Liste du mobilier étudié
- tabernacle, bois peint et doré, 1682, 4e quart 17e siècle
- tableau : saint Nicolas et saint Christophe avec la sainte Famille, peinture sur toile, 1672, 3e quart 17e siècle
- tableau : Donation du Rosaire, Mège, peinture sur toile, 1921, 1er quart 19e siècle
- statue : Enfant Jésus, carton pâte peint et doré, 19e siècle
- croix d’autel, cuivre, 18e siècle
- croix de procession, cuivre, bronze, début 19e siècle
- statue-reliquaire : Vierge à l’Enfant, carton pâte peint et doré, 2e quart 19e siècle
- buste-reliquaire : saint Nicolas, bois peint et doré, 18e siècle
- nappe d’autel, coton, 4e quart 19e siècle
- cloche d’église, bronze, G. Reynaud, fondeur, 1778, 4e quart 18e siècle
Liste du mobilier non étudié
- maître-autel, gradins d’autel (2), tabernacle, marbre, 3e quart 19e siècle
- autel, gradin d’autel, bois peint, 20e siècle
- autel, bois, milieu 20e siècle
- fonts baptismaux, pierre, 19e siècle
- bénitier, marbre, 19e siècle
- clôture de chœur, fer forgé, 19e siècle
- placard des fonts baptismaux, noyer, limite 19e siècle 20 siècle
- lutrin, bois, 20e siècle
- tronc, bois peint, 19e siècle
- bancs de fidèles (15), bois, 20e siècle
- chaises d’église (2), bois, 20e siècle
- fauteuil de célébrant, bois, 20e siècle
- tabourets d’église (2, paire), bois, 20e siècle
- meuble de sacristie, noyer, limite 19e siècle 20e siècle
- socles (5), bois peint, 20e siècle
- statues (3) : Sacré Cœur de Jésus ; saint François ; Jeanne d’Arc, plâtre peint, 20e siècle
- statue (petite nature) : Vierge à l’Enfant, plâtre peint, 19e siècle
- statue (statuette) : saint Jean-Baptiste, plâtre peint, début 20e siècle
- tableau : Vierge Marie, peinture sur toile, fin 19e siècle
- tableau : saint Matthieu, peinture sur bois, Angela Baggi, limite 20e siècle 21e siècle
- chromolithographies (3) : Sacré Cœur de la Vierge ; Sacré Cœur de Jésus ; Vierge en majesté et les âmes du Purgatoire, 20e siècle
- brancards de procession (2), bois, 19e siècle 20e siècle
- dais de procession, bois peint, 19e siècle
- lustre d’église, métal, verre, 19e siècle
- croix d’autel, laiton, 19e siècle
- chandeliers d’autel (10, 2 paires, 6 identiques), laiton, fin 19e siècle
- clochette d’autel, bronze, limite 19e siècle 20e siècle
- pupitre d’autel, bois, 20e siècle
- pupitre-thabor, métal doré, début 20e siècle
- vases d’autel (2, dépareillés), porcelaine, 20e siècle
- burettes (2, paire), verre, 20e siècle
- ensemble calice, patène, inox, 3e quart 20e siècle
- ostensoir, métal doré, verroterie, fin 19e siècle
- lampe de sanctuaire, métal, verre, 20e siècle
- encensoir, bronze argenté, 20e siècle
- goupillon, bronze argenté, 20e siècle
- navette à encens, bronze argenté, 20e siècle
- bannière de procession (fragments) : Assomption de la Vierge, soie, peinture sur toile, limite 19e siècle 20e siècle
- hampe de procession, métal peint, 20e siècle
- chemin de croix (14 stations), gravure, Turgis éditeur, 20e siècle
- croix, plâtre peint, 20e siècle
- croix, bois, métal, fin 20e siècle
- panneau de dévotion : sainte Rita, plâtre peint, 20e siècle
- couronnes de statue (2), métal, verroterie, 19e siècle
- plaque commémorative, marbre, Sadoul marbrier à Nice, début 20e siècle
- chandelier d’église à 5 branches (4, identiques), métal doré, début 20e siècle
- nappes d’autel (10), coton, 19e siècle, 20e siècle
- tour d’autel, coton, 20e siècle
- bourses de corporal (2), soie, 20e siècle
- vases à fleurs (6, dépareillés), verre, 20e siècle
Maison Turgis : imprimeur-éditeur parisien, spécialisée dans les images pieuses ; dates d'activité : vers 1820-1923.
Entreprise fondée vers 1820 par Jean-Baptiste Turgis ; reprise à sa mort, en 1825, par son fils Pierre Louis Auguste Turgis dont l'épouse reprend l'entreprise à la mort de Pierre Louis Auguste (Turgis Veuve ou Turgis Vve sur les estampes). En 1855, les deux fils de la veuve Turgis Almire Auguste Turgis Aîné et Louis-Auguste Turgis Jeune s'associent un temps, mais très vite c'est Turgis Jeune qui prend seul la direction (Turgis Jeune sur les estampes). Enfin, en 1887, ce sont les deux fils de Louis (Turgis L. et Fils) qui prennent la suite et deviennent, en 1896, "éditeurs pontificaux". La maison ferme en 1923.
Chaque changement de propriétaire est l'occasion d'un déménagement : Jean-Baptiste puis son fils sont installés rue Saint-Jacques, la veuve Turgis fait construire rue Serpente, Louis, rue des Ecoles (il crée également une succursale à New-York), les frères Turgis, rue Saint-Placide.