Registre paroissial de fabrique, des 1ères communions et des confirmations de la paroisse de Clumanc
Archives paroissiales déposées au presbytère de Barrême (non coté).
Erection de la confrérie du saint Rosaire
L’an mil huit cent soixante-deux et le vingt-quatre du mois de décembre, nous soussigné Amavet, curé de la paroisse de Notre-Dame de Clumanc, en vertu des pouvoirs à nous accordés par le diplôme donné à Rome en date du 10 juin 1862 par le ministre général de l’ordre des frères Prêcheurs et dûment autorisé par l’ordinaire, déclarons qu’à partir de ce jour la confrérie de Notre-Dame du saint Rosaire, qui avait déjà été canoniquement établie en cette église le 30 juillet de l’an 1649, est régulièrement rétablie avec tous ses privilèges et avantages spirituels en faveur de tous ceux qui voudront s’y faire recevoir et en observer les règlemens.
En foi de quoi nous avons dressé le présent procès-verbal les jour, mois et an susdits,
Amavet.
(Voir le diplôme dans la chapelle du saint Rosaire).
Registre paroissial
dressé conformément à l’article 558 des statuts diocézains
par nous soussigné le 1er janvier 1867
Amavet
Première partie
On ne connaît pas la date de l’érection de la paroisse, mais tout indique qu’elle est ancienne. On peut mettre au nombre des monumens les plus importants l’église, le château et la tour.
La tour est un ancien couvent qui a subi le sort de tant d’autres, il n’en reste que la chapelle qui a été convertie en maison d’habitation, grange et écurie par le moyen d’un plancher qui la partage en deux étages. Les piliers et la voûte en pierre de taille sont très bien conservés.
Quant à l’église, qui est sans contredit la plus belle de nos contrées, on ignore également l’époque de sa construction et de sa consécration. Elle a quatre chapelles latérales, mais qui n’ont pas été bâties en même temps. J’en juge par un document que j’ai sous les yeux, où il est dit que la chapelle de saint Joseph, vis-à-vis celle du saint Rosaire, a été construite par me Giraud, masson du lieu, moyennant la somme de 47 écus trois livres que le sieur Antoine Roux, luminaire du saint Rosaire, lui a comptés. L’accord a été fait le 21 juin 1693 et la chapelle était terminée en 1697. Le même maçon s’obligeait en outre à faire une petite sacristie attenante à ladite chapelle et à réparer la chapelle du saint Rosaire.
En 1840, une réparation importante a été faite à l’église Notre-Dame, on a remonté tout le mur du levant qui menaçait ruine.
En 1856, on a réparé les autels de saint Jean-Baptiste et de saint Marc, où l’on ne disait plus la messe depuis longtemps. En 1858, on a placé le tambour de la porte d’entrée, qui a coûté 85 francs. En 1861, l’église a été reblanchie entièrement au pinceau.
Voici maintenant le nom des personnes les plus remarquables qui ont habité dans la paroisse :
Mr de Périer, marquis de Flayosc, seigneur de Clumanc
Mr de Taxis, coseigneur, maître de la bastide de Seicet
Mr Arnaud, coseigneur
Mr de la Route, coseigneur
Mr Chalvin, coseigneur
Mr Maurin, coseigneur
Mr de l’Aubre, coseigneur
Mr de Blieux, notaire du lieu.
D’après les archives de la paroisse et évêché de Senez anciennement, archives que j’ai sous les yeux et que je résume en ce qu’elles ont d’important, il résulte que la paroisse de Notre-Dame a été visitée par Jean Soanen, évêque de Senez, le 20 mars 1697, en compagnie de 1° Lazare de Capel, prêtre, licencié en droit, chanoine de l’église cathédrale, vicaire général et official ; 2° Jean du Pacquier, prêtre, bachelier en théologie, prieur de Saint-Lyons et aumônier de Sa Grandeur ; 3° Jacques Raynaud, prêtre et promoteur général du siocèse. Le sacrement de confirmation y fut administré, l’église visitée ainsi que les ornements, tous trouvés en piteux état.
Le 22 et 23 juin 1703, nouvelle visite du même évêque accompagnée de l’administration du sacrement de confirmation aux enfants trouvés bien instruits. Nous extrayons mot à mot ce qui constate l’état du clergé et du peuple :
« Par nos conférences et par les visites épiscopales depuis plus de 150 ans, apert que cette église a été autrefois gouvernée par un prieur séparé de celui de Saint-Honorat ; qu’aujourd’hui les deux prieurés sont unis ; qu’il y a eu de tout temps à Notre-Dame un vicaire pepétuel, qui est aujourd’hui le sieur Honoré Peyron, prêtre de notre diocèse, et un secondaire, qui est le sieur Antoine de Blieux (…). Quant aux laïques, nous avons justifié qu’il y a deux cent trente-quatre communians dispersés en 15 hameaux, sans y compter celui des Sauverons, qui par voisinage va à Saint-Lyons, ni la bastide de la Bau, qui va à Tartonne, ni ceux de Dorolles, qui vont à Lambruisse ; qu’ils ont fait le devoir pascal, excepté une seule femme ; que le cabaret est souvent ouvert durant les offices, les moulins aussi dans les plus saints jours et que durant l’été on travaille le dimanche aux aires ». Suit la visite avec le détail des ornements.
« Etat des décimateurs et des chapellenies : Nous avons marqué dans l’autre paroisse de Clumanc que le prieuré de Notre-Dame était possédé séparément avant 1539 par un archidiacre de Senez et qu’ils ne sont tous deux unis aujourd’hui à force d’impétration en cour d’Avignon, où l’on a exposé ce bénéfice comme simple quoique curial, il n’y a que cent ans. Nos archives font foi que la vicairie de Notre-Dame est des plus anciennes quoiqu’il n’en paraisse aujourd’hui aucune terre. Le chapitre de la cathédrale est en outre décimateur dans ladite paroisse, la dime de Notre-Dame et de Saint-Honoré étant unie et prise par moitié excepté les préciputs du prieur.
Les chapellenies, qui étaient autrefois de vrais titres et décimes comme il est justifié par un extrait fait en 1560 sur l’original de l’ancien département qui est celui de 1516 dans les archives des comptes, sont celles qui suivent : 1° celle de Notre-Dame de Pitié, valant à l’extrait 15 florins ; 2° celle de saint Marc, dix florins ; 3° celle de saint Jean, cinq florins ; 4° celle de saint Antoine, un florin ; 5° celle de saint Joseph, quinze florins. Celle-ci a encore un cens sur la communauté et quelques terres, savoir une au Champ de Berre, quartier de Saint-Honoré, exempte de tailles, qui est de trois journaux et confronte le chemin ; plus autre terre au quartier de Mouchon appelée Ville Haute, confrontant icelle et contenant quatre journaux, mais abandonnée. Il y avait encore une vraie chapellenie de saint George, que les sieurs vicaires des deux paroisses nous ont attesté avoir une terre de trois journaux au quartier de l’Aubre, possédée aujourd’hui par Gaspard de Blieux, confrontant du septentrion le roc et des autres cpotés ledit Gaspard et les hoirs de Louis André. Comme les susdites chapellenies ont laissé perdre ou usurper leurs fonds, elles sont aujourd’hui de simples chapelles sans titre ni décimes (…) ».
C’était leur état en 1703. Suit la visite des chapelles, dont la 1ère du côté de l’Evangile est celle de saint Jean avec confrérie. Les sieurs de Blieux prétendent y avoir un droit de tombe sans en jouir. La 2me chapelle du même côté est celle du Rosaire, avec confrérie, avec une tombe pour les confrères, sans titre. La 1ère chapelle du côté de l’Epitre est celle de saint Marc, avec confrérie, avec tombe à deux pieds de l’autel pour divers particuliers. La 2me chapelle du même côté est celle de saint Joseph, avec confrérie, nouvellement bâtie et ornée. Du même côté dans la nef, mais trop près de la porte, un autel de saint Antoine et de saint Paul, exposé au danger des vents et des profanations. Les meubles des susdites chapelles sont tous en commun (…).
« A cinq ou six cents pas de l’église paroissiale existe une chapelle de saint Antoine, en bon état à part le mur inférieur qui a besoin d’être soutenu par une encoule. On assure avoir vu dans les écritures de Guiton notaire une mise en possession, ce qui prouve qu’elle était dotée, et encore aujourd’huy les fonds qui sont autour de la chapelle sont appelés terres de Saint Antoine (…).
Nous avons visité aussi une tour très ancienne, aujourd’huy une bastide, entre les deux Clumanc, et nous y avons observé des preuves certaines qu’il y avait eu là une église de monastère par les arcades, les fenêtres à l’antique et on nous a dit suivant la tradition du pays que pendant qu’il y avait des religieux dans le cloître de Saint-Honoré il y avait là des religieuses du même ordre de Saint Benoît ».
Seconde partie du registre
Les registres les plus anciens de la paroisse de Notre-Dame ne datent que de l’année 1636. En voici quelques extraits copiés mot à mot :
« L’an mil six cents trente-six et le vingt-quatre apvril est décédé Spirite Reyne. Son corps a été catholiquement inhumé en le cimetière Notre-Dame de Clumanc par moi vicaire soussigné Allibert.
L’an mil six cents trente-huit et le huit du mois d’août mariage est passé en face de notre sainte mère l’Eglise entre Jean Roman et Marguerite Béraud, tous de ce lieu de Clumanc, en présence de Mr Mourin, sr Abel Niel, Pierre Roux et plusieurs autres. Fait par moi soussigné Allibert.
Lan mil six cents huitante-un et le douze du mois de février a été baptisé Anthoine Chailan fils de Jean et de Jeane Romane mariés, le parrain a été Mr Niel et la maraine Catherine Chailan, tous de ce lieu, présents Spirit et Joseph de Blieux. Fait par moi Allibert ».
Il résulte des actes qui précèdent que le lieu (…)
Procès-verbal de visite de l’église et du presbytère de la paroisse de Clumanc-Notre-Dame, chef-lieu de la commune dudit Clumanc
L’an de Notre Seigneur mil huit cent quatre-vingt-un et le vingt-quatre du mois d’avril, nous soussignés membres du bureau des marguilliers de l’église de Clumanc-Notre-Dame, diocèse de Digne, assistés du sieur (blanc) maître maçon, avons procédé, conformément à l’article 41 du décret du 30 décembre 1809, à la visite des bâtiments paroissiaux à l’effet de reconnapitre et constater les réparations qu’il serait utile d’y procurer.
Il résulte de cette visite qu’il y a lieu de procurer d’urgence aux bâtiments les réparations suivantes, savoir :
1° à l’église :
La voûte de l’église est gravement endommagée et surtout les voûtes des quatre chapelles latérales menacent ruines et bientôt il y aura un danger imminent à y célébrer les offices. Cet état de choses a été causé par le mauvais état de la toiture qui, étant faite en pierres brutes dites lauves, est continuellement dérangée, au point que la voûte dégradée par les gouttières se décrépit dans toute sa surface. Ainsi, dernièrement, il s’est détaché de la voûte du sanctuaire un énorme morceau de recrépissage qui est tombé sur le maitre-autel et en a brisé un angle de la taille. Si ce morceau de plâtras était tombé par malheur sur une ou plusieurs personnes du temps des offices, elles en auraient été infailliblement écrasées.
Pour arrêter donc la ruine de l’église et pourvoir à la sûreté de la population lorsqu’elle vient assister aux offices de la paroisse, il est urgent et très urgent de refaire la toiture de l’église en entier.
Cette première réparation demande l’exhaussement des murs de l’église d’environ 1,00 m de hauteur sur toute la longueur et largeur, qui, réunies ensemble, égalent 75 mètres 76 centimètres. Ce mur devra avoir au moins 40 centimètres d’épaisseur, ce qui exige environ 45 mètres cubes 456 décimètres de maçonnerie ordinaire, qui, évaluée à 12 francs le mètre cube, forment une dépense de 545 F 47 centimes. La superficie totale de la toiture étant de 408 m carrés évalués à 4 F le mètre, tuiles plates de Leon-Saint-Henri, charpente comprise, forment une dépense de 1652 F environ.
Les voûtes des chapelles devront être refaites en partie, ce qui demandera une dépense d’environ 600 francs.
Enfin toutte la voûte et les murs de l’église ont besoin d’être remis en bon état en recrépissant là où le crépissage ests tombé et en blanchissant le tout au lait de chaux, ce qui peut être évalué à une dépense de 500 francs.
Le malonnage a besoin d’être réparé pour une quinzaine de mètres carrés, ce qui coûtera environ 50 francs.
Les murs extérieurs ont besoin d’être recrépis sur la plus grande partie de leurs faces, ce qui demande une dépense d’environ 500 francs.
La dépense totale des réparations de l’église peut donc être évaluée de 3827 à 4000 francs environ.
2° pour le presbytère :
1° la cuisine a besoin d’être malonnée, ce qui demande une dépense de 50 francs.
2° la toiture a besoin d’être repassée en entier, ce qui demande une dépense de 80 francs environ.
3° les chambres ont besoin d’être blanchies et tapissées, ce qui pour 3 chambres demande une dépense de 100 francs.
4° il est urgent de changer une poutre de la chambre qui est au dessus de l’écurie, ce qui demande une dépense de 50 francs.
Le total des dépenses à faire à l’église et au presbytère de la paroisse de Clumanc-Notre-Dame peut donc être évalué à la somme de 4280 francs environ.
Le présent procès-verbal, dressé immédiatement après la visite des bâtiments paroissiaux, a été clos et signé en séance au prsbytère du chel-lieu de Clumanc par nous membres du bureau et mr (blanc) maître maçon les jour, mois et an susdits.
Signé : Fabre curé, Blanc, Aillaud, Laurens.
L’an de Notre Seigneur mil huit cent quatre-vingt-deux et le deux avril, premier dimanche du mois, nous soussignés membres du bureau des marguilliers de l’église de Clumanc-Notre-Dame, diocèse de Digne, Basses-Alpes, assistés du sieur Basile Chailan, maître maçon, avons procédé, conformément à l’article 41 du décret du 30 décembre 1809, à la visite des bâtiments paroissiaux à l’effet de reconnaître et constater les réparations qu’il serait urgent d’y procurer. Il résulte de cette visite qu’il ya lieu de faire d’urgence et sans retard auxdits bâtiments les réparations suivantes, savoir :
1° à l’église
Pour éviter l’écroulement de la voûte, où il s’est déjà fait un trou d’environ 0,40 centimètres de diamètre sur l’autel de la chapelle de la Sainte Vierge, il faut faire la toiture de toute l’église, ce qui demande : 1° d’abord l’exhaussement des murs d’environ 1,50 m sur toutes les longueurs et largeurs, qui réunies ensemble forment 75, 76 m. Ce mur devra avoir une épaisseur de 0,40 m, ce qui fera 75,76 x 0,40 = 45 m 456 décimètres cubes de maçonnerie ordinaire estimée à 12 f le m3 égale une dépense de 545,45 F.
2° La superficie totale de la toiture étant de 408 m carrés évalués à 4 F le m toutes fournitures comprises avec tuiles plates de Saint-Henri de Marseille égale 1632 F.
3° les voûtes des chapelles devront être reconstruites en partie, ce qui demandera une dépense de 600 F.
4° toute la voûte et les murs intérieurs ont besoin d’être remis en bon état, recrépis et blanchis convenablement au lait de chaux, ce qui peut être évalué à une dépense de 600 F.
5° les murs extérieurs doivent être recrépis au mortier sur toutes leurs surfaces, ce qui demande une dépense de cinq cent francs, ci 500 F.
6° le carrelage doit être réparé pour 15 m carrés, qui évalués à 3 F le m² égale une dépense de 45 F.
Ce qui fait une dépense totale et approximative à faire pour réparations très urgentes à l’église de Notre-Dame de Clumanc de 3922,45 F.
2° au presbytère
Le presbytère de la paroisse de Clumanc-Notre-Dame est à peu près inhabitable et par son état de vétusté et surtout par sa position dans la terre qui en recouvre tout le mur du côté de l’ouest jusqu’au niveau de la génoise de la façade principale, ce qui le rend insalubre, froid et malsain par l’humidité qui pénètre dans toutes ses parties et dépendances. Pour qu’il soit rendu habitable, il a besoin des modifications et réparations suivantes :
1° il doit être assaini, ce qui demande un déblayement de 126 m cubes de fouilles, à 1 F le m cube = 128 F ; plus un mur de soutènement de 18 x 5 x 0,60 égale 54 m cubes de maçonnerie ordinaire à 10 F = 540 F.
2° la toiture, dont les tuiles [sont] brisées pour les ¾, laisse pénétrer les eaux pluviales partout et il est urgent de la refaire avec tuiles plates de Saint-Henri. Les tuiles creuses qui seront encore bonnes seront utilisées pour la génoise de l’église. La charpente et soliveaux étant bons, il suffira d’ajouter les lattes de travers, ce qui peut réduire la valeur du m carré de toiture à 2,50 F ; ce qui, pour 152 m² de surface de la toiture fera une dépense de 380 F.
3° les croisées avec contrevents pour 2 fenêtres qui n’en ont pas, l’autre pour changer celle de la chambre qui est sur l’écurie et enfin la 4me pour une fenêtre à ouvrir à l’ouest, estimées 100 F.
4° fourniture d’une porte à dormant 12 F.
5° une poutre à changer sur l’écurie 30 F.
6° le placement de cette poutre exige la démolition de 8 m² de plancher, sa reconstruction et carrelage du pavé de la chambre à 5 F tout compris 40 F.
7° environ 12 m² de plancher à démolir et reconstruire pourri par l’humidité à 1,50 F le m² = 18 F.
8° environ 30 m² de plafonds à faire à 2 F = 60 F.
9° 42 m² environ de crépissage intérieur au mortier fin pour les surfaces du mur assaini, à 0,50 F = 21 F.
10° 56 m de crépissage extérieur au mortier au mur de l’ouest découvert par l’assainissement, à 0,30 F = 16,80 F.
11° 180 m carrés de surfaces à blanchir au lait de chaux avec colle forte, en 3 couches à 0,20 F = 36 F.
12° 8 m de mallonage à 3 F = 24 F.
13° 12 m de parquetage bois de mélèze pour le cuisine qui est hors de service, à 4 F le m² toutes fourniturezs comprises = 45 F.
14° 124 m² à tapisser pour 4 chambres à 0,40 F le m² toutes fournitures comprises = 49,60.
Total approximatif des dépenses pour le presbytère = 1503,40 F, qui joint à la somme de 3922,45 F pour réparations à l’église égale 5425,85 F, dépense prévue et nécessaire pour éviter la ruine totale et à bref délai de l’église paroissiale de la section du chef-lieu de Clumanc.
Le présent procès-verbal dressé immédiatement après la visite des bâtiments paroissiaux a été clos et signé par nous membres du bureau et le sieur Basile Chailan, maître maçon (…).
Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire général de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1969 à 2007.