Dossier d’œuvre architecture IA06001160 | Réalisé par
Fray François
Fray François

Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1968 à 2004.

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  • recensement du patrimoine balnéaire
maison dite Villa Eilenroc
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Antibes faubourg
  • Commune Antibes
  • Lieu-dit Cap d'Antibes
  • Adresse 460 avenue Mrs-L.-D.-Beaumont
  • Cadastre 1979 CE 27
  • Dénominations
    maison
  • Appellations
    Villa Eilenroc
  • Parties constituantes étudiées
  • Parties constituantes non étudiées
    parc

Situation et composition d'ensemble

Le domaine occupe la bordure méridionale extrême du Cap sur un promontoire rocheux qui domine à l'est l'anse du Faux Argent. On y accède par le boulevard du Cap .

Le domaine forme un parc boisé à peu près plat qui descend assez fortement vers le rivage au sud-est, en bordure du chemin des Douaniers, L'allée principale partant du portail d'entrée s'infléchit vers le sud-ouest en direction de la villa entre deux rangs de hauts palmiers qui tranchent sur la végétation dense, méditerranéenne, environnante.

La villa occupe une position centrale entourée d'aires couvertes en gravier (à l'est et au sud) qui se prolongent en terrasses bordées de balustrades. A l'ouest une perspective de pelouse débouche sur un bassin de marbre blanc dans un salon de verdure. Ailleurs, le parc est traversé d'allées rayonnantes ou octogonales noyées dans la végétation et ouvre à l'ouest, au sud-ouest et au nord-ouest, sur le paysage marin ou boisé, par-dessus les terrasses bordées de balustrades organisées en belvédères. A l'ouest, une crique où l'on descend par un escalier masqué dans les rochers, est aménagée en aire de baignade en béton, de plan semi-circulaire.

Les constructions du parc se composent de :

    • une conciergerie à l'entrée
    • une villa en rez-de-chaussée, récente, à mi-chemin de la villa principale
    • la villa principale au centre
    • un volume en soutènement des terrasses, au sud-est de la villa principale, organisé en salle de jeu et chambres avec maison des invités attenante.

Matériaux et structure

L'ensemble monumental est en :

    • pierre de taille de calcaire clair en moyen appareil assisé à joints fins.
    • marbres de différentes couleurs (escalier, consoles, salle de bains du 2e étage, couloir).
    • balustrades industrielles en terre cuite.
    • carrelage industriel en grés dans les pièces de services.

La villa principale de plan rectangulaire orienté selon un axe transversal sud-ouest comprend :

    • un rez-de-chaussée de faible hauteur qui abrite les services et au sud-est un vestibule et le départ de l'escalier.
    • un premier étage qui abrite les pièces de réception.
    • un deuxième étage avec deux parties indépendantes : la chambre de Madame (côté sud) et la chambre d'enfants ou d'amis (côté nord).
    • un troisième étage qui abrite une lingerie et des chambres de bonnes, avec un accès aux terrasses de couverture

 Le rez-de-chaussée est desservi par un couloir central en U ouvrant sur les nombreuses pièces de service dont l'ancienne et la nouvelle cuisine, la chaufferie, l'étendoir, la salle à manger du personnel. Le hall d'entrée est disposé en angle (sud-est). Deux escaliers montent dans le reste de la villa.

L'escalier principal est composé de deux volées tournante vers la droite autour d'un jour étroit, et d'un limon à la française.

L'escalier de service, plus étroit, est composé de deux volées tournante vers la droite mais sans jour.

Le premier étage est en réalité organisé comme un rez-de-chaussée surélevé. On y accède par un escalier extérieur à deux volées parallèles convergentes (remplaçant un large degré frontal) conduisant au-delà d'une sorte de pronaos, au vestibule voûté en arc de cloître, puis au grand salon qui ouvre à l'ouest sur un péristyle surplombant la perspective occidentale du haut d'un large degré. De part et d'autre sont disposés, au nord : la salle à manger et l'office, ainsi qu'un escalier de service et les toilettes communiquant avec le vestibule ; au sud : trois salons dont un qui était l'ancienne chambre de Monsieur, une véranda et une salle de bains.

Le deuxième étage rassemble l'appartement de Madame : chambre principale avec salle de bains ovale, boudoir (côté sud), deux chambres avec leurs salles de bains (côté nord).

Le troisième étage occupe la position centrale au-dessus des hautes pièces du premier étage (vestibule, grand salon).

Elévations extérieures

Façade antérieure est : ordonnance centrée sur un ordre colossal formant pronaos entre deux ailes ; deux paires de colonnes ioniques ; escalier d'accès avec montées convergentes, parallèles.

Façade postérieure ouest : même disposition mais le pronaos forme une sorte de galerie à quatre colonnes régulièrement espacées, précédé d'un degrés sur toute sa largeur.

Les deux autres élévations sont à travées mais possèdent divers éléments saillants dissymétriques : balcon en pierre sur consoles de fer (au nord-ouest) ; aile saillante sur toute la hauteur (côté sud), véranda métallique de l'étage, terrasse au-dessus de l'entrée au sud-est du rez-de-chaussée.

Couverture

Ciment en couverture pour l'ensemble des terrasses. Le 3e étage forme une partie saillante au centre de la construction, entourée de terrasses pour le passage, à mi hauteur de cet étage.

Distribution intérieure

L'ensemble de la maison est chauffée par air pulsé sortant de grilles de cuivre disposées dans le sol.

Les appartements (celui de M. Beaumont, le grand salon, la salle à manger du 1er étage, celui de Mme Beaumont et peut être les autres chambres du deuxième étage) ont un parquet Versailles.

Les pièces de service et leur couloir (rez-de-chaussée, office) ont un carrelage industriel en grés de 15x15 cm en jaune et blanc. Seule la lingerie du 3e étage a des tomettes.

Rez-de-chaussée

vestibule sud-est : murs recouverts d'un enduit en faux appareil avec corniche, sol carrelé de marbre avec cabochons.

Escalier principal : escalier à limon à la française en marbre ocre, marches en marbre blanc, rampe en fer forgé à motifs Louis XVI avec cabochons de verre.

Cuisine et arrière cuisine : installations d'origine, vaste cuisine avec piano en fonte sous hotte vitrée, conduit du monte-plat, évier monolithe en marbre ocre, placards, murs carrelés de faïence blanche.

1er étage

Vestibule est : murs recouverts d'un enduit en faux appareil avec corniche à modillons et pilastres, tympan sculpté (vasque) au dessus de la porte du grand salon à deux battants de style Louis XVI, en chêne ; lunettes et voûtes en arc de cloître. Carrelage de marbre blanc à cabochons et rose des vents au centre.

Toilettes desservies par un couloir conduisant aussi à l'escalier de service et à l'office. Organisées en rotonde lambrissée de style louis XVI, peinte en vert. Latrines aménagées dans les angles. Perspective de miroirs. Carrelage de marbre blanc a cabochons.

Grand salon ouest : lambris blancs et dorés, cheminée de marbre blanc Louis XVI, hotte et dessus de portes en bas relief de gypserie de style Louis XVI, de belle qualité. Cinq portes fenêtres ouvrent à l'ouest.

Salle à manger nord : lambris beiges et dorés. Cheminée Louis XV en marbre gris (côté nord) ; deux portes cintrées encadrent une console de desserte en brèche polychrome (côté ouest).

Office : vaste pièce entourée de placards. Conduit du monte-plat, murs couverts de carreaux de faïence blanche.

Appartement de M. Beaumont (au sud) avec en enfilade d'ouest en est :

    • bibliothèque du salon de lecture : lambris en chêne Louis XIV, cheminée Louis XV en marbre rouge.
    • fumoir : lambris d' appui en chêne. Cheminée Louis XV en marbre brun.
    • véranda accessible des deux pièces précédentes. Placage de marbre noir simulant un paravent. Sur les 2/3 de la hauteur — parties hautes et plafond recouverts de feuilles d'or blanc. Entre les deux portes-fenêtres de communication, baie condamnée ornée d'un panneau de verre gravé illustrant les « mille et une nuits ». Canapé et fauteuils d'origine recouverts de tissu piqué blanc.
    • salle de bains : accessible par un couloir servant de penderie. Murs carrelés de faïences blanches ; appareil d'origine avec robinetterie dorée lavabo dans table de toilette en marbre blanc à pieds en laiton. Deux appliques Lalique en cristal à motif de coquilles.
    • chambre de M. Beaumont : lambris en chêne de style Louis XIII. Cheminée Régence en marbre brun.

2e étage

Appartement de Mme Beaumont accessible par l'escalier principal et comprenant :

    • Boudoir (sud-est) : lambris vert et doré d'époque Louis XIV provenant d'une chambre (cartouche avec carquois, arc et torche) ayant appartenu à l'hôtel de Madame de Sévigné ( Cheminée Louis XV en marbre gris. L'ouverture d'alcôve encadre un miroir constitué de carreaux posés sur la poutre.
    • chambre sud-ouest : lambris d'appui masquant des cachettes ; tentures murales, moquette, meubles récents.
    • salle de bains accessible par un couloir servant de penderie. Plan ovale. Décor architecturé de marbres verts et blancs : colonnes, corniches, placages, sol dessinant un damier curviligne centré sur un cercle. Lavabo en forme de coquille sur trois pieds griffés. Baignoire en forme de tombeau antiquisant cannelé. Coupole recouverte de feuilles d'argent. Dans les angles sont aménagés un douche à jets multiple, un w-c., un bidet et le passage vers la chambre.
    • deux chambres du côté nord : carrelée de faïence blanche avec inclusion de tessons de pâte de verre argenté, formant un faux appareil et la frise. Appareils d'origine : robinetterie chromée, cache radiateur chromé ajouré avec des motifs d'écailles.
    • Salle de bains est : carrelée de blanc, frise de carreaux triangulaires bleus. Sol en carreaux triangulaires blancs et bleus alternés. Appareil d'origine : robinetterie chromée.

3e étage

Partie centrale accessible de part et d'autre par l'escalier principal et l'escalier de service.

    • Lingerie : pièce d'angle bien éclairée avec placards.
    • trois chambres de bonnes groupées (refaites) avec chacune un panneau de carreaux de faïence blanc portant un lavabo. Douche commune refaite.
    • chambre indépendante (refaite)
    • salle de bains recouverte de carreaux de faïence beige, frise de motifs bleus, appareils remplacés.

Hugh Hope Loudon, ancien Gouverneur général des colonies néerlandaises acquiert vers 1860 une parcelle d'environ 10 hectares de Marie Lautier, Blanche-Thérèse Chaniell, veuve Passeron, de la veuve Millot, et de F. Bella. L'architecte Charles Garnier ou l'architecte Vidal, son élève, pourrait être l'auteur de la villa qui est construite en 1867. En 1873, la villa est achetée par James Wyllie, riche anglais associé de W.E. Gladstone, qui la nomme Eilenroc, anagramme du prénom de sa femme Cornélie. Lassé par l'aridité du lieu, il met la villa en vente en 1875. A cause de la mauvaise réputation du lieu et du prix de vente trop élevé (150000 frs), la villa ne trouve pas d'acquéreur. Avec le temps, la végétation croît et le propriétaire revient sur sa décision. En 1883, le jardinier Ringuisen est chargé de la création du parc qui est étendu par l'achat d'une parcelle de 5 hectares, puis du Bois de la Croé d'environ 10 hectares. Le parc de la villa est alors l'un des plus grands du Cap d' Antibes. James Wyllie y réside jusqu'à sa mort survenue en 1908 à l'âge de 90 ans. Dès lors la villa est vendue à Sir Coleridge-Kenard, petit fils par alliance de James Wyllie, puis à Henri Sudreau qui la conserve jusqu'à son décès, en 1927. Louis-Dudley Beaumont, richissime homme d'affaire américain, et son épouse Hélène en font l'acquisition la même année. Tous deux font appel à de jeunes artistes : Carlhian, Welles Bosworth, Willy Baumgarten et Jacques Greber, pour restaurer le parc et redécorer la maison. Carlhian père aurait ajouté les colonnes du péristyle d'entrée sans pilastres aux extrémités. La maison Carlhian fournit en 1928 les lambris du Grand salon avec les ornements en carton peint, la cheminée Louis XVI en marbre blanc, le décor des fenêtres (rideaux) et une grande partie de l'ameublement de la villa. Les autres lambris du rez-de-chaussée de la villa (dont ceux de la salle de bains) ont pu être fournis ou dessinés par Baumgarten. En 1982, la propriété est léguée à la mairie d'Antibes par la veuve Beaumont pour en faire une fondation.

Dans son état d'origine, la villa n'avait pas de portiques monumentaux. La façade est (la seule connue) était constituée de deux ailes symétriques disposées de part et d'autre d'une partie en retrait soulignée par un portique formé d'arcs surbaissés couvert par une terrasse bordée d'une balustrade, en avant du rez-de-chaussée et d'un avant corps polygonal disposé dans l'axe du premier étage. L'état restauré de 1927 est connu par un relevé de 1943.La villa a un plan rectangulaire avec deux étages carrés et un étage en surcroît. Elle est couverte par une terrasse bordée d'une balustrade, soulignée par une épaisse corniche portée par des consoles. Les façades est et ouest sont ordonnancées. Le rez-de-chaussée est individualisé par un bossage en tables ; les étages sont couverts d'un enduit lisse. Les axes des façades est et ouest sont soulignés par des portiques monumentaux aménagés entre le premier et les second étage. L'accès au portique est s'effectue par deux escaliers en équerres, symétriques, bordés de garde-corps en ciment ; l'accès au portique ouest, par un escalier droit bordé d'un parapet en gradins. Le portique est est formé de deux paires de colonnes jumelées ; le portique ouest, de quatre colonnes. Les colonnes sont cannelées et dépourvues de piédestaux. Ces portiques sont encadrés par deux travées de fenêtres rectangulaires agrémentées de balconnets. L'entrée principale, à l'est, s'effectue dans l'axe du portique par une porte monumentale en plein cintre située au premier étage, encadrée par deux portes-fenêtres surmontées d'oculus. La façade sud est animée par un avant-corps désaxé, encadré par deux travées de fenêtres rectangulaires. Les portes-fenêtres du premier étage ouvrent sur deux terrasses bordées d'un garde-corps en ferronnerie aménagées de part et d'autre de cet avant-corps. La façade ouest a des travées régulières. Les angles des façades sont soulignés par des chaînes en pierre de taille. Les étages sont hiérarchisés. Le rez-de-chaussée dévolue aux communs abrite cinq chambres de domestiques dont deux avec douches et w-c. privatifs, un w-c., une salle des gens, une cuisine, une laverie, une réserve à provisions, une chambre forte, deux resserres, une cave à vin et une chaufferie avec réserve de charbon dissimulée sous le perron est. L'accès s'effectue par une entrée indépendante aménagée sous un porche dans-œuvre, au nord, qui ouvre sur un vestibule. La liaison avec le premier étage s'effectue par deux escaliers tournants. Le premier étage abrite les pièces de réceptions organisées à partir d'un axe transversal formé d'un vestibule vouté en arcs de cloître puis d'un grand salon lambrissé orné de stucs de gypseries de style Louis XVI, avec une hauteur de niveaux. Le vestibule est encadré par une salle de bains avec w-c dissimulés dans une rotonde lambrissée de style Louis XVI (côté nord) et l'escalier principal tournant avec jour bordé d'une rampe en fer forgé à motifs Louis XVI ponctuée de cabochons de verre (côté sud). L'aile nord abrite la salle à manger, et un office séparés par un escalier de service tournant sans jour ; l'aile sud, l'appartement de Monsieur comprenant : une chambre lambrissée de style Louis XIII avec terrasse, un bureau, une bibliothèque lambrissée de style Louis XIV, disposés en enfilade, une salle de bains et un jardin d'hiver dont la partie haute des murs et le plafond étaient recouverts de feuilles d'or blanc. Le second étage abrite dans l'aile sud, l'appartement de Madame composé d'une chambre avec un lambris d'époque Louis XIV ouvrant sur avec terrasse, une salle de bains couverte par une coupole ovale couverte de feuilles d'argent, équipée d'une douche à jets directionnels, un vestiaire, un boudoir et dans l'aile nord, deux chambres avec salles de bains privatives, séparées par l'escalier de service. Le troisième étage, entouré de terrasses sur quatre côtés, abrite trois chambres de domestiques, une salle de bains, une lingerie, et un appartement de domestique comprenant une chambre, une salle de bains et une penderie.

  • Murs
    • pierre de taille
    • moyen appareil
    • maçonnerie
  • Toits
    ciment en couverture
  • Étages
    2 étages carrés, étage en surcroît
  • Couvrements
    • coupole
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée, élévation à travées
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
    • escalier intérieur : escalier tournant suspendu
    • escalier intérieur : escalier droit en maçonnerie
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
    • escalier de distribution extérieur : escalier en équerre en maçonnerie
  • Typologies
    caractère pittoresque
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • balustre
    • ordre ionique
    • vase
  • Précision représentations

    Le toit terrasse est bordé de balustrades. Les colonnes des portiques sont surmontées de chapiteaux ioniques. Les parapets du perron de la façade ouest sont ornés de vases.

  • Statut de la propriété
    propriété publique

Documents figurés

  • [Villa Eilenroc, Antibes. Vue d'ensemble prise de l'est avant transformations.] / Tirage photographique anonyme, sd. Villa Eilenroc, Antibes.

  • Antibes. - Villa Eilenroc. - Dans les rochers. [Rivage occidental. Vue prise en direction de l'Hôtel du Cap.] / Carte postale, Editions Lévy et fils (L.L.), [vers 1900].

  • Cap d'Antibes - Villa Eilen-Roc. [Façade ouest] / Carte postale, Editions P.L. Maillan à Cannes, postée le 1er juin 1903.

  • Cap d'Antibes - La Villa Eilenroc. [Façade ouest] / Carte postale, Éditions Neurdein frères (ND Phot.), photo prise avant 1903, carte postée en 1910.

  • Cap d'Antibes (A.-M.) - Villa Eilenroc. [Façade ouest. Vue d'ensemble avec le tapis vert] / Carte postale, Editions Maillan à Cannes, [après 1903].

  • Cap d'Antibes. - La Villa Eilenroc. [Façade ouest. Vue d'ensemble avec le tapis vert.] / Carte postale, Éditions Lévy et fils (LL) [après 1903].

  • Portrait de madame Hélène Beaumont. / Tirage photographique signé d'Ora Paris, [vers 1930]. Villa Eilenroc, Antibes.

  • Villa Eilenroc au Cap d'Antibes. Plans du rez-de-chaussée, des 1er, 2e et 3e étages. / Relevés d'Albert Pouthier, architecte à Antibes, 29 septembre 1943. Villa Eilenroc, Antibes.

Date d'enquête 2000 ; Date(s) de rédaction 2007
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Fray François
Fray François

Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1968 à 2004.

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