immeubles devenus hôtel de voyageurs sous le nom d'Hôtel d'Orsay et d'Hôtel Azurea, actuellement Hôtel Paganini,
[Immeuble de rapport, 18 rue d'Amérique, Nice, élévation, plan], 1906Immatriculation
IVR93_20230602362NUC2A
Auteur du document reproduit
-
Argentino RaphaëlArgentino RaphaëlCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Auteur de l'illustration
(reproduction)
-
Prédal ChristophePrédal Christophe
Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.
Copyright
- (c) Ville de Nice
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Année de prise de vue
2023
Diffusion
communication libre, reproduction soumise à autorisation
Type
phototype numérique
Besoin d'informations sur cette illustration ?
Nous contacter
-
[Immeuble de rapport, 18 rue d'Amérique, Nice, élévation, plan]. / Dessin à l'encre par Raphaël Argentino, janvier 1906. Archives communales, Nice : 2T207 78.
Ingenieur-architecte, Nice, 1ère moitié du 20e siècle. Raphaël Argentino fait ses études au collège militaire de Naples, puis à l'école polytechnique de Turin (Ecole polytechnique d'artillerie et de génie). Il obtient son diplôme d'ingénieur en 1891, à l'Ecole royale d'application pour les ingénieurs à Naples, d'où il sort premier. Il débute sa carrière à Turin, où il travaille à des constructions civiles et pour les chemins de fer. Il s'installe à Nice en 1898, il prend part à la construction du réseau de tramways électriques (ingénieur de la compagnie Thomson Houston) et participe à l'installation de lignes de transport de force (ingénieur de la société de l'énergie électrique du littoral méditerranéen jusqu'en 1903). En 1903, il quitte la Société et se consacre à la construction et l'architecture. Après la Grande guerre, il travaille en association avec l'architecte - ingénieur René Gaujoin. Ils se présentent dans les publicités comme spécialistes en ciment armé et en hydraulique. Il est membre du groupe régional du syndicat des architectes français. Sur son monument funéraire au cimetière de Saint Barthélémy est mentionnée sa profession d'ingénieur. (Véronique Thuin)