Dossier d’œuvre architecture IA04002365 | Réalisé par
  • inventaire topographique
hôtel de voyageurs dit Alp-Hôtel
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays Asses, Verdon, Vaïre, Var - Allos-Colmars
  • Commune Beauvezer
  • Lieu-dit Coulet
  • Adresse R.D.908
  • Cadastre 2012 C1 197, 723, 726, 728, 729 1315, 1316, 1318, 1342-1345  ; 1827 C2 891, 892, 893
  • Dénominations
    hôtel de voyageurs
  • Appellations
    Alp-Hôtel
  • Dossier dont ce dossier est partie constituante
  • Parties constituantes non étudiées
    parc, lac de jardin, tennis, garage de réparation automobile, centrale hydroélectrique, garage

Historique

L’Alp-hôtel est construit sur une parcelle d’environ 1,2 hectare située en fond de vallée, à proximité du Verdon. En 1827, le terrain qualifié de terre labourable sur la matrice cadastrale appartient à Antoine et Jean Baptiste Jaume (hoir). En 1898, le nouveau propriétaire François Trotabas, fils de l’industriel drapier Louis Trotabas, est propriétaire d’un bâtiment comptant treize ouvertures qui est une ancienne draperie construite en 1868 par Dominique Giraud, tisserand à Beauvezer. En 1903, François Trotabas agrandit le bâtiment existant par l’ajout d’un foulon, puis fait construire en 1906 un nouveau bâtiment qu’il agrandit en 1907. Bien que l'état de section qualifie le bâtiment de maison, il pourrait déjà s’agir de l’extension de l’aile Est destinée à devenir l’hôtel. Ce n’est qu’en 1911 que l’édifice apparaît en tant qu’hôtel sur la matrice cadastrale. L'architecte en charge du projet est Philippon, domicilié à Digne. Dans le même temps François Trotabas fait construire un nouveau foulon. Peu après son achèvement, l’hôtel est donné en gérance entre 1906 et 1914 à deux associés : le roumain Kovacs et l’autrichien Rodolphe Shipper propriétaire du Café de Paris à Monaco, avant d’être mis sous séquestre par la cour d’appel d’Aix le 17 novembre 1914. Dans l'entre-deux-guerres un petit bâtiment est construit au nord, à l'extérieur de l'enceinte de l'hôtel pour abriter une turbine destinée à fournir de l'électricité et un vivier à truites. L'ancien foulon est transformé en annexe de l'hôtel, dans les années 1920, et agrandi au milieu du XXe siècle par la construction d'une aile destinée à abriter des garages. Durant la Seconde Guerre mondiale, l'établissement qui appartient désormais aux enfants de François Trotabas : Edmond et Gratienne, subit quelques dégâts, puis sombre progressivement dans l’oubli au cours de la seconde moitié du 20e siècle.

La draperie

La draperie a un plan rectangulaire avec un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé, deux étages carrés et un étage de comble. Les murs construits en maçonnerie de moellon et de grès sont enduits. La toiture à longs pans avec pignons couverts, soulignée par une génoise, est couverte en tuile plate. La façade sud rythmée par sept travées de fenêtres est régulière. L’entrée principale n’est pas localisée et la distribution intérieure inconnue.

L’ancien foulon accolé au mur pignon Est de la draperie comprend également quatre niveaux. La toiture à longs pans avec pignons couverts et avant-toits, avec une pente supérieure à 30%, est couverte en tuile plate. La façade sud comprend trois travées régulières de fenêtres ; la façade Est, sur le mur pignon, deux travées régulières. La porte d'entrée désaxée du côté ouest est située à l'étage de soubassement, sur la façade sud.

L'hôtel de voyageur dit Alp' Hôtel.

Lors du réaménagement du bâtiment en hôtel de voyageurs, deux auvents bordés d'un lambrequin en zinc ont été ajoutés à l'avant des fenêtres des étages, sur la travée centrale et Est de la façade sud. Une enseigne peinte portant le nom de l'hôtel dans un cartouche a été disposée dans la partie haute du pignon Est et de faux chaînages peints, ajoutés sur la façade sud. La distribution intérieure n'est pas connue.

Le second bâtiment adossé au mur pignon Est de l'hôtel a un plan rectangulaire avec deux niveaux : un étage de soubassement et un rez-de-chaussée surélevé en retrait sur la façade sud. Le toit à longs pans avec pignons couverts et croupes, souligné par un avant toit est couvert en tuile plate. La distribution de l’étage de soubassement n’est pas connue mais il est probable que la cuisine et des réserves y aient été installées. Le rez-de-chaussée abritait la salle de restaurant éclairée par de larges baies vitrées et agrémentée d'une vaste terrasse exposée au sud, entièrement protégée par un store escamotable. Celle-ci était bordée d'un garde-corps en bois. Un escalier extérieur droit, en bois, perpendiculaire à la terrasse, permettait d'accéder au restaurant depuis le jardin.

L’hôtel agrandi vers 1910 intègre dans son volume général : l'ancienne draperie, l'hôtel et la salle de restaurant. Bien que l'ancienne draperie ait été divisée en chambres, le bâtiment a conservé son volume, ses façades nues et sa toiture, d'origine. En revanche, le reste de l'édifice à nouveau agrandi a subie d'importants remaniements. La salle de restaurant a été rehaussée de deux niveaux : un étage carré et un étage de comble, et une nouvelle aile a été ajoutée à l'Est, dans son prolongement. La toiture du nouveau bâtiment hôtelier a été entièrement reconstruite et réorganisée pour créer un bâtiment homogène constitué d'un corps central encadré par deux ailes avec façades sur murs pignons ; le but étant de donner l'image d'un établissement luxueux au travers d'une volumétrie à peu près symétrique traité dans un style à la fois moderne et classique, à l'image de certains palaces construits sur la Côte d'Azur, au début du XXe siècle.

Dans sa forme actuelle, l'hôtel a un plan en U avec quatre niveaux : un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage de comble. Les façades sont couvertes d'un enduit lisse, blanc. Les deux ailes en avant-corps présentent côté sud des façades et des toitures différenciées. L'aile ouest a trois travées de fenêtres alors que l'aile Est n'en a que deux. La première est couverte par une toiture à longs pans avec pignons couverts supportée par une charpente à ferme débordante avec jambettes et aisseliers courbes ; la seconde, par une toiture à longs pans sur aisseliers avec une demi-croupe et pignons couverts. L'aile ouest constitue aussi l'axe de symétrie du bâtiment général. Sa façade sud, ordonnancée, présente un axe de symétrie figuré par la présence d'un balcon à l'étage, surmonté du nom de l'hôtel inscrit en lettres capitales, puis d'une baie symétrique à triples vantaux. La façade sud de l'aile Est, également ordonnancée, présente un axe de symétrie plus discret par la présence d'un balcon plus étroit au niveau de l'étage de comble. Le corps central est couvert par un toit à longs pans sur aisseliers. Sa façade sud à travées régulières est surmontée de lucarnes coiffées de toits à longs pans avec demi-croupe qui éclairaient les chambres situées dans le comble. Le rez-de-chaussée abrite en façade une longue galerie faisant office de véranda, éclairée par de larges baies vitrées séparées par des piliers. Celle-ci dessert un salon aménagé dans la partie nord et la salle de restaurant, dans l'aile Est. A l'étage, les chambres éclairées par des portes fenêtres ouvrent sur un balcon filant, en bois. Tous les balcons à l'exception de celui du premier étage de l'avant-corps central sont bordés de garde-corps en bois avec un barreaudage à croisillons. La façade Est, ordonnancée, est couverte par une demi-croupe. Le rez-de-chaussée surélevé où est aménagée la salle de restaurant se prolongeait sous une grande loggia rythmée de paires de poteaux en bois. Les chambres situées à l'étage, éclairées par des portes fenêtres, ouvraient sur un balcon filant, en bois, identique à ceux de la façade sud. Au niveau du comble, un second balcon agrémentait la chambre située dans l'axe de la façade. Plus tard, Cette loggia a été vitrée et transformée en véranda. La façade nord, sur cour de service, n'est pas traitée.

L'entrée principale de l'hôtel située au rez-de-chaussée, sur l'avant corps central, était signalée par la présence d'un porche précédé d'un escalier symétrique, parallèle à la façade. La porte d'entrée ouvrait sur un grand vestibule équipé d'une loge et d'une réception où était situé un escalier monumental qui menait aux étages. Celui-ci, en bois, avec une volée droite suivie d'un grand repos puis de deux escaliers indépendants à volées tournantes sans jour qui donnaient accès aux chambres situées dans le bâtiment ouest (ancienne draperie) et Est. Un troisième escalier tournant à retours sans jour donnait accès aux chambres situées dans la partie Est du nouvel hôtel. Ces dernières desservies par un couloir étaient hiérarchisées en fonction des étages. Celles du premier avec une possibilité de moduler leurs surfaces par des portes intérieure étaient équipées de salles de bains avec baignoires et de w-c. privatifs, celles de l'étage de comble, par de simples lavabos et de w-c. collectifs. Depuis le vestibule, un second escalier droit donnait accès à un bar aménagé dans l'étage de soubassement. Là se trouvaient réunies les principales pièces de services : celliers, buanderie et caves. La salle de restaurant avec sa véranda qui occupait toute la partie Est du rez-de-chaussée surélevé était agrémentée d'une cheminée monumentale. Les pièces de réceptions, les couloirs et certaines chambres étaient ornés de décors peints avec des motifs issus du monde végétal, d’inspiration Art Nouveau : les frises de la galerie et des chambres étaient composées d'une alternance de fleurs et de feuilles, le plafond de la salle à manger était entièrement orné de compositions florales stylisées, et certains murs, d'une frise de panneaux à mi-hauteur ayant pour motif des boucliers, surmontée d’une petite frise de panneaux rectangulaires, en faux bois, encadrés de fleurs. Les couloirs étaient ornés d’une frise de grands panneaux rectangulaires en grisaille, surmontée d’un liseré vert ponctué de fleurs stylisées. Deux panneaux peints en 1928, signés A. Monzoni (Nice), représentant des paysages locaux dans un style Art Deco, ornaient les trumeaux de la véranda. Enfin, le vestibule de l’entrée principale était décoré d’un faux lambris surmonté de panneaux peints représentant des couples d’oiseaux environnés de fleurs, sur fond noir. Le carrelage des pièces de réception, en ciment, contribuait au décor général. Un four à bois isolé destiné à la cuisson du pain était situé dans la cour de service, au nord de l’hôtel.

Les dépendances et le parc de l'hôtel

Le parc avec une superficie d’environ un hectare était planté d’arbres régionaux et exotiques (cèdre). Une terrasse en terre-plein aménagée à l’avant de la façade sud était ombragée par une double haie de feuillus et ornée de plates-bandes et de jardinières fleuries. Le portail situé en bordure de route était constitué de piliers en pierre de taille coiffés de pyramidons surmontés de boulets. Deux fabriques de jardin : un kiosque couvert d’un toit en pavillon ainsi qu'un portique, en bois, et des bancs, étaient mis à la disposition des clients. A cela s’ajoutaient quelques aménagements destinés aux loisirs tels qu’un tennis en terre battue situé dans la partie centrale du parc, des agrès, et un lac artificiel pour les promenades en canoë, alimenté par l’ancienne arrivée d’eau de la draperie. Ce dernier était aménagé sur un terrain situé en bordure du Verdon, de l’autre côté de la route départementale.

L’annexe de l'hôtel a un plan rectangulaire avec un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage de comble. Les murs en maçonnerie sont enduits. La toiture à longs pans avec avant-toit est couverte en tuile plate. L’étage de soubassement abrite une remise ; le rez-de-chaussée surélevé où l’on accède par un escalier extérieur, droit, un petit vestibule avec un escalier suspendu, tournant avec jour, et des chambres avec salles de bains desservies par un couloir central avec w-c. en fond ; l’étage carré, des chambres avec coin toilette ; l’étage de comble, des chambres mansardées réservées aux chauffeurs et des caisses à eau.

Le garage mécanique a un plan rectangulaire en rez-de-chaussée avec un toit à un pan avec avant-toit, couvert en métal (?). Celui-ci abrite également cinq garages accessibles par des portes à double vantaux surmontées d’impostes.

Le bâtiment en rez-de-chaussée qui abrite la turbine électrique et un vivier à truites a un plan rectangulaire avec des murs construits en parpaing. Il est couvert par un toit à un pan avec avant-toit, en tôle ondulée.

En 1868, Dominique Giraud, tisserand à Beauvezer, fait construire sur d'anciens terrains agricoles, une draperie. François Trotabas, fils d'industriel, l'acquiert en 1898 et l'agrandit par l'adjonction d'un foulon (voir dossier usine textile dite draperie Giraud : IA04000470). La création de l'Alp-hôtel peut être datée de 1906 par le réaménagement du foulon en hôtel. Ce dernier est considérablement agrandi l'année suivante par l'architecte dignois Philippon. Le nom de l'architecte a été donné oralement par l'ancien propriétaire. Dans l'entre-deux-guerres, un second bâtiment en annexe de l'hôtel, associé à un garage de réparation automobile avec des remises à automobiles, est construit dans le parc, puis un troisième pour abriter une turbine électrique et un vivier. Au cours de la seconde moitié du 20e siècle, l'établissement décline puis ferme définitivement.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 19e siècle , daté par source
    • Principale : 4e quart 19e siècle , daté par source
    • Principale : 1er quart 20e siècle , daté par tradition orale , (incertitude)
    • Principale : 2e quart 20e siècle , daté par tradition orale , (incertitude)
  • Dates
    • 1898, daté par source
    • 1903, daté par source
    • 1906, daté par tradition orale
    • 1907, daté par tradition orale
  • Auteur(s)
  • Murs
    • calcaire moellon enduit (incertitude)
    • grès moellon enduit (incertitude)
    • béton parpaing de béton enduit
  • Toits
    ciment amiante en couverture, fer en couverture, tôle ondulée (incertitude)
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 2 étages carrés, étage de comble
  • Couvrements
    • dalle de béton
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée, élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans demi-croupe
    • toit à un pan pignon couvert
    • toit à un pan
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour en charpente
    • escalier dans-oeuvre : escalier droit en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours suspendu
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit
  • Jardins
    arbre isolé, planche de jardin
  • Techniques
    • peinture
  • Représentations
    • feuillage, fleur, oiseau, bouclier, feuille, paysage
  • Précision représentations

    Les frises de la galerie et des chambres étaient composées d'une alternance de fleurs et de feuilles, le plafond de la salle à manger était entièrement orné de compositions florales stylisées, et les murs, d'une frise de panneaux à mi-hauteur ayant pour motif des boucliers, surmontée d’une petite frise de panneaux rectangulaires, en faux bois, encadrés de fleurs. Les couloirs étaient ornés d’une frise de grands panneaux rectangulaires en grisaille, surmontée d’un liseré vert ponctué de fleurs stylisées. Deux panneaux peints, signés, représentant des paysages locaux ornaient les trumeaux de la véranda. Enfin, le vestibule de l’entrée principale était décoré d’un faux lambris surmonté de panneaux peints représentant des couples d’oiseaux environnés de fleurs, sur fond noir.

  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    hôtel de voyageurs
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Documents figurés

  • Beauvezer.- L'Alp Hôtel / Carte postale, Georges-Paul-Joseph Darasse (photographe), P. Ruat (éditeur), [vers 1908]. Collection particulière

  • Vallée du Verdon. Beauvezer (altitude 1140) - L Alp-Hôtel (façade sud). / Carte postale, Jean Fournier (photographe), [vers 1911]. Collection particulière

  • Beauvezer - Alp-Hôtel et Annexe. / Carte postale, M.M. (photographe ?), [vers 1908]. Collection particulière

  • L'Alp Hôtel sous la neige. - Ouverture de la Route par le chasse-neige [vers 1908. Vue d'ensemble depuis le sud] / Carte postale, Georges-Paul-Joseph Darasse (photographe), P. Ruat (éditeur), [vers 1908]. Collection particulière

  • Beauvezer. - L'Alp Hôtel et son lac. / Carte postale, auteur inconnu, [vers 1908]. Collection particulière

  • 4. Haute Vallée du Verdon. Beauvezer (B.-A.). Station estivale, altitude 1150m. L'Alp Hôtel, façade sur le parc. / Carte postale, auteur inconnu, [vers 1911]. Collection particulière

  • [Vue en perspective de l'hôtel avant la construction de la véranda, vers 1910.] / Photographie ancienne noir et blanc, Henri Ferrand (photographe), [vers 1910]. Collection particulière

  • Basses-Alpes. 1530 Vallée du Verdon - Beauvezer (1150). Station estivale. L'Alp Hôtel. / Carte postale, V. Fournier (éditeur à Gap), [vers 1911]. Collection particulière

  • 11. Route des Alpes - Beauvezer (1.150m) - L'Alp Hôtel. L'entrée principale. / Carte postale, auteur inconnu, [vers 1911]. collection particulière

  • Basses-Alpes. 1530 Vallée du Verdon - Beauvezer (1150). Station estivale. L'Alp Hôtel. / Carte postale, V. Fournier (éditeur à Gap), [vers 1911]. Collection particulière

  • Alp Hôtel - Beauvezer, 1200m (B.-A.) - Tout le confort. / Carte postale, Vial (photographe à Digne), [vers 1911]. Collection particulière

  • 25. Haute Vallée du Verdon. Beauvezer (B.-A.) - Station Estivale, altitude 1150m. Le Salon - Alp-Hôtel. / carte postale, auteur inconnu [vers 1911]. Collection particulière.

  • 26. Haute Vallée du Verdon. Beauvezer (B.-A.) - Station Estivale, altitude 1150m. La Grande Salle à Manger - Alp-Hôtel. / Carte postale, auteur inconnu, [vers 1911]. Collection particulière.

  • 24. Haute Vallée du Verdon. Beauvezer (B.-A.) - Station Estivale, altitude 1150m. Le hall de l'Alp-Hôtel. / Carte postale, auteur inconnu, [vers 1911]. Collection particulière

  • Beauvezer B. Alpes), alt. 1150m - Station Estivale. Le tennis dans le parc de l'Alp-Hôtel / Carte postale, auteur inconnu, [vers 1911]. Collection particulière.

Date d'enquête 2010 ; Date(s) de rédaction 2012
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général