Dossier d’œuvre architecture IA05001640 | Réalisé par ;
Bonan Aurélie (Contributeur)
Bonan Aurélie

Chercheur Inventaire Région Sud, à partir de février 2013.

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  • inventaire topographique, Inventaire du parc naturel régional des Baronnies provençales
Temple puis mairie
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Parc naturel régional du Verdon - Serres
  • Commune Rosans
  • Adresse rue du Temple
  • Cadastre 2021 F1 287
  • Dénominations
    temple, mairie

I. Historique détaillé

I. 1 Notes sur le protestantisme à Rosans

A la faveur de l'Edit de Nantes, le protestantisme supplanta le catholicisme à Rosans durant tout le 17e siècle. Les seigneurs de la ville avaient embrassé la religion Réformée et les guerres avaient mis à mal les bâtiments du culte catholique. Fortement organisé, le protestantisme comptait temples, cimetières, consistoires et ministres. Rosans dépendait du consistoire d'Orpierre. Avec la Révocation de l'Edit de Nantes, le temple protestant de Rosans fut démoli par arrêté royal le 25 juin 1685. Le 23 avril 1693, les biens du consistoire, évalués à 300 livres, furent attribués à l'hôpital de Gap. Toutefois, en 1741, on estime qu'un tiers de la population de Rosans était protestante ; son influence n'était pas négligeable.

Dans les années 1830, les protestants de Rosans sont mal logés : ils célèbrent le culte en plein air ou dans une écurie obscure. Une fois la nouvelle église paroissiale en projet, l'ancienne église Saint-Arey aurait pu leur être cédée mais le maire et son adjoint s'y opposent. Ils arguent de la participation financière des protestants à la réfection de l'église, légitimant leur droit à un édifice neuf. Achille d'Aldebert, pasteur et président du consistoire d'Orpierre, soutient la proposition d'un pasteur à Rosans à grand renfort de lettres et d'admonestations dès 1828. Le second pasteur de la section d'Orpierre, logé aux frais de la commune de Rosans où il réside, est accordé le 14 février 1845 par ordonnance royale. En effet, dans le questionnaire sur l'état des paroisses de 1844, le curé dénombre 150 protestants (pour environ 700 catholiques), de rares mariages mixtes et, par voie de conséquence, des enfants qui ne sont pas toujours élevés dans la foi catholique. Les protestant représentent entre un tiers et un cinquième de la population de Rosans.

I. 2 La construction du temple et son entretien

Plan et coupe [du temple de Rosans] (1845).Plan et coupe [du temple de Rosans] (1845).Coupe et élévation [du temple de Rosans] (1845).Coupe et élévation [du temple de Rosans] (1845).

La construction d'un temple protestant est décidée : un terrain de cinq ares est cédé gratuitement par Théodore Corréard, avocat à Grenoble et maire de Vinay (Isère). D'un coût de 18 000 francs, l'édifice fut en grande partie payé par le gouvernement de Louis-Philippe (une modeste souscription auprès des habitants de Rosans permit de collecter 965 francs en 1838). L'architecte départemental, Goulain fut sollicité. Il sera également l'architecte de la nouvelle église paroissiale de la ville, Saint-Jacques-le-Majeur (Référence du dossier : IA05001651). Daniel Basset, entrepreneur, et Paul Bertrand sont adjudicateurs des travaux de construction du temple le 16 juillet 1845. Les travaux sont achevés en 1847 mais dès 1849, des tuiles creuses remplacent les tuiles plates trop peu résistantes au vent du nord. La tâche est confiée à un charpentier de Serres, David Eugène. Il réalise également la couverture en zinc du lanternon.

En 1851, Louis Marc Simond, natif de Grenoble, est nommé premier pasteur de Rosans. Il dessert initialement les paroisses de Rosans, Saint-André, Sainte-Marie, Bruys, Serres et Trescléoux ainsi que Verclause et Chauvac (situées dans la Drôme). La commune tient difficilement ses engagements financiers relatifs au logement de l'officiant.

Entre 1855 et 1856, Michel Andreolety, maçon à Rosans et Joseph Martin, maréchal de Rosans, ont effectué des réparations urgentes au temple visant à la sécurité des personnes : pose de deux chaînages (de huit tirants de fer chacun), rebouchage des lézardes, reprise des enduits et du carrelage, réparation de la toiture après une tempête. Un canal d'irrigation voisin qui détrempait le sous-sol est pointé du doigt.

En 1898, le pasteur Alizon demande à Emile Andréoletti, maître-maçon, de blanchir les murs intérieurs, de poser de nouvelles tuiles et de revoir le bois de charpente pour un coût de 350 francs. La mairie refuse de payer et en appelle au consistoire. Les comptes du temple de Rosans nous informent de la présence d'un concierge payé 8 francs en 1900 et 1901 et 10 francs en 1902 : il s'agit plus vraisemblablement de frais de conciergerie alloués au pasteur.

Conformément à la loi du 9 décembre 1905, la société cultuelle de l'Eglise réformée évangélique de Rosans se constitue en 1906 : la gestion du temple de Rosans lui est confiée. En 1930, une vingtaine de familles seulement (une cinquantaine de personnes) sont dénombrés protestantes. En 1939, le pasteur vient de Trescloux.

I. 3 Un changement d'affectation : la réhabilitation en mairie

Le temple est utilisé aux fins du culte jusqu'au début de la Deuxième guerre mondiale. L'édifice devient alors un lieu de stockage où sont entreposés notamment engrais et semences pour le compte du syndicat agricole.

En 1979, l'architecte diplômé par le gouvernement (DPLG), Achille de Panaskhet remet un projet d'aménagement du temple comprenant la démolition de l'appentis nord, la création de deux niveaux d'étage avec une entrée séparée pour y accéder. Le projet est ajourné. Le toit est signalé en mauvais état en 1982.

Vue intérieure du nord-est vers le tambour (1982).Vue intérieure du nord-est vers le tambour (1982).Vue intérieure du sud-est vers le nord-est (1982).Vue intérieure du sud-est vers le nord-est (1982).

En 1985, le temple est réhabilité et transformé en mairie. Auparavant, la mairie était sise dans le bourg, dans l'ancienne église Saint-Arey, d'après la matrice cadastrale de 1914. A nouveau sollicité, Achille de Panaskhet programme la réfection complète de l'édifice qui comprend la démolition des murs intérieurs, des voûtes et des menuiseries, des travaux de terrassement, de charpente, de couverture, d'isolation, de plomberie et sanitaire, de chauffage, d'électricité, de serrurerie, de peinture et la pose de cloisons, de plafonds et de carrelage. Des ouvertures sont crées ou agrandies, la cage d'escalier et les étages sont construits.

Aménagements de l'ancien temple de Rosans. Coupes (relevé, 1985).Aménagements de l'ancien temple de Rosans. Coupes (relevé, 1985).Aménagements de l'ancien temple de Rosans. Coupes (1985).Aménagements de l'ancien temple de Rosans. Coupes (1985).

II. Descriptions détaillées

La description de l'état de 1982 est possible grâce à une étude partielle de l'Inventaire, menée par Marie-Pascale Mallé, avant la réhabilitation du lieu en mairie.

II. 1 L'état en 1982

II. 1. 1 Situation et composition d'ensemble

Le temple protestant est situé à l'ouest du bourg. Sa façade est orientée sud. Il comporte un corps de plan octogonal contre lequel sont adossées deux ailes : au sud, le tambour d'entrée, au nord, une pièce non visitée qui aurait été la sacristie.

Plan de masse et de situation d'après le cadastre de Rosans, 2021 (section F1, parcelle 287). Echelle 1/1000.Plan de masse et de situation d'après le cadastre de Rosans, 2021 (section F1, parcelle 287). Echelle 1/1000.

Plan du temple de Rosans (1982).Plan du temple de Rosans (1982).Coupe du temple de Rosans (1982).Coupe du temple de Rosans (1982).

II. 1. 2 Matériaux

Les murs sont en blocage de pierres locales (grès) liées à la chaux. Les chaînages et l'assise de la partie nord sont formées de blocs de pierre taillés et appareillés. Les pierres étaient laissées apparentes sauf sur la façade principale, enduite. Le plafond du tambour sud est était un lambris, le sol, une dalle de ciment. Le chambranle de la porte d'entrée est en pierre de taille. Charpente en bois de sapin et chêne pour le clocheton, avec voûtes en tuf et corniche en plâtre. Planchers en sapin (proche, sacristie), carrelage au sol du temple.

Vue de situation prise du nord-est (1982).Vue de situation prise du nord-est (1982).Vue de situation prise depuis la Tour carrée (1982).Vue de situation prise depuis la Tour carrée (1982).Vue de situation prise du nord-ouest (1982).Vue de situation prise du nord-ouest (1982).Elévation nord (1982).Elévation nord (1982).

II. 1. 3 Structure

On pénètre dans le temple par un tambour. La pièce a un plan octogonal formé de quatre grands côtés et de quatre petits. D'après les traces d'enduit intérieur, elle semble avoir été couverte d'une coupole qui d'après une information orale aurait été en tuf et pourvue de "retombées à arrêtes doubles". La pièce est actuellement [en 1982] ouverte sur le comble. Une reprise de construction est visible dans la partie supérieure des murs (les archives ne témoignent pas d'une surélévation).

II. 1. 4 Elévations

Seule la façade sud est enduite et présente un décor en trompe l'œil fait au ciment : faux appareil aux chaînages d'angle et double cordon à la base du pignon. La génoise en tuile à deux rangs et le cordon qui court à la base du pignon donnent un effet de fronton qui est repris par le chambranle en pierre de taille de la porte d'entrée, taillée en noyer. Quatre fenêtres rectangulaires (ouvrants à la française) sont percées dans les côtés les plus étroits du temple, deux baies en plein-cintre dans les pans les plus larges à l'est et à l'ouest. Les fenêtres rectangulaires sont surmontées d'un arc de décharge.

Façade sud. Angle sud-est (1982).Façade sud. Angle sud-est (1982).

II. 1. 5 Couverture

Les deux ailes ont un toit à deux pans souligné par une génoise à deux rangs. Le temple lui-même est couvert d'un toit à huit pans fermé par une corniche en pierre. L'ensemble est couvert de tuiles rondes, qui sont posées directement sur les chevrons, sans volige. La charpente de la pièce centrale est assez complexe. Elle est formée de deux fermes perpendiculaires qui viennent s'appuyer au centre de chacun des murs les plus larges et dont les deux poinçons sont moisés à leur point d'intersection. Cet assemblage est soutenu par un poteau central qui part du sol et semble avoir été rajouté après coup. De chacun des angles de la pièce partent des demi-fermes d'arêtiers, dont les coyaux sont fixés dans les goussets qui maintiennent entre eux les deux entraits. Les coyaux de chaque ferme d'arêtiers sont pincés dans un double arbalétrier dont l'extrémité inférieure est maçonnée dans le mur à 80 centimètres environ en dessous du niveau des fermes principales et de l'extrémité supérieure fixée au centre du poinçon.

Vue intérieure de la charpente (1982).Vue intérieure de la charpente (1982).

II. 1. 6 Distribution intérieure et décor

Du tambour d'entrée, on pénètre dans le temple proprement dit par trois baies en plein-cintre. Intérieurement, les murs sont enduits et peints en blanc, rose et bleu. Anciennement, une chaire en noyer était placée au devant de la sacristie. Chacune des fenêtres rectangulaires est encadrée par un décor au plâtre représentant deux pilastres ioniques qui supportent un entablement formé d'une architrave et d'une corniche, ornée de denticules.

II. 2 L'état en 2022 : aménagement et modifications

II. 2. 1 Composition d'ensemble

Le plan du bâtiment composé d'un corps octogonal adjoint de deux ailes, disposées selon un axe nord-sud, est inchangé. Les trois degrés qui surélevait l'entrée ont été élargis.

Vue de situation prise depuis l'ouest.Vue de situation prise depuis l'ouest. Vue de situation prise depuis le nord-est.Vue de situation prise depuis le nord-est.Façade. Angle sud-est.Façade. Angle sud-est.

II. 2. 2 Matériaux

Les murs extérieurs, en pierre et moellons de grès, ont été conservés. Les cloisons sont en briques, béton armé ou placoplâtre, ainsi que les faux-plafonds (planchers semi-préfabriqués). Le sol est carrelé de carreaux modernes (en céramique, pour le rez-de-chaussée, granito pour les étages). Du chêne est utilisé pour les croisées et la porte d'entrée, du noyer d'Afrique, pour les portes intérieures. Tuiles canal et zinguerie en couverture.

II. 2. 3 Structure et distribution intérieure

Un vestibule, en façade, dans l'aile sud, assure la communication avec l'extérieur. Il permet l'accès à des commodités et s'ouvre sur l'actuelle salle du conseil, des bureaux (secrétariat) et l'accueil. Au nord, on accède au local à archives, logé dans un couloir, et à la cage d'escalier. Ce dernier demi-hors-œuvre est un escalier tournant à retour à gauche sans jour. Il dessert deux étages : le premier accueille un dojo (et ses sanitaires) et le second (étage en surcroît), une salle de réunion. Ce sont des salles polyvalentes. Absence de combles.

[Aménagements de l'ancien temple de Rosans. Plans des] rez-de-chaussée et 1er étage (1985).[Aménagements de l'ancien temple de Rosans. Plans des] rez-de-chaussée et 1er étage (1985).Vue intérieure du second étage depuis le nord.Vue intérieure du second étage depuis le nord.

II. 2. 4 Elévations

La façade n'est plus la seule à être protégée et uniformisée : la partie supérieure des élévations extérieures a été complètement enduite ; leur partie inférieure est recouverte d'un enduit à pierres vues. Le double cordon qui courait à la base du mur pignon n'est plus : au-dessus de la porte d'entrée figure un cadran solaire. Les fenêtres en plein-cintre agrandies sont scindées en deux par le plancher du premier étage. Surmontant les quatre fenêtres rectangulaires percées dans les côtés étroits de l'ancien temple, quatre oculi éclairent l'étage en surcroît.

II. 2. 5 Couverture

La charpente n'a pas été refaite à l'identique. Tout aussi complexe, il s'agit désormais d'une charpente kiosque à huit pans dont le plan octogonal de la pièce centrale rappelle celui de l'édifice. Elle ne comporte plus de poteau mais est toujours coiffée d'un lanterneau.

Second étage. Détail : la charpente.Second étage. Détail : la charpente.Second étage. Détail : la charpente.Second étage. Détail : la charpente.

II. 2. 6 Décor

Le décor de plâtre des pilastres a été conservé. Ces derniers prennent naissance au rez-de-chaussée mais s'élèvent jusqu'au premier étage où sont visibles chapiteaux et entablements.Vue intérieure du premier étage, l'angle sud-est.Vue intérieure du premier étage, l'angle sud-est.Premier étage. Détail : chapiteaux et corniche.Premier étage. Détail : chapiteaux et corniche.Détail : chapiteaux et corniche du premier étage vus depuis le rez-de-chaussée.Détail : chapiteaux et corniche du premier étage vus depuis le rez-de-chaussée.

Au 17e siècle, Rosans fut une terre majoritairement protestante. Après la Révolution française, la ville se dota d'un temple construit entre 1845 et 1847 par l'entrepreneur Daniel Basset, sur les plans de l'architecte départemental Goulain. Le charpentier David Eugène réalise les couvertures en tuiles creuses et en zinc à partir de 1849. Entre 1855 et 1856, Michel Andréoly, maçon, et Joseph Martin, maréchal-ferrant, effectuent des consolidations urgentes. Désaffecté à partir de la Deuxième guerre mondiale, l'édifice fut réhabilité en mairie en 1985 d'après le projet d'aménagement d'Achille de Panaskhet, architecte résidant à Gap.

Située au quartier du Grand Pré, le temple, puis mairie de Rosans est un bâtiment de plan octogonal en pierre de grès, partiellement enduit et coiffé d'un lanterneau. Sa façade est au sud. Deux ailes nord-sud équilibrent le bâtiment et organisent sa distribution : l'une accueille le vestibule, l'autre permet l'accès aux étages.

  • Murs
    • grès pierre de taille
    • grès moellon enduit partiel
    • brique béton armé
    • plâtre
  • Toits
    tuile creuse, zinc en couverture
  • Plans
    plan symétrique
  • Étages
    rez-de-chaussée, 1 étage carré, étage en surcroît
  • Couvrements
    • charpente en bois apparente
  • Couvertures
    • toit à plusieurs pans lanterneau
    • toit à deux pans
  • Escaliers
    • escalier demi-hors-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour en maçonnerie
  • État de conservation
    remanié
  • Précision représentations

    Des pilastres ioniques supportant un entablement encadrent les fenêtres rectangulaires.

  • Statut de la propriété
    propriété de la commune

Documents d'archives

  • Arrêté autorisant la donation par M. Corréard d'un terrain de cinq ares destiné au temple protestant de Rosans, 1845. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : O 7220.

  • Compte général des travaux de construction du temple de Rosans, 1849. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : O 7220.

  • Compte général de la démolition de la couverture en tuiles plates et son remplacement par des tuiles creuses (temple de Rosans), 1849. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : O 7220.

  • Devis estimatif des réparations à faire au temple de Rosans, 1898. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : O 7217.

  • Ordonnance royale du 15 février 1845. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : V 182.

  • Décret de nomination en date du 1er mai 1851. Centre diocésain Pape François, Gap : V 182.

  • Comptes du temple de Rosans, 1901. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : V 267.

  • Comptes du temple de Rosans, 1902. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : V 424.

  • Délibération du conseil presbytéral de Rosans, 2 décembre 1906. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : V 442.

  • BERMOND, J. Histoire religieuse de Rosans. Manuscrit, sans date. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : 4° PIECE 3934.

    P. 23
  • Questionnaire sur l'état de la paroisse de Rosans, 1844. Dans "Renseignements sur les paroisses, tome 2". Centre diocésain Pape François, Gap : non coté.

  • Matrices cadastrales de la commune de Rosans, mise à jour en 1914. / Archives communales, Rosans : non coté.

  • Dossier sur les aménagements de l'ancien temple de Rosans, 1985. Archives communales, Rosans : non coté.

  • Cahier des clauses techniques particulières de l'aménagement de l'ancien temple, 1985. Archives communales, Rosans : non coté.

Bibliographie

  • BEGOU, Edouard. Rosans et le Rosannais dans l'histoire. Rosans : auto-édition, 2016.

    P. 49, 82, 179-180
  • FAURE-VINCENT, David. Le temple protestant. Dans : "Lettres aux amoureux du patrimoine n° 57 : spécial Rosans". Association de Sauvegarde du Patrimoine du Pays du Buëch et des Baronnies. Serres (Hautes-Alpes) : 1er trimestre 2013.

    P. 13

Documents figurés

  • Plan et coupe [du temple de Rosans]. / Dessin à l'encre aquarellé, 1845. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : O 7220.

  • Coupe et élévation [du temple de Rosans]. / Dessin à l'encre aquarellé, 1845. Archives départementales des Hautes-Alpes, Gap : O 7220.

  • Aménagements de l'ancien temple [de Rosans]. Situation. Implantation. / Dessin à l'encre sur papier, 1985. Archives communales, Rosans : non coté.

  • Aménagements de l'ancien temple [de Rosans]. Etat actuel [avant réhabilitation]. / Dessin à l'encre sur papier, 1985. Archives communales, Rosans : non coté.

  • Aménagements de l'ancien temple [de Rosans]. Façades. / Dessin à l'encre sur papier, 1985. Archives communales, Rosans : non coté.

  • [Aménagements de l'ancien temple de Rosans. Plans des] rez-de-chaussée et 1er étage. / Dessin à l'encre sur papier, 1985. Archives communales, Rosans : non coté.

  • Aménagements de l'ancien temple [de Rosans]. Plan du 2e étage. / Dessin à l'encre sur papier, 1985. Archives communales, Rosans : non coté.

  • Aménagements de l'ancien temple [de Rosans]. Coupes (relevé). / Dessin à l'encre sur papier, 1985. Archives communales, Rosans : non coté.

  • Aménagements de l'ancien temple [de Rosans]. Coupes. / Dessin à l'encre sur papier, 1985. Archives communales, Rosans : non coté.

Date d'enquête 2021 ; Date(s) de rédaction 2021
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Parc naturel régional des Baronnies Provençales
Bonan Aurélie
Bonan Aurélie

Chercheur Inventaire Région Sud, à partir de février 2013.

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