Ce bénitier pourrait dater de la 2e moitié du 17e siècle, soit de la reconstruction de l'église. Il semble que le socle ait été initialement partiellement enterré. Il semble être mentionné dans la visite pastorale de 1712.
Dans la visite pastorale de 1858, il est écrit que le bénitier est "en pierre vive et propre".