Photographe au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1968 à 2005.
- inventaire topographique, repant
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Cavaillon
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Commune
Cavaillon
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Lieu-dit
les Vignères
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Dénominationsautel
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Numérotation artificielle1
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Dossier dont ce dossier est partie constituante
Ensemble vraisemblablement réalisé vers 1870 par la manufacture toulousaine Virebent.
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Période(s)
- Principale : 3e quart 19e siècle
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Auteur(s)
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Auteur :
Virebentfabricant marchandVirebent
Auguste Virebent (1792-1857), architecte briquetier est à l'origine de la création d'une briqueterie "des frères Virebent" à Launaguet près de Toulouse, qui fut en activité entre 1829 et 1965.
Le 18 juillet 1831, Auguste Virebent obtient un brevet d'invention pour des procédés techniques tout à fait nouveaux. Il met au point des presses, permettant de donner aux briques encore fraîches la forme et la dimension voulue, un format identique et une texture plus fine et plus facile à tailler. Il met également au point la "plinthotomie", sorte de machine agissant comme un emporte-pièce pour découper diverses formes sur la pâte encore fraîche. Désormais, pour orner les corniches, réaliser des colonnes, pilastres ou chapiteaux, le tailleur de pierre est remplacé par un emporte-pièce. Enfin, il met au point une nouvelle façon de travailler les terres en juxtaposant deux types de pâtes. Ces inventions sont à l'origine de l'industrialisation du travail de la terre cuite et de la briqueterie. Il s'agit donc d'une production industrielle réalisée à partir de grands moules.
La briqueterie proposait un catalogue très important à ses clients et les commandes se passaient soit à Launaguet soit dans les bureaux à Toulouse. Un même objet pouvait être réalisé en plâtre pour les salons et églises, en terre cuite pour les extérieurs, en grès cérame ou encore en émail à partir de 1858.
Il s'agit d'une entreprise familiale :
- la première génération, celle du fondateur Auguste, comprend également Prosper et Sylvain, deux frères d'Auguste, qui s'occupent de la gestion financière et matérielle, tandis que Victor, avocat, gère les contentieux. A la mort d'Auguste Virebent, ses frères continuent de faire fonctionner la briqueterie, jusqu'au retour du fils d'Auguste, Gaston, parti étudier le dessin et l'émail à Paris.
- la seconde génération est donc celle du fils ainé d'Auguste Virebent, Gaston. Il fait ses études à l'Ecole des Beaux-Arts de Toulouse puis se forme à Paris chez l'ornemaniste Liénard et dans l'atelier de l'émailleur Joseph Devers. Décorateur et céramiste, il donne la préférence à la statuaire religieuse et au mobilier sacré.
- la troisième génération est celle du fils de Gaston, Raymond (ou Gaston-Raymond) (1874-1965) : il reprend la manufacture en 1925, à la mort de son père. Il la dirige jusqu'en 1965 (date de fermeture de la manufacture).
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Auteur :
Autel-tombeau en ciment d'élévation droite dont la face est rythmée par une arcature de 4 arcs trilobés reposant sur 5 colonnettes. A l'arrière, quatre disques en creux ; fond gravé.
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Catégoriessculpture
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Structures
- colonne, 5
- élévation, droit
- plan, rectangulaire
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Matériaux
- ciment, moulé, décor en haut relief, décor en ronde bosse
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Précision dimensions
h = 96 ; la = 242 ; pr = 71
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Iconographies
- ornement végétal : lierre, fruit
- feuille
- croix
- losange
- feuille d'eau
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Précision représentations
Chapiteaux : feuilles de lierre en haut relief et en ronde bosse, de même que dans les écoinçons. Dans les disques, feuilles (?) avec des fruits du lierre. Feuille d'eau à la base des colonnettes.
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Statut de la propriétépropriété publique
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Opératrice de saisie Inventaire.
église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption
Lieu-dit : les Vignères
Opératrice de saisie Inventaire.