Dossier d’œuvre architecture IA06003188 | Réalisé par
Hérault Marie (Rédacteur)
Hérault Marie

Architecte diplômée d’État. Historienne des jardins et du paysage. Doctorante en histoire de l'art.

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Prédal Christophe (Rédacteur)
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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  • recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
jardin public, dit aussi jardin des plantes, jardin Paradis, jardin des Palmiers, jardin des Phocéens, actuellement jardin Albert 1er et jardin d'Arménie
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Métropole Nice Côte d'Azur

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Nice - Nice
  • Commune Nice
  • Lieu-dit Médecin
  • Adresse place Masséna , avenue Gustave V , avenue de Verdun , avenue des Phocéens , promenade des Anglais , avenue de Suède
  • Cadastre 2025 KT 0079 et 0404 KT0079 : actuel jardin Albert 1er KT0404 : actuel jardin de l'Arménie
  • Dénominations
    jardin public
  • Appellations
    jardin Paradis, Jardin des plantes, jardin public, jardin des palmiers, jardin Albert 1er, jardin d'Arménie, jardin des Phocéens
  • Parties constituantes étudiées
  • Parties constituantes non étudiées
    statue monumentale, fontaine, kiosque

En rive droite, le Jardin public dit aussi jardin des plantes, jardin Paradis1 ou jardin des palmiers

Un plan de 1832 (Archives communales Nice ACN – O 4/3-7), qui a servi de base aux premières discussions au sujet du plan régulateur(depuis 1829), révèle un ample projet d’avenues plantées axées sur une grande place arborée dessinée sur Lou Prat de la fous en rive droite, tout près de l’embouchure du fleuve Paillon. L’emplacement visé était constitué de terrains marécageux car le Paillon s’y évasait alors en delta. Des ruisseaux, venant du nord (actuelle rue Paradis), s’y jetaient. Si ce grandiose projet d’ouverture de voies ne voit pas le jour, la municipalité acquiert toutefois des sieurs Andrea Gilli et Lorenzo Bessi des terrains en avril 1835 dans le but d’établir un jardin public afin d’embellir le secteur de la Croix-de-marbre habité par les étrangers. L’espace végétalisé, dessiné par l’architecte municipal Giovanni Antonio Scoffier, y est, comme sur le plan originel, de forme ronde avec de larges allées cavalières (ACN – D 34 136).

[Nice, extrait du plan régulateur, secteur de l'embouchure du Paillon], 1845. Ce plan est une copie d’un plan de travail de 1832 concernant le secteur de la Croix-de-Marbre. Il n’a pas été réalisé avec cette ampleur. [Nice, extrait du plan régulateur, secteur de l'embouchure du Paillon], 1845. Ce plan est une copie d’un plan de travail de 1832 concernant le secteur de la Croix-de-Marbre. Il n’a pas été réalisé avec cette ampleur.

Des travaux de dérivation du cours d’eau et d’assèchement, au moyen de cailloux et de sable apportés dans des couffes depuis la plage, avaient en effet débuté en 1833. Mais un plan du secteur daté de 1835-1845 (ACN - O 4/3-18) montre un grand triangle vide avec la mention « ancienne propriété Bessi, actuellement place publique », sans trace d’aucune végétation. Les plantations et tracées d’allées ne débutent en effet qu’en 1846 et les habitants du quartier lancent une souscription en 1852 afin d’achever le chantier qui s’éternise, de ce que l’on nomme déjà jardin public, jardin des plantes ou jardin Paradis (L’Avenir de Nice, 18 février 1852). Le plan régulateur du quartier de la croix de marbre (ACN - 1 Fi 03 07) indique bien en 1854 un Giardino pubblico en rive droite et prévoit une Piazza dei Focesi (Phocéens) arborée en rive gauche. Il semble d’ailleurs que l’espace du jardin se soit réduit depuis les premières esquisses. Une passerelle piétonne était prévue reliant les deux jardins, non réalisée car remplacée par le Pont Napoléon plus proche du rivage, en 1864. L’aménagement du secteur se fait en parallèle, avec l’ouverture de voies depuis le quai, la rue Croix-de-Marbre (actuelle avenue de Suède) dans un premier temps, puis la rue Paradis.  

En 1851, l'architecte de la ville établit la liste des espèces à planter dans le jardin, après avoir consulté des experts en botanique. Y figurent ainsi : « 70 marronniers, alternativement blancs et rouges, 60 ormes, 40 tilleuls, 30 acacias, 30 arbres de Judée, 24 mimosas, 16 mûriers de Constantinople, 14 caroubiers, 14 catalpas, 14 frênes et ormes, 12 pins parasols, 10 platanes, 5 cerisiers à fleurs doubles, 5 yeuses et des érables » (Scoffier-Blanchi, p.100). On ne sait si tout cela est finalement planté. Les plantations font l’objet de profondes réflexions entre le choix d’un tracé « à l’anglaise », ou plus régulier « à la française ». Les représentations illustrées disponibles révèlent bien dans un premier temps un plan ordonné autour d’une fontaine. On trace des allées aux arbres à feuilles persistantes et d’autres à feuilles caduques avec notamment saules et marronniers à fleurs rouges et blanches. Toutefois, dès 1858, est préférée une certaine irrégularité dans les dimensions et formes des allées ainsi que la plantation de touffus massifs d’arbres. On apprend qu’en 1868, le « genre anglais » l’emporte sur la totalité du jardin : "On va s'occuper, d'après un nouveau plan, de transformer la partie du jardin public le long de l'hôtel de Grande-Bretagne afin de la mettre en accord avec la partie neuve dessinée d'après le genre anglais tandis que le tracé primitif l'était à l'italienne avec alignements et courbes régulières. On déracine les vieux tilleuls malades pour les remplacer par des magnolias et autres arbres à feuilles persistantes" (Le Journal de Nice, 13 janvier 1868). La presse révèle que des plantes exotiques sont ajoutées aux espèces continentales : palmiers et même bananier (Le messager de Nice, 17 juin 1863 et Le Journal de Nice, 4 août 1867). Des édicules à l’architecture orientalisante sont ajoutés (ACN - 2T 20 5) et les travaux du kiosque à musique sont terminés en décembre 1867 (Le Journal de Nice, 25 décembre 1867). Emile Négrin peut affirmer en 1862 : « Le jardin des plantes est le cœur de Nice. Veines et artères partent de là, s’emplissent là, reviennent là » (Négrin, 1862).

Vue du jardin public et du quai Masséna, 1855.Vue du jardin public et du quai Masséna, 1855.

Le jardin public de Nice, circa 1870. Le jardin est ici dans son 2e état de jardin irrégulier dit "à l'anglaise". Le jardin public de Nice, circa 1870. Le jardin est ici dans son 2e état de jardin irrégulier dit "à l'anglaise".

En rive gauche, le jardin des Phocéens

C'est en 1867 que débute l'aménagement du quai opposé à celui où se trouve le jardin public initial. Il en est question depuis 1864 (Le Journal de Nice, 18 septembre 1864) mais les travaux de ce jardin régulier ne débutent qu'à l'été 1867 avec notamment la plantation du grand palmier offert par Iginius Tiranty (Le Journal de Nice, 14 juillet 1867)2 . Le Journal de Nice du 12 mars 1868 nous apprend que l'on y plante des palmiers. Le bassin des Tritons (qui va accueillir la fontaine déplacée) est achevé en mars 1868 (Le Journal de Nice, 12 mars 1868), la vasque et le groupe posés en mai (Le Journal de Nice, 3,18 et 24 mai 1868). (C. Prédal)

Bibliographie

EMANUEL Victor, « Le jardin public et la promenade des Anglais », Nice Historique, 1914, p. 43 sq.

NEGRIN Emile. Silhouette du jardin public de Nice. Nice : Visconti, 1862, 83 p.

SCOFFIER Édouard, BLANCHI Félix. Le Consiglio d'Ornato : l'essor de Nice 1832-1860. Nice : Serre éditeur, 1998, 151 p.

THUIN-CHAUDRON, Véronique. Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. Nice : Serre éditeur, 2009, 560 p.

TOMBACCINI VILLEFRANQUE Simonetta, « Jardins privés et publics à Nice, 1814-1860 », Nice-Historique, Jardins d’acclimatation et botanistes niçois, n°1, janvier-mars 2009, p. 31-55.

 

1Le jardin du monastère des Carmes, disparu, se nommait "Paradis des Carmes " (Négrin, p. 145)2Le palmier mourra en 1870 (Le Journal de Nice, 22 décembre 1870).

Le premier jardin est installé en rive droite (aujourd'hui jardin de l'Arménie). A l'emplacement du terrain marécageux dit du « Prato de la Fous » (Pré de l’embouchure) appartenant au sieur Laurent Bessi, est décidée la création d'un jardin public par la municipalité. Ainsi, dès 1829, le plan régulateur du Consiglio d'Ornato prévoit la formation « d’une place ronde ayant 65 mètres de rayon et 39 mètres au moins, avec une grande route de 10 mètres de largeur à l'entour et deux trottoirs de 3 m 50 chacun avec une double rangée d'arbres ». Un projet pour le tracé du jardin est établi par l'architecte de la ville en 1835. Après avoir été comblé, le terrain est nivelé en 1852 pour former un plateau. Le jardin d’environ un hectare est entièrement arboré et adopte un tracé régulier puis irrégulier. Fin décembre 1867, le kiosque à musique est inauguré. Ce jardin "originel" a été réduit et coupé en deux parties par le prolongement de l'avenue de Verdun. Il correspond à peu près à l'actuel Jardin de L'Arménie.

A partir de 1867 est aménagé en rive gauche, au débouché de la rue Saint-François-de-Paule, une petite zone arborée que l'on désigne habituellement comme le jardin des Phocéens et où l'on installe la fontaine des Tritons.

En 1864, le Paillon est endigué à son embouchure en vue de la construction du pont Napoléon, puis pont des Anges, ce qui étend la surface du jardin public. La couverture du Paillon entre la place Masséna et l'embouchure est terminée et inaugurée le 20 novembre 1895. Le jardin public et le jardin des Phocéens sont désormais réunis. Sur la partie recouvrant le fleuve, le jardin est équipé d’un bassin aux cygnes et d’une grotte artificielle en fausse rocaille avec stalactites aujourd'hui disparus. Le théâtre de verdure municipal, édifié en 1946, occupe l'emplacement de l'ancienne grotte. Des groupes statuaires et des vases sont également ajoutés. Le jardin est appelé Jardin Albert 1er, roi de Belgique, depuis 1914.

La fin de l'année 2013 a vu l'inauguration des derniers aménagements de grande ampleur du jardin Albert 1er, réalisés par l'Atelier Péna paysages, dans le cadre des aménagements de la Promenade du Paillon.

  • Période(s)
    • Principale : 2e moitié 19e siècle , daté par travaux historiques
  • Dates
    • 1851, daté par source
    • 1868, daté par source
    • 1895, daté par source

Le jardin Albert 1er se déploie depuis la place Masséna jusqu'à la promenade des Anglais et constitue l'extrémité sud du projet de la Promenade du Paillon par l'atelier Péna Paysages. Il symbolise l'emplacement de l'embouchure du fleuve, notamment par son profil très élargi en arrivant sur le promenade des Anglais. Il prolonge donc la rupture ancienne du fleuve dessinée aujourd'hui par la promenade dallée. Il engendre de fait des points de vue structurants sur son environnement proche dans les quatre directions eu égard à l'implantation lointaine de tous les fronts urbains, bien que constitués d'hôtels et d'immeubles de fort gabarit. C'est aussi le point de fuite de la promenade en direction de la mer, fond de plan d'un horizon urbain.

Jardin de niveau, de tracé mixte d'une surface d'environ 3 hectares, il présente différentes essences d'arbres (palmiers) et arbustes subtropicaux. L'aménagement paysager est constitué d'un parterre de pelouses disposé dans l’axe du Paillon, composé à la française, et d’allées sinueuses à l’anglaise dans la portion donnant sur le bord de mer. Les allées sont dallées en appareil aléatoire contemporain ou en calade. Comme sur l'ensemble de la promenade du Paillon, des dalles irrégulières dessinent au sol le parcours de l'eau du Paillon jusqu'à la mer. Des éléments particuliers sont disséminés dans la composition : un kiosque, le monument du Centenaire, un théâtre de verdure, des sculptures contemporaines monumentales, une pièce d'eau avec vasque à tritons, des statues posées sur dais (scène de chasse d'une lionne, portraits d'Hector Berlioz et du Roi des Belges Albert 1er).

  • Plans
    jardin mixte
  • Élévations extérieures
    jardin de niveau
  • Jardins
    pièce de gazon, groupe d'arbres, arbre isolé
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune

Documents d'archives

  • [Jardin public, Nice, 1861-1933]. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice : 2 O 707

Bibliographie

  • BOURSIER-MOUGENOT, Ernest. Inventaire des parcs et jardins remarquables des Alpes-Maritimes. Nice : Conseil général des Alpes-Maritimes, 1994. 161 p.

    p. 104
  • SCOFFIER, Édouard, BLANCHI, Félix. Le Consiglio d'Ornato : l'essor de Nice 1832-1860. Nice : Serre éditeur, 1998, 151 p.

    p. 98-100
  • TOMBACCINI VILLEFRANQUE Simonetta. Jardins privés et publics à Nice, 1814-1860, Nice- Historique "Jardins d’acclimatation et botanistes niçois", janvier-mars 2009, p. 31-55.

    p. 52-55

Documents figurés

  • [Nice, extrait du plan régulateur, secteur de l'embouchure du Paillon] = Estratto dove trovasi indicato il principio della strada litorale ed altre opere adiacenti. / Encre et aquarelle sur papier, 1845, 52 x 68 cm. Archives communales, Nice : O 4/3-7

     

  • Plan régulateur centré sur la Croix de Marbre. / Impression et rehauts d'aquarelle sur papier entoilé, [1855]. Archives communales, Nice : 1 Fi 3/7.

  • Port de Nice [et littoral jusqu'à Magnan]. / Encre et aquarelle sur papier, Bernard Vigan, juin 1870. Archives communales, Nice : 1 Fi 67-3.

  • Vue du jardin public et du quai Masséna. / Aquarelle par Isidore-Laurent Deroy, Nice - Paris : Visconti - Lemercier, 1855, 18 x 26 cm. Bibliothèque de Cessole, Nice : CES br 717.

  • Nice, vue du jardin des plantes. / Lithographie par Gaetano Ferri, non datée [circa 1860], 26 x 48 cm. Bibliothèque de Cessole, Nice : cote en cours.

  • Nice, place du jardin public, l'hôtel de la pension anglaise et l'hôtel de Grande-Bretagne. / Photographie noir et blanc, Anonyme, non datée [circa 1855], 30 X 42,5 cm (planche).

  • Le jardin public de Nice. / Huile sur toile par Jean d’Espiez, circa 1870. Musée Masséna, Nice : MAH – 357.

  • Le Paillon à hauteur du jardin public. / photographie positive, anonyme, non datée [1864-1895], 30 x 40. Archives communales, Nice : 3Fi 75-6.

  • [Nice - le jardin public]. / Photographie positive, anonyme, non datée [circa 1896], 15 x 22,5 cm. Archives communales, Nice : 3 Fi 278.

  • NICE - Vue d'ensemble du Jardin Municipal. / Carte postale, L.L., [circa 1900]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 407.

  • NICE - Le Casino et les nouveaux Jardins. / Carte postale, circa 1904. Archives municipales, Nice : 10 Fi 168.

  • NICE - Nouveaux Jardins et Palais de la Jetée. / Carte postale, Nice : Édition Giletta, 1910. Archives municipales, Nice : 10 Fi 137.

  • NICE - La Jetée Promenade et les Jardins, fontaine des tritons. / Carte postale, Édition Giletta, [1910]. Archives communales, Nice : 10 Fi 427.

  • NICE - La cascade des Nouveaux Jardins. / Carte postale, Éditions Neurdein frères (ND Phot.),[circa 1903]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 396.

  • NICE - La grotte du Jardin public et le Monument du Centenaire. / Carte postale anonyme, [1910]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 408.

  • Cascade du jardin public - Nice. / Carte postale anonyme, [circa 1910], 13 x 19 cm. Archives communales, Nice : 3 Fi 13-6.

  • NICE Côte d'Azur - Un coin du Jardin Public vu de la grotte. / Carte postale, [circa 1910]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 414.

  • NICE - Les Jardins municipaux. / Carte postale, L.L., [circa 1910]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 403.

  • NICE - Vue prise du Casino. / Carte postale, Édition Giletta, [circa 1910]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 409.

  • NICE - Un coin des Jardins. / Carte postale, [circa 1910]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 428.

  • NICE - Vue d'ensemble du Jardin Public. / Carte postale, 1908. Archives municipales, Nice : 10 Fi 388.

  • NICE - Le Jardin Public. / Carte postale, Éditions Neurdein frères (ND Phot.), [circa 1910]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 2383.

  • NICE - Pendant la musique - Jardin public. / Carte postale, Éditions Giletta, [circa 1910]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 386.

  • NICE - Le Jardin Albert Ier pendant un concert. / Carte postale, Édition Giletta, [post 1914]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 385.

  • NICE - La Fontaine des Amours. / Carte postale, L.L., [circa 1910]. Archives communales, Nice : 10 Fi 1142.

  • NICE Côte d'Azur - Le Monument du Centenaire. / Carte postale, [circa 1910]. Archives communales, Nice : 10 Fi 499.

  • NICE - Jardin Albert Ier. La Jetée. / Carte postale, [post 1914]. Archives communales, Nice : 10 Fi 23/91.

  • NICE - Le Jardin Albert Ier, le Monument à la poésie. / Carte postale, F.L., [circa 1930]. Archives communales, Nice : 10 Fi 390.

  • NICE (A-M) - Les Jardins Albert Ier et du centre de la Ville, vue prise d'avion des jardins. / Carte postale, [post 1946]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 430.

  • NICE - Théâtre de Verdure, Jardins Albert Ier / Carte postale, [post 1946]. Archives municipales, Nice : 10 Fi 118.

Date(s) d'enquête : 2017; Date(s) de rédaction : 2017, 2025
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Hérault Marie
Hérault Marie

Architecte diplômée d’État. Historienne des jardins et du paysage. Doctorante en histoire de l'art.

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Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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