Opératrice de saisie Inventaire.
- inventaire topographique
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Heller MarcHeller Marc
Photographe au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1970 à 2006.
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Roucaute GérardRoucaute Gérard
Photographe au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1968 à 2005.
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Dénominationsimmeuble
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Aires d'étudesCavaillon
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Adresse
- Commune : Cavaillon
Les immeubles construits dans les faubourgs de Cavaillon, dont aucun ne semble remonter au-delà du dernier quart du XIXe siècle, peuvent se répartir en deux catégories :
- ceux élevés sur les cours ceinturant le vieux centre urbain ou aux abords de la gare, qui affirment souvent une double vocation, commerçante et locative,
- les immeubles plus périphériques qui n'ont au contraire qu'une fonction d'habitation, exception faite de celui construit vers 1935 route des Courses (CD, 189) et dont la destination première était d'être un hôtel de voyageurs (programme qui explique la véranda appuyée contre la façade nord et vraisemblablement prévue pour être une salle à manger).
Pour les immeubles de la première catégorie, à caractère franchement urbain et pour la plupart construits autour de 1900, des programmes spécifiques ont permis l'aménagement de boutiques au rez-de-chaussée, d'appartements ou de bureaux aux étages. Il s'agit de constructions qui font généralement rupture dans le paysage urbain en raison de leur gabarit plus important, mais surtout d'un décor plus affirmé que celui des maisons avoisinantes. Ces immeubles comportent en moyenne deux étages carrés au-dessus d'un rez-de-chaussée et d'un étage en sous-sol. Mitoyens, ils donnent presque toujours sur une petite cour arrière. Les portes d'entrée, discrètes, introduisent à de modestes vestibules, parfois à d'étroits couloirs, s'ouvrant sur une cage d'escalier à éclairage zénithal : les escaliers sont suspendus, à une ou plusieurs volées tournant autour d'un jour. Le vocabulaire ornemental de leurs façades s'inspire de plusieurs courants stylistiques. Le classicisme caractérise la plupart de celles établies sur les cours Victor Hugo, Bournissac et Gambetta : fenestration régulière au-dessus d'un premier niveau presque entièrement consacré aux entrées et devantures de boutiques ; pilastres d'angle à refends, bandeaux et corniches pour ce qui est de la mouluration ; le décor d'applique se limite aux garde-corps en fonte ou ferronnerie. On trouve plus de fantaisie sur l'avenue du Maréchal Joffre où se côtoient le style mauresque du gros immeuble faisant l'angle de l'avenue Gabriel Péri (CL, 103), lequel a pour seule originalité ses baies en accolade, et le style éclectique typique du début du XXe siècle de celui situé à l'angle de la rue Jean Mermoz (CL, 90). Les matériaux se diversifient pour ces façades qui semblent constituer toute la richesse d'immeubles à la distribution intérieure peu soignée : aux détails sculptés dans la pierre et aux rampes ouvragées, s'ajoutent éléments en brique, décor de céramique.
Section CL, parcelle 103. Avenues Gabriel Péri, Maréchal Joffre. Façade ouest, détail des baies.
La construction d'immeubles d'habitation dans les quartiers périphériques a connu deux temps forts : un grand nombre d'entre eux furent construits à la charnière des XIXe et XXe siècles en bordure d'avenues et boulevards nouvellement aménagés ; depuis les années 1960 se multiplient des résidences consistant pour la plupart en habitations à loyer modéré. Dans l'intervalle, la construction d'immeubles assez peu nombreux a surtout affecté les cours délimitant le vieux noyau urbain et les quartiers situés à proximité.
Les immeubles bâtis au début du XXe siècle sont d'une grande homogénéité : leurs élévations antérieures presque toutes identiques, qui en tout cas obéissent toujours aux mêmes partis structurel et ornemental, ont donné son unité au paysage cavaillonnais. Il s'agit d'élévations généralement à deux niveaux (quelques exemples à trois niveaux se rencontrent également), couronnées par une corniche ou une génoise, régulièrement percées de baies rectangulaires avec cadres de pierre se détachant sur un enduit lisse de couleur sable. Derrière ces façades toutes simples se rencontrent deux types de structure : immeubles à appartements ou à logements.
Les premiers ont une distribution classique d'appartements desservis par une cage d'escalier commune, le plus souvent placée au centre de l'immeuble. Situés en bordure de rue, ils peuvent comporter un ou plus rarement deux étages au-dessus du rez-de-chaussée et s'ouvrent fréquemment sur une cour ou sur un jardin arrière, auquel un passage peut donner accès ; aux étages les appartements s'ouvrent volontiers sur des balcons accrochés aux façades postérieures.
Les immeubles à logements ont une situation différente : quelques-uns s'ouvrent directement sur la rue, mais la plupart sont disposés en retrait de la voie publique, précédés de modestes cours à proximité du centre ville (immeuble étudié sur l'avenue de Verdun, CE 197 à201), de jardins lorsqu'on s'en éloigne. Ils peuvent aussi s'aligner sur une impasse privée comme c'est le cas pour l'immeuble étudié traverse des Casernes. Leur originalité tient à une structure faite de la juxtaposition de logements indépendants les uns des autres, occupant chacun une parcelle et qui, comportant leur propre cage d'escalier, ont une distribution verticale le plus souvent à deux, parfois à trois étages d'habitation.
A l'origine de ces immeubles se trouvent peut-être les médiocres maisons ouvrières du XIXe siècle qui, comme celle située sur l'impasse Bourgue, se composaient d'une succession de logements ne comportant chacun qu'une travée de façade. Pour les immeubles, l'évolution s'est faite dans deux directions. Certains, à destination d'une clientèle très modeste, ont adopté le parti d'une rigoureuse uniformité des logements, lesquels ont les mêmes plans et façades : l'immeuble situé rue Henri Fabre (CE, 218 à 228) en est un exemple. D'autres, comme l'immeuble étudié route des Courses (CE, 21 et 507), proposent au contraire des logements diversifiés qui s'apparentent à des maisons individuelles juxtaposées. Un immeuble de ce type se trouve avenue René Coty (BY, 501 à 499) : les partitions de l'élévation antérieure y indiquent la succession de trois logements identiques, plutôt modestes avec leurs deux travées chacun, puis d'une habitation plus importante, établie sur le schéma traditionnel des maisons cavaillonnaises, c'est-à-dire une porte d'entrée située en milieu de façade et introduisant à un couloir central autour duquel sont distribuées quatre pièces ; une dernière travée de façade, percée au premier niveau d'une large porte, paraît avoir correspondu à une remise. Par ailleurs cet immeuble s'ouvrant sur une terrasse de plain-pied avec le jardinet couverte d'une pergola métallique, s'apparente aux nombreuses maisons à caractère demi-rural construites dans les faubourgs de Cavaillon autour de 1900, et dont certaines, présentant une double distribution, constituent une étape vers la formule des immeubles à logements.
Les quelques immeubles construits pendant l'entre-deux-guerres et dans les années 1950 se répartissent essentiellement sur les sections CM et CL, c'est-à-dire dans le quartier urbanisé par l'entrepreneur Véran Dublé à l'est du cours Gambetta et dans le quartier de la gare, autour de l'avenue Paul Doumer tracée vers 1930. Quelques-uns s'intercalent également entre les constructions du XIXe siècle qui bordent les cours Bournissac et Gambetta. Dans le centre ville enfin, un immeuble des années 1930 fait l'angle de la rue Paul Bert et de la place Castil-Blaze.
Pour tous, on revient à la formule classique de l'immeuble à appartements. Leur gabarit est plus important que celui de la période précédente : on compte au minimum deux étages carrés au-dessus du rez-de chaussée et d'un étage en sous-sol, mais la structure à quatre étages est la plus courante. Au rez-de-chaussée peuvent éventuellement être aménagés boutiques et garages.
En fait ce sont les façades qui constituent la plus grande nouveauté pour ces immeubles : l'ordonnance en reste symétrique et sans véritable audace mais on s'est plu à jouer d'une part sur la forme des baies, qui peuvent être rectangulaires, à pans coupés ou en anse de panier, parfois sur une même élévation ; d'autre part sur les décrochements occasionnés par les balcons et bow-windows, lesquels peuvent constituer de massifs volumes carrés ou rectangulaires, mais aussi donner aux façades de gracieux profils courbes. Un seul immeuble, situé à l'angle de l'avenue Paul Doumer et de la rue Jean Mermoz, propose vraiment un jeu volumétrique : entre deux façades rectilignes traitement de l'angle rentrant en un jeu un peu maladroit de courbe et contre-courbe ; la monumentalisation de l'immeuble se trouve encore accentuée par les balcons superposés et reliés par de massives colonnes en béton. Le décor d'applique est quasiment absent des façades de ces immeubles, se limitant à quelques rampes en tubulure creuse et à quelques impostes en ferronnerie ornant les baies en anse de panier. Enfin, au-dessus de corniches sommitales, les toits-terrasses sont assez fréquents.
Section CL, parcelle 97. Rue Jean Mermoz. Elévation antérieure ouest.
Depuis une trentaine d'années, un petit nombre d'immeubles isolés ont été construits çà et là dans les faubourgs de Cavaillon. Pour certains d'entre eux on est revenu à la formule de l'immeuble à logements : il s'agit de constructions de petites dimensions, comptant rarement plus d'un étage au-dessus du rez-de-chaussée et dont l'aspect est très proche de celui des maisons. L'immeuble situé route des Courses (CL, 16) et s'ouvrant sur une impasse privée porte d'ailleurs le nom de Villa des Violettes. Rue Maryse-Bastié (BY, 625), un immeuble de la fin des années 1960 abritant trois logements semble-t-il se présente en fait sous la forme d'une grosse villa pluri-habitée. Rue du 8 Mai 1945 (CK, 506) se trouve également une construction pour laquelle il est difficile de trancher entre maison ou immeuble : deux entrées y desservent un rez-de-chaussée à vocation professionnelle, un étage abritant un ou plusieurs logements. Ce bâtiment est certes de proportions modestes, mais la façade proche par sa conception de l'architecture publique des années 1970 incite à le considérer plutôt comme un immeuble.
Les immeubles de proportions plus volumineuses ont une structure traditionnelle à appartements mais déploient souvent une certaine originalité dans le traitement de leurs façades :
- à l'angle des avenues Véran Dublé et Abel Sarnette (CM, 53) immeuble en béton des années 1950 sur lequel s'équilibrent les décrochements horizontaux des balcons et verticaux des deux travées médianes en saillie ; sur l'angle arrondi superposition de fenêtres à triples-baies délimitées par des colonnes engagées.
- en haut de l'avenue Paul Doumer (CL, 81) immeuble du début des années 1970 avec parement rustique sur lequel se détachent des parties saillantes enduites.
- retour à une esthétique rustique également pour l'ensemble élevé sur la rive nord de l'avenue Paul Doumer (CL. 250) vers 1980-85 : des façades articulées y présentent une alternance de bossages rustiques et d'enduits façonnés ; la couverture faite de tuiles creuses repose sur des chevrons et poutres d'angle.
- rue des Fauvettes (CM, 414) un immeuble modeste achevé en 1987 recourt à des éléments traditionnels pour habiller ses façades à l'0rdonnance banale : enduit à la tyrolienne ocre rouge ; cadres peints en blanc autour des baies rectangulaires, tables saillantes en céramique.
Parmi les grands ensembles d'habitations élevés dans les quartiers nord et est de la ville depuis une trentaine d'années et dont le premier fut le groupe de la Condamine sur l'avenue de la Libération, seule la résidence de la Clède présente une conception originale. Située à l'extrémité méridionale de la section BY et ayant son entrée principale par la route de Pertuis et le boulevard Jean Moulin, la résidence est orientée au sud. Elle se compose de 22 immeubles se répartissant en trois immeubles à appartements et 19 immeubles à logements. L'implantation des bâtiments s'est faite sur un plan strictement orthogonal lequel s'organise autour d'un square. Cet espace d'agrément, qui est aussi le centre de la vie collective de la résidence, s'entoure logiquement des trois immeubles à appartements : chaque immeuble se compose d'un corps de bâtiment parallélépipédique et comprend quatre étages au-dessus d'un rez-de-chaussée surélevé. Autour de ce noyau, les immeubles à logements constituent un ensemble d'une grande homogénéité en raison de leurs structure et façades toutes identiques. Cependant le nombre variable de logements qu'ils contiennent évite une trop grande monotonie : on compte en effet des bâtiments à 3, 4,5, 7, 9 ou 13 unités. Disposés entre de modestes cours et jardins qui contribuent à leur caractère d'habitation individuelle, ces logements, qui occupent chacun une parcelle, sont doubles en largeur et en profondeur au rez-de-chaussée seulement. Les élévations extérieures d'une grande simplicité jouent sur la polychromie : les murs, revêtus d'un enduit au rouleau blanc et couronnés par une bande ocre jaune avec frise de briques creuses, contrastent avec les toitures en appentis couvertes de tuiles rouges.
Résidence La Clède, boulevard Jean Moulin. Immeuble à logements, façade postérieure.
La formule des immeubles à logements de la Clède a été reprise et réactualisée pour le lotissement du Ratacan récemment achevé au nord-est de la ville (impasse des Sablons, section BT). Les habitations y sont conçues comme des immeubles à plusieurs corps de bâtiment, chacun pouvant contenir un ou plusieurs logements et présentant l'aspect d'une villa individuelle : maisons mitoyennes ou nouvelle formule de l'immeuble à logements, il est difficile de définir ce type d'habitat qui prend ses distances par rapport au pavillonnaire des quinze dernières années tout en en conservant l'apparence.
Les autres résidences de Cavaillon sont conçues sur le schéma habituel d'ensembles d'immeubles à appartements, disposés autour d'espaces collectifs qui la plupart du temps se réduisent à des parkings. La seule originalité consiste à varier quelquefois la forme des immeubles : ainsi, la résidence du Docteur Ayme (section CO) se compose-t-elle de tours juxtaposées aux traditionnels bâtiments parallélépipédiques.
Aucun des immeubles construits dans les faubourgs de Cavaillon se semble remonter au-delà du dernier quart du 20e siècle ; ceux élevés sur les cours ceinturant le vieux centre urbain sont pour la plupart construits autour de 1900. La construction d'immeubles d'habitation dans les quartiers périphériques a connu deux temps forts : d'abord à la limite du 19e et du 20e siècles, en bordure d'avenues et de boulevards nouvellement aménagés, puis dans les années 1960, des résidences consistant pour la plupart en habitations à loyer modéré. Il n'y a eu que quelques immeubles construits dans l'entre-deux-guerres, dans le quartier urbanisé par l'entrepreneur Véran-Dublé à l'est du cours Gambetta et dans le quartier de la gare autour de l'avenue Paul-Doumer tracée vers 1930, et dans les années 1950.
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Période(s)
- Principale : 4e quart 19e siècle
- Principale : limite 19e siècle 20e siècle
- Principale : 3e quart 20e siècle
Les immeubles construits dans les faubourgs de Cavaillon peuvent se répartir en deux catégories : sur les cours ceinturant le vieux centre urbain ou aux abords de la gare, ils ont une double vocation, commerçante et locative ; les immeubles les plus périphériques n'ont qu'une fonction d'habitation, excepté celui situé route des Courses et destiné à être un hôtel de voyageurs. Les premiers font souvent rupture dans le paysage urbain par leur gabarit plus important (deux étages carrés sur rez-de-chaussée) et par un décor affirmé, où les matériaux se diversifient sur la façade (ferronnerie, brique, pierres sculptées, céramique), mais à la distribution intérieure peu soignée ; une seule façade originale, avec les baies en arc en accolade cantonnées de pilastres en brique. Ceux de la deuxième catégorie sont plus variés, avec deux types de structure : immeuble à logements classique, d'une grande homogénéité pour ceux du début du siècle, avec des appartements desservis par un escalier commun ; ils sont souvent ouverts sur une cour ou un jardin à l'arrière. Les autres sont en fait des immeubles à logements indépendants juxtaposés, dans le type des maisons ouvrières. Ils sont en général en retrait de la voie, précédés de courettes, parfois de jardins. Les plans des logements peuvent être parfaitement identiques ou avec des variantes, en particulier dans l'étendue de la façade. Les immeubles des années 1930 ont un gabarit plus important que ceux du siècle précédent, avec quatre étages carrés, des façades plus inventives et qui intègrent les signes de la modernité : variété des formes de baies dans une même élévation, balcons et bow-windows, courbes et contre-courbes des façades, toits-terrasse ; en revanche, l'ordonnance reste symétrique ; le décor en est quasi-absent. Après-guerre, les immeubles isolés sont souvent petits, et ne comportent que quelques logements et parfois des commerces ou bureaux au rez-de-chaussée. Les immeubles plus importants ont souvent des façades qui présentent une certaine originalité de traitement : ligne des balcons dans un immeuble d'angle en rotonde, parements rustiques en pierre, enduit à la tyrolienne. Parmi les grands ensembles élevés dans les quartiers nord et est, seule la résidence de la Clède présente une conception orginale. Elle se compose de de 3 immeubles à appartements et de 19 immeubles à logements et les bâtiments sont implantés selon un plan strictement orthogonal et s'organisent autour d'un square. Les façades sont conçues comme la répétition d'un schéma, ce qui donne une grande unité, mais avec des variations évitant la monotonie : les bâtiments contiennent 3, 4, 5, 7, 9 ou 13 unités disposés entre de modestes cours et des jardins. Les élévations sont d'une grande simplicité et jouent sur la polychromie. Cette formule a été reprise et réactualisée pour le lotissement du Ratacan. Les habitations sont conçues comme des immeubles à plusieurs corps de bâtiments, chacun pouvant contenir un ou plusieurs logements.
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Toits
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Décompte des œuvres
- étudiés 3
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Chargée d'études documentaires DRAC/CRMH. 1er quart 21e siècle.
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Chargée d'études documentaires DRAC/CRMH. 1er quart 21e siècle.