Dossier d’œuvre architecture IA06004255 | Réalisé par
Prédal Christophe (Rédacteur)
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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Thuin-Chaudron Véronique (Rédacteur)
Thuin-Chaudron Véronique

Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).

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  • recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
maison de villégiature (villa balnéaire) dite villa Médecin puis hôtel de voyageurs dit Hôtel Vendôme
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Ville de Nice

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Nice - Nice
  • Commune Nice
  • Lieu-dit Médecin
  • Adresse 26 rue Pastorelli
  • Cadastre 2022 LC 0030
  • Dénominations
    maison, hôtel de voyageurs
  • Précision dénomination
    maison de villégiature, villa balnéaire
  • Appellations
    villa Médecin, hôtel Vendôme
  • Parties constituantes non étudiées
    cour jardin, boutique

Léopold Schropp, rentier à Mannheim, achète le terrain à Pierre Cason et Louis Spinelli en 1858. Il y fait construire une villa d'un étage sur rez-de-chaussée avec combles. Sa veuve, née Louise Treskow, et leur fils Raoul revendent la villa le 3 octobre 1868 à Jean Charles Victor Bonaffe, rentier, pour 60 000 f. En 1880, Jean Bonaffe revend la villa à Gaspard Médecin pour 140 000 f. Ce propriétaire a fait effectuer des travaux sans doute importants, comme l'indique la date portée à côté de la signature du vitrail de l'escalier : [J] Fassi, Nice 1881. La demande de branchement d'égout a été rédigée par l'architecte Vincent Levrot. On peut légitimement penser qu'il s'agit de l'architecte de ces travaux de remise au goût du jour. L'entreprise de taille de pierre nommée Monje et Majano a participé au chantier ainsi que l'entreprise de Serrurerie Serraire. C'est à cette dernière, coutumière des innovations techniques, que l'on doit sans doute le système de contrevents à galandage.

La villa est mentionnée dans les annuaires recensant les locations saisonnières à compter de 1884. En juillet 1925, Edmond Vermeulen achète la villa à l'avocat Emile Finas Duplan qui venait de l'acheter en mai 1925 aux héritiers Médecin, excepté deux bandes de terrain en bordure des rues Alberti et Pastorelli où Finas Duplan à le projet de construire des magasins. Edmond Vermeulen fait surélever en 1925 de quatre niveaux la villa qui devient Hôtel Vendôme (ouverture en 1926), lors de la demande de surélévation. La surélévation est l'oeuvre des architectes Charles et Marcel Dalmas. Les publicités le présentent comme doté de 70 chambres et 30 salles de bains.

  • Période(s)
    • Secondaire : 3e quart 19e siècle , (incertitude)
    • Principale : 4e quart 19e siècle , porte la date
    • Principale : 2e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1881, porte la date
    • 1925, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Dalmas Charles
      Dalmas Charles

      Architecte niçois, né en 1863, formé à l'École des Arts Décoratifs de Nice puis à l'École des Beaux-Arts de Paris où il intègre l'atelier de Victor Laloux. Reçu au concours du Grand Prix de Rome. Il enseignera plus tard à l'École des Arts Décoratifs de Nice. Son style se caractérise par l'élégance décorative, la clarté de la composition en plan comme en façade. Spécialiste des programmes d'hôtels et d'immeubles de standing, Il a été président du Syndicat des Architectes de la Côte d'Azur. Son fils Marcel Dalmas a étroitement collaboré avec lui.

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Dalmas Marcel
      Dalmas Marcel

      Architecte niçois. Fils de l'architecte Charles Dalmas, formé à l'École des beaux-arts, il est Grand prix de Rome 1914. Architecte du département des Alpes Maritimes, il prépare les plans d'urbanisme de la ville de Nice. Enseignant à l'école des arts décoratifs de Nice il devient conseiller municipal de la ville de Nice.

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Monje et Majano
      Monje et Majano

      Tailleurs de pierre, installés au 1 avenue Malausséna à Nice à la fin du 19e siècle. Ils mentionnent dans un encart publicitaire avoir travaillé notamment à la villa Médecin, rue Alberti à Nice, actuel Hôtel Vendôme (cf THUIN. De la colline du château aux châteaux des collines, p. 224).

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      tailleur de pierre attribution par source
    • Auteur :
      Fassi et fils, puis Fassi Cadet, actuellement Ateliers Abaïdee (1858 - )
      Fassi et fils, puis Fassi Cadet, actuellement Ateliers Abaïdee

      La maison Fassi de Nice est fondée en 1858, avec Joseph Fassi père, comme maître-verrier. Il serait arrivé vers Nice en 1860 et a été formé par le célèbre peintre verrier milanais Bertini (cf THUIN-CHAUDRON, Véronique. De la colline du château aux châteaux des collines, p. 218). Son but était la fabrication de vitraux d’art pour églises et appartements, verres décorés, céramique. Les spécialités de la maison alliaient les arts décoratifs et le vitrail à la mosaïque et la faïence. La Société porte le nom de Joseph Fassi et fils, le fils étant Barthélemy Léopold Raphaël, né en 1872. En 1901, après la mort de Joseph et Barthélemy, un employé de la société, Bertin, prend la suite.

      En 1921 le fils cadet de Joseph Fassi prend la relève, jusqu’à sa retraite en 1969 à 85 ans. Sous le nom de Fassi Cadet le travail de l’atelier se concentre sur les vitraux artistiques, d’art religieux, profane, héraldique, ancien, moderne et la restauration. L'entreprise continue à exister sous le nom de Ateliers Abaïdee.

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      peintre-verrier signature
    • Auteur :
      Serraire (1830 - )
      Serraire

      Entreprise de serrurerie industrielle, Nice, 2nd moitié du 19e siècle. L'entreprise est réputée pour ses innovations techniques concernant notamment les stores et fermetures. Elle a fourni notamment la structure métallique du restaurant la Rotonde (hôtel Bristol, Beaulieu-sur-Mer, 06) en 1899. Jean-Baptiste Serraire (né à La colle et mort à Nice le 31 août 1894 à l'âge de 82 ans) fonde la maison en 1830. Il est le fondateur d'une entreprise qui se maintient sur trois générations.

      Il a deux fils : avec son épouse Antoinette Baralis : Jacques et Fortuné. Jacques (né à Nice le 13 juin 1833 et mort dans cette ville le 11 mars 1907) devient un notable et occupe à plusieurs reprises les fonctions de conseiller municipal. Il participe avec d'autres à la publication d'un Traité de serrurerie et construction en fer en 1896. Outre la production ordinaire, l'entreprise fabrique de la serrurerie d'art en fer forgé et fer repoussé. D'après Charles Garnier, les travaux de Serraire "ne redoutent aucune comparaison". La maison est présente à l'exposition internationale de 1884 où elle obtient le grand diplôme d'honneur. Une rue de la ville, l'actuelle rue de Suisse, s'est appelée Jacques Serraire.

      Jacques et son épouse Agnes Pellegrin ont deux fils : Fortuné (Emile Louis) (né à Nice le 31 janvier 1835 et mort à Nice le 16 juin 1926) et Jacques Jean-Baptiste Joseph dit Baptistin (né à Peillon le 12 Mai 1862 et mort à Nice le 25-2-1930). L'entreprise est installée 20 rue d'Angleterre, une rue où la famille est propriétaire de plusieurs immeubles (aux N°16, 18 et 20). Les Serraire ont travaillé un moment en association avec Félix Gordolon (frère de son épouse). (Véronique Thuin)

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      serrurier attribution par source
    • Auteur :
      Levrot Vincent
      Levrot Vincent

      Architecte niçois. Vincent Levrot est né le 25 février 1837 à Nice, fils de Laurent Levrot cordonnier. Il obtient un diplôme à l'Université de Gênes, en 1856, et il s'installe d'abord comme géomètre à Nice avant l'annexion. Il travaille un temps pour l'architecte Victor Sabatier. Il devient professeur de dessin, succédant dans cet emploi au peintre Garracci dans la Nice française. Il est membre fondateur de la Société des Architectes des Alpes-Maritimes constituée en 1875. En 1878, il fait partie, avec Sébastien Marcel Biasini, François Brun et Albert Bérenger, du jury qui doit désigner les élèves architectes envoyés par la ville à l'exposition universelle. En 1881, il est nommé membre du conseil d'administration de l'Ecole Nationale d'Art Décoratif. En 1884, assistant au congrès international d'architecture, il fait adopter une motion qui demande la création de syndicats mixtes comprenant ouvriers, entrepreneurs, architectes et ingénieurs. Il se préoccupe de la condition des travailleurs du bâtiment. Il entre à la Société Centrale des architectes en 1889. Il habite 7 rue Gioffredo puis 19 rue Alberti en 1881 puis 60 rue Gioffredo dans l'immeuble qu'il a construit pour lui. Il meurt à Nice le 10 décembre 1911. Il a reçu les palmes académiques (1881). Il a formé l'architecte Louis Castel. Il est l'oncle de l'architecte Jules Febvre. (Véronique Thuin)

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      architecte (incertitude), attribution par source
    • Personnalité :
      Médecin Gaspard
      Médecin Gaspard

      Gaspard (Laurent Florian) Médecin est né le 22 septembre 1823 à Menton, fils du Monégasque Adrien Médecin et de Thérèse née Mattei. Il a épousé en premières noces Marie Marguerite Amélie Chauvin et en deuxièmes noces Thérèse Senequier. Maire de Menton, il est fait chevalier de la légion d'honneur en 1874, il est aussi député des Alpes-Maritimes et président du syndicat d'intérêt local de Nice. Il meurt, avec le titre de comte, dans sa villa de la rue Alberti le 22 avril 1892. Il est enterré au cimetière de Menton. (Véronique Thuin)

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      propriétaire attribution par source
    • Personnalité :
      Vermeulen Edmond
      Vermeulen Edmond

      Edmond (Prosper Léon) Vermeulen est né le 21 septembre 1882 à Cannes, fils d'Isidore Edouard, coupeur d'habits, et de son épouse Catherine née Dahou. Il épouse en 1922 Françoise Saurel dont il divorce l'année d'après. Il dirige l'hôtel de Rivoli avant de diriger l'hôtel Vendôme à Nice. Il meurt à Nice en 1947.

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      propriétaire attribution par source

Le bâtiment se compose d'une maison, de plan sensiblement rectangulaire, de deux niveaux sur sous-sol sur lequel est venu s'ajouter en 1925 quatre étages supplémentaires, dont le dernier en retiré. Une annexe a été élevée ultérieurement (date inconnue) dans l'angle nord-est du terrain ; elle accueille notamment actuellement la salle des petits déjeuners. La maison originelle est au centre de la parcelle formant l'angle de deux rues. Son portail ouvrait en bordure nord de la parcelle. A une date inconnue, deux bâtiments bas se sont élevés dans le jardin, en bordure des deux rues encadrant le jardin, pour accueillir des boutiques. L'accès de l'hôtel a délaissé le portail originel pour prendre place à l'angle des deux rues, sans doute dans les années 1920 si l'on prend en compte le style art déco de l'enseigne. Les façades de l'ensemble (maison originelle et surélévation) sont enduites. Le rez-de-chaussée est surélevé avec escalier de distribution intérieure reliant le vestibule du corridor desservant les pièces du rez-de-chaussée. La porte d'entrée ouvre sur la façade ouest, protégée par une marquise à la forme originale, rectangulaire avec deux pleins-cintres latéraux. Son style la fait relever du bâtiment originel. La façade principale est au sud, sur laquelle donnaient trois salons, deux d'entre eux étant actuellement divisés en chambres. Cette façade est agrémentée au rez-de-chaussée par un petit portique en arc-de-cercle dont le couvrement est soutenu par quatre colonnes doriques. Avant 1925, ce portique donnait accès au jardin grâce à un escalier extérieur en fer-à-cheval. L'intérêt du bâtiment réside notamment dans le fait que les façades de la maison originelle ont conservé leur décor (présent sur les façades sud, ouest et en retour de deux travées sur la façade nord). La maison possède un rare système de persiennes à galandage, permettant leur dissimulation en position ouverte dans l'épaisseur des murs gouttereaux. Cela permet de bénéficier d'un riche décor en haut relief en façade, toujours visible, et sans gêne pour le rabattage des volets. On ne connaît pas le volume de l'étage de comble de la villa originelle puisque la toiture a été démontée lors de la surélévation. Le plan annexé à la demande de permis de construire montrait l'étage de comble comme un étage de service et de logements pour domestiques. La surélévation aligne les travées avec fenêtres ou portes-fenêtres avec balconnets isolés. La surélévation reprend les avancées et retraits des travées de la maison originelle. Le dernier niveau est en retrait, derrière une balustrade. La toiture est recouverte de ciment amiante.

L'intérêt du bâtiment réside aussi dans la conservation d'une partie du décor intérieur de la maison originelle, notamment au niveau des couloirs, du grand escalier et du salon donnant sur le portique arrondi. D'autres décors de plafonds demeurent notamment sous des faux-plafonds réalisés lors du cloisonnement des espaces (témoignage oral). Le rez-de-chaussée offre notamment un salon dont le décor néo-baroque et les tonalités semblent conservés dans leur totalité. Il présente notamment des rehauts dorés et un décor peint venant en accompagnement des ornements en stuc : décor sur lambris, dans le cadre central du plafond autour de la rosace, en cartouches...L'escalier principal desservant les deux niveaux principaux de la maison demeure. Tournant à retours avec jour, il est éclairé par une verrière avec lumière en deuxième jour depuis une terrasse sommant le volume de l'escalier au nord. La cage d'escalier possède aussi une baie avec verres peints de style néo-renaissance au monogramme du commanditaire (G. Médecin). En plus de l'ascenseur installé en 1925, les étages de la surélévation sont accessibles à partir de l'ancien escalier de service desservant les combles et qui a été réuni au palier du grand escalier. Les plans de la surélévation montrent des chambres possédant toute une salle d'eau, les salles-de-bains et water-closets se trouvant sur les paliers.

  • Murs
    • enduit
  • Toits
    ciment amiante en couverture
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 5 étages carrés
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Escaliers
    • escalier demi-hors-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie, suspendu
    • escalier intérieur : escalier droit
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Techniques
    • ferronnerie
    • décor stuqué
    • maçonnerie
    • peinture
    • vitrail
  • Représentations
    • ornement végétal, cygne, faune
  • Précision représentations

    Marquise et rampe de l'escalier principal avec motifs de demi-feuilles, rinceaux et pistils à graines.

    Décor des maçonneries de façade : séparation des travées par des pilastres à chapiteaux composites, séparation des niveaux par des cordons, bandeaux avec mufles de lion et épais rinceaux de feuillage, présence de patères dans les écoinçons des baies plein-cintre du rez-de-chaussée, tête d'Hermès dans fronton triangulaire à ressauts à base interrompue des baies du 1er étage, corniche sommitale d'origine avec modillons...

    Décor intérieur (couloirs, escalier principal, salon) : frises d'oves, guirlandes de fleurs, de feuillages sur consoles, faisceaux, coquilles, vases feuris...

    Peinture de fleurs et jeux d'angelots dans le salon du rez-de-chaussée.

    Verres colorés de la baie de l'escalier : décor de rameaux d'olivier, vase fleuri, têtes de faunes, Cygnes...

Z Nice repérage

  • 01-DENO maison-hôtel
  • 02-CHRONO 1860-1919
  • 03-CARACTERE éclectique
  • 04-TENDANCES néo-classique
  • 05-INTEGRITE réduite
  • 06-VISIBILITE limitée
  • 07-SITUATION isolé
  • 08-IMPLANTATION sur jardin ou parc
  • 09-MATERIAUX non applicable
  • 10-MACONNERIE enduit lisse
  • 11-SUR FACADE corps en avancée
  • 12-ENTREE marquise
  • 13-TOIT
  • 14-COMBLES
  • 15-DOME
  • 16-BELVEDERE non applicable
  • 17-FRISE frise en relief
  • 18-CERAMIQUE
  • 19-MATERIEUX GROS OEUVRE
  • 20-SITE
  • 21-LOTISSEMENT
  • 22-PERGOLA non
  • 23-JOINTS
  • 24-CLOTURES oui
  • 25-AGREMENTS oui
  • 26-COUR ANGLAISE non
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    escalier, salon, couloir, élévation

Villa originelle ayant conservé un riche décor notamment dans un salon du rez-de-chaussée et dans l'escalier principal.

Documents d'archives

  • Nice, demande de permis pour un branchement d'égout [Villa Médecin, rue Alberti], par Vincent Levrot architecte, 1881. Archives communales, Nice : 2T75 109.

Bibliographie

  • THUIN-CHAUDRON, Véronique. Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914, Nice : Serre, 2009, 560 p.

    p. 220 et 224

Documents figurés

  • Plan de la ville de Nice avec le tracé des alignements projetés, dressé par M. François Aune architecte, 1882. / Plan en couleur. Nice : édition Librairie Visconti. Paris : gravure et impression Erhard, 1882. 87 x 59 cm. BMVR de Nice - bibliothèque Romain Gary : G 512 / FBPN 4.

  • Propriété de Mr. Vermeulen [Hôtel Vendôme, Nice], projet de transformation et de surélévation, rez-de-chaussée. / Tirage de plan avec compléments au crayon gras, par Charles et Marcel Dalmas, juin 1925. Archives communales, Nice : 2T408 619.

  • Propriété de Mr. Vermeulen [Hôtel Vendôme, Nice], projet de transformation et de surélévation, 1er étage. / Tirage de plan avec compléments au crayon gras, par Charles et Marcel Dalmas, juin 1925. Archives communales, Nice : 2T408 619.

  • Propriété de Mr. Vermeulen [Hôtel Vendôme, Nice], projet de transformation et de surélévation, 2ème étage [ancien étage de comble, repris]. / Tirage de plan avec compléments au crayon gras, par Charles et Marcel Dalmas, juin 1925. Archives communales, Nice : 2T408 619.

  • Propriété de Mr. Vermeulen [Hôtel Vendôme, Nice], projet de transformation et de surélévation, 3ème et 4ème étages. / Tirage de plan par Charles et Marcel Dalmas, juin 1925. Archives communales, Nice : 2T408 619.

Date d'enquête 2022 ; Date(s) de rédaction 2022
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Prédal Christophe
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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Thuin-Chaudron Véronique
Thuin-Chaudron Véronique

Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).

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