l’Inquisition, s’achevant en terrasses, en arcatures mélancoliques de jardins d’Infantes ». 2 Signatures : Ferdinand Bac Nov. 1921 (mur nord) et Ferdinand bac Févr. 1922 (mur est).

La rotonde des Muses. Côté droit.La rotonde des Muses. Côté droit.La rotonde des Muses. Côté gauche.La rotonde des Muses. Côté gauche.Le salon de musique : De part et d'autre de la grande porte ouvrant sur le patio, deux panneaux verticaux dans des tons de bleu, servent de cadre à une femme, à droite et à un homme jouant de la lyre à gauche (Orphée et Eurydice ?). La porte est encadrée par deux arbres qui se rejoignent au-dessus entourant un panneau avec deux colombes. Des couronnes de laurier tressées de rubans bleus se répètent sur le mur. Le salon de musique est prolongé par une exèdre dite rotonde des Muses. Un panorama où des arbres, dont les feuillages se rejoignent pour former une arcature végétale, rythment la procession des Muses, chacune portant un attribut. La scène est soulignée par une frise d'un feuillage à baies rouges et surmontée d'un bandeau portant leurs noms.

La chambre vénitienne. Mur nord.La chambre vénitienne. Mur nord.La chambre vénitienne : « Ainsi, au rez-de-chaussée, nous avons imaginé une salle d’un petit palais vénitien aux portes basses et secrètes. Les murs sont frustes et sévères, mais la loggia s’ouvre sur la nuit magique, et c’est le Carnaval de Goldoni qui passe sur la perspective du Grand Canal dans un scintillement de lanternes et d’illuminations, tandis que les couples au masque blanc sous la baüta, enveloppés de dominos noirs et de manteaux rouges, accoudés entre les colonnes, ou assis sur le rebord des balustrades, intriguent, se cherchent, se cajolent dans cette atmosphère chargée de mystères et de frivolités…» 3 Dans cette chambre, l'effet de trompe-l’œil est accentué par le fait que l'arcature qui cloisonne la scène de carnaval est réalisée par des colonnettes en haut relief aux chapiteaux dorés sur lesquels reposent des arcs outrepassés. Au-dessus de la fenêtre sud, un panneau peint porte l'inscription FERDINAND BAC CAMERA AEDIFICATI ET DECORATA MDCCCCXXIII.

Étage :

Au-dessus des verrières qui éclairent l'escalier, deux panneaux en trompe-l’œil en grisaille figurent des couronnes de laurier. Le mur du couloir, face à l'escalier, est peint, au-dessus d'un soubassement gris (H = 120 cm), d'une scène où l'on voit un jeune homme ailé jouant de la lyre et une femme jouant de l'aulos. La scène est peinte dans des tons où dominent les bruns et les bleus.

La chambre violette : Sur les quatre côtés, un trompe-l’œil simule une architecture d'arcades en plein cintre retombant sur des piliers, au-dessus d'un soubassement gris en faux appareil. Les arcades ouvrent sur des paysages de Sicile et d'Ombrie. «D’autres fresques, des paysages, rappellent des visions de Sicile et des environs de Pérouse. » 4 Le mur sud reprend le thème des fenêtres en plein cintre mais elles ouvrent sur le paysage réel de Menton. Sur le mur ouest : FERDINAND BAC 1920.

La chambre grecque : Un portique de colonnes doriques supportant un entablement forme le décor de la scène. « Au centre l’autel domestique où la jeune affranchie porte son offrande, parmi les colombes familières qui, d’un vol rapide et effronté, circulent entre les colonnes. Le chantre, descendant des bardes syriaques et phéniciens, a pénétré sous le péristyle, avec sa flûte aiguë et la lyre suspendue à son bâton, suivi d’une servante qui dans la keras apporte le premier vin du verger. A droite, avec son chien noir, le pâtre, couvert du manteau rond à large capuchon, a quitté la montagne et ses pâturages rocailleux, pour saluer le maître de ses troupeaux. » 5

La chambre espagnole : Sur les côtés sud, nord et ouest, une balustrade (H = 106 cm) en haut relief est surmontée d'arcades en plein cintre retombant sur des colonnettes également en haut relief aux chapiteaux décorés de feuilles de chêne. « Par terre le dallage de marbre est le frais tapis jeté aux pieds de l’Infante et, autour des murs, derrière une balustrade de laque rouge, montent les paysages nocturnes que j’ai imaginés un jour où j’enrageais de ne pouvoir prendre la route de l’Espagne.» 6Sur le mur nord : CAMERA AEDIFICATA ET DECORATA MDCCCCXXIII FB. Sur le mur ouest, au-dessus de la porte : FONS CANIT SOMNUS RAPIT FORTUNA FUGIT.

Cette chambre est complétée par une salle de bain. « Ainsi dans ce minuscule bain qui n’est que la cuve d’ablutions, j’ai fait mes premiers pas dans l’aventure andalouse et, dérobant des parois d’un bazar africain, un motif de vases et d’oiseaux blancs, j’en fis le clair refrain qui accompagne le bruit de l’eau. Dehors, par la fente des rideaux bleus, on voit trembler les grappes d’argent des vieux oliviers. » 7Toutes les portes des placards sont peintes des motifs floraux, de vases à fleurs et d'oiseaux blancs. Au-dessus du bassin de douche un panneau peint (H = 197 cm ; la = 102 cm), à présent protégé par une vitre, figure une scène de bain dite "bain de la Morisque". Il est signé en bas, à gauche : F. Bac 1923.

La chambre des pampres : « Car je compte bien que vous reconnaîtrez là les souvenirs du Palatin et de la Villa Farnèse. Par là débute votre promenade. Puis, s’enchevêtrant dans mille abîmes, le paysage composé se déroule, vous fait grimper des rampes, descendre des paletti, enjamber des ponts sous des linges qui égouttent. » 8

La Chambre bleue du nourmahal est à présent transformée en salle de bain. Le nourmahal est le papillon aux ailes bordées de jaune représenté sur le mur. « La chambre bleue du Nourmahal – ainsi que je l’ai appelée, non sans prétention, me direz-vous – inaugure une étape nouvelle de mes nostalgies, qui déjà, deux ans auparavant, dans l’appartement espagnol du Levant, avait inquiété les gens raisonnables. Cette fois c’est l’engouement pour les azulejos qui désormais se déchaîna, provoqué par le réveil d’une fabrique de céramiques, au fond du Borrigo, après un long sommeil. » 9Le soubassement et le cadre des murs est revêtu de carrelage bleu ou vert. Des vases plantés d'arbustes fleuris sur lesquels sont perchés des oiseaux semblent être posés au-dessus. La peinture est appliquée ici sur un enduit granité. Les panneaux des portes des placards, en planche ou en contre-plaqué sont décorés de roses.

La chambre verte : Un carrelage vert revêt la partie inférieure du mur formant un soubassement sur lequel semblent être posés des pots où poussent des arbustes. La peinture est appliquée là aussi sur un enduit granité. Les pieds des vases sont peints à l'or. On retrouve les mêmes décors floraux sur les portes. A la tête du lit, trois panneaux peints sur métal sont réunis dans un encadrement en bois imitant le marbre noir. Le panneau central représente le paysage que l'on voit par la fenêtre, c'est à dire l'atrium, l'arc à serlienne et le bassin.Sur les panneaux latéraux, des édicules à coupole rappellent ceux que l'on trouve dans le jardin. Ferdinand Bac définit la chambre verte comme l’espace d’un « grand jardin mélancolique » où « tout est calme, d’une solitude solennelle. » 10

La chambre violette. Mur ouest. Panneau central.La chambre violette. Mur ouest. Panneau central. La chambre grecque. Mur ouest.La chambre grecque. Mur ouest. La chambre espagnole. Mur sud.La chambre espagnole. Mur sud. La chambre bleue du "nourmahal". Angle nord-ouest.La chambre bleue du "nourmahal". Angle nord-ouest.

La lingerie. Perroquet et cacatoès peints à l'huile sur les vantaux du placard sud.La lingerie. Perroquet et cacatoès peints à l'huile sur les vantaux du placard sud.La lingerie, au nord, cabinet dit La volière, n'a été décorée par Ferdinand Bac qu'en 1927. Elle a été agrandie et restaurée en 1999. La pièce est entièrement entourée de placards sur toute la hauteur des murs. Le décor de la porte d'entrée reprend celui des motifs de roses des chambres précédentes. La composition s'organise selon deux registres de panneaux verticaux. Sur ceux du bas figurent des perroquets sur leur perchoir devant un treillage. Les perroquets sont peints à l'huile avec une touche parfois empâtée. Sur les panneaux du haut, on trouve des arbustes fleuris ou une fontaine autour desquels volent des oiseaux. Inscription sur le côté d'une armoire : La volière. Ce cabinet a été décoré par Ferdinand Bac en mars 1927. Signature de Ferdinand Bac. Inscription sur le mur d'à côté : Ce cabinet a été restauré par Aurora en mars 1999. Stefania Dotti, Anna Tarantola, Manolo Spagnuolo.

Conclusion

Le décor peint de la villa des Colombières est le fruit du désir de Ferdinand Bac de recréer ici un monde méditerranéen rêvé, d'y conserver à la fois le souvenir nostalgique de ses voyages en y ajoutant une relation au passé, à l'Antiquité grecque et romaine. Le décor s'intègre dans une œuvre d'art total où paysages naturels, jardin, architecture et décors figurés dialoguent et se répondent opérant un brouillage entre le réel et l'espace feint. Le trompe l’œil règne en maître. Ce sont par exemple ces niches circulaires où est posée une urne que l'on trouve en plusieurs lieux accompagnées de leur version en trompe-l’œil ou la vue de l'atrium de la fenêtre de la chambre verte figurée en miroir sur le mur opposé. Les correspondances entre intérieur et extérieur sont constantes. Ce sont les fabriques qui jalonnent le jardin que l'on retrouve aux murs.

« Notre impuissance nous fait peindre aux murs ce que nous n’avons pu édifier, et édifier ce que nous n’avons pu peindre assez bien pour donner l’émotion de la matière. » 11

1Ferdinand Bac, Les Colombières, ses jardins et ses décors, commentés par leur auteur, cité dans Un essai sur Ferdinand Bac : artiste et créateur de jardins.2ibid.3ibid.4ibid.5ibid.6ibid.7ibid.8ibid.9ibid.10ibid.11ibid.

La totalité du décor peint de la villa a été réalisé par Ferdinand Bac lui-même entre 1920 et 1927. La volière a été restaurée en 1999 par l'atelier de restaurateurs italiens Aurora.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle , porte la date
    • Principale : 2e quart 20e siècle , porte la date
  • Dates
    • 1920, porte la date
    • 1921, porte la date
    • 1922, porte la date
    • 1923, porte la date
    • 1927, porte la date
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Bach Ferdinand-Sigismond , dit(e) Ferdinand Bac
      Bach Ferdinand-Sigismond

      Ferdinand-Sigismond Bach, qui prendra le pseudonyme de Ferdinand Bac, petit-fils illégitime de Jérôme Bonaparte, roi de Westphalie est né à Stuttgart en 1859. Il vient à Paris en 1871 suivre des cours de peinture à l'Académie Colarossi, école d'art fondée en 1870 par le sculpteur italien Filippo Colarossi. Très introduit dans les cercles mondains parisiens, il devient un artiste à la mode et brille en tant que caricaturiste. En 1900 il quitte Paris pour sillonner l'Europe, principalement les pays méditerranéens. Ses carnets de voyage donneront lieu à l'édition d'une trentaine d'ouvrages.

      A son retour, vers 1910 il aborde une nouvelle carrière de décorateur-paysagiste inspiré par la Méditerranée. Il crée les jardins de la villa Cyrnos, au Cap Martin, ceux des villas Croisset, à Grasse (1913) et Florentina, au Cap Ferrat (1919). A partir de 1920, il réalise à Menton pour ses amis Émile et Caroline Ladan-Bockairy le domaine des Colombières où il intervient à la fois en temps qu'architecte, paysagiste, décorateur, peintre. Il séjourne aux Colombières jusqu'à la guerre de 1939. Il décède à Compiègne, chez les Ladan-Bockairy en 1952.

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      peintre signature

L'ensemble des pièces du rez-de-chaussée et de l'étage est peint à fresque sur un enduit plus ou moins granité. Les portes en bois des pièces et des placards à l'étage sont ornées d'un décor vraisemblablement peint à l'huile. Certains panneaux décoratifs sont peint à l'huile sur métal ou contre-plaqué.

  • Catégories
    peinture murale, peinture
  • Matériaux
    • plâtre, support fresque
    • bois, support peinture à l'huile
    • métal, support peinture à l'huile
    • contre-plaqué, support peinture à l'huile
  • Iconographies
    • paysage
    • scène mythologique
    • scène
    • perroquet
    • végétal
  • Précision représentations

    Plusieurs pièces sont ornées de paysages d'Italie, de Grèce ou d'Espagne. Certaines présentent des scènes ou des personnages issus de l'Antiquité : scènes de la vie domestique grecque ou romaine, Muses, Orphée et Eurydice. La chambre vénitienne nous amène dans une scène de carnaval nocturne sur le Grand Canal. Les chambres bleues et vertes ont un décor plus "local" : arbustes en pots, roses, papillons, vue de l'atrium de la villa. La lingerie est ornée de perroquets sur des perchoirs dans un décor de treillages.

  • Inscriptions & marques
    • signature
    • date
    • inscription, latin
  • Précision inscriptions

    Presque tous les décors peints sont datés et signés par Ferdinand Bac. Des inscriptions en latin sont peintes dans plusieurs pièces.

  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Intérêt de l'œuvre
    À signaler
  • Protections
    classé MH, 1991/10/03
  • Précisions sur la protection

    1991/10/03 classé MH.

    Les bâtiments avec leur décor.

  • Référence MH
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Bibliographie

  • BAC, Ferdinand. Les Colombières, ses jardins et ses décors, commentés par leur auteur. Paris : Louis Conard libraire-éditeur, 1925.

  • LISTRI, Massimo. Les Colombières. Ferdinand Bac's mediterranean masterpiece. Menton : Likierman, 2013, 158 p., ill.

  • Un essai sur Ferdinand Bac : artiste et créateur de jardins. Accès internet : <URL : http://www.architectedunet.com/

    Cet essai paru sur le site internet du collectif d'architectes Safran Architecture n'est pas signé.
Date d'enquête 2016 ; Date(s) de rédaction 2016
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Édifice
Maison de villégiature (villa balnéaire) dite Les Colombières

Maison de villégiature (villa balnéaire) dite Les Colombières

Commune : Menton
Lieu-dit : les Colombières
Adresse : 312 route de Super Garavan