Dossier d’œuvre architecture IA06003153 | Réalisé par
Hérault Marie (Rédacteur)
Hérault Marie

Architecte diplômée d’État. Historienne des jardins et du paysage. Doctorante en histoire de l'art.

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Prédal Christophe (Rédacteur)
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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Charles Stéphanie (Rédacteur)
Charles Stéphanie

En charge de vacations au sein du pôle "recherche et inventaire" de la Direction du patrimoine historique, archéologie, archives de la ville de Nice.

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  • recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
maison de villégiature (villa balnéaire) dite Villa Rivers, puis Villa Furtado-Heine ou villa des officiers
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Ville de Nice

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Nice - Nice
  • Commune Nice
  • Lieu-dit Baumettes
  • Adresse 61 Promenade des Anglais , 121 rue de France
  • Cadastre 2017 MO 0159
  • Dénominations
    maison
  • Précision dénomination
    maison de villégiature, villa balnéaire
  • Appellations
    Villa Furtado-Heine , villa des officiers, villa Rivers
  • Destinations
    hôtel de voyageurs
  • Parties constituantes étudiées

Cette villa constitue avec la Villa Masséna, actuel musée

d’histoire de la Ville, le seul exemple de grande propriété encore conservée,

donnant sur la Promenade des Anglais. C’est aussi la résidence la plus ancienne

toujours présente de la Promenade des Anglais, laquelle n’a commencé son

existence qu’à partir de 1822.

Les origines

Cette demeure niçoise a été construite aux alentours de 1787 par l’architecte Daroni pour

Lady Penelope

Rivers, née Atkins,

divorcée du baronet Georges Pitt (1721-1803), pair d’Angleterre, élevé au titre

de Lord Rivers en 1776. Cette aristocrate

anglaise, qui rêvait de soleil, avait acheté un terrain en bordure de plage, car

à l’époque aucun chemin n’existait en bordure de mer (la

« Promenade » ne sera tracée qu’à partir de 1822). En effet, aucune

route, aucun chemin, ne cassait l’horizon. La maison ouvrait directement sur la

mer, et était bordée, à l’ouest comme au sud, par la plage. La propriété

s’étendait au-delà de l’actuel Elysée Palace vers l’est, et pratiquement

jusqu’à la rue Paul Valéry vers l’ouest. Elle comptait, outre la demeure

principale au centre, une petite bâtisse à l’est de 30 m2 formant grenier, ainsi qu’un puits à roue ;

une maison pour les domestiques de 70 m2, en face de la principale, le long de

la plage au sud ; et une construction de 5,50 mètres de profondeur,

occupée à l’ouest par un grenier à foin, une remise et une écurie. Le parc de 11 000 m2 (il ne reste aujourd’hui que

3682 m2) était planté d’orangers aux trois quart, et bordé, côté mer, de deux

rangées de cyprès formant une allée parallèle au rivage, tandis qu’à l’ouest,

sous l’écurie, s’étendait une pâture plantée de pêchers (15 ares 33 centiares).

On trouvait encore, au bout de cette pâture le long de la plage sud, deux

remises mesurant ensemble un peu plus de 100 m2. La villa et son parc

s’étendaient sur 168 mètres le long de la route du Var (aujourd’hui sur 61

mètres seulement) et sur 73 mètres de largeur. Le Palais mesurait 584 m2 de

surface en plan. Le rez-de-chaussée de la bâtisse avait accès de plain pied au

jardin par sept portes fenêtres. Deux étages aux hautes fenêtres, que dominait

un dernier niveau modeste, s’abritaient sous une corniche avec moulures. Des

fenêtres couronnées de frontons moulurés et décorés accentuaient l’importance

de la partie centrale. L’architecte avait pris le parti d’en arrondir les

extrémités, en les raccordant aux façades latérales par deux demi-cylindres.

La révolution

Lorsque Nice est proclamée Française en 1792 (ce statut n’entrant en réalité en vigueur

qu’en 1796 à la signature du traité de Paris, et ce jusqu’en 1814), la

propriété est déclarée « bien d’émigré ». Lady Penelope Rivers regagne

alors précipitamment sa patrie d’origine, l’Angleterre, abandonnant tous ses

biens sur place. En 1792 il est question d’y héberger le duc de Chablais venu

prendre un commandement à l’armée Sarde. Puis la villa est saisie en 1794, et

occupée jusqu’en 1797 par les ateliers du génie militaire. En 1800, la demeure,

devenue bien public, est vendue par l’administration à un intendant militaire,

un riche niçois, déjà grand propriétaire foncier à Nice, Eugène Grandis, pour une somme dérisoire de 12.166 francs, à la

suite d’une vente aux enchères.

La villa Grandis

La maison est alors en mauvais état, excepté

l’escalier et la salle-à-manger. Quant au jardin, il est redevenu aride et

stérile. Il s’y trouve quelques orangers, mais bas et faibles. Le premier étage

comprend trois vastes salons et quatre petites chambres. On y voit quatre

cheminées en beau marbre, mais mutilées. Grandis choisit de louer la villa,

réaménagée, à de riches hivernants. Durant l’hiver 1807-1808 s’y installe Pauline Bonaparte, princesse Borghese

et sœur de l’Empereur Napoléon 1er.

C’est dans cette propriété que la

princesse y organise, presque sans interruption, réunions, concerts et fêtes. Elle

ne se déplaçait jamais, lors de ses différents séjours, sans son matériel

hydrothérapique, qu’elle faisait transporter dans une voiture spéciale. En

1809, la princesse Marie-Louise de

Bourbon Parme, fille du roi Charles IV d’Espagne, ci-devant Reine d’Etrurie

contrainte à l’exil par Napoléon, y séjourne en résidence surveillée 27 mois.

Son fils, le futur Louis II duc de Parme, y revient à son tour après l’unité

italienne et y meurt en 1883.Puis Pauline Bonaparte habite à nouveau la villa

durant l’hiver de 1813. Elle y est

conduite d’Hyères par une corvette de la Marine impériale le 8 février et y

reste jusqu’au 2 juin, date à laquelle elle part pour les bains de Gréoux. Cet hiver là

sera moins faste. Malade, Pauline se contente de faire quelques promenades en

bateau le long de la côte. La plupart des auteurs (Guillaume Boréa, Georges

Doublet etc.) l’y font encore séjourner de décembre 1813 à mars 1814, puis

partir pour le Luc et Fréjus, afin d’embarquer sur le « Laeticia » et

rejoindre son frère sur l’île d’Elbe La villa est enregistrée sur les Etats de

Section de 1813 pour un hectare d’orangers et de pâturage avec environ 900 m2

de constructions, y compris la villa principale de 584 m2. Une bordure de

cyprès courant le long de la plage protège toujours le domaine des bourrasques

maritimes et des coups de mer.

La villa Guiglia et la villa Carlone

La villa est successivement rachetée par deux riches Niçois et connaît encore des jours

fastes. Elle est d’abord acquise en 1825, pour un montant de 45 000 lires,

par l’avocat Vincent Guiglia devenu

Procureur sous le Second Empire et frère du comte Louis, ancien président du

Sénat de Nice, tous deux descendants d’une vieille famille originaire de

Saorge. Grâce au gain en superficie d’une partie de la plage accordée par la

municipalité en 1837, la propriété mesure alors un peu plus de 15 000 m2

et s’appelle « Villa Guiglia ». Puis en 1858, le banquier niçois, vice consul

de Suède, journaliste et fondateur du journal L’Echo des Alpes-Maritimes, Auguste Carlone, rachète, pour la somme

de 235 000 lires du Piémont une grande partie des terres avec la maison de

maître sise au 121-123-125 route de France. Lors de cette vente, la famille

Guiglia conserve 2000 m2 à l’Ouest de la propriété, le long de la rue de la

Pignatièra (actuelle rue Paul Valéry). Cette parcelle de terre fut léguée à la

Ville de Nice dans les années 1875. De par la personnalité de son propriétaire,

la villa qui se nommait « Villa Carlone » fut au cœur de la vie

intellectuelle, financière et culturelle niçoise. C’est à cette époque, que la

propriété abrite le premier observatoire de Nice. En effet, le célèbre

astronome William Cooper

y installe, un peu avant 1865, une des plus belles lunettes astronomiques

d’Europe. Mais on ne tarde pas à s’apercevoir, que les brumes du voisinage

immédiat de la mer gênent trop fréquemment les observations. En 1880, un

observatoire est alors construit sur le Mont Gros, à une altitude de 372

mètres. Auguste Carlone meurt sans

descendance en 1873, dans sa villa de la Promenade des Anglais. La municipalité niçoise devient alors

légataire universelle de la maison du bord de mer et, après les démarches

légales, s’empresse de la revendre.

La villa Krohn

C’est un Russe, Niçois d’adoption, Henri Krohn, déjà propriétaire du Château des

Baumettes, qui achète en 1874 le bâtiment issu du démantèlement, et les lots 1,

2, 5, 6 de la succession pour 45 000, 58 000, 120 000 et

40 000 francs. En 1882, Krohn met en vente son lot le plus

important : la villa et son immense jardin. C’est en 1883 que Mme Cécile Furtado-Heine, fille du richissime

banquier parisien Furtado, et veuve d’un autre banquier Charles Heine, cousin

du poète Henri Heine, acquiert le lot.

La villa Furtado-Heine

Héritière d’une fortune colossale et réputée

pour sa philanthropie, Mme Furtado-Heine fait don en novembre 1895 de sa villa

niçoise au Ministère de la

Guerre (l’inauguration a lieu le 4 novembre 1895) l’objectif,

à une époque où la campagne de Madagascar bat son plein, consistant à offrir,

dans un site privilégié, une maison de convalescence destinée aux officiers

blessés ou malades. Le but de cette donation est « la création d’une

maison d’habitation et de séjour destinée aux officiers de terre et de mer et

assimilés (armée de l’air), ayant besoin de repos ». La libéralité

comprend la villa qui est pourvue par la donatrice d’un matériel complet

(meubles, literie, cuisine, lingerie…) jusqu’à concurrence de 50 000

francs. Pour assurer le fonctionnement de l’œuvre et l’entretien de la villa,

un titre de rente d’un montant de 60 000 francs est également donné.

L’œuvre devra s’appeler : « Fondation Furtado-Heine Villa des

officiers de terre et de mer ». Ce qui est fait par décret publié au

journal officiel le 18 novembre 1895. Un

geste qui s’inscrit parfaitement dans les idées de la généreuse bienfaitrice

qui entre autre, avait pendant la guerre de 1870 prodigué son argent à la Croix

Rouge, donné de son temps pour les soins des blessés et organisé un service

d’ambulance à Paris pour rapatrier les milliers d’officiers et de soldats. En

femme de cœur, elle avait aussi créé en 1884 un dispensaire dans le XIVème

arrondissement et en 1896 une crèche au

Petit-Montrouge, puis fait construire une école maternelle à Bayonne et enfin

installer une école professionnelle pour aveugles. Grâce à ses subventions,

elle avait aussi contribué à la naissance de l’Institut Pasteur au Croisic, et

fait bâtir sur le modèle de l’établissement de Berck-sur-Mer, un hôpital pour

enfants qu’elle allait offrir à l’Assistance Publique. Madame Heine ne fit pas

seulement preuve de bienfaisance, mais également de mécénat et bien sûr de

patriotisme. Quelques années avant son legs, Cécile Furtado-Heine avait fait

surélever sa demeure d’un étage, pour y loger sa nombreuse domesticité, et

avait demandé à l’architecte Sébastien-Marcel

Biasini de lui construire un

imposant portail d’honneur, en fer forgé, donnant sur la Promenade des Anglais,

toujours visible aujourd’hui. Ainsi, en 1895, la villa encore plus vaste qu’à

l’origine, se composait d’un rez-de-chaussée comprenant une salle à manger, une

bibliothèque, deux salons et un office, d’un premier étage réservé aux

officiers supérieurs qui disposaient

chacun d’une chambre individuelle avec cabinet de toilettes attenant, et

de deux autres niveaux aménagés en chambres pour trois ou quatre personnes,

offrant un potentiel total d’accueil d’une cinquantaine de lits. Le 19 janvier

1896 Mr Fery d’Esclands fait remise de la villa au Général Verrier, qui

représente le président de la République. En 1900, le reste des biens de Cécile

Furtado-Heine, décédée le 10 décembre 1896 en son château de Rocquencourt et promue

la même année au grade d’Officier de la

Légion d’Honneur, est vendu à la Société Foncière Lyonnaise. Une bande de

terre plantée d’orangers appartenant à la villa est expropriée pour

l’élargissement de la voie appelée à l’origine « Passage de

l’Elysée » (nom de l’hôtel mitoyen) qui n’est autre que l’actuelle rue

Honoré Sauvan.

La façade située rue de France a été refaite en 2003. Le

ravalement des façades, côté jardin et rue Honoré Sauvan, a été fait en 2005,

avec notamment la réalisation dans le fronton sommital d’un trompe-l’œil

reprenant le dessin des ornementations au dessus des fenêtres. Une marquise a

été rajoutée sur certaines portes-fenêtres en façade Sud.

Villa bâtie vers 1787 par l'architecte Daroni pour Lady Penelope Rivers. Déclarée "bien d'émigré" pendant la période révolutionnaire, elle passe ensuite entre les mains de différents propriétaires qui y habitent ou la louent à des hivernants. L'extension de l'est est présente sur le cadastre de 1872. En 1883, elle est acquise par Mme Cécile Furtado-Heine (la villa est connue sous ce vocable) qui la fait surélever par l'architecte Sébastien-Marcel Biasini. Il est également l'auteur du portail sur la Promenade des Anglais et peut-être de l'extension à l'Ouest. En 1895 Mme Furtado-Heine fait don de sa villa au ministère de la guerre afin qu'elle accueille des officiers en convalescence. Elle s'appellera désormais "villa des officiers". Elle appartient toujours en 2019 au ministère des armées en tant que lieu de villégiature, accueillant uniquement du personnel de grades élevés, afin de continuer à respecter les termes de la donation originelle.

  • Période(s)
    • Principale : 4e quart 18e siècle , daté par source
    • Secondaire : 3e quart 19e siècle , (incertitude)
    • Secondaire : 4e quart 19e siècle
  • Dates
    • 1787, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Biasini Sébastien-Marcel
      Biasini Sébastien-Marcel

      Architecte né et actif à Nice. Il est formé à l'École impériale des Beaux-Arts où il suit les cours de Charles-Auguste Questel. Il reçoit une médaille de première classe, en 1866. Inspecteur des travaux pour l'Exposition universelle de 1867, il travaille à Nice à partir de 1868 pour la Société foncière lyonnaise et la Société Immobilière et de Construction de Nice qui lotissent la colline de Cimiez. Il reçoit en 1906, avec l'ingénieur Joseph Durandy, la grande médaille d'or du concours municipal de primes à l'architecture. Il contribue à de nombreuses commissions chargées de l'urbanisme de Nice. Vice-président du Comité des fêtes de la ville, il est aussi associé à la création de décors de chars pour le carnaval.

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Daroni
      Daroni

      Architecte de la villa Rivers à Nice.

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      architecte attribution par source
    • Personnalité :
      Rivers Penelope
      Rivers Penelope

      Lady Penelope Pitt-Rivers, ex épouse du pair d'Angleterre George Pitt (1721-1803) fait édifier sa villa sur la future promenade des Anglais en 1787.

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    • Personnalité :
      Furtado-Heine Cécile
      Furtado-Heine Cécile

      Philanthrope française issue d'une famille de banquiers.

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      propriétaire attribution par source

Vaste bâtiment de trois niveaux sur rez-de-chaussée. Le corps-central est constitué de deux éléments accolés l'un derrière l'autre, celui le plus proche de la mer étant un cylindre alors que celui donnant sur la rue de France un simple rectangle. Deux ailes plus basses sont réunies au corps-central par un arc de cercle concave, répondant à la convexité du cylindre. Sur le cadastre de 1812 ces ailes semblent très courtes et ont été allongées dans la seconde moitié du 19ème siècle. La façade du corps central, néo-classique, est tripartite : une partie centrale comportant trois fenêtres est surmontée d'un fronton et est séparée par un chaînage des deux parties latérales comportant deux fenêtres. Le dernier niveau, d'une hauteur sous plafond plus basse, est une adjonction de la fin du 19ème siècle. La façade principale, ordonnancée, connaît des encadrements de baies triangulaires, droits et en arc-de-cercle. Le fronton reçoit une peinture en trompe-l'oeil reprenant la sculpture en bas-relief qui s'y trouvait à l'origine. La toiture est cachée par une balustrade pleine. La façade Nord, où se trouve l'entrée comporte des alignements de baies, en arc-de-cercle au 1er étage et droites au deuxième, excepté au niveau de l'extension Ouest où se déploie une décoration de colonnes adossées, niches et trumeaux aveugles. Les fenêtres éclairant l'escalier d'origine (entre le rez-de-chaussée et le 1er étage), donnant sur la façade de l'entrée, ne sont pas distinguables des autres baies. Toiture avec versants à longs pans de tuiles mécaniques cachés par des murs d'acrotère.

L'intérieur conserve trois salons avec plafonds peints ainsi que des cheminées (dont une de style Empire) ainsi que des poêles en faïence, rares sur la Côte-d'Azur. Escalier tournant à retours avec jour. Certaines pièces de mobilier de la fin du 19ème siècle demeurent.

  • Murs
    • pierre moellon enduit (incertitude)
  • Toits
    tuile mécanique
  • Étages
    3 étages carrés
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans noue
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
  • Énergies
  • Techniques
    • peinture
    • sculpture
  • Représentations
  • Précision représentations

    Plafonds peints. Cheminées en marbre.

Z Nice repérage

  • 01-DENO maison
  • 02-CHRONO avant 1860
  • 03-CARACTERE
  • 04-TENDANCES néo-classique
  • 05-INTEGRITE partielle
  • 06-VISIBILITE bonne
  • 07-SITUATION mitoyen
  • 08-IMPLANTATION sur jardin ou parc
  • 09-MATERIAUX oui
  • 10-MACONNERIE enduit lisse
  • 11-SUR FACADE
  • 12-ENTREE
  • 13-TOIT
  • 14-COMBLES
  • 15-DOME
  • 16-BELVEDERE non
  • 17-FRISE
  • 18-CERAMIQUE
  • 19-MATERIEUX GROS OEUVRE moellon
  • 20-SITE dimension paysagère
  • 21-LOTISSEMENT
  • 22-PERGOLA non
  • 23-JOINTS
  • 24-CLOTURES oui
  • 25-AGREMENTS oui
  • Statut de la propriété
    propriété de l'Etat, Ministère des armées
  • Protections
    inscrit MH, 1961/06/10
  • Précisions sur la protection

    La villa et son parc (cad. F 623p, 624, 625, 636p, 638p) sont inscrits au titre des Monuments historiques par arrêté du 10 juin 1961.

  • Référence MH
  • Nice - villa" Furtado-Heine", dossier MH, Service territorial de l'architecture et du patrimoine, Nice.

Documents d'archives

  • Nice - villa "Furtado-Heine", dossier documentaire 18/I, Bibliothèque de Cessole, Nice.

Bibliographie

  • GAYRAUD, Didier. Demeures d'azur. Breil-sur-Roya : Les Editions du Cabri, 1998.

    p.9
  • MASSIMI, Michel. La promenade des Anglais : son histoire, hôtels, palais et villas. Sophia-Antipolis : éditions Campanile, 2016. 288 p.

    p. 174
  • BROCK, E. Les demeures niçoises de son Altesse impériale Pauline Bonaparte. Nice Historique, janvier-mars 1972, p. 1 à 16.

    p. 1 à 16

Documents figurés

  • Plan cadastral de la commune de Nice, 1812. / Dessin à l'encre sur papier. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice : 01Fi0217.

  • Piano regolatore dei sobborghi di S.G.B. e della croce di marmo in Nizza / imprimé et rehauts d'aquarelle. 81 x 113 cm.

  • [Inauguration de la villa des officiers en 1896]. / P Blondel. Aquarelle. 55 x 92,5 cm. Bibliothèque de Cessole, Nice.

  • Nice. - Villa des Officiers (Furtado Heine) et Panorama des Beaumettes. / Carte postale, après 1895. Archives municipales, Nice : FRAC006088_010Fi0925.

Date d'enquête 2017 ; Date(s) de rédaction 2017
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Hérault Marie
Hérault Marie

Architecte diplômée d’État. Historienne des jardins et du paysage. Doctorante en histoire de l'art.

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Prédal Christophe
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Charles Stéphanie
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En charge de vacations au sein du pôle "recherche et inventaire" de la Direction du patrimoine historique, archéologie, archives de la ville de Nice.

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Articulation des dossiers