Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire général de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1969 à 2007.
- inventaire topographique
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
-
Dénominationsmaison
-
Aires d'étudesPays Asses, Verdon, Vaïre, Var
-
Adresse
- Commune : Allos
I. Contexte de l'enquête
1 La problématique du repérage : la famille concernée
Ce dossier concerne les maisons d'Allos. Ce terme exclut ici les édifices comprenant des parties agricoles occupant un espace proportionnellement supérieur aux fonctions domestiques. Ainsi, un édifice comprenant trois étages dont l'un est dévolu à l'étable et le troisième au fenil est considéré comme une maison-ferme et a été traité dans le dossier collectif concernant cette famille d'édifices (cf. dossier fermes). Par contre, ont été inclus dans ce dossier «maisons» tous les bâtiments comprenant plus d'espace consacré à l'habitation et dont le premier niveau (étage de soubassement ou rez-de-chaussée) est une étable ou un commerce (la différence entre les deux fonctions est d'ailleurs souvent très difficile à lire aujourd'hui et c'est pourquoi ils ont été regroupés sous une même typologie). Quant aux résidences de villégiature, de construction récente (50 dernières années), elles ont pour l'instant été laissées de côté (sauf trois exemples repérés dans le village) et feront l'objet d'un recensement particulier.
2 Les conditions de l'enquête
Le repérage de l'habitat sur la commune d'Allos s'est déroulé en deux campagnes de terrain, l'une au cours de l'été 2003, l'autre au cours de l'été 2004. Le recensement s'est fait à partir du cadastre le plus récent disponible, édition mise à jour pour 1983. Le cadastre napoléonien levé en 1826 a servi de point de repère et de comparaison pour le bâti antérieur à cette date. Par ailleurs, les matrices cadastrales du village ont été dépouillées systématiquement. Toutes les constructions portées sur le cadastre actuel ont été vues au moins de l'extérieur. Toutes les élévations n'étaient pas forcément visibles depuis la rue. Un peu plus d'une dizaine de maisons ont pu être visitées. Dans les autres cas, et lorsque cela a été possible, des questions ont été posées aux occupants sur l'organisation intérieure.
Le repérage a été effectué à l'aide d'une grille de description morphologique commune à l'ensemble des demeures (maisons ou fermes) décrivant :
- l'implantation du bâti,
- la fonction visible du bâtiment principal et des annexes,
- la composition d'ensemble des différents bâtiments,
- les matériaux principaux et secondaires et leur mise en oeuvre,
- la forme du toit et la nature de la couverture,
- le nombre d'étages visibles,
- la description des élévations: baies (nature, forme, emplacement),
- les décors extérieurs,
- les aménagements intérieurs concernant aussi bien le logis que les dépendances agricoles, lorsqu'il a été possible de visiter l'intérieur (notamment le ou les escaliers, la ou les cheminées, les râteliers et mangeoires, les coffres à grains ... ),
- les couvrements et la nature des sols des différentes parties et étages
- la charpente lorsqu'elle était accessible et ancienne
- les inscriptions historiques : date portée, inscription, armoiries
Cette grille de repérage a donné lieu à l'alimentation d'une base de données destinée à faire un traitement statistique et cartographique.
Le repérage est toujours confronté à la question de l'état du bâti surtout lorsque le choix a été fait de travailler toutes époques confondues et non pas d'aborder le bâti par tranches chronologiques. Les bâtiments ayant subi quelques modifications de détail ont été repérés, à partir du moment où l'état actuel permettait de distinguer, de manière plus ou moins évidente, un parti d'ensemble cohérent. Cependant les bâtiments ayant subi des transformations majeures, entraînant une non lisibilité des caractères architecturaux pertinents pour l'établissement d'une typologie n'ont pas été retenus. Ainsi ont été écartés les bâtiments très remaniés à une période récente, selon des nonnes de construction, des matériaux et un vocabulaire architectural très éloignés de ceux de l'architecture locale: élévations entièrement repercées de grandes ouvertures rectangulaires masquant les baies anciennes, utilisation de matériaux récents rendant illisible le parti d'origine, restructuration intérieure.
L'étude de l'intérieur des édifices pose toujours un problème d'accessibilité, surtout dans une zone où les résidences secondaires sont nombreuses et où les propriétaires sont absents une grande partie de l'année, parfois même en été y compris dans le village. Chaque fois que cela a été possible, l'aménagement intérieur et/ou le mobilier domestique ont été décrits avec précision, grâce à une visite des lieux ou en interrogeant les occupants.
II. Les caractères historiques et socio-économiques
L'incendie du chef-lieu le 13 octobre 1718. Dans quelle mesure cet incendie a-t'il ou non été suivi d'une reconstruction partielle ou totale de la ville? Le chronogramme le plus ancien observé dans le chef-lieu est 1716 (cf. dossier fermes), Trois autres dates du 18e siècle ont été repérées (cf. tableau des dates portées). Le parcellaire a t'il été profondément modifié ou les reconstructions se sont-elles faites en respectant le réseau viaire ancien (4 rues perpendiculaires à l'axe principal) ?
Le dépouillement systématique et la comparaison des cadastres de 1740 (date approximative), 1780 et de 1826 a permis de proposer une restitution du bâti dans le cheflieu (cf. dossier village, fortification d'agglomération; Des.).
III. Les caractères morphologiques
58 maisons ont été repérées.
1. Implantation et composition d'ensemble
Toutes les maisons repérées se situent au chef-lieu, sauf le presbytère de Bouchier (B8 1406).
Les parcelles profondes et étroites sont orientées perpendiculairement à la rue et forment des blocs en hauteur pour reprendre la typologie des géographes (alors que les fermes sont plutôt des blocs en longueur, y compris dans le village). Les façades principales sont toujours tournées vers la rue, sauf dans quelques cas situés dans la rue de la Citadelle. Les parcelles traversantes peuvent avoir une ou plusieurs portes en façade postérieure (porte du logis dans le cas ou la façade sur rue donne accès uniquement à l'étable ou au commerce, dans la Grand Rue notamment).
2. Matériaux et mise en oeuvre
Les bâtiments sont construits en moellons de calcaire. Les murs sont montés en assises relativement régulières. Les moellons de moyen et petit modules sont liés entre eux par un mortier à base de chaux ou de terre argileuse. Les angles sont renforcés par des moellons plus gros, sommairement taillés, rarement par des chaînes en pierre de taille. Les enduits anciens à la chaux, lorsqu'ils sont conservés (rarement et surtout à l'état de traces) laissent apparaître la maçonnerie (enduit dit à pierre-vue). La plupart des enduits sont récents, ils sont souvent au ciment et couvrant. Les encadrements des fenêtres sont le plus souvent en maçonnerie façonnée avec du plâtre. On trouve aussi, surtout pour les parties basses et les élévations postérieures des encadrements en bois.
3. Structure, élévation, distribution
Les maisons ont entre 2 et 5 niveaux d'élévation. La grande majorité d'entre elles a trois ou quatre niveaux (53 maisons réparties à peu près également). Les maisons à deux niveaux sont rares (4 seulement). Une seule maison possède cinq niveaux d'élévation. L'accès aux différents étages se fait par un escalier intérieur directement accessible dans un petit vestibule d'entrée en façade ou bien plus rarement en fond de parcelle. Il s'agit d'escaliers tournant à retour avec ou sans jour, mais surtout d'escaliers droits, en bois et/ou en maçonnerie. Cinq rez-de-chaussées voûtés d'arêtes ont été repérés. Dans tous les cas, il s'agit de maisons possédant un rez-de-chaussée ayant servi d'étable ou de boutique.
4. Couvertures
Les toits à longs pans ont une pente approximative de 45°. La partie inférieure se termine parfois en égout retroussé libre. Les couvertures traditionnelles en bardeaux de mélèze ont été remplacées dans la plupart des cas par des couvertures en métal (tôle ondulée, bac acier ... ).
5. Décor
L'habitat de la commune est très modeste. Les décors de façade sont rares. Ils peuvent se résumer à la présence de quelques cadrans solaires peints sur une ou plusieurs façades (cf. tableau des repérés, colol1..ne 4), et à des décors de faux-appareil (fausses chaînes d'angle). Les principaux éléments de décor se concentrent sur les huisseries extérieures dont certains exemples ont été repérés. Il s'agit d'huisseries en noyer (Fig.).
III. Note de synthèse : typologie
La classification
A : Maison avec commerce et/ou étable en partie basse (39 repérées; 1 sélectionnée)
- Maison à une ou plusieurs travées
- Logis au-dessus d'une étable et/ou d'une boutique
- Accès au logis par un escalier intérieur
B : Maison sans dépendance agricole (9 repérées ; 1 sélectionnée)
- Maison à une ou plusieurs travées souvent associée à un espace privé (jardin)
- Accès au logis par un escalier intérieur
- Logis sur plusieurs étages
C : Maison de notable (7 repérées ; 3 sélectionnées) :
- Maison de taille importante, toujours associée à une cour et/ou un jardin clôt
- Bâtiment annexe servant de remise (éventuellement)
- Logis sur plusieurs étages
- Escalier dans vestibule
- Pas de fonction agricole sous le même toit que l'habitation
- Sans décor particulier
D : Maison-chalet de villégiature (3 repérées ; 0 sélectionnée *)
- Maison de la seconde moitié du 2üe siècle
- Niveaux supérieurs à essentage de bois
- Certains modèles reprennent un vocabulaire architectural local traditionnel
* aucune n'a pu être visitée
L'interprétation de la classification
La catégorie la mieux représentée, et de loin, est celle concernant les maisons qui en plus du logis comprennent en premier niveau d'élévation des pièces à usage agricole (étable) ou commercial (boutique). Traditionnellement 1'habitat d'Allos est très intimement lié au terroir et à son exploitation agricole rendant la limite entre maison et ferme très aléatoire. Il apparaît en effet que de nombreuses maisons d'allure urbaine (façade ordonnancée) abritaient des usages agricoles (fenil dans le comble, étable en niveau 1). Il apparaît très nettement également que la maison sans dépendance agricole, exclusivement réservée à l'habitation est minoritaire et correspond à des constructions du 19e et du 20e siècle.
TABLEAU DES MAISONS REPEREES
(en gras maisons faisant l'objet d'un dossier Mérimée)
Lieu-dit | cadastre | annexe | niveau | typologie |
chef-lieu | 1983 AB 68 | C | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 69 | C | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 70 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 72 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 72, 408, 409 | O | 4 | C |
chef-lieu | 1983 AB 81 | O | 3 | B |
chef-lieu | 1983 AB 82 | O | 5 | A |
chef-lieu | 1983 AB 83 | C | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 85 | C | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 431, 432 | O | 4 | C |
chef-lieu | 1983 AB 88, 231 | C (?) | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 91 | O | 4 | C |
chef-lieu | 1983 AB 111, 274 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 112 | remise | 4 | C |
chef-lieu | 1983 AB 115 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 117 | O | 4 | B |
chef-lieu | 1983 AB 122 | O | 3 | B |
chef-lieu | 1983 AB 125 | O | 3 | D |
chef-lieu | 1983 AB 126 | O | 2 | A |
chef-lieu | 1983 AB 127 | O | 3 | D |
chef-lieu | 1983 AB 128 | O | 2 | D |
chef-lieu | 1983 AB 132 | O | 2 | B |
chef-lieu | 1983 AB 136 | remise | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 138 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 139 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 140 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 141 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 142 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 143 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 144 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 145 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 146 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 151 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 152 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 154 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 155 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 156 | O | 3 | B |
chef-lieu | 1983 AB 157 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 158, 159 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 161 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 160 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 179 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 194 | remise | 3 | C |
chef-lieu | 1983 AB 272 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 75, 361 | O | 3 | C |
chef-lieu | 1983 AB 322 | fabrique de jardin | 3 | B |
chef-lieu | 1983 AB 164 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 170 (gauche) | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 170 (droite) | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 171 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 173 | O | 3 | A |
chef-lieu | 1983 AB 174 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 176 | O | 4 | A |
chef-lieu | 1983 AB 187 | O | 3 | B |
chef-lieu | 1983 AB 188 | O | 3 | B |
chef-lieu | 1983 AB 401 | O | 4 | C |
Bouchier | 1983 B8 1406 | O | 3 | B |
TABLEAU DES DATES ET INSCRIPTIONS PORTEES
Lieu-dit | Cadastre | Date | Inscription | Emplacement |
chef-lieu | 1983 AB 68 | 1913 | date | façade ouest |
chef-lieu | 1983 AB 72 | 1823 | date | façade ouest |
chef-lieu | 1983 AB 431, 432 | 1842 | date / dins aquel oustal vasto venguda fai gau | façade ouest |
chef-lieu | 1983 AB 91 | 1877 | date | façade ouest |
chef-lieu | 1983 AB 132 | 1932 | date | façade ouest |
chef-lieu | 1983 AB 136 | 1729 | 17+29/IDG.MP | façade nord |
chef-lieu | 1983 AB 138 | 1815 | date | façade est |
chef-lieu | 1983 AB 144 | 1731 | I.I.A 1731 | façade sud |
chef-lieu | 1983 AB 160 | 1930 | date | façade sud |
chef-lieu | 1983 AB 179 | 1912 | date | façade est |
chef-lieu | 1983 AB 194 | 1928 | date | façade sud |
chef-lieu | 1983 AB 322 | 1926 | O | façade est |
Dans leur état actuel, les maisons repérées les plus anciennes datent du 18e et du 19e siècle. En 1718, un important incendie a ravagé le village qui a été en partie reconstruit après cette date. Des maisons ont été construites à la prériphérie immédiate du bourg ancien au début du 20e siècle, ainsi que des maisons de villégiature dans la deuxième moitié du 20e siècle.
-
Période(s)
- Principale : 18e siècle
- Principale : 19e siècle
- Principale : 20e siècle
Les maisons d'Allos, toutes repérées dans le chef-lieu sauf le presbytère de Bouchier, sont des édifices mitoyens construits sur des parcelles profondes et étroites. Elles sont construites en moyen appareil de moellons de calcaire assisés. Les angles sont renforcés par des pierres de plus gros calibre. Les maisons construites sur le module du bloc en hauteur possèdent entre 3 et 4 niveaux d'élévation. Le premier niveau d'élévation est occupé par l'habitation, un commerce ou une étable. Les étages sont accessibles par un escalier intérieur en façade ou en fond de parcelle. La façade principale ouvre sur la rue par une porte piétonne, sauf dans la rue de la Citadelle où les maisons tournent le dos à la voie de circulation. Dans la Grand Rue plusieurs maisons ont un accès au logis par l'arrière alors que la façade principale est consacrée à la baie boutiquière. En couverture, la tôle a remplacé le bardeau. Les décors sont rares, ils concernent les cadrans solaires, les faux appareils peints et les huisseries.
-
Typologiesmaison avec commerce et/ou étable en partie basse ; maison sans dépendance agricole ; maison de notable ; maison-chalet de villégiature
-
Toitsbardeau, tôle ondulée
-
Murs
- calcaire
- enduit
- moellon sans chaîne en pierre de taille
-
Décompte des œuvres
- bâti INSEE 456
- repérées 58
- étudiées 6
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire général de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1969 à 2007.
Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire général de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1969 à 2007.