La villa Les Palmiers a été construite pour Antoine Imbert, né en 1820, ingénieur aux Mines d'Anzin (59). Elle apparaît au cadastre en 1885. En 1901, elle est achetée par Hugues Eymard, agent de change lyonnais. Dans les années 1920, elle est occupée par l'état-major. L'étage de soubassement était occupé par le personnel. La conciergerie a disparu.
- recensement du patrimoine balnéaire
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Saint-Raphaël - Saint-Raphaël
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Commune
Saint-Raphaël
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Adresse
69 avenue Paul-Doumer
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Cadastre
1981
AT
760
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationmaison de villégiature
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AppellationsVilla Les Palmiers
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Parties constituantes non étudiéesconciergerie, jardin d'agrément, portail
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Période(s)
- Principale : 4e quart 19e siècle
La maison est en maçonnerie enduite ; le soubassement est en grès taillé. Les terrassons sont couverts de tuiles plates mécaniques et les brisis d'ardoises, ainsi que le toit en pavillon du belvédère. L'entrée principale est à l'est, en rez-de-chaussée surélevé. L'élévation sud est animée par le belvédère en hors-œuvre et un bow-window couvert en terrasse d'agrément au premier étage. Au rez-de-chaussée, les portes-fenêtres plein-cintre du salon s'ouvrent sur une terrasse qui communique avec le jardin par une volée d'escalier à l'ouest.
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Murs
- grès
- enduit
- maçonnerie
- pierre de taille
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Toitstuile plate mécanique, ardoise
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Étagesétage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, étage de comble
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à longs pans brisés
- toit en pavillon
- croupe
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
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Typologiesplan-masse régulier ; volumétrie composite ; élévation avec axe ; caractère éclectique
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Techniques
- sculpture
- céramique
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Représentations
- volute
- palmette
- mascaron
- fronton
- colonne
- feuille d'eau
- médaillon
- ornement végétal
- ornement géométrique
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Précision représentations
Sur la façade sud, le balcon du belvédère, dont les baies supérieures sont cantonnées de colonnes à chapiteaux décorés de feuilles d'eau, repose sur deux consoles à volutes et palmettes, de part et d'autre d'un mascaron. Sur les élévations sud et est, deux fenêtres de comble s'ouvrent au centre d'un fronton brisé. La porte d'entrée principale est surmontée d'un médaillon à ornements végétaux. Les toits du corps de bâtiment principal et du belvédère sont soulignés d'une frise en céramique à ornement géométrique.
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Statut de la propriétépropriété d'une personne privée
1880-1919
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Bibliographie
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JEANNIN-MICHAUD, Emilie. Saint-Raphaël, naissance d'une station. Étude architecturale. Th. doct. : Paris 10 : 1983.
P. 396-397.
Photographe au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1968 à 2005.