Mention dans la visite pastorale de 1858 : la cuve baptismale est dite "précieuse et curieuse, elle est en pétrification". Elle pourrait dater de la 1ère moitié du 19e siècle.
Une armoire aux saintes huiles est également mentionnée, elle est décrite comme "propre et bien fermée", en 1866, elle a été déplacée et se trouve "à côté de l'autel". Elle n'a pas été vue lors de l'enquête.
Le calcaire qui constitue le bénitier et l'encadrement de la niche proviendrait de la grotte de Méailles.