Dossier d’œuvre architecture IA06003110 | Réalisé par
Hérault Marie (Rédacteur)
Hérault Marie

Architecte diplômée d’État. Historienne des jardins et du paysage. Doctorante en histoire de l'art.

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
;
Tanguy Nicolas (Rédacteur)
Tanguy Nicolas

Stagiaire au service de l'inventaire de la ville de Nice entre janvier et mars 2019.

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
;
Prédal Christophe (Rédacteur)
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
  • recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
parc d'agrément public de la colline du Château
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Métropole Nice Côte d'Azur

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Nice - Nice
  • Commune Nice
  • Lieu-dit Vieux-Nice
  • Adresse rue Catherine Ségurane , montée Eberlé , rue de Foresta , montée Monfort , rue des Ponchettes , montée du Château
  • Cadastre 2017 KN 0042
  • Dénominations
    parc
  • Appellations
    parc de la colline du Château

XVIIIème siècle

Au XVIIIème siècle, il ne reste de la

tour Saint-Elme, future tour Bellanda, que les ruines de sa base. Le cimetière

du Château est créé en 1783 au nord de la colline du Château (Le Petit Niçois - LPN, 17 novembre 1897).

XIXème siècle

Reboisement

Les terrains dépendant de l’ancien château sont concédés à la ville de Nice à titre

d’usufruit par lettres patentes du roi Charles-Félix en date du 3 mai 1822 dans

le but « d’embellir les alentours de la ville avec des promenades

publiques et des plantations » destinée à l’agrément des hivernants et de

la population locale. En retour, la

ville s’engage à conserver le donjon, le corps de garde et la batterie, à

maintenir la remise pour les artilleurs et une poudrière, à ceindre le puits

au-dessus des Ponchettes pour éviter les incidents, à réserver l’exploitation

de la carrière de pierres à l’Etat (site actuel du Monument aux morts) et à

verser un viager au commandant du Château (Archives

départementales des Alpes-Maritimes - ADAM 1 FS 60, lettres patentes du 3 mai

1822 ; FS 248). Des travaux

sont engagés en 1823 pour construire une route menant au Château et des plantations

d’arbres sont réalisées (Archives

municipales de Nice - AMN, 03/18) par le baron Milonis. En décembre 1823,

320 arbres des Alpes, 5000 arbres du pays et arbustes sont plantés sur la

colline. Le 21 juin 1824, Honoré Clérissi, concessionnaire d’une partie des

terrains du Château demande l’autorisation de « régulariser les restes de

la tour Saint-Elme en y formant une terrasse à son usage ». La demande est

autorisée par le premier consul. Des travaux conséquents sont réalisés, pour

aboutir à l’actuelle tour Bellanda, servant d’annexe à la pension Clérissi puis

d’annexe à l’hôtel suisse, qui lui fait suite. En 1831, la Chambre Royale

d’Agriculture et de Commerce demande la concession du site du Château. Il est

convenu que la Chambre prenne le relais et continue les plantations afin

d’atteindre l’objectif fixé par les lettres patentes de 1822 en assumant la

totalité des frais. Le Conseil de la ville accepte en considérant que la

Chambre d’Agriculture est davantage qualifiée, par sa vocation, pour la tâche à

accomplir et que l’accord permet une économie substantielle des finances

communales. Le transfert d’attributions est ratifié le 12 janvier 1832 par le

roi Charles-Albert et le ministre Tonduti de l’Escarène. Le naturaliste Antoine

Risso figure parmi les membres de la Chambre. Il s’adresse à des établissements

hors du comté : la maison Vilmorin-Andrieux à Paris, Burdin Ainé à Turin,

une pépinière de Centallo dans la province de Cuneo (ADAM 33 J 42). L’avocat, théologien et vice-syndic, François

Bottieri le remplace au même poste. La colline commence à changer

d’aspect : flore luxuriante, belvédères et balustrades permettent aux

promeneurs comme l’impératrice douairière de Russie et le roi Victor-Emmanuel

II d’apprécier les points de vue sur la Méditerranée. Le vice-syndic Adolphe

Perez lui succède à la charge de codirecteur des œuvres d’embellissement du Château »

en février 1855. Sous sa direction, les travaux de terrassement mettent à jour

des tombes et les fondations de la cathédrale. Ces découvertes le détournent de

sa première mission (TOMBACCINI

VILLEFRANQUE, Simonetta, « Jardins

privés et publics à Nice, 1814-1860 », in Nice-Historique,

janvier-mars 2009, p. 48-52). Les droits de propriété du Château sont cédés

à la Ville le 28 juin 1858. Une cérémonie est organisée lors du rattachement de

Nice à la France en 1860 en présence de l’empereur Napoléon III. Une plateforme

est installée sur la colline du Château ainsi qu’une tour en haut de laquelle le souverain peut admirer la ville dans son

ensemble (THUIN-CHAUDRON, Véronique, De la colline du Château aux château des

collines, Architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914,

Nice : Serre, 2009, p. 26). L’attique de la porte de Turin (érigé en

1782 par l'architecte Bonvicini), détruite en 1873 est intégré à la plateforme

supérieure du Château, au pied de l’escalier monumental du donjon. Une allée de

palmiers est créée sur le versant oriental du château en 1881 (LPN, 21 février 1881). En 1882, on

constate que la promenade du Château est laissée à l’abandon car l’accès est difficile

et à l’écart des quartiers touristiques.

Création de divers points d'intérêt sur la colline

Un projet est imaginé par un ingénieur

de la Ville, Bérard, pour résoudre ce problème : destruction de la

batterie, installation d’un square aux Ponchettes, prolongement du quai des

Etats-Unis, création d’une route d’accès de 80 mètres en lacets sous la forme

d’un grand viaduc métallique (LPN, 11 mai 1882).

La municipalité décide de la construction d’un grand bassin alimenté

par une cascade de vingt mètres sur onze, œuvre de M. Bérard, ingénieur de la

ville de Nice. Elle est alimentée par l’eau de la Vésubie. On y adjoint des

rochers factices. L’absence d’eau avait empêché jusqu’alors la création de

jardins sur la colline (LPN, 21 mars 1885).

La cascade est mise en marche le 11 juillet 1885. La plateforme supérieure est

nivelée et parée de larges massifs de plantes et de gazon. Une pépinière de

5 000 à 6000 plantes y est également créée (LPN, 10 juillet 1885). Les bosquets mêlent ruines avec inscriptions

et végétation luxuriante. La promenade du Château offre plusieurs points de vue

admirables (LPN, 28 octobre 1885).

Les promeneurs peuvent contempler le panorama de la ville à leurs pieds. Les

plantations et l’aménagement du Château participent à la mise en scène du front

de mer. En 1888, un escalier d’accès au Château est construit au pied de la

tour Bellanda. Sa création est rendue possible grâce à un legs de M. Lesage,

ancien maire d’une commune de l’Orne retiré à Nice. Il est formé de trois plans

inclinés rejoignant la route carrossable qui longe la tour Bellanda (LPN, 4 février 1888). Une table

d’orientation construite à l’initiative du Touring-Club de France est inaugurée

en avril 1903 (AMN, Presse Carton 70).

XXème siècle

Le plateau supérieur du cimetière du Château est modifié en 1909 (AMN 1 W 338). En janvier 1910, un projet

d’ascenseur funiculaire mis au point par M. Canevari, représentant de la

Société Française Stigler, est présenté au conseil municipal (LPN 18 janvier 1910). Le projet n’aboutira

pas mais l’idée d’un ascenseur est lancée. Le projet d’érection d’un monument

du souvenir en hommage aux niçois morts lors de la Première Guerre Mondiale est

approuvé lors du dernier conseil municipal de l’année 1918. Dès l’origine, le

choix du lieu se porte sur le pied de la colline du Château, sur le rocher de

l’ancienne carrière : « la majesté du lieu, près du rocher sacré,

face à la mer, immensément bleue, au pied du donjon qui fut le témoin de notre

histoire locale, près de l’Acropole Niçoise, était propre à honorer [la] glorieuse

mémoire (AMN 1 W 366) ». Le

concours d’architectes est lancé le 22 février 1919.Le jury retient le projet

de l’architecte niçois Roger Séassal,

grand prix de Rome en 1913. La pose symbolique de la première pierre a lieu 11

novembre 1924. L’inauguration a lieu le 29 janvier 1928. La réception

définitive par l’architecte en chef est faite en décembre 1928. En 1933, une

voie d’accès au cimetière (correspondant à l’actuelle allée François Aragon)

est mise au point par l’ingénieur en chef de la ville de Nice. Elle permet la

création d’une route à sens unique contournant le cimetière suivant le

parcours montée Eberlé – actuelle Allée François Aragon – actuelle Allée de la

Fontaine aux oiseaux aboutissant sur la montée Eberlé. Cette voie nouvelle

passe par la propriété des Cessolines (AMN

1 W 344). La partie acquise par la Ville permettra un agrandissement de la

partie nord du cimetière dès l’année suivante (idem). La même année est achevée

la construction de la chapelle du cimetière à l’emplacement de la morgue qui

est transférée dans les sous-sols (LPN 27

septembre 1933). La colline du Château est classée site naturel par arrêté

ministériel le 24 décembre 1935 (AMN 195

W 09). Le classement du site est lié à la publicité abusive et notamment à

la présence d’une enseigne lumineuse permanente « Grand Marnier » sur

la plateforme de la tour Bellanda. Le périmètre de protection s’étend aux

limites naturelles du parc. Toute intervention est dorénavant soumise à l’avis

de la Commission Départementale de la Nature, des Paysages et des sites

(CDNPS), sous l’autorité du Préfet et en association avec des représentants

scientifiques et associatifs. Au cours des années 1937-1938, le projet d’ascenseur

conçu par l’ingénieur Milan est accepté (LPN

10 août 1937 et AMN 1 W 359). Il

sera logé dans un puits désaffecté creusé au XVIème siècle par l’ingénieur

génois Charles Brégante. La construction est stoppée par la guerre. Un plan

d’aménagement de la partie sud-ouest de la colline est mis au point durant

l’été 1939. Un appel d’offres est lancé afin de construire (murs de

soutènement et murs bahuts en maçonnerie de pierres sèches et maçonnerie

hourdée au mortier de chaux) et d’aménager une esplanade (pas d’âne, escaliers,

WC, bancs de repos) (AMN 1 W 359).

Cette esplanade correspond à l’actuelle allée Professeur Benoît. Des travaux de

restauration et d’aménagement des versants sud-ouest et nord-ouest sont en

cours en novembre 1940. Il font partie d’un projet global ambitieux comprenant

la restauration et la reconstruction des murs de soutènement, l’amélioration

des escaliers et des pas d’âne, l’établissement de bancs et de balustrades,

l’ajout d’ouvrages d’art sur la partie nord-ouest, la création d’une grande

terrasse promenade sur le versant ouest de laquelle partira une promenade

circulaire, la création d’une terrasse de verdure d’une largeur de trente-cinq

mètres avec allées centrales et latérales comportant un musée lapidaire où

seront mis en relief les vestiges de l’ancienne cathédrale, la construction

d’un ascenseur, d’une nouvelle route d’accès et de terrains d’entraînement et

de jeux sur le terrain de l’ancienne carrière. Le chantier favorise la réutilisation

de vieux pavés, de dalles de la Spezzia et de matériaux des fouilles de la

Compagnie des Eaux stockés dans les entrepôts de la Ville (AMN 1 W 359).

Seconde Guerre mondiale

Ce projet d’envergure est stoppé pendant la guerre. Les éléments principaux seront

repris dans les travaux du début des années 1950. Pendant la Seconde guerre

Mondiale, la colline est interdite au public et occupée par les troupes

d’Occupation. Les allemands creusent des galeries souterraines. Un des

escaliers du casino de la Jetée-Promenade, détruite pendant la guerre, est

utilisé dans l’une d’entre elle et s’y trouve toujours de nos jours. Des

travaux de restauration sont entrepris après la Libération (juin 1948) afin de

réparer les dégâts causés par la présence des troupes d’Occupation sur la

colline du Château (AMN 1 W 359).

Importants aménagements de la seconde moitié du xxème siècle

Le tournant de 1950 (plus précisément

1951-1953) marque une étape importante dans l’aménagement de la plateforme

supérieure et de la pointe sud. Les travaux visent à la création d’un jardin

dans la zone comprise entre l’allée promenade circulaire et les limites sud-est

et sud-ouest (zone où déboucheront les passagers du futur ascenseur), la

suppression des voies carrossables du plateau supérieur qui devient

exclusivement piéton, à la création d’un musée lapidaire depuis les ruines de

l’ancienne cathédrale jusqu’au donjon, à l’adjonction d’une nouvelle terrasse

au donjon, à l’ajout de motifs de sculpture exposés auparavant dans les jardins

du musée Massena, à la mise en valeur de la cascade, à la création d’un parc de

stationnement, à l’aménagement d’une allée promenade de laquelle partiront en

éventail divers sentiers, escaliers rustiques, pas d’âne aboutissant au bord

extrême du plateau, à l’aménagement de plusieurs points de vue situés au bord

du plateau, à la plantation de plusieurs essences (pins, chênes verts, caroubiers,

cyprès, pins parasols, oliviers, micocouliers, lentisques, myrtes, romarins,

cistes, bruyères, luzernes arborescentes et arbustes) et enfin à la création

d’un escalier d’accès monumental partant de la rue Rossetti et rejoignant

l’esplanade ouest du château afin de relier la vieille ville et la colline. Le

projet prévoit par ailleurs l’ajout de mosaïques de galets dessinées par M.

Catherin, architecte en chef de la ville de Nice sur le thème de l’Odyssée (AMN 1 W 359). L’ascenseur est mis en marche

en 1953 (Nice-Matin 30 juin 1953). La

tour Bellanda, dont la façade était très dégradée, est restaurée en 1958. Après

un projet avorté de musée Berlioz, un musée de la Marine est inauguré en

mai 1963 en son sein. Un projet d’abri public entre les ruines de l’ancienne

cathédrale et le donjon est proposé en 1966. Il est concrétisé l’année suivante

et suit les plans de l’ingénieur Simon-Suisse, domicilié au 18 avenue Georges

Clémenceau à Nice (AMN 606 W 18). Au cours de l’été 1972, l’escalier d’eau

de la cascade est redessiné et une réfection des faux rochers est menée (AMN 3

W 306). L’été suivant, les balustrades de la terrasse et de l’escalier à double

révolution du donjon sont reconstruites par la société Degioanni, domiciliée 14

rue Pierre Barelli à Nice selon les plans de la municipalité (AMN 3 W 340 et AMN 1 W 359). L’année suivante, l’allée du professeur Benoît est

aménagée et l’escalier monumental du donjon est reconstruit. Au cours de la

décennie 1970, des mosaïques de galets (« pavimenti ») représentant

diverses espèces d’oiseaux en

application murale dans les arcades de part et d’autre de la Fontaine aux

oiseaux située sur l’actuelle allée de la Fontaine aux Oiseaux sont créés. Ces

travaux sont l’œuvre d’artistes des ateliers municipaux autour de Honoré Gilly

(Nice-Matin, 17 mars 1977). Un

restaurant est ouvert en 1977 à proximité du donjon (Nice-Matin, 15 juillet 1984). La machinerie de la cascade est

restaurée et améliorée en 1984 par la société E.N.P., domiciliée au 6 de la rue

Anatole de Monzie à Nice (AMN 606 W 18).

Un plan de reboisement ainsi que des restaurations d’éléments décoratifs ont

débuté en 2018.

La colline du château est probablement le premier site d'implantation du comptoir grec Nikaïa vers 350 av. J.-C. Elle devient un site fortifié abritant un château-fort seigneurial et la cathédrale Sainte-Marie à la période médiévale. Une citadelle est créée à partir de 1570, entraînant la colline dans une vocation presque exclusivement militaire. La ville subit plusieurs assauts au cours des XVIe et XVIIe siècles et le démantèlement des constructions défensives ainsi que des fortifications de la ville sont finalement ordonnées par le roi de France Louis XIV. En 1783, un cimetière vient occuper le nord de la colline. Le conseil communautaire de la ville demande l'octroi de la colline à l'administration sarde le 6 décembre 1821. A partir de 1822, ce même conseil entreprend un grand projet de transformation du site en jardin public, rendu possible par la cession des terrains militaires à la ville après 1847. Il s'agit d'un parc paysager, dans lequel la Chambre royale d'agriculture travaille à acclimater un grand nombre de végétaux exotiques, conçu notamment pour l'agrément des villégiateurs hivernants. Divers aménagements sont réalisés dès la fin du 19ème siècle dont le plus important est la construction de la cascade (Bérard ingénieur). Dans les années 1950, le parc est réaménagé. Au début des années 1970, des mosaïques ainsi que des calades sur la thématique de la Grèce antique et sur la thématique animale sont créées par l'architecte Charles Catherin et réalisées notamment par Honoré Gilly (signature au début des degrés longeant le jardin pour enfants). Des fouilles archéologiques, entreprises sous la direction de Fernand Benoit, dégagent les vestiges de la cathédrale médiévale.

La colline du château est aujourd'hui un site classé au titre de la loi du 2 mai 1930. Elle est également en « zone de présomption de prescription archéologique » depuis 2008 et constitue une « zone naturelle à protéger » au sens du Règlement du Plan Local d’Urbanisme (PLU) approuvé le 23 décembre 2010. Elle est enfin inscrite en secteur « Nj » (jardins, cimetières et terrains de sports) dans la cartographie générale du PLU.

Parc d'agrément en pente, terrasses et de niveau de 144 476 m2 au tracé irrégulier investissant la colline rocheuse et boisée de l'ancien château, « pivot du paysage urbain niçois » (Boursier-Mougenot, 1994, p.111). Cascade rocheuse monumentale créée en 1885. Nombreuses voies d'accès au parc. Montée Montfort à l'est bordée d'un cours d'eau permanent provenant de la cascade. Présence de belvédères, promenades ombragées, aires de jeux, vestiges archéologiques. Arcades et décors datant du 20ème siècle (mosaïques de galets et panneaux de céramique évoquant la mythologie grecque réalisés dans les années 1960-70). Plantations d'espèces indigènes et exotiques. Nombreux panoramas ouverts sur la paysage proche (la ville) et lointain (mer et sommets de l'arrière-pays). Table d'orientation sommitale mentionnant les grandes capitales et villes du monde.

  • Élévations extérieures
    jardin en pente, jardin en terrasses, jardin de niveau
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur
  • Jardins
    arbre isolé, groupe d'arbres, pelouse, rocaille de jardin
  • Techniques
    • mosaïque
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune
  • Sites de protection
    site classé
  • Précisions sur la protection

    Site classé par arrêté du 24 décembre 1935.

Bibliographie

  • Inventaire des éléments historiques structurels du 19ème et 20ème siècles, Parc de la colline du château, Nice / Patrimonia Crea . Nice : [s.n.], 2010. 3 vol.

  • BOURSIER-MOUGENOT, Ernest. Inventaire des parcs et jardins remarquables des Alpes-Maritimes. Nice : Conseil général des Alpes-Maritimes, 1994. 161 p.

    p. 111
  • BODINIER Stephen. Le parc du château ou la restauration d'une friche urbaine. In Promenade(s) des Anglais. Paris : Liénart, Nice : ville de Nice, 2015. p. 139-145.

  • COLUCCINI, Olivier. Les fouilles archéologiques de la cathédrale du château à Nice. Dans : Archéam, n°11, 2002, p.17-21.

  • Lacroix, Jean-Bernard, Bracq, Jérôme. Du mélèze au Palmier, nature, culture et paysages des Alpes-Maritimes. Catalogue d’Exposition des Archives Départementales des Alpes-Maritimes, 2006.

Date d'enquête 2017 ; Date(s) de rédaction 2017
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Hérault Marie
Hérault Marie

Architecte diplômée d’État. Historienne des jardins et du paysage. Doctorante en histoire de l'art.

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Tanguy Nicolas
Tanguy Nicolas

Stagiaire au service de l'inventaire de la ville de Nice entre janvier et mars 2019.

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Prédal Christophe
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Articulation des dossiers