Photographe au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1970 à 2006.
- opération ponctuelle
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Crau (La) - La Crau
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Commune
Rayol-Canadel-sur-Mer
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Lieu-dit
le Figuier
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Cadastre
2025
AN
1
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationmaison de villégiature, villa
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Appellationsvilla le Rayolet, Hôtel de la Mer
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Dossier dont ce dossier est partie constituante
Situation
La villa s'élève à la limite occidentale du domaine sur le promontoire auquel aboutissent les principales entrées. Elle repose sur la pente aménagée en deux terre-pleins, l’un au nord, de plain-pied avec le rez-de-chaussée, l’autre au sud, accessible par la première entrée.
L'édifice domine une partie du parc et jouit d'une belle vue sur la mer et les deux anses, celle du Figuier et celle de la Réserve, toutes deux dotées d’une plage.
Vue de situation.
Vue aérienne prise du sud-ouest. A gauche, l'aile de service B. Au premier plan la terrasse et l'entrée de la salle fraîche C.
Composition d’ensemble
La villa, de plain-pied au nord, comprend deux corps de bâtiments attenants : A, qui est la villa proprement dite, et B, en retour à l’ouest, qui est une aile de service. Ces deux parties comprennent au sud un étage de soubassement de plain-pied avec un second terre-plein aménagé, dans l’axe de la villa, en terrasse ceinte de jardinières et encadrée de deux volées divergentes qui descendent dans la végétation vers une salle fraîche C située sous la terrasse.
La grande allée, aujourd’hui goudronnée, qui dessert tout le domaine, conduit à la ferme et aboutit au château, part de cette terrasse.
Matériaux
Maçonnerie enduite. Fentes et fragments manquants indiquent la mauvaise qualité de la construction dans laquelle des inclusions métalliques, en particulier des linteaux, ont rouillé et provoqué l’éclatement de leurs enveloppes. Il semble que la pierre entre pour peu de chose dans l’ornementation architecturale, clés, colonnes, appuis paraissant être façonnés et en ciment. De la brique apparaît ici et là dans les structures, notamment des arcs. Le couvrement (plafonds) et la couverture pourraient avoir une structure de hourdis incluant poutraison métallique et remplissage de béton ou de brique. Les voûtes sont probablement en brique.
Structure
La villa proprement dite A se compose d'un étage de soubassement ouvrant au sud, d'un rez-de-chaussée surélevé dont l'entrée est au nord et d'un étage carré. Double en profondeur, son plan se développe en largeur symétriquement de part et d’autre d'un axe nord-sud.
- A l’étage de soubassement, le plan est quintuple en largeur, un couloir axial Ac est-ouest distribuant l’ensemble des pièces. Toutes sont plafonnées, à l’exception de la partie sud Ad1, en surnombre par rapport à la disposition du rez-de-chaussée et de l’étages qui est couverte d'une sorte de coupole ovale en brique.
- Au rez-de-chaussée, le plan est également quintuple en largeur, mais les extrémités est et ouest, moins profondes, forment des ailes en retrait sur les deux façades principales.
Elévation antérieure nord. Vue d'ensemble.
Elévation antérieure nord. Pergola.
Elévation sud, Vue d'ensemble.
L'accès se fait au nord sous une pergola portée par quatre colonnes. Le vestibule central Aa ouvre par des baies libres en anse de panier
1) sur la cage d’escalier Ab abritant un escalier en rez-de-chaussée de trois volées de 11, 6 et 9 marches, séparées par deux repos, tournant à droite autour d’un jour. Cet escalier est en maçonnerie enduite. Les trois premières marches sont galbées toutes sont recouvertes de marbre blanc veiné.
2) sur deux couloirs AC en vis à vis desservant différentes pièces et des services. Le couloir ouest ouvre à son extrémité sur une cage d’escalier Ah dont l’escalier en rez-de-chaussée part de l'étage de soubassement. Il se compose d'une seule volée suspendue de 20 marches à quart central tournant à droite. Cette cage permet la communication avec l'aile B.
Rez-de-chaussée. Escalier Ab. Vue d'ensemble prise du vestibule Aa.
Rez-de-chaussée. Vestibule Aa. Vue de volume prise vers l'ouest.
La seule particularité notable des pièces principales qui ouvrent au sud, autrefois en enfilade, est celle de la pièce centrale Ad couverte d'une voûte en arc de cloître avec deux lunettes latérales. Ces trois pièces Af-Ad-Ae ouvrent sur une grande terrasse d’où l’on peut rejoindre le terre-plein de l’étage de soubassement par deux volées convergentes.
A l’étage, la disposition reste la même, à l'exception près que seule la partie antérieure nord reste quintuple. La partie sud ne conserve que les trois pièces centrales Af-Ad-Ae, les pièces latérales Ag et Ak étant remplacées par des terrasses sur lesquelles ouvrent Ah et Aj qui appartiennent à la partie antérieure.
Par contre, en réalité la pièce Ad n'existe pas à l’étage : son volume est à mi-hauteur occupé par l’emprise de la voûte de la pièce du rez-de-chaussée ; au-dessus s’étend une sorte de galetas de faible hauteur éclairé par un oeil-de-boeuf ouvert au sud, au-dessus du rein de la voûte. Dans la partie est de ce volume prend place la volée droite de 9 + 12 marches qui conduit à la couverture en terrasse de l’édifice.
L’aile B en retour à l 'ouest se compose d'un corps central encadré de deux parties secondaires, l’ensemble s'étend sur un étage de soubassement et un rez-de-chaussée de plain-pied avec celui de A.
L’étage de soubassement est de même plan que le rez-de-chaussée mais il ne s'étend que sur la partie sud-ouest.
Le rez-de-chaussée, accessible par un escalier extérieur de 8 marches se compose d'un couloir transversal Ba ouvrant sur l’ensemble des pièces sauf sur Bb qui est un garage ouvrant au nord face à l’allée d'entrée. Ce garage et le reste communiquaient cependant auparavant par un escalier de 10 marches placé dans le garage lui-même et par l’intermédiaire d'une pièce Bh. Au sud, sont disposées les pièces Bg-Bf-Be-Bc et Bd, cette dernière servant de transition (office) entre la cuisine Bc et la villa.
Elévations
Villa : élévation antérieure nord
Ordonnance symétrique comprenant un corps central de trois travées sur trois niveaux et deux ailes dont le retrait est racheté par des courbes. L'ensemble reste assez strict dans sa composition.
Seule la pergola qui précède le corps central agrémente aujourd'hui la composition. Ses éléments (quatre colonnes doriques et structure de poutres et solives) sont identiques à la pergola du parc. El le s 'appuie sur un perron rectangulaire précédé d'un degré de trois marches en pierre blanche aux angles arrondis.
Le deuxième niveau dans son ensemble s’ornait à l’origine de peintures figurant de lourdes guirlandes. Seule apparaît actuellement une fri se polychrome représentant une grecque, sous la corniche couverte de tuiles creuses et surmontée d’un court parapet. L'ensemble a été badigeonné d’ocre jaune, les éléments saillants (colonnes, chapiteaux, cordons, appuis des fenêtres) ou en creux (gorges en cavets encadrant les baies et les tables du premier niveau) étant blanchis.
Villa : élévation postérieure sud
Son ordonnance de trois niveaux se développe sur plusieurs plans successifs dont les retraits sont occupés par les terrasses de chaque étage : grande terrasse au-devant de Af-Ad-Ae au rez-de-chaussée ; terrasses latérales au-devant de Ag et Ak au rez-de-chaussée encore ; terrasses latérales au-devant de Ah et Aj à l’étage. De plus dans la partie centrale, Ad sur ses trois niveaux forme un avant-corps aux angles arrondis.
L’organisation est la même qu'au nord, ainsi que les couleurs. Cependant, les larges baies éclairant Af et Ae au rez-de-chaussée sont couronnées d’un tympan en anse de panier, sculpté en bas-relief peuplé de putti entourant une femme à demi couchée.
Au-devant la grande terrasse est portée par quatre piliers rectangulaires remplaçant (ou englobant) les colonnes d’origine. De part et d’autre montent deux volées tournantes convergentes de 23 marches en pierre blanche bordées d’un garde-corps plein mouluré.
Les garde-corps de toutes les terrasses sont constitués d'une claire-voie de tuiles creuses qui remplace des balustrades.
Elévation sud. Escalier ouest de la terrasse, Vue rapprochée.
Elévation sud. Deuxième niveau. Baie de la pièce Af. Tympan sculpté.
Villa : autres élévations
Elles se développent selon les mêmes dispositions.
Aile B : élévations extérieures
Elles restent simples, percées de baies rectangulaires, sauf le portail nord du garage en anse de panier. On compte un seul niveau au nord, deux au sud et à l’ouest séparés par un cordon. Une corniche sans profondeur couronne l’ensemble.
Couverture
En terrasse sur A, en terrasse avec gravillon (refaite) sur B. Sur la terrasse de A émergent les souches des cheminées couronnée d'une couverture formant une sorte de lanternon à arcades.
La couverture de l’arrivée de l’escalier d 'accès est un appentis couvert de tuiles mécaniques
Distribution intérieure
Villa : étage de soubassement
Les trois pièces Af-Ad-Ae sont peintes (papier peint en Af), disposent d’un plafond plâtré et d’un carrelage terre cuite sur la pointe en Af, petits carreaux de grès de couleur formant des motifs (blanc, jaune, marron en Ad damier noir et blanc en Ae) .
Le couloir Ac et les pièces nord n’ont pas de traitement décoratif. L’ intérieur de Ad 1 et le dessous de la terrasse sont badigeonnés d'ocre jaune. Dallage rustique en schiste.
Au départ des deux volées, mosaïques formant damier blanc à fines bordures rouges.
Villa : rez-de-chaussée
L’ensemble des sols est constitué d'une mosaïque de motifs simples : damier rouge et blanc à larges bordures jaunes dans le vestibule Aa ; fond blanc entouré d’une grecque jaune bordée de rouge en Af-Ae ; fond blanc bordé de pointillés rouges et blancs ailleurs ; damier blanc à larges bordures jaunes sur la terrasse. Seule la pièce Ad a un carrelage sur la pointe de petits carreaux de grès blanc, jaune et noir.
Tous les murs ont été recouverts d'une peinture projetée beige (tyrolienne).
Dans le vestibule subsistent des éléments de décor ancien : deux dessus-de-porte en bas-relief (plâtre ?) figurant des putti, deux corbeilles de fruits couronnant des pilastres en gaine.
Toutes les menuiseries sont à panneaux rectangulaires moulurés peints en gris-beige. Les plafonds ont dans les pièces d'habitation une corniche plate bordée d'un talon.
Villa : premier étage
Mêmes mosaïques, même peinture projetée sur les murs, mêmes plafonds. Il faut cependant mentionner de petites cheminées différentes selon les pièces.
- Aa : carreaux de grès gris-bleu avec frise de roses en relief.
- Ae : marbre blanc veiné. Cheminée d’angle.
- Af : marbre blanc veiné. Cheminée d’angle.
- Ah : marbre blanc veiné. Piédroits cannelés.
- Ai : carreaux de grès blanc-gris avec motifs végétaux art nouveau et fleurs bleues.
- Aj : marbre blanc veiné. Piédroits cannelés.
Premier étage. Chambre Aa. Cheminée.
Premier étage. Chambre Ai. Cheminée.
Les salles de bains des chambres Af et Ae sont équipées de leur baignoire, lavabo, bidet et WC. Dans celle de la chambre Ae, la peinture projetée contourne une mosaïque murale, protégeant les murs autour de la baignoire, dont les tessères disposées en éventail sont de marbre blanc, avec de petits motifs bleus et dorés.
Dans l’ensemble de la villa :
- De nombreux placards sont aménagés ici et là.
- Toutes les baies extérieures disposent de volets roulants à lattes de bois.
- Toutes les pièces ont un chauffage à air pulsé sous la forme d’une sortie carrée barrée d’une grille de laiton placée au ras du sol.
Aile B. Le garage Bb
Sol cimenté. Fosse centrale pour vidange et réparation des voitures. Fontaine en fonte côté ouest, placards à l’est. Pompe à essence contre la façade nord.
Aile B. Rez-de-chaussée
Tout est enduit de peinture beige projetée. Carreaux de terre cuite. Menuiseries peintes en gris.
- Cuisine Bc : grande hotte occupant tout le côté sud et abritant un évier à deux bacs, une paillasse et une cuisinière "FOURNEAU BRIFFAULT Marque garantie déposée". Carrelages blancs émaillés sur tous les murs à mi-hauteur.
- Office Bd : placards muraux. Lavabo.
- Chambre Be : deux placards encadrent un renfoncement formant alcôve. Crochet au plafond pour la moustiquaire. Dans l’angle sud-est, table de toilette à dessus de marbre blanc veiné et robinetterie marquée « Jacob Delafon et Cie. Paris" sur les cabochons émaillés.
- Chambre Bf : même cheminée (démolie) que dans la chambre Aa au premier étage de A.
Quelques années après la construction de la première villa du domaine du Rayol par Guillaume Tronchet (IA83003481), madame Courmes jugeant ce premier édifice trop grand demande à l'architecte de lui bâtir à l'autre extrémité du parc une petite villa dont le chantier se déroule de 1925 à 1927. Cette petite villa est agrandie et son aménagement intérieur repris après 1939 par l'architecte Raoul Minjoz pour le compte du nouveau propriétaire du domaine, l'industriel aéronautique Henri Potez.
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Période(s)
- Principale : 2e quart 20e siècle , daté par source
- Secondaire : 2e quart 20e siècle , daté par source
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Dates
- 1925, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Tronchet Guillaumearchitecte attribution par sourceTronchet Guillaume
Guillaume Tronchet s'inscrit à l'École des Beaux-Arts de Paris dans l'atelier de Louis-Jules André, devenu en 1890 celui de Victor Laloux. Diplômé en 1891, il reçoit, en 1892, le deuxième second Grand Prix de Rome dont le sujet de l'épreuve finale s'intitule "un musée d'artillerie". Il construit, pour Fernand Halphen, le château Mont-Royal à La Chapelle-en-Serval près de Chantilly (Oise). Après avoir rejeté un projet de style anglo-normand de l'architecte René Sergent, puis un premier projet de style médiéval (dessins, collection Musée d'Orsay), le commanditaire a fixé son choix sur le second projet de Guillaume Tronchet : un château de style Louis XVI célébrant la chasse à l'extérieur et la musique à l'intérieur. Édifié de 1907 à 1911, l'édifice (aujourd'hui transformé en hôtel) est une grande réussite architecturale. Architecte-en-chef des bâtiments civils et des palais nationaux, Tronchet se voit confier en 1929 par Louis Loucheur, ministre du Travail, le soin d’édifier - en huit mois seulement - le nouveau bâtiment du ministère, place de Fontenoy à Paris (7e). Il fait appel aux matériaux et aux techniques les plus modernes et à des artistes réputés pour la décoration : les frères Martel pour la sculpture et Jacques Grüber pour les vitraux. Aujourd'hui, une fondation perpétue son souvenir et attribue, dans le cadre de la cérémonie annuelle de l'Académie des beaux-arts se déroulant sous la coupole de l'Institut, un prix destiné à encourager un jeune artiste (le plus souvent architecte).
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Auteur :
Minjoz Raoularchitecte attribution par sourceMinjoz Raoul
Architecte de la société des aéroplanes Potez. Auteur de la villa Potez à Méaulte (Somme) en 1927 et de travaux de modification au domaine du Rayl-Canadel (Var) entre 1939 et 1950.
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Auteur :
La villa comprend un corps principal A (la villa proprement dite) et une aile de service B. Le plan et la volumétrie de la villa sont réguliers. Elle comprend un étage de soubassement au sud, un rez-de-chaussée surélevé et un étage carré couvert en terrasse. Le gros oeuvre est en maçonnerie enduite, avec probable emploi de la brique et du béton pour les plafonds et la couverture. L'escalier dans oeuvre est tournant à retours avec jour. Deux escaliers de distribution extérieur tournant flanquent la terrasse d'agrément en façade sud et relient l'étage de soubassement au rez-de-chaussée. Les élévations sont ordonnancées. Le caractère classique de l'architecture est tempéré par des détails de mise en oeuvre appartenant au répertoire néo provençal : garde-corps en claustra de tuiles, vases en terre cuite, pergola formant portique de l'entrée nord.
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Murs
- maçonnerie enduit
- brique
- béton
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Étagesétage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré
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Couvrements
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Élévations extérieuresélévation ordonnancée
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Couvertures
- terrasse
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour
- escalier de distribution extérieur : escalier tournant à retours
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Typologiescaractère éclectique
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Statut de la propriétépropriété d'un établissement public de l'Etat, propriété du Conservatoire de l'espace littoral et des rivages lacustres
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Protectionsinscrit MH, 1994/06/29
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Précisions sur la protection
La villa 1925 ( cad. A4 621) : inscription par arrêté du 29 juin 1994
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Référence MH
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
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Bibliographie
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FRAY, François. Le Rayol, un domaine de villégiature entre tradition et modernité. Dans : Modernismes, villégiature et projets d'architecture moderne sur la côte varoise. [exposition, Brignoles, du 11 au 30 septembre 1992]. Brignoles : Agence départementale d'action culturelle - Conseil général du Var, 1992.
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OLIVIER, Brigitte. "Et in Arcadia ego", le domaine du Rayol. Dans : Revue Monuments Historiques, n° 201, mars-avril 1996, p. 113.
Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1968 à 2004.
Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1968 à 2004.