• inventaire topographique
le mobilier de l'église paroissiale de la Transfiguration puis Sainte-Sévère, église paroissiale de la Transfiguration puis Sainte-Sévère
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays Asses, Verdon, Vaïre, Var
  • Parties constituantes non étudiées
    autel, degré d'autel, gradin d'autel, tabernacle, fonts baptismaux, couvercle des fonts baptismaux, bénitier, lutrin, clôture de chapelle, banc de fidèles, chaise d'église, prie-Dieu, stalle, meuble de sacristie, chandelier pascal, statue, croix d'autel, chandelier d'autel, pupitre-thabor, vase d'autel, plateau à burettes, burette, ostensoir, calice, patène, lampe de sanctuaire, encensoir, navette à encens, seau à eau bénite, plat de quête, bannière de procession, brancard de procession, croix de procession, lanterne de procession, ex-voto, panneaux commémoratifs, chandelier d'église, éteignoir, nappe d'autel, tour d'autel, conopée, pale, manuterge, drap mortuaire, amicts, aube, chape, chasuble, étole, manipule, voile de calice, bourse de corporal, vase à fleurs, orgue, chaise d'église, calice, ostensoir, plat de quête

Une chaise d'église, un calice, un ostensoir et deux plats de quête, protégés au titre des Monuments Historiques, n'étaient pas présents dans l'église lors de l'étude. Le calice aurait été volé en 1994.

  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Manufacture Giscard
      Manufacture Giscard

      L'entreprise Giscard est créé en 1855 par Jean-Baptiste Giscard (1824-1906) qui avait été contremaître chez Virebent. Son fils Bernard (1851-1926) et son petit-fils Henri (1895-1985) continuent l'entreprise, tout en étant des artistes de talent. Le dernier fut professeur à l'Ecole des Beaux-Arts de Toulouse de 1937 à 1965 et membre de la Société des Artistes Français. Il s'est remarié avec une des filles de Gaston Virebent. Le dernier Giscard à la tête de l'entreprise fut Joseph Giscard [1931-2005]. La manufacture fonctionna jusqu’en 2005, à la mort de Joseph Giscard. Il a légué une partie de la manufacture et le contenu des ateliers à la mairie de Toulouse.

      La fabrique Giscard, dans sa totalité, a été inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques le 13 mars 1998.

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    • Auteur :
      Favier Frères (branche lyonnaise) (1824 - 1976)
      Favier Frères (branche lyonnaise)

      Famille d'orfèvres active à Lyon, premier poinçon insculpé entre 1824 et 1827, biffé en 1976. Leur poinçon n'a pas changé entre ces deux dates : losange horizontal chargé d'un soleil et encadré par deux F.

      La première génération, fondatrice, est celle des frères Jean-Marie François Henri (dit François) Favier, André-Michel Favier, Pierre-Henry Favier et Joseph Favier. Les frères travaillent ensemble à Lyon de 1827 environ jusqu'au départ de Pierre-Henry pour Paris en 1847 (ce dernier insculpe alors un nouveau poinçon à Paris).

      A partir de 1860, la raison sociale devient A. Favier Neveux, puis en 1903 Charles Favier et Cie avec sous-titre A. Favier Neveux, puis en 1927 Charles Favier et Cie SARL, puis en 1972 Orfèvrerie et bronzes Charles Favier.

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      orfèvre

Documents d'archives

  • Direction générale des domaines. Inventaire des biens dépendant de la fabrique paroissiale de Villars-Colmars dressé en exécution de l'art. 3 de la loi du 9 décembre 1905. 30 avril 1905. Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, Digne-les-Bains : 1 V 65.

Annexes

  • Liste du mobilier de l'église paroissiale de la Transfiguration puis Sainte-Sévère de Villars-Colmars
Date d'enquête 2010 ; Date(s) de rédaction 2010