Dossier d’œuvre architecture IA04001055 | Réalisé par
  • inventaire topographique
ferme de la Cébière
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays Asses, Verdon, Vaïre, Var - Castellane
  • Commune Castellane
  • Lieu-dit la Cébière
  • Cadastre 1834 E4 2201 ; 1983 E5 1430
  • Dénominations
    ferme
  • Appellations
    la Cébière
  • Parties constituantes non étudiées
    étable, fenil, remise agricole, hangar agricole, four à pain, pigeonnier, porcherie, poulailler, aire à battre

Evolution historique

Pour expliquer l'étymologie du terme "Cébière", une tradition locale veut que quelques parcelles de ce domaine, qui appartenait alors à l'hôpital de Castellane, aient été utilisées par les pauvres de la ville pour y cultiver des oignons ("cebo" en provençal).

Cette ferme est mentionnée au 17e siècle dans les archives familiales du propriétaire actuel. Au 18e siècle, elle est léguée par le sieur Baron, bourgeois, à l'hospice Saint-Martin de Castellane qui l'afferme pour subvenir au fonctionnement de l'hôpital.

En 1760, le domaine est vendu par adjudication au sieur Poilroux, médecin, pour la somme de 16 000 livres.

Au milieu du 19e siècle, le domaine fait partie de l'héritage d'Honorine Carbonel, femme de Jean-Antoine-Henri Féraud, notaire.

Le 2 février 1876, le domaine est acheté par Toussain Laugier (1830-1914), maître d'hôtel et propriétaire, pour la somme de 34 000 francs. La maison est alors achetée avec tous ses meubles, dont certains existent toujours.

Stanislas Laugier (1864-1944), son fils, reste à la tête du domaine jusqu'en 1944. L'exploitation continue jusque dans les années 1980, dirigée par les deux fils Laugier, Clément-Toussaint (1900-1972) et Martial (1911-1995), qui vivront dans la ferme avec leur famille respective.

En moyenne, la ferme accueillait à l'année une dizaine de personnes appartenant à la famille, plus un valet de ferme, plus les travailleurs saisonniers (faucheurs, moissonneurs...) et les bergers en transhumance.

Depuis la fin du 19e siècle, le domaine agricole s'étend sur 20 hectares de terres, de prés à l'arrosage, de vergers et de bois.

Il comprend, outre la ferme et ses dépendances immédiates : un colombier, situé une centaine de mètres au nord de la ferme ; une grande bergerie (dite "le Jas"), située au carrefour entre la route de Digne et la route de Saint-André, qui servait à l'accueil des grands troupeaux transhumants ; un vignoble, situé entre la ferme et le colombier. A la fin du 19e siècle et au 20e siècle, des innovations agricoles ont été testées pour diversifier les productions. Ainsi, entre 1880 et 1900, Toussaint Laugier aménage de très belles terrasses en pierre sèche et y plante un vignoble. Une allée de mûriers blancs (disparue) est plantée entre le Jas et la ferme, associée à une petite magnanerie, dans une tentative peu rentable de sériciculture. Des parcelles ont été plantées en menthe pour fournir des distilleries à Mâne et à Barrême. Une batteuse à vapeur a été achetée en 1914.

Un poulailler-pigeonnier et une porcherie sont construits dans les années 1930, avec des blocs de béton récupérés sur le premier chantier du barrage de Castillon ; la porcherie est bâtie en surélévation sur une petite dépendance de la seconde moitié du 19e siècle (magnanerie ?). La date de construction de la dépendance accolée à l'élévation ouest du bâtiment 1 n'est pas connue, mais elle est postérieure à 1834. La partie est du bâtiment 1 (cave et fenils) date du dernier quart du 19e siècle. La citerne enterrée le long de l'élévation est a été refaite en 1931 (chronogramme). En 1942, le toit de la ferme est modifié et les croupes d'origine disparaissent.

Analyse de la composition, distribution, mise en oeuvre

Cette ferme isolée est adossée à la pente, elle est composée de trois bâtiments principaux.

Premier bâtiment

Le bâtiment 1 comprend trois niveaux : deux étages de soubassement et un rez-de-chaussée. La partie ouest du premier étage de soubassement est occupée par :

- une étable (n° 2) avec deux mangeoires en maçonnerie et planches sur chant, dont la crèche est carrelée avec des carreaux de terre cuite, des râtelier en bois au-dessus desquels des trappes d'abat-foin communiquent avec le fenil, le couvrement est réalisé par une voûte en berceau segmentaire ;

- une étable (n° 1) avec deux mangeoires en maçonnerie dont la crèche est carrelée avec des carreaux de terre cuite, des râtelier en bois au-dessus desquels des trappes d'abat-foin communiquent avec le fenil, le couvrement est réalisé par une voûte d'arêtes soutenue par un pilier central et renforcée par un arc segmentaire ;

- un vestibule donnant accès à un escalier tournant, le sol est en carreaux de ciment, les murs et les plafonds sont enduits au plâtre ;

- une cuisine, le sol est en carreaux de ciment remplaçant le plancher d'origine, les murs et les plafonds sont enduits au plâtre, une plinthe en carreaux de terre cuite vernissée noirs court au pied des murs, une cheminée adossée au mur sud est flanquée de deux placards muraux dont l'un accueille la pile d'évier, un grand placard adossé au mur nord abrite le pétrin ;

- une salle à manger, le sol est en carreaux de ciment, les murs et les plafonds sont enduits au plâtre, une cheminée est adossée au mur est.

L'escalier est en maçonnerie sur plancher, les deux premières marches sont en pierre de taille calcaire, les autres marches sont en carreaux de terre cuite vernissée, les contre-marches et les nez de marches sont en bois.

La partie est du premier étage de soubassement est occupée par une cave : le sol est en terre battue, une cuve à vin maçonnée est installée dans l'angle nord-est, le couvrement est réalisé par une voûte en berceau plein-cintre.

La partie ouest du second étage de soubassement est occupé par :

- un fenil bas (appelé "mesclié", où l'on mélangeait le foin avec du grain), le sol est en mortier sur plancher, les murs ne sont pas enduits ;

- un couloir central ouvert sur la montée d'escalier et distribuant six chambres et deux réduits ;

- une chambre (n° 6), aveugle ;

- une chambre (n° 5) ;

- une chambre (n° 4) avec une cheminée adossée au mur nord ;

- une chambre (n° 2) avec une antichambre située à l'est ;

- une chambre (n° 1) dite "chambre des maîtres" avec une cheminée adossée au mur nord ;

- une chambre (n° 3) avec une cheminée adossée au mur est et une alcôve dans l'angle nord-est.

Les sols des chambres et du couloir sont en carreaux de terre cuite carrés (18 cm x 18cm), scellés au mortier sur un plancher rustique et peints en rouge. Les marches et les contre-marches de l'escalier sont en mortier, les nez de marches sont en bois.

La partie est du second étage de soubassement est occupée par

- un atelier avec un établi, le sol est en mortier ;

- un grenier avec une série de coffres à grains en bois de mélèze, construits sur le modèle des coffres de la haute vallée du Verdon par un menuisier de Chasse ;

- une chambre (n° 7) dite "chambre neuve" avec une alcôve dans l'angle nord-est.

Le sol du grenier est en carreaux de terre cuite carrés (18 cm x 18cm), scellés au mortier et peints en rouge ; le sol de la chambre 7 est en petites tomettes hexagonales de Salerne.

La partie ouest du rez-de-chaussée est occupée par :

- un grand fenil cloisonné par des pans de murs, le sol est en mortier sur plancher, les murs reçoivent un enduit grossier ;

- une chambre (n° 8) dite "chambre du valet", le sol est en petites tomettes hexagonales de Salerne, les murs sont couverts d'un papier peint ancien ;

- un ancien séchoir, aéré à l'origine par trois grandes baies (murée) ouvertes dans le mur sud et deux fenêtres dans le mur ouest.

La partie est du rez-de-chaussée est occupée par un fenil, le sol est en mortier sur plancher, les murs reçoivent un enduit rustique ; un pigeonnier (détruit) est aménagé dans l'angle sud-ouest.

L'ensemble est construit en moellons de calcaire maçonnés au mortier de chaux et de gypse. Les chaînes d'angles sont en petites pierres de taille calcaires. Deux contreforts talutés, en pierre de taille, viennent s'appuyer contre la partie centrale de l'élévation ouest. Au premier niveau de cette élévation, deux portes possèdent un encadrement en pierre de taille, l'une avec un arc en anse de panier, l'autre avec un arc segmentaire.

Les autres encadrements sont en maçonnerie avec enduit de finition au mortier de gypse lissé et feuilluré, les linteaux sont en bois ; l'enduit des encadrements des ouvertures des fenils est couvert de graffitis, d'opérations de comptabilité et de dessins gravés à la pointe. Les fenêtres de l'élévation sud sont à deux vantaux de douze carreaux chacun. Elles sont occultées par des contrevents en bois plein ou à persiennes basses.

L'élévation sud reçoit un enduit récent. Les autres élévations reçoivent un enduit rustique réalisé au mortier de chaux et de gypse.

La charpente est à pannes portant sur des pans de murs intermédiaires. Le toit à longs pans est couvert en tuile creuse. L'avant-toit est réalisé par trois rangs de génoises maçonnées, la saillie de rive des pignons est traitée par deux rangs de génoises. Des pierres sont disposées sur les quatre côtés de la toiture, de manière à maintenir les tuiles en cas de vent violent.

Dépendance

Une dépendance en appentis est accolée à la partie nord de l'élévation ouest du bâtiment 1. Elle abrite une remise agricole et une petite porcherie ; un bassin monolithe alimenté par la citerne se trouve dans l'angle nord-est.

Un lavoir est accolé à l'angle sud-est du bâtiment 1, les bassins sont en maçonnerie, le sol est constitué d'une calade de galets, le couvrement est réalisé par une voûte en berceau plein-cintre.

Une vigne sur treille était plantée devant l'élévation sud du bâtiment 1, elle reposait sur des piliers en pierre de taille calcaire.

Une citerne alimentée par une source captée est enterrée le long de l'élévation est du bâtiment 1, elle est accessible depuis l'atelier du second étage de soubassement, elle porte un chronogramme gravé dans l'enduit.

Second bâtiment

Le bâtiment 2 est situé au sud du bâtiment 1, il est adossé à la pente et comporte deux niveaux : un étage de soubassement et un rez-de-chaussée.

L'étage de soubassement est occupé par :

- un sas avec un bassin maçonné dans l'entrée et, le long des murs, trois conduites verticales en bois qui permettent de descendre le grain depuis le rez-de-chaussée ;

- une grande porcherie, le sol et les stalles sont en ciment, le couvrement est réalisé par des voûtines en briques creuses et des poutrelles métalliques.

Le rez-de-chaussée est occupé par une grande remise agricole pouvant servir de fenil et de grenier.

Le premier niveau est construit en maçonnerie de moellons calcaires, avec chaînes d'angles en pierre de taille et enduit rustique.

Le second niveau est construit en blocs de béton moulés, provenant du premier chantier du barrage de Castillon-Demandolx, sans enduit.

Les encadrements des ouvertures de ce niveaux sont en maçonnerie avec enduit de finition au mortier de gypse lissée et feuilluré, les linteaux sont en bois.

Les ouvertures du premier niveau sont fermées par des barreaux horizontaux, celles du second niveau sont occultées par des contrevents en bois plein.

La charpente est à pannes. Le toit à un pan est couvert en tuile plate mécanique. L'avant-toit est réalisé par deux rangs de génoises maçonnées, la saillie de rive des pignons est traitée par un rang de génoise.

Une dépendance en maçonnerie ancienne, reprise en blocs de béton moulés, est accolée à l'élévation nord. Elle abrite un four à pain (disparu) et un bûcher, sous un toit à un pan couvert en tôle ondulée.

Une citerne enterrée, alimentée par une source captée, est aménagée le long de l'élévation est du bâtiment 2, elle est accessible depuis la porcherie.

Troisième bâtiment

Le bâtiment 3 est situé au nord-ouest du bâtiment 1, il comporte deux niveaux : un rez-de-chaussée et un étage de comble.

Le rez-de-chaussée est occupé par un poulailler et une remise à outils.

L'étage de comble est occupé par un séchoir et par un pigeonnier (les boulins sont constitués de tiroirs en bois rangés dans des étagères en pans de bois et maçonnerie légère, avec tasseaux façonnés au mortier), la grille d'envol ajourée est en menuiserie. L'accès à l'étage de comble se fait par un escalier de distribution extérieur droit, en charpente métallique et perron en béton armé.

L'ensemble est construit en blocs de béton moulés, provenant du premier chantier du barrage de Castillon-Demandolx, sans enduit. La charpente est à pannes. Le toit à longs pans est couvert en tuile plate mécanique. L'avant-toit et la saillie de rive des pignons sont traités par un rang de génoise.

Adossé à l'élévation nord , un appentis en briques creuses abrite des latrines.

Une clôture en grillage délimite un parc à poules devant l'élévation sud.

Un bûcher en appentis, reposant sur des poteaux en bois et fermé par une cloison en planches dressées, se trouve en face de l'élévation ouest du bâtiment 1, de l'autre côté de la cour.

Une grande fosse à fumier se trouve à côté du bâtiment 2, de l'autre côté du chemin. En contrebas de cette fosse, se trouve un jardin potager, organisé en bandes, et arrosé par une dérivation du canal. Il est fermé par une clôture en grillage ouverte par un petit portail en bois.

Une aire de battage est aménagée devant l'élévation est du bâtiment 1, le rouleau à dépiquer, (monolithe légèrement conique et cannelé) ainsi que son axe d'ancrage au centre de l'aire sont toujours visibles. A proximité se trouve la source captée.

Le chemin d'accès à la ferme est bordé d'un tilleul et d'un mûrier noir. La cour est ombragée par deux platanes et un marronnier ; un autre mûrier noir est planté au nord du bâtiment 3.

A quelques dizaines de mètres au nord du bâtiment 1, un niche en berceau segmentaire ouverte dans un mur de soutènement en pierre sèche, servait de silo à carottes.

Cette ferme, dite ferme de la Cébière, figure sur le plan cadastral de 1834. Elle est déjà mentionnée au 17e siècle dans les archives familiales du propriétaire. Au 18e siècle, elle est léguée par le sieur Baron, bourgeois, à l'hospice Saint-Martin de Castellane qui l'afferme pour subvenir au fonctionnement de l'hôpital. En 1760, le domaine est vendu par adjudication au sieur Poilroux. Le 2 février 1876, le domaine est acheté par Toussaint Laugier, maître d'hôtel et propriétaire. En moyenne, la ferme accueillait à l'année une dizaine de personnes appartenant à la famille, plus un valet de ferme, plus les travailleurs saisonniers (faucheurs, moissonneurs...) et les bergers en transhumance. Depuis la fin du 19e siècle, le domaine agricole s'étend sur 20 hectares de terres, de prés à l'arrosage, de vergers et de bois. Il comprend, outre la ferme et ses dépendances immédiates : un colombier, situé une centaine de mètres au nord de la ferme ; une grande bergerie (dite le Jas), située au carrefour entre la route de Digne et la route de Saint-André, qui servait à l'accueil des grands troupeaux transhumants ; un vignoble, situé entre la ferme et le colombier. A la fin du 19e siècle et au 20e siècle, des innovations agricoles ont été testées pour diversifier les productions : vigne, magnanerie, distillation de la menthe...

  • Période(s)
    • Principale : 17e siècle

Cette ferme isolée est adossée à la pente, elle est composée de trois bâtiments principaux. Le bâtiment 1 comprend trois niveaux : deux étages de soubassement et un rez-de-chaussée. Le premier étage de soubassement est occupée par deux étables (n° 1 et 2), un vestibule, une cuisine, une salle à manger et une cave sous voûte en berceau plein-cintre. Le second étage de soubassement est occupé par un fenil, un couloir, sept chambres (n° 1 à 7), un atelier, un grenier avec une série de coffres à grains en bois de mélèze (construits sur le modèle des coffres de la haute vallée du Verdon par un menuisier de Chasse). Le rez-de-chaussée est occupée par un grand fenil, un ancien séchoir, un pigeonnier (détruit) et une chambre (n° 8). L'ensemble est construit en moellons de calcaire maçonnés au mortier de chaux et de gypse. Les chaînes d'angles sont en petites pierres de taille calcaires. Au premier niveau de l'élévation ouest, deux portes possèdent un encadrement en pierre de taille, l'une avec un arc en anse de panier, l'autre avec un arc segmentaire. Les élévations reçoivent un enduit ancien rustique, réalisé au mortier de chaux et de gypse. La charpente est à pannes portant sur des pans de murs intermédiaires. Le toit à longs pans est couvert en tuile creuse. L'avant-toit est réalisé par trois rangs de génoises maçonnées, la saillie de rive des pignons est traitée par deux rangs de génoises. Une dépendance est accolée à l'élévation ouest (remise agricole, porcherie, fontaine, clapiers). Un lavoir est accolé à l'angle sud-est. Une vigne sur treille était plantée devant l'élévation sud. Une citerne est enterrée le long de l'élévation est. Le bâtiment 2 est adossé à la pente et comporte deux niveaux : un étage de soubassement (porcherie) et un rez-de-chaussée (remise agricole). Une dépendance en maçonnerie est accolée à l'élévation nord du bâtiment 2 (four à pain, bûcher). Une citerne enterrée est aménagée le long de l'élévation est du bâtiment 2. Le bâtiment 3 comporte deux niveaux : un rez-de-chaussée (poulailler, remise) et un étage de comble (pigeonnier, séchoir). Un bûcher en appentis, reposant sur des poteaux en bois et fermé par une cloison en planches dressées, se trouve en face de l'élévation ouest du bâtiment 1. Une grande fosse à fumier se trouve à côté du bâtiment 2. En contrebas de cette fosse, se trouve un jardin potager. Une aire de battage est aménagée devant l'élévation est du bâtiment 1. La cour et le chemin d'accès sont plantés d'un tilleul, de deux mûriers noirs, de deux platanes et d'un marronnier. A quelques dizaines de mètres au nord du bâtiment 1, un niche en berceau segmentaire, ouverte dans un mur de soutènement en pierre sèche, servait de silo à carottes.

  • Murs
    • calcaire
    • moellon
    • pierre de taille
  • Toits
    tuile creuse
  • Étages
    2 étages de soubassement, rez-de-chaussée surélevé
  • Couvrements
    • voûte en berceau segmentaire
    • voûte en berceau plein-cintre
    • voûte d'arêtes
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Escaliers
    • escalier intérieur : escalier tournant en maçonnerie
  • Typologies
    F3 : ferme à bâtiments accolés et/ou disjoints
  • Statut de la propriété
    propriété privée, []

Bibliographie

  • LAURENSI, Joseph. Histoire de Castellane ou Connaissance exacte des changements survenus à cette ville des différentes parties qui la composent des lieux qui en dépendent des évènements qui la concernent par rapport au gouvernement ecclésiastique et séculier avec une suite chronologique et historique des évêques de Senez, 1775. - Castellane : Gauthier Imprimeur, 1898 (première édition : 1775), 555 p. : notes.

    p. 313 : la ferme est cédée par Joseph Baron en 1720 aux oeuvres de l'hôpital. Elle est ensuite vendue en 1770 à Poil Roux pour 18000 livres.

Documents figurés

  • [Vue aérienne depuis le sud-ouest] / Photographie argentique en couleur, auteur inconnu, années 1980. Collection particulière : non coté.

    Collection particulière
Date d'enquête 2007 ; Date(s) de rédaction 2007
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossiers de synthèse
Articulation des dossiers