Photographe au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1970 à 2006.
- enquête thématique régionale, architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Hautes-Alpes - Briançon
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Commune
Briançon
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Adresse
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Cadastre
1975
AO
55-56
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Dénominationschâteau fort, fort
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AppellationsLe Château, de l'ensemble fortifié du Briançonnais
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Dossier dont ce dossier est partie constituante
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Parties constituantes non étudiéesposition, cour, caserne, poudrière, édifice logistique, casemate
L'ouvrage actuel n'a plus rien à voir avec l'ancien château médiéval sommairement modernisé par Lesdiguières et qui, conformément à la tradition médiévale, était l'ultime réduit défensif de la ville.
Il est le résultat d'une longue série de travaux exécutés, entre 1835 et 1845, travaux qui, faisant table rase de toutes les constructions anciennes, ont eu pour résultat de transformer le piton rocheux en puissante position d'artillerie orientée vers le nord-est et le nord-ouest, avec caserne défensive de siège, simplement protégée du côté de la ville et de l'est contre un coup de main, mais sans intention de l'organiser en citadelle, au sens usuel du terme.
L'ensemble a été conçu de manière à être commandé par le fort des Têtes et son occupation rendue impossible à l'ennemi en cas de prise. A part les deux magasins à poudre creusés dans le pied des escarpements nord-ouest, et accessibles de la ville, aucun travail de fortification n'y a été exécuté après 1870.
Composition d'ensemble
Sous le terme château sont regroupées deux parties bien distinctes :
La ville et le château.- Le « château» proprement dit, position d'artillerie à trois étages, s'inscrivant en plan dans un trapèze allongé orienté sud-ouest-nord-est, dont la grande base au nord-est est constituée par le front bastionné 8-10, seul front régulier de l'ouvrage, les autres côtés étant de simples couronnements défensifs des parois rocheuses du piton.
- La «basse cour» au sud-est, replat en contrebas au sud-est du précédent et sur lequel sont implantés la caserne de siège A-B et le magasin à poudre C (60), le tout dominant les escarpements des gorges de la Durance et le pont d'Asfeld.
Ces deux parties sont, en quelque sorte, indépendantes et complémentaires et ne communiquent qu'en deux points :
- une communication ascendante sous roc, à l'épreuve, reliant la caserne A et le cavalier sommital 3
- une rampe partant du masque B et aboutissant dans le flanc sud-est au cavalier 6, utilisée pour les transports importants, en particulier des pièces d'artillerie et les munitions.
Le château possède, lui, un accès piétonnier direct depuis la ville par une poterne dans le flanc gauche (sud) du bastion 10, à peu près à l'emplacement de l'entrée de l'ancien château.
La basse cour est, elle, desservie depuis la ville par une route en lacets greffée sur la rue enveloppant le pied du rocher.
Le château
(partie haute)
Front nord-est
Ce front a été, donc, organisé en fortification bastionnée par le connétable de Lesdiguières après 1590. Bien qu'il soit impossible de discerner s'il subsiste quelque chose des constructions d'origine, les dispositions en sont cependant restées les mêmes.
Front nord-est. Bastion 9-10, glacis, et extrémité de la branche de jonction de l'enceinte de ville.En partant du Champ de Mars, vers ce front, on traverse un immense glacis parfaitement réglé (travaux achevés vers 1845) dont le pied devait être enveloppé par un grand ouvrage à corne projeté par Vauban, mais non exécuté .
Ce glacis est couronné par un chemin couvert, avec place d'armes rentrante au milieu, précédant le fossé, creusé dans le roc, fermé à droite (est) par un batardeau percé à mi-hauteur de créneaux de fusillade et, au pied, d'une poterne, et s'ouvrant à gauche dans le fossé de la « branche de jonction» du corps de place, sans solution de continuité. Au batardeau est accolé un pas de souris, à palier mobile, permettant d'accéder au chemin couvert depuis le fond du fossé.
Le front lui-même est constitué :
- à gauche par le bastion 9-10, à escarpe en partie constituée par le roc escarpé et coupé en deux parties (9 et 10) séparées par une traverse en maçonnerie. Saillant coupé par une plongée en plan incliné
Front nord-est. Bastion 8 et fossé vus du bastion 9. En fond de fossé, batardeau crénelé.- à droite par le bastion 8.
Les flancs gauche du bastion 8 et droit du bastion 9 sont munis de coffres à canons sous casemate en partie sous roc reliés par un chemin de ronde en partie sous roc, couronnant la courtine 8-9 et desservant un parapet d'infanterie, Le flanc droit du bastion 8 comporte deux créneaux de pied flanquant le front nord de la « basse cour ».
Les terre-pleins des deux bastions sont occupés par le pied du talus extérieur du parapet du cavalier 6, situé en arrière, et soutenu, derrière la courtine 8-9 par un mur de maçonnerie.
Une galerie ascendante avec escalier, ménagée dans le massif du cavalier 6 relie son terre-plein aux casemates du bastion 8.
Le terre-plein central de ce cavalier est fermé à droite par l'escarpe du flanc droit du château ; escarpe percée d'un portail où aboutit la rampe extérieure venant du masque B. En outre, donnent sur ce terre-plein les casemates K creusées dans le pied du talus du cavalier 5. Ce petit groupe de locaux à l'épreuve porte gravées au-dessus de la porte les dates de 1838 et 1839 .
En arrière et au-dessus, on trouve le cavalier 5, également en équerre et relié également, à droite, par une galerie souterraine avec escalier et rampes latérales, au terreplein du cavalier 6.
Le terre-plein de ce cavalier est en grande partie occupé par un stand de tir réduit d'instruction dont l'extrémité en maçonnerie fait apparaître, en relief, l'insigne du 72e bataillon alpin de forteresse (1935-39).
Enfin, et donc couronnant le sommet, le cavalier supérieur bordé, au nord-est et au nord-ouest, d'un parapet massif en terre, pour l'artillerie de place, et au sud-est et au sud-ouest par un parapet en maçonnerie couronnant l'enceinte et percé de créneaux horizontaux organisés en créneaux de pied, compte tenu des nécessités d'un tir extrêmement fichant.
Également relié au cavalier 5 par galerie souterraine ascendante (dans le prolongement des deux précédentes) le terre-plein du cavalier supérieur comporte, en saillie sur la flanc droit, un bâtiment (corps de garde) à deux niveaux, à savoir :
- une terrasse, à air libre, entourée d'un parapet à créneaux horizontaux
- un sous-sol casematé, également à créneaux horizontaux, et où aboutit la galerie ascendante sous roc montant de la caserne de siège A.
Enfin, il convient de mentionner la présence, sur la plate-forme sommitale, de la statue en bronze de la France, par Bourdelle.
Flanc ouest (gauche)
Front ouest. Saillant 1. Vue extérieure.Dominant la ville, il est sensiblement constitué par un plan vertical d'escarpe dont font saillie la plateforme 10 (gauche du bastion 9) et le saillant 1.
Correspondant à peu près à l'entrée du château initial, une poterne piétonnière, ménagée dans le flanc gauche du bastion 9 conduit, par une galerie ascendante, dans une casemate de la plateforme 10 puis, débouchant à l'air libre au niveau du cavalier 6, aboutit, par rebroussement à un chemin de ronde bordant tout le flanc ouest, du nord au sud, pour atteindre le niveau du cavalier 5 (plateforme 2). Le parapet en est percé de créneaux horizontaux tirant vers la ville. Ce chemin de ronde passe, en passage voûté, sous deux traverses enracinées et trois murs traverses, tous établis pour éviter les coups d'enfilade tirés du nord. Au passage, un embranchement conduit à la casemate du saillant 1. A l'extrémité sud de cette circulation, un dernier tronçon de galerie ascendante conduit à la plateforme sommitale.
La basse cour (ou « château bas»)
Ce terre-plein bas est essentiellement occupé par :
- la caserne de siège A (qui en constitue le front sud)
- le masque b
- les latrines C
- le magasin à poudre C
- les casemates d (bastion 14).
L'enceinte défensive est elle-même composée par un front nord, terrassé et avec fossé, un flanc droit (est) simple parapet bordant les escarpements des gorges de la Durance, et un front sud constitué par la façade principale de la caserne A. Le flanc gauche est, lui, formé par la falaise rocheuse tombant du château supérieur et au pied de laquelle s'appuie cet ensemble.
Caserne A
(1842-48) (ancienne caserne Humbert, puis hôpital héliothérapique, puis école d'infirmières).
Caserne du château.Constitue, avec le masque b, et la cour rectangulaire qui les sépare, un réduit défensif casematé et à l'épreuve appuyé au pied de la falaise du château supérieur . La caserne A est un grand bâtiment rectangulaire (46 x 19 m, sans les bastions) à façade arrière sud bastionnée et deux niveaux de locaux voûtés, surmontés, à l'origine, d'un matelas de terre à l'épreuve de la bombe, remplacé, depuis, par un niveau d'habitation, à usage d' "hôpital héliothérapique" sortant du cadre de cette étude et mentionné ici pour mémoire.
Les locaux, répartis en deux niveaux (rez-de-chaussée - premier étage) sont divisés par des refends transversaux en cinq travées parallèles voûtées en arc segmentaire, à raison d'une travée centrale à usage d'entrée et de cage d'escalier, encadrée, de chaque côté, de deux travées à usage de logement. Le pignon est constitué par une travée à quatre locaux, également voûtés, mais à génératrices perpendiculaires à celles des travées du corps central (donc parallèles au grand axe du bâtiment, ceci afin d'équilibrer la poussée des voûtes des casemates du corps central), travée saillant hors œuvre sur la façade arrière en forme de bastion (5 m de flanc).
A l'ouest, le bâtiment s'appuie au massif rocheux portant le château supérieur : le problème de l'équilibre des travées du corps central ne se posant donc pas, on trouve, en pignon ouest, une simple galerie interposée entre la dernière travée et le roc, galerie desservant un bastionnet saillant en façade, et symétrique de celui de l'extrémité est (trois créneaux verticaux de fusillade au rez-de-chaussée du flanc).
A chaque niveau, les piédroits sont percés, au milieu, d'un passage voûté en plein-cintre et dont l'alignement constitue une circulation générale selon l'axe longitudinal du bâtiment.
Chaque travée prenait jour à l'origine à chaque extrémité et à chaque niveau par une grande fenêtre rectangulaire. Côté sud, pour des raisons d'habitabilité du temps de paix, la fenêtre initiale a été ultérieurement doublée (sauf pour la traverse centrale) par deux nouvelles fenêtres également rectangulaires mais plus petites. Côté nord, sur la cour centrale, les choses sont restées en l'état .
De l'extérieur, la façade sud est plane, construite en moellons disposés en opus incertum, les divisions verticale n'apparaissent pas, à l'exception d'une légère saillie de la travée centrale et de celle des bastionnets qui encadrent le bâtiment.
Par contre, la division entre niveaux est soulignée par un bandeau plat, en pied de taille, tandis que cette façade est surmontée d'une corniche moulurée portant un mur d'acrotère qui retenait le massif de terre protecteur initial.
Chaînes d'angle harpées en gros appareil. Porte d'entrée en plein-cintre percée du fond d'une feuillure rectangulaire servant de logement au tablier d'un pont-levis en zigzag (analogue à celui des Salettes et à celui du donjon du Randouillet) préféré dans les dernières études à d'autres solutions mécaniques.
Ce pont-levis se rabattait sur un fossé courant tout le long de cette façade, entre les flancs des bastionnets : ce fossé a été couvert depuis et le pont-levis supprimé. Façade nord (sur la cour centrale) identique, mais sans fossé ni pont-levis.
Pignon est : quatre fenêtres (une par local).
On ajoutera que c'est au premier étage que s'embranche, sur la galerie du pignon ouest, la galerie sous roc montant vers le cavalier sommital du château. Cette galerie prend air et jour en trois points de son parcours, par de grandes baies ouvertes dans la falaise, dont l'une à proximité du bastionnet ouest.
Le masque
Masque B. Mur nord, avec créneaux de fusillage (les deux fenêtres ont été ouvertes postérieurement). A droite, mur d'enveloppe du magasin à poudre C. Au-dessus, en arrièe plan, flanc est du cavalier supérieur.Bâtiment casematé parallèle à la caserne A, et situé de l'autre côté de la cour centrale. Sa façade principale fait donc face à la façade nord de la caserne A.
Les deux bâtiments ont été construits en même temps, et le rôle du bâtiment b était de défiler son homologue A aux coups venant de la hauteur des Salettes.
Moins large (10 m au lieu de 19 m au rez-de-chaussée) le bâtiment b est à deux niveaux dont un premier étage de 7 m de largeur seulement, portant un matelas de terre protecteur incliné, bordé, au pied, par la corniche surmontant le mur de fond du rez-de- chaussée. Cette disposition donne à ce bâtiment une section en trapèze rectangle.
En plan, le bâtiment est divisé en six travées voûtées en arc segmentaire, séparées par des piédroits d'un mètre et situées exactement dans le prolongement de celles du bâtiment A. Les deux travées de gauche (ouest), plus profondes, sont engagées dans le massif rocheux et isolées de celui-ci par une galerie sous roc. La première travée (nord-ouest) abrite le four à pain. La troisième travée correspond au passage (fig. 37) central général traversant A et b pour déboucher sur le terre-plein bas; les quatrième et cinquième travées avaient leur mur de fond crénelé pour battre ce terre-plein, tandis que la sixième, servant de berceau d'équilibre, a les génératrices de sa voûte disposées parallèlement à la façade pour servir de culée aux voûtes des cinq locaux adjacents. A noter, à l'extrémité ouest de la cour, un local sous roc (n° 6) à usage de magasin.
Le bâtiment C
Complétant l'ensemble, c'est un petit bâtiment rectangulaire casematé, situé à l'extrémité est de la cour centrale et à cheval sur l'escarpe dominant le pont d'Asfeld. Bâtiment à un seul niveau voûté à l'épreuve avec chaînes d'angle harpées, corniche moulurée, mur d'acrotère avec tablette de couronnement et matelas de terre protecteur en toiture.
Le mur de fond (nord) du masque b constitue une enceinte défensive crénelée battant le terre-plein bas et flanquée à gauche par les créneaux de fusillade du masque fermant la galerie sous roc et, à droite, par ceux du bastionnet prolongeant le masque b.
Magasin à poudre 60 (C). Pignon sud et entrée.A quelques mètres en avant, on trouve le magasin à poudre C construit entre 1692 et 1700. Il s'agit d'un bâtiment rectangulaire de 22,5 x 14 m hors œuvre (contreforts exclus) étayé de chaque côté par quatre contreforts et abritant une chambre à poudre voûtée en berceau, divisée en deux niveaux par un plancher intermédiaire, le tout enfermé dans une enceinte de sécurité dont le mur est exhaussé et surépaissi, au nord, face aux directions dangereuses (hauteur des Salettes).
L'extrados de la voûte est couvert d'une toiture eu bâtière et, protégé contre le vandalisme par sa situation actuelle, ce magasin possède encore ses portes à pentures de bronze et les clous en cuivre du plancher sur les lambourdes (charpente et plancher en bon état. Toiture en ardoise à réparer). Capacité estimée, vers 1900, à 65.400 kg de poudre.
A côté du magasin à poudre C, une rampe, prenant en face du débouché du passage central et traversant la caserne A et le masque b, conduit à une porte charretière ménagée dans l'escarpe est du cavalier 6 du château supérieur : ce cheminement constitue l'accès normal d'amenée des pièces d'artillerie pour l’armement des positions de tir du château supérieur.
A droite (est) et en contrebas de la caserne A, le bastion 14 assure le flanquement des escarpements est du château bas, dominant la Durance. Ce bastion est casematé et comporte (bâtiment d) un escalier donnant accès à des locaux voûtés prenant jour dans le flanc gauche et les deux faces par divers créneaux.
Enfin, le château bas est fermé, au nord (face aux Salettes) par une courtine terrassée (batterie 7) précédée d'un fossé et d'un chemin couvert. Cette courtine est flanquée, à l'angle nord-est, par une petite tour basse casematée et crénelée, sorte de caponnière double, où aboutit, sur une passerelle, la conduite d'eau alimentant, de l'extérieur, les bâtiments A,B,C,D. Le local de cette tour débouche sur le terre-plein du château bas, près du magasin à poudre.
C'est par erreur qu'on a désigné l'enclos grillagé construit sur le terre-plein d'un des étages de batterie du fort du château comme étant un stand de tir réduit. Il s'agit en fait de l'ancien chenil du 72e B.A.F.
Il ne reste rien de l'ancien château médiéval et des modernisations du connétable de Lesdiguières au 16e siècle. Les travaux sont exécutés entre 1835 et 1845. Le but n'était pas d'en faire une citadelle mais plutôt une position d'artillerie avec une caserne.
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Période(s)
- Principale : Moyen Age , (détruit)
- Principale : 2e quart 19e siècle
On distingue deux parties. Le château proprement dit est une position d'artillerie établie sur trois niveaux, de plan trapézoïdal et dont la partie nord-est est constituée d'une fortification bastionnée. La basse cour (appellée également château bas) est constituée d'une caserne de siège, d'un masque (bâtiment casematé), de latrines, d'une poudrière et de casemates. La caserne est un grand bâtiment dont la façade sud, divisée en travées, est bastionnée et qui s'étage sur deux niveaux. Le matelas de terre d'origine a été, depuis, remplacé par un niveau d'habitation. Le masque, moins large, s'étage sur deux niveaux. Le toit de ces deux bâtiments est plat. Les locaux de ces deux bâtiments sont divisés en travées voûtées en berceau segmentaire. La poudrière, à deux niveaux, est couverte d'un toit d'ardoises à deux pans.
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Murs
- pierre
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Toitsardoise
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Planssystème bastionné
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Étages1 étage carré
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Couvrements
- voûte en berceau segmentaire
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- terrasse
- toit à longs pans
- pignon couvert
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Statut de la propriétépropriété publique
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Documents figurés
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Développement et profils de Briançon veu du costé du septentrion. / Dessin, 1695. Service historique de la Défense, Vincennes : Atlas ms f° 48.
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Développement et profils de Briançon veu du costé d'Occident. / Dessin, 1695. Service historique de la Défense, Vincennes : Fonds du Génie, atlas MS, folio 48.
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Développement et profils de Briançon veu du costé du Midi. / Dessin, 1695. Service historique de la Défense, Vincennes : Atlas ms f° 48.
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Plan du chasteau de Briançon avec le projet de Mr le maréchal de Vauban. / Dessin, plume et aquarelle, 63 x 47 cm, 1718. Service historique de la Défense, Vincennes : article 8, section 1, Briançon, carton 1, n° 5.
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Plan du château de Briançon. / Dessin, signé De La Navère, plume et aquarelle, 630 x 480 cm, 1743. Service historique de la Défense, Vincennes : article 8, section 1, Briançon, carton 2, n° 42.
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Plan général de la ville et des forts de Briançon. / Dessin, plume et lavis, 1747. Service historique de la Défense, Vincennes, Fonds du Génie, article 8, Section 1, Carton 3, n° 6 (2), feuille 1.
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Plan de l'état actuel du château de Briançon avec un projet de fortification sur les feuilles volantes. / Dessin, plume et aquarelle, 1747. Service historique de la Défense, Vincennes, article 8, section 1, Briançon, carton 3, n° 6 (7).
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Profil pour servir au projet du château de Briançon. / Dessin, 1747. Service historique de la Défense, Vincennes : Fonds du Génie, article 8, section 1, carton 3, n° 6 (8), feuille 7.
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Briançon. Pour servir au projet général [coupe de la butte dans l'axe du pont d'Asfeld]. / Dessin, 1751. Service historique de la Défense, Vincennes : article 8, section 1, carton 3, n° 10 (7), feuille 5.
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Place de Briançon et dépendances. Plan pour courbes horizontales du château. / Dessin, 1820. Service historique de la Défense, Vincennes : article 8, section 1, carton 5, n° 51, feuille 1.
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Direction d'Embrun. Place de Briançon. Plan du château. / Dessin, signé Gallice, 1821. Service historique de la Défense, Vincennes : article 8, section 1, carton 5, n° 58, feuille 3.
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Atlas des bâtiments militaires. Place de Briançon. Briançon. Magasin à poudre de la ville. Magasin à poudre du château. / Dessin, signé Gallice, 1836. Service historique de la Défense, Vincennes, Grand atlas, T 335/2, feuille 30.
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Atlas des bâtiments militaires. Place de Briançon. Bâtiment coté a et masque coté b au château (ville). / Dessin, 1851. Service historique de la Défense, Vincennes : Grand atlas, T 335/2.
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Atlas des bâtiments militaires. Place de Briançon. Magasin à poudre C du château. / Dessin, 1856. Service historique de la Défense, Vincennes : Grand atlas, T 335/2, feuille 29.
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Projets pour 1884 : amener l'eau de la source des Salettes à la caserne A (du château) de Briançon. Dessin, 1884. Service historique de la Défense, Vincennes, feuille 3.
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Atlas des bâtiments militaires. Château [de Briançon]. Bâtiments divers. / Dessin, sd [19e siècle]. Service historique de la Défense, Vincennes : Grand atlas, T 335/2, feuille 1 ter.
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Plan général [du château de Briançon]. / Dessin, sd [19e siècle]. Service historique de la Défense, Vincennes : Grand atlas, T 335/2, feuille 1 ter.
Lieutenant-colonel du génie, docteur en histoire. Chargé de cours à l'École supérieure du génie de Versailles, Yvelines.
Expert en architecture militaire auprès de l'Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Réalise de 1986 à 1996 l’étude de l’architecture militaire (16e-20e siècles) de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur : départements des Hautes-Alpes, des Alpes-de-Haute-Provence, partie des Alpes-Maritimes, ensemble des îles d’Hyères dans le Var.
Principales publications : La Muraille de France ou la ligne Maginot (1988)
Les derniers châteaux-forts, les prolongements de la fortification médiévale en France, 1634-1914 (1993)
La barrière de fer, l'architecture des forts du général Séré de Rivières, 1872-1914 (2000)
Lieutenant-colonel du génie, docteur en histoire. Chargé de cours à l'École supérieure du génie de Versailles, Yvelines.
Expert en architecture militaire auprès de l'Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Réalise de 1986 à 1996 l’étude de l’architecture militaire (16e-20e siècles) de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur : départements des Hautes-Alpes, des Alpes-de-Haute-Provence, partie des Alpes-Maritimes, ensemble des îles d’Hyères dans le Var.
Principales publications : La Muraille de France ou la ligne Maginot (1988)
Les derniers châteaux-forts, les prolongements de la fortification médiévale en France, 1634-1914 (1993)
La barrière de fer, l'architecture des forts du général Séré de Rivières, 1872-1914 (2000)