Dossier d’œuvre architecture IA84000099 | Réalisé par
Fray François
Fray François

Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1968 à 2004.

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Sauze Elisabeth
Sauze Elisabeth

Conservateur du Patrimoine au service régional de l'Inventaire général de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1969 à 2007.

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  • inventaire topographique
Village
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pertuis
  • Commune Grambois
  • Cadastre 1953 H  ; 1838 H
  • Dénominations
    village

HISTORIQUE

Avec 3120 hectares de superficie, Grambois compte parmi les communes les plus étendues du pays d'Aigues. Ce vaste territoire recouvre une partie de la vallée supérieure de l'Eze et du chainon montagneux du Saint-Sépulcre. Un petit coteau sillonné par des torrents descendus du grand Luberon et bosselé sur sa limite supérieure de hauteurs boisées (coulets de Fiéraque, la Barre, Peyrol) surplombe au nord-ouest l'étroit sillon de la vallée de l'Eze. A l'est et au sud, les sommets de Piégros (546 m), Tarsier (600 m), Coste longue (627 m) et la Montagne (590 m) entourent en arc de cercle un plateau central qu'arrosent les vallats de Pegaresse, du Gau et du Thor. A l'importance du relief s'ajoute la médiocre qualité des sols, composés en majeure partie de marnes et calcaires du Stampien, de l'Aquitanien et du Hauterivien. Le plateau central, formé de sables et de molasses de l'Helvétien et du Burdigalien, apparaît comme la zone la plus riche et la plus cultivée, encore que l'absence de moyens d'irrigation n'y permette guère que des cultures de faible rapport : céréales et vigne, avec quelques vergers d'amandiers, d'oliviers et de cerisiers.

Le réseau routier développé en étoile associe un axe principal parallèle à l'Eze, la route de Pertuis à Forcalquier (N 556), et des voies secondaires empruntant des vallons en direction de Saint-Martin-de-la-Brasque (D 27), de Peypin-d'Aigues et de Beaumont-de-Pertuis (D 122), de Vitrolles et de Mirabeau (D 33). Toutes ces routes convergent, sans le traverser, vers le village perché sur une grosse butte ronde, à l'extrémité ouest du plateau central, dominant les confluents de l'Eze et des vallats du Gau, de la Grange et des Hermitans.

Quelques silex taillés et des fragments de tuiles à crochet ramassés dans les zones de culture (Pradines, Saint-Léger) sont les seules traces connues d'habitants antérieurs au Moyen-Age. Le petit nombre de ces vestiges, bien qu'imputable pour une part à l'absence de recherche systématique, traduit probablement la faiblesse de l'occupation humaine dans un secteur aujourd'hui encore peu habité. Il y eut cependant avant la formation du village un habitat au moins : la villa signalée dans une charte vers 1050, établissement du haut moyen âge dont le nom (anthroponyme germanique Garim-boda ?, probablement hérité d'un ancien propriétaire des lieux, a servi ensuite à désigner l'agglomération.

Le nom de Grambois apparaît dans deux chartes, l'une de 1027, l'autre non datée mais proche de 1050. La formation de l' agglomération peut cependant être située un peu plus tard, entre la charte des environs de 1050, qui qualifie Grambois de villa et le privilège d' Urbain II qui confirme en1096 à l'abbaye de Saint-André de Villeneuve l'église paroissiale in oppido Guarimbodio. A sa naissance, le village bénéficia de la conjonction de facteurs : un site fort, sur le sommet d'un promontoire qui domine la vallée de l'Eze et qui se rattache au plateau de Saint-Léger - c'est-à-dire au meilleur terroir de culture - par un isthme étroit facile à barrer ; une position avantageuse au carrefour de la route de Pertuis à Forcalquier et de celle de Lauris à Manosque ensuivant le pied du Luberon ; un territoire peu fertile, mais étendu et varié, qui associe des fonds de vallons humides et quelques coteaux bien exposés à de larges parcours de pâturage forestier.

Faute de sources, on ne sait presque rien des premiers temps de Grambois. Le conflit intervenu en 1215 entre la population et le prieur au sujet des terres d'église mises en réserve (non accessibles aux troupeaux des habitants) peut être considéré comme résultant d'une pression démographique. Les premiers seigneurs de Grambois restent inconnus. La juridiction passa probablement dès le XIIe siècle aux mains des comtes de Forcalquier et fut attribuée, lors du partage de 1220, au comte de Provence.

En 1290, la cour royale détenait la haute justice et certaines banalités (le four et un moulin). Quelques familles nobles, dont une avait pour patronyme le nom du village, se partageaient les droits de police et de marché et la plupart des censives. A la même date, l'agglomération commençait à déborder l'enceinte dont on l'avait entourée probablement dans la première moitié du XIIIe siècle. Une enquête menée le 24 octobre 1290 sur les biens fonds indûment possédés par des ecclésiastiques fait état d'une maison et d'une court (bâtiment agricole) construites par le curé dans le fossé doublant l'enceinte, à côté de la maison claustrale et de l'église restées à l'extérieur des fortifications. Deux chiffres permettent d'entrevoir la croissance démographique durant cette période : en 1271, le comte de Provence recueillait à Grambois l'hommage de 188 habitants, dont 3 chevaliers et 2 juifs ; l'affouagement de 1315 y dénombra 202 feux de gueste, soit environ un millier d'âmes.

Cette croissance paraît s'être poursuivie durant la première moitié du XIVe siècle. Les huit censiers rédigés entre 1328 et 1348 pour la cour royale et les familles de Grambois et de Vilanes, détentrices de la presque totalité des directes féodales, dressent un bilan évocateur à la veille du brutal retournement de la conjoncture : 494 propriétaires fonciers - dont seulement 7 étrangers au village -, pour la plupart des petits agriculteurs accompagnés d'une dizaine d'artisans du bois, du fer et du textile, d'un médecin, de 5 notaires, de 10 ecclésiastiques et de 17 nobles ; une agglomération composée de deux parties distinctes, l'intra-muros contenant 110 maisons et 7 bâtiments annexes, un grand faubourg développé à l'est et des petits groupes de constructions établis près des portes de Font-Sausse et de Font-Vilane contenant en tout 108 maisons et 6 bâtiments agricoles ; une dizaine de granges, petites exploitations rurales éparpillées à courte distance autour du village, une bastide à la Crueye, sur le plateau de Saint-Léger, et cinq moulins à blé échelonnés sur le vallat des Hermitans et sur l'Eze ; un territoire exploité jusque sur ses limites, avec, autour de l'agglomération, les petites parcelles de jardin et de vigne, puis sur e coteau au-delà de l'Eze et sur le plateau de Saint-Léger, les pièces de labours, enfin, vers les confins montagneux au nord, à l'est et au sud, quelques grands domaines nobles ou religieux et le défens communal.

Les habitants parvinrent sans trop de peine à conserver leurs coutumes et privilèges après l'aliénation de la seigneurie faite en 1360 par la reine Jeanne au profit de Guy Albert, neveu du pape Innocent VI : libre circulation des hommes et des marchandises, représentation et gestion communales, port d'armes, droit de chasse, protection des pâturages communs, abonnement du four banal, etc ... Mais la communauté batailla en vain pour revenir sous la juridiction directe du roi. La seigneurie de Grambois, confisquée en 1399 à Raimond Albert, fut dès 1420 donnée par la reine Yolande à Guillaume de Forcalquier. Le fils de ce dernier, Antoine-Augier de Forcalquier, mit plusieurs années à se faire accepter des habitants, auxquels il octroya en 1442 une importante réduction de tarif pour traverser la Durance au bac de Mirabeau qui lui appartenait. Sur le plan démographique, la récession prit des proportions catastrophiques. Le censier dressé en 1430 pour Delphine Escrimone, héritière des Grambois et des Vilanes et détentrice de plus des trois quarts des censives, mentionne 124 propriétaires (dont un tiers porte des patronymes non représentés un siècle plus tôt). L'habitat rural avait complètement disparu. On comptait, à l'intérieur de l'enceinte agrandie en 1377 pour englober le faubourg oriental, 74 maisons et une douzaine de bâtiments annexes ; hors les murs subsistaient 33 édifices ruinés ou à usage agricole. Quatre moulins fonctionnaient encore et quatre tuilières avaient été créées au bord de l'Eze, mais le nombre - sinon la superficie? - des terres cultivées avait fortement diminué. Le creux n'était pourtant pas atteint : en 1471, les commissaires affouageurs dénombrèrent 40 foyers seulement.

A partir du début du XVIe siècle, la reprise des activités économiques et un fort mouvement d'immigration renversèrent la tendance. Grambois avait, en 1540, 120 chefs de famille. Au cadastre de 1561, figurent 376 propriétaires, dont 81 étrangers, 219 maisons toutes (sauf une) situées à l'intérieur de l'enceinte, 80 crottes, casaux et étables répartis à parts égales entre l'intra-muros et le petit faubourg de la Bourgade, 23 bastides, 15 granges, 4 jas, 7 moulins et 3 auberges dispersés dans la campagne. Un signe de la vitalité du village apparaît dans le nombre des employés et artisans recrutés chaque année par la communauté : dès 1534, un greffier, deux gardes-champêtres, un boucher, un meunier, un fournier et un boulanger, un forgeron, deux porchers et un chevrier, une sage-femme ; à partir de 1554, un maitre d'école ; en 1555 un sonneur de cloches et deux tisserands ; à chaque menace de guerre ou d'épidémie, un ou plusieurs préposés à la garde des portails. Vis à vis de leurs seigneurs, les habitants manifestaient toujours les mêmes réticenses et continuèrent à réclamer leur rattachement au domaine royal jusqu'au XVIIe siècle. Les dynasties qui se succédèrent à Grambois, les la Croix successeurs des Forcalquier en 1465 puis les Gautier à partir de 1584, enfin les Raphelis de Roquesante en 1669, durent toutes avoir recours à l'autorité royale pour faire reconnaître leur légitimité. Jean de la Croix, en 1537, fut traduit en justice à la requête de la communauté pour avoir construit au coin de son château un contrefort empiétant sur la rue. En 1590, au cours des guerres de la Ligue, le village, où s 'étaient retranchés le seigneur (Jean de Gautier) et une garnison de 40 hommes, fut pris d'assaut par l'armée du duc de Savoie et mis à sac. Il fallut plus de dix ans aux habitants pour réparer les ruines et payer les dépenses occasionnées par les travaux de fortification du seigneur et le bombardement des ennemis.

Pour tout le XVIIe siècle, on manque de chiffres permettant de suivre l' évolution de la population et du village. L'affouagement de 1698 signale à Grambois 248 chefs de famille et 116 maisons habitées. Le cadastre rédigé en 1699 énumère 385 propriétaires fonciers, dont 41 forains ; mais il ne prend pas en compte les propriétés bâties, sauf dans la campagne où les bastides sont plus nombreuses qu'en 1561 (une cinquantaine environ, dont beaucoup partagées entre plusieurs propriétaires), alors que les moulins et les auberges ont diminué (en nombre et en valeur) et que des ruines sont signalées à divers endroits. En fait, l'augmentation de la population paraît avoir eu pour corollaire un certain appauvrissement de la masse, au profit de quelques notables et citadins de La Tour d'Aigues, Pertuis ou Aix qui se sont constitués des domaines aux dépens des petites exploitations. La perte de valeur des deux auberges traduit le ralentissement du trafic routier, détourné progressivement depuis le XVIe siècle vers le grand chemin de Cavaillon à Manosque par les bords de Durance et le chemin royal d'Aix à Sisteron par le bac de Mirabeau.

En 1703, d'après un état de la capitation, Grambois ne comptait plus que 652 habitants, soit 185 familles pour les deux tiers formées d'ouvriers agricoles et de petits exploitants aux limites de la misère. L'affouagement de 1728 enregistra une nouvelle baisse : 136 familles, 80 maisons habitées.

Le second tiers du XVIIIe siècle vit au contraire une forte poussée démographique (177 maisons habitées, 779 âmes en1765), qui se poursuivit à un rythme plus lent jusqu'à la fin du siècle (900 habitants en 1800). Le chiffre de population resta à peu près stable - oscillant entre 850 et 900 - jusqu'au milieu du XIXe siècle, malgré le développement d'un petit artisanat textile. Grambois avait atteint les limites de son potentiel agricole. L'exode rural, amorcé dès 1860, fut d'autant plus important que les agriculteurs du lieu ne disposaient d'aucun moyen de reconversion soit dans des productions plus rentables - fruits et légumes réclamant des terres riches et irriguées -, soit dans l'artisanat local - éliminé par l'industrie naissante. La population tomba de 894 habitants en 1857 à 575 en 1896. Des 6 moulins recensés en 1842, deux seulement fonctionnaient encore à la fin du siècle et les 6 ateliers de filature avaient fermé leurs portes.

Grambois est aujourd'hui un village presque vide. La statistique officielle montre bien un accroissement démographique sensible depuis quelques années (452 habitants en 1962, 548 en 1975), mais ce gonflement soudain de la population est surtout dû à l'apparition de nombreuses résidences secondaires (160 pour 205 principales en 1975). L'agglomération porte les marques d'une existence difficile depuis la fin du XVIe siècle : de nombreux vides ont été ouverts à l'intérieur des anciens murs et le faubourg, créé au XVIe siècle et reconstruit au XVIIIe siècle n'a pratiquement pas été agrandi par la suite. En revanche, les pavillons individuels se multiplient aujourd'hui aux abords du village et dans la campagne.

Analyse architecturale

Elle se bornera à quelques remarques de détail, du fait de la médiocrité de l'ensemble et de son état de conservation (dégradation et rénovation de l'habitat secondaire). Les remarques d'ordre général ne peuvent de toute façon qu'être comparables à celles des autres agglomérations des cantons de Cadenet et de Pertuis :

- Gros-œuvre en blocage, ici très régulier, avec un mortier grossier et calage de nombreux éclats de brique.

- Ordonnances strictes, sans décor, baies rectangulaires.

- Il n'a été relevé que deux dates : 1849 (parcelle 42) et 1834 (demeure 1).

Les éléments isolés sont représentés essentiellement par quelques croisées chanfreinées (128-53) ou non, avec un appui mouluré (153), demi-croisées (88 - 153) et fenêtres à meneau (152 - 106 -50) ou géminées (72). Les portes ont quelques exemplaires à claveaux extradossés, d'une cinquantaine de centimètres de large (58 - 84) ou sont chanfreinées (88 - 127 - 164 - 152) avec une accolade (58 - 90 - 87) ou avec des coussinets portant un linteau de bois (144).

Pour le XVIIIe siècle, on possède quelques portes dont le décor est plus important : porte à crossettes percée dans une façade ordonnancée dissymétrique, porte au profond chambranle mouluré, porte à décor architecturé. Une seule fenêtre en segment dont la clé est sculptée.

Il subsiste cependant plusieurs façades dont l'ordonnance d'ensemble est reconnaissable :

- 142 : la façade nord est représentée par une travée percée d'une porte couronnée d'une moulure d'archivolte retournée et d'une demi-croisée avec larmier retourné.

- 151 : cette façade (côté ouest) pourrait être l'ultime vestige du château de Grambois. Le mur, en petit appareil, est couronné de deux assises en porte-à-faux sur un rang de corbeaux ; un jour chanfreiné aère l'intérieur (à hauteur du premier étage). Cet édifice est assis sur la roche qu'on a entaillée sur le passage de la rue.

- 127 : le mur de la terrasse actuelle, qui borde le côté sud de la maison, est en fait le premier niveau d'une maison au début du XVIe siècle : un cordon mouluré (talon) règne à hauteur d'appui du deuxième niveau et sert de rebord à la terrasse. Les allèges des anciennes fenêtres sont appareillées. Côté ouest, porte à claveaux extradossés (plein cintre).

- 42 : façade ordonnancée de deux niveaux de deux travées de baies rectangulaires. La clé de la porte est datée 1849.

- 134 : grande façade ordonnancée de trois niveaux percés de trois travées de baies en segment ; la porte seule est moulurée.

- Seul élément de distribution intérieure repéré, une petite salle couverte d'un berceau brisé appareillé, éclairé au sud (133).

Première mention du toponyme en 1027, du castrum en 1096 ; bourg castral contrôlant un vaste terroir et un noeud routier ; fort développement aux 12e et 13e siècles, 202 feux de queste en 1315 ; site d'éperon barré, plan en éventail autour du château (détruit avant 1290) , voirie radio concentrique, église extérieure ; à côté du bourg fortifié probablement au début du 13e siècle, développement d'un faubourg, entouré avec l'église par la 2e enceinte construite vers 1377 ; entre 1348 et 1470, diminution de plus de 75% de la population ; au 16e siècle, forte hausse démographique, construction d'un petit faubourg linéaire à l'est ; essor arrêté au 17e siècle par le ralentissement du trafic routier et l'appauvrissement général des habitants (219 maisons en 1561, 116 en 1698, 80 en 1728) , légère reprise après 1730 (177 maisons et 779 habitants en 1765, 900 habitants en 1800) , stagnation dans la 1ère moitié du 19e siècle, Exode rural important après 1860 (452 habitants en 1962) ; léger renouveau depuis 1962 avec le développement de l'habitat saisonnier ; 548 habitants en 1975

  • Période(s)
    • Principale : 2e moitié 11e siècle
  • Typologies
    bourg castral du 11e siècle à plan en éventail
  • Statut de la propriété
    propriété publique
  • Donation par la Reine à Guidon d'Albert, neveu du pape Innocent VI, de la terre et de la seigneurie de Grambois, 1360 . Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Marseille : B 552.

Documents d'archives

  • Reconnaissance des biens roturiers en faveur des Comtes de Provence, titres relatifs aux familles, 1688-1690. Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Marseille : B 958.

Bibliographie

  • ACHARD, Claude-François. Description historique, géographique et topographique des villes, bourgs, villages et hameaux de la Provence ancienne et moderne, du Comté-Venaissin, de la principauté d'Orange, du comté de Nice etc. Aix-en-Provence : Pierre-Joseph Calmen, 1788, 2 vol.

    Vol. 1, p. 582.
  • Annuaire statistique du département de Vaucluse [an XII]. Carpentras, 1803-1804.

  • BANCAL, M. Monographies communales d'après les documents recueillis par les instituteurs. Arrondissement d'Apt. - Cavaillon : Imprimerie-librairie Mistral, 1896, 227 p.

    P. 184-187.
  • BARATIER, Edouard. La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècle. Paris : S.E.V.P.E.N. , 1961, 255 p.

    P. 79.
  • BENOIT, Fernand. Recueil des actes des comtes de Provence appartenant à la maison de Barcelone, Alphonse II et Raimond Bérenger V (1196-1245). Collection de textes pour servir à l'histoire de Provence. Monaco : Imprimerie de Monace ; Paris : A. Picard, 1925, 2 tomes, CCLXIX, 496 p.

    Vol. 2, p. 124.
  • COURTET, Jules. Dictionnaire géographique, historique, archéologique et biographique des communes du département du Vaucluse. Avignon : Bonnet fils, 1857, 385 p.

    P. 169-172.
  • FAUCHER, Paul de. Un vauclusien oublié : le comte de Roquesante. dans Mémoires de l'Académie de Vaucluse, t. XIII, 1894.

    P. 107.
  • FOUSSENQ, J. L’œuvre de Paul de Faucher : ses rapports avec notre histoire locale ; historique du château de Grambois. Dans Bulletin de l'Athénée de Pertuis, 1913.

    P. 5-14.
  • Grambois. Cadenet, imprimerie P. Armelin, 1960. Non paginé.

Documents figurés

  • Grambois, seigneurie des Roquesante. Estampe, sd. Musée Arbaud, Aix-en-Provence, Vi-VI. 21.

Date d'enquête 1969 ; Date(s) de rédaction 1987
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Fray François
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Sauze Elisabeth
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