Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).
Dossier d’œuvre architecture IA06004251
| Réalisé par
Prédal Christophe
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Prédal Christophe
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Baussan Françoise
(Contributeur)
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Baussan Françoise
Photographe de l'Inventaire, région Sud-Paca.
- recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
Maison de villégiature (villa balnéaire) dite villa Simonod ou La Charmeraie, actuellement école
Œuvre étudiée
Auteur
-
Prédal ChristophePrédal ChristopheCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.
Copyright
- (c) Ville de Nice
Dossier non géolocalisé
Localisation
-
Aire d'étude et canton
Nice - Nice
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Commune
Nice
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Lieu-dit
Cimiez
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Adresse
2 avenue Villebois-Mareuil
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Cadastre
2022
LR
0184
Protection au titre du PLU n°266.
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationmaison de villégiature, villa balnéaire
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AppellationsSimonod, La Charmeraie
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Destinationsécole
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Parties constituantes étudiées
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Parties constituantes non étudiéesjardin d'agrément, conciergerie
Hector Simonod, possesseur de fabriques de tissage à Moscou, acquiert le terrain en mai 1912 et fait construire la villa, dite Villa Simonod ou La Charmeraie, selon les plans des architectes Pierre Rabagliati et Jean-Baptiste Lusso. Hector Simonod est à cette date le père de trois jeunes enfants, Anatole (né en 1901), Valérie (née en 1904) et Emile (né en 1907), ce qui explique la présence d'une salle de jeux et d'une salle d'étude sur les plans intérieurs de la villa. Hector Simonod décède dans la villa le 28 janvier 1919, quasiment ruiné en raison de la Révolution russe ayant entraîné une dévaluation du rouble. Sa veuve vend donc la villa à la famille Mercier. François Mercier est un très puissant entrepreneur de travaux (en 1920, il a 5000 ouvriers sous ses ordres). Il est républicain, libre penseur, franc-maçon, philanthrope (finance 2 sanatorium en Auvergne). Il est dans la région l'entrepreneur de la ligne Nice-Coni. Lui ne profitera pas vraiment de la villa niçoise car il meurt en 1920. Sa femme Marie Anne Coulignon meurt à la Charmeraie le 3 Mars 1933 (née à Tronger dans l’Allier, chevalier de la légion d’honneur). En 1936, M et Mme Iboury y résident et font une demande pour une construction de piscine en 1938 ; cela en ferait l'une des premières piscines privées de la ville. Après la Seconde Guerre mondiale, la villa accueille des établissements privés d'enseignement, notamment le cours Devienne depuis les années 1950, puis l'école Or Torah depuis 1990. C'est en 1972 que la majeure partie du jardin est vendue pour la construction des trois immeubles de la Résidence La Charmeraie. La villa possède dans son grand escalier des vitraux signés F. Chigot à Limoges.
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Période(s)
- Principale : 1er quart 20e siècle , daté par source
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Dates
- 1912, daté par source
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Auteur(s)
-
Auteur :
Rabagliati Pierrearchitecte attribution par sourceRabagliati PierreCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Architecte à Nice. Il est né le 13 octobre 1876 à Saluzzo. Il arrive à Nice en 1883. Il est formé par l'architecte Jean-Baptiste Pachiaudi. Il est marié sans enfant. Il est naturalisé le 01-01-1931. . Il travaille à partir de 1908 en association avec Jean-Baptiste Lusso jusqu'en 1934. Il habite 6 rue Valperga et 4 rue Niepce et après la guerre 52 avenue Jean Médecin en 1933. Il est membre du syndicat des architectes français et de l'association provinciale des architectes français. Il meurt à Nice le 18 juin 1951. (Véronique Thuin)
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Auteur :
Lusso Jean-Baptistearchitecte attribution par sourceLusso Jean-BaptisteCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Architecte, né à Nice le 31 mars 1878. Son père est Jean Lusso entrepreneur de maçonnerie et sa mère Borro Rose, habitant Nice. Il épouse à Nice le 4 juillet 1903 Marie Thérèse Gavina. Le peintre décorateur Jean Daziano est témoin à son mariage. Il apparaît comme architecte en 1898, associé à Joseph Mars avec qui il construit pour la veuve H. Thaon un immeuble de rapport à l'angle du boulevard Gambetta et de la rue Caffarelli. Il co-signe ensuite ses projets avec Pierre Rabagliati entre 1909 et 1934. Puis il est associé avec l'architecte Franck Rapello. Il meurt à Nice le 8 mars 1963. (Véronique Thuin)
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Auteur :
Chigot Francispeintre-verrier signatureChigot FrancisCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Peintre-verrier, début 20e siècle. Formé à l’école des Arts Décoratifs, il fonde son atelier à Limoges en 1907. Il commence à travailler pour les Monuments Historiques en 1917 en assurant la restauration des verrières des églises du nord de la France détruites par la guerre. Les chantiers de restauration continuent à occuper une grande part de ses activités de 1939 à 1960. Il a réalisé de très nombreuses œuvres en France et à l'étranger. Dans la région, il est l'auteur d'une verrière dans l'église du Sacré-cœur à Menton. L'"Atelier du Vitrail" à Limoges poursuit toujours son œuvre. Source : Wikipedia.
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Personnalité :
Simonod Hectorcommanditaire attribution par sourceSimonod HectorCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Commerçant. Né en Isère, il se forme au commerce de la soie. Il arrive à Moscou et achète une fabrique de tissage en 1880. A compter de 1905 où il achète une villa à Beaulieu-sur-mer (06), il gère ses affaires une partie de l'année depuis la Côte-d'Azur. Il revend sa villa de Beaulieu et fait construire la villa La Charmeraie à Nice-Cimiez en 1912 (toujours existante).
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Auteur :
Grande villa de près de mille mètres carrés habitables, élevée de trois niveaux sur sous-sol partiel, une partie de rochers empêchant le développement du sous-sol sur l'ensemble. Ce sous-sol ouvre sur la façade nord au moyen d'une cour anglaise. La structure est en moellons, recouverts d'un enduit (visibles lors de l'altération de l'enduit). Mais la demande de permis de construire semble révéler aussi des planchers béton. Le bâtiment est approximativement rectangulaire pour ce qui est du volume principal avec de légères avancées de la travée de l'escalier au nord et des travées centrales au sud. Y est accolé un volume bas (un niveau) qui abritait originellement les cuisines à l'angle nord-est. La façade principale sur jardin et les façades latérales jouent la symétrie. La façade principale adopte un léger avant-corps marqué par une loggia ouverte par des arcs en plein cintre reposant sur des colonnettes en marbre. La façade ouest offre en position centrale le porche d'entrée avec colonnes du même marbre. Sur l'ensemble des façades, présence de nombreux balcons à balustres, supportés par d'épaisses consoles avec chute de feuillage. La villa se singularise par ses quatre façades ornées de manière égale au moyen d'opulents ornements en stuc et d'une large frise peinte selon la technique du sgraffite en couronnement. La frise est protégée par un large débord horizontal du toit. La toiture est en pavillon, avec croupes englobant les avancées de toiture couvrant la travée de l'escalier et de l'avant-corps central. L'ensemble est recouvert de tuiles plates mécaniques.
A l'intérieur, chaque étage est distribué par un corridor en position centrale. Le grand escalier est tournant à retours avec jour, tout comme l'escalier de service adoptant également, fait rare pour ce dernier, des marches en marbre. Les pièces principales adoptent, pour la partie réception, des styles divers : néo-mauresque pour la salle de jeux, néo-classique pour le grand salon, néo-renaissance pour la salle à manger. A l'étage, les chambres privilégient des ornements en staff, plus légers. Les pièces principales et corridors mélangent d'ailleurs décors muraux en bois (pilastres, cordons..) et en staff (motifs végétaux légers). Les plans originaux révèlent un grand nombre de salles d'eau ou de salles de bains. Les espaces pour les domestiques sont prévus à l'origine dans la maison principale, ouvrant sur la façade postérieure au nord. Un bâtiment de services annexes est édifié dans l'angle nord-est du terrain à une date ultérieure inconnue. Logement du gardien près du portail, pergolas, exèdre, kiosque et tennis faisaient partie du jardin d'agrément.
-
Murs
- pierre moellon enduit
- béton
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Toitstuile mécanique
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Étagessous-sol, 2 étages carrés
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Élévations extérieuresélévation ordonnancée
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Couvertures
- toit en pavillon croupe
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Escaliers
- escalier demi-hors-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie, suspendu
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Techniques
- peinture
- mosaïque
- vitrail
- maçonnerie
- ferronnerie
- menuiserie
- miroiterie
- décor stuqué
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Représentations
- rinceau, guirlande, chimère, corne d'abondance, rose, lierre, feston, mufle de lion, mascaron, instrument de musique, palette
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Précision représentations
Frise en sgraffite avec motifs de vases d'abondance, rinceaux et guirlandes de feuillage, chimères ailées et angelots. Huile sur toile enchâssée dans le panneau de cheminée de la salle à manger.
Maçonnerie et décor stuqué en fort relief avec motifs floraux, guirlandes de feuillages enrubannés, cornes d'abondance. Présence répétée de mufles de lion (musequins) et du motif de cordelette (en lien avec le domaine d'activité du commanditaire ?), notamment pendant, noué et pris dans des feuillages. A l'intérieur, présence d'un décor en stuc ou en staff notamment dans la salle de jeux au décor néo-mauresque, dans le grand salon et dans les corridors de distribution (tympans des portes avec instruments de musique ou palette de peintre et décor végétal).
Sols des corridors en tesselles de mosaïque avec disposition en éventail et motifs floraux.
Vitrail des deux baies de l'escalier avec festons et vases de fleurs (vitrail et verre peint).
Travail de ferronnerie du portail (feuilles de lierre) et de la porte d'entrée (roses). Descentes d'eau pluviale. Déversoirs en bec-de-cygne.
Les fenêtres et portes-fenêtres ont conservé leurs huisseries d'origine en bois. Ainsi pour les portes-fenêtres latérales du rez-de-chaussée de la façade sud qui offrent montants dormant avec colonnettes avec chapiteaux de feuillage. Cheminée en bois de la salle à manger avec motif central de mandegloire.
Certaines baies du rez-de-chaussée ont conservé leurs vitres gravées.
Z Nice repérage
- 01-DENO maison
- 02-CHRONO 1860-1919
- 03-CARACTERE éclectique
- 04-TENDANCES néo-classique
- 05-INTEGRITE réduite
- 06-VISIBILITE limitée
- 07-SITUATION isolé
- 08-IMPLANTATION sur jardin ou parc
- 09-MATERIAUX oui
- 10-MACONNERIE enduit avec parements
- 11-SUR FACADE loggia
- 12-ENTREE porche
- 13-TOIT toit debordant
- 14-COMBLES
- 15-DOME
- 16-BELVEDERE non applicable
- 17-FRISE frise sgraffite
- 18-CERAMIQUE
- 19-MATERIEUX GROS OEUVRE moellon
- 20-SITE dimension paysagère
- 21-LOTISSEMENT
- 22-PERGOLA non
- 23-JOINTS
- 24-CLOTURES oui
- 25-AGREMENTS oui
- 26-COUR ANGLAISE oui
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Statut de la propriétépropriété d'une personne privée
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Intérêt de l'œuvreà signaler
-
Éléments remarquablespavement, escalier, portail, élévation, cheminée
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Précisions sur la protection
Protection au titre du PLU n°266.
Ensemble exceptionnel ayant conservé la majeure partie de ses décors intérieurs. La villa est représentative de l'éclectisme présent dans les décors intérieurs, avec le choix d'un style différent pour chacune des pièces de réception. La villa se singularise notamment par la monumentalité de ses espaces (dimensions des pièces ainsi que des espaces de distribution).
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Documents d'archives
-
Nice, demande de permis de construire pour une piscine [villa La Charmeraie], 1938. Archives communales, Nice : 2T877 88.
Bibliographie
-
MELNICHENKO, Olga. La belle-époque à Nice pour les industriels français de Moscou. Dans : Recherches régionales, année 2018, n°215, p. 45-65.
p. 54 -
STEVE, Michel. L'architecture à Nice 1920-1940. Nice : Serre éditeur, 2002. 207 p ; 30cm.
p. 9
Documents figurés
-
Villa Simonod, avenue Villebois-Mareuil Cimiez [nice], façade sud. / Tirage de plan par Pierre Rabagliati et Jean-Baptiste Lusso, 1912. Archives communales, Nice : 2T269 283.
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Villa Simonod, avenue Villebois-Mareuil Cimiez [nice], coupe transversale. / Tirage de plan par Pierre Rabagliati et Jean-Baptiste Lusso, 1912. Archives communales, Nice : 2T269 283.
-
Villa Simonod, avenue Villebois-Mareuil Cimiez [nice], plan du sous-sol. / Tirage de plan par Pierre Rabagliati et Jean-Baptiste Lusso, 1912. Archives communales, Nice : 2T269 283.
-
Villa Simonod, avenue Villebois-Mareuil Cimiez [nice], plan du rez-de-chaussée. / Tirage de plan par Pierre Rabagliati et Jean-Baptiste Lusso, 1912. Archives communales, Nice : 2T269 283.
-
Villa Simonod, avenue Villebois-Mareuil Cimiez [nice], plan du 1er étage. / Tirage de plan par Pierre Rabagliati et Jean-Baptiste Lusso, 1912. Archives communales, Nice : 2T269 283.
-
Villa Simonod, avenue Villebois-Mareuil Cimiez [nice], plan du 2ème étage. / Tirage de plan par Pierre Rabagliati et Jean-Baptiste Lusso, 1912. Archives communales, Nice : 2T269 283.
-
Propriété de M. Simonod, Cimiez [Nice], plan d'ensemble. / Tirage de plan par Pierre Rabagliati et Jean-Baptiste Lusso, 1912. Archives communales, Nice : 2T269 283.
-
Cours Devienne, 2 av. Villebois-Mareuil, Nice, La Charmeraie [dépliant publicitaire]. / Impression offset en couleur, non daté [circa 1970]. Collection particulière.
Date(s) d'enquête :
2022;
Date(s) de rédaction :
2022
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Prédal Christophe
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Prédal Christophe
Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.
Thuin-Chaudron Véronique
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Thuin-Chaudron Véronique
Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).
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Baussan Françoise
Photographe de l'Inventaire, région Sud-Paca.
Articulation des dossiers
Parties constituantes
Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.