Dossier d’œuvre architecture IA06004560 | Réalisé par
Prédal Christophe (Rédacteur)
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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Thuin-Chaudron Véronique (Rédacteur)
Thuin-Chaudron Véronique

Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).

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  • recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
maison de villégiature (villa balnéaire) dite Château d'Azur, actuellement immeuble
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Ville de Nice
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Nice - Nice
  • Commune Nice
  • Lieu-dit Gairaut
  • Adresse 33 rue Virgile Neal
  • Cadastre 2023 EY 0014 Protection au titre du PLU n°64.

La propriété se trouve sur d'anciennes terres dépendant du domaine de Orestis de Châteauneuf. Cette famille vend en 1882 à l'ingénieur de la compagnie des eaux, Auguste Duplay, qui revend, avec une construction, le 8 juin 1900 au Néerlandais Richard Frédéric Hendrick Mosselman pour 60 000 frs. Ce dernier complète les constructions de ce que l'on appelle désormais la villa Les Bambous, dans un domaine de plus de 7 hectares. Les héritiers Mosselman vendent le 3 septembre 1924 pour 670 000 frs la propriété à la Société Civile Immobilière franco-anglo-américaine, au capital de un million de francs, et dont le siège est à Neuilly-sur-Seine. Cette société est formée de Virgil Neal qui se présente comme chimiste, de William Bernard Vause, magistrat de Brooklyn et de Tokalon Limited, société anglaise par actions à responsabilité limitée, créée en 1924, qui a son siège à Londres, et dont Harry Holmes est l'administrateur. Dans les médias, seul l'Etatsunien Virgil Neal est mentionné comme propriétaire du domaine.

La villa Les Bambous (dont l'emplacement exact est inconnu) est démolie. Le Château d'Azur est construit par les architectes René Gaujoin et Raphël Argentino (plans de janvier 1925). L'architecte Adrien Rey, auquel on attribue souvent la paternité du château, n'intervient en réalité qu'à partir de 1927 pour des travaux de maintenance sur le château et les autres bâtiments du domaine.

Le choix de l'emplacement, sur les hauteurs de Gairaut, garantit un panorama d'exception sur la ville et la mer. L'aménagement intérieur est confié au décorateur parisien René Boyer. Le journal local, L'Eclaireur du dimanche, en fait une présentation dans son numéro du 1er août 1926. Certaines pièces y sont décrites, comme le grand salon : "le grand salon dont les lambris ivoires sont rehaussés de filets d'un rouge adouci réunit un ensemble rare de meubles du XVIIIème siècle. Un petit salon, un fumoir offrent tout le confort et l'agréable sobriété du style moderne anglais". La salle-à-manger est de style empire "très pur" et ses murs sont revêtus de marbre vert. Son plafond présente une scène mythologique. Ses meubles sont en acajou. Elle est éclairée par une rampe lumineuse. Le bureau de travail de M. Neal est aussi de style Empire. La décoration intérieure du château est inspirée pour une large part du style moderne anglais et on trouve des pièces de style Louis XV et de style Louis XVI. Le peintre Fischer (Paul Auguste ?) réalise des fresques. D'autres sont l'oeuvre du peintre René Pastorini. Une verrière monumentale serait l'oeuvre des frères Daum. Le propriétaire s'est doté d'armoiries de fantaisie. Devant le château il place un jardin à la française et sur le côté est, un jardin à l'italienne et un jardin japonais. Le parc comporte des tennis, un jeu de croquet et une piscine est prévue. De fausses ruines avec bassins et cascades l'agrémentent. Dans la propriété, on trouve à l'entrée un pavillon de concierge, un garage pour six voitures avec atelier attenant, un laboratoire, une serre de 400 mètres carrés chauffée par une chaudière en sous-sol, une étable avec laiterie, un poulailler. On écrit dans la presse que le château à couté 30 millions de francs (Paris-Midi, 25 mars 1930).

En 1936, la Société Tokalon devient seule propriétaire du Château d'Azur. Après la mort de Virgil Neal, en 1949, un nouveau montage a lieu par constitution d'une Société civile particulière ayant pour but l'exploitation du domaine du Château d'Azur, dénommée la Société immobilière du Château d'Azur. Son capital social est de 14 millions de francs, avec la grosse majorité des parts détenue par la Société Tokalon. Le domaine est mis en vente pour cinquante millions. En 1955 une partie du parc est lotie et le château est divisé en appartements. Des réalisateurs le choisissent pour le tournage de films comme en 1928 Roger Lion pour La Venenosa. Patrick Modiano s'inspire également de l'histoire de Virgil Neal et du Château d'Azur dans son roman Dimanche d'août.

  • Période(s)
    • Principale : 2e quart 20e siècle
  • Dates
    • 1925, daté par source
  • Auteur(s)
    • Personnalité :
      Neal Virgil
      Neal Virgil

      Virgil Neal est né le 25 septembre 1858 à Georgetown dans le Missouri (Etats-Unis) dans un milieu modeste. Après avoir été hypnotiseur dans des salles de spectacle aux Etats-Unis puis éditeur, il se lance dans la fabrication de cosmétiques et rencontre le succès qui le rend milliardaire. Il ouvre avant la Première Guerre mondiale une boutique à Paris où il vend la crème Pétulia qu'il a créée. Il a une usine rue de la Pompe et des bureaux 7 rue Auber près de l'Opéra. Il épouse en troisième noce Renée Bodier, de quarante ans plus jeune que lui. Ils font leur voyage de noces sur la Côte-d'Azur. En 1923, Melle Neal-Bordier, tout comme M. Neal logent au Majestic de Nice (L'Eclaireur du dimanche, 23 décembre 1923). Il fait ensuite édifier le Château d'Azur dans cette même ville. Après s'être compromis avec les autorités d'occupation italiennes et celles de Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale, ils quittent Nice pour Monaco puis vont vivre en Suisse, à l'Hôtel de Bergues de Genève. Il décède dans cette ville le 30 juin 1949. (sources : Judit Kiraly, L’Influence Américaine sur le développement et la culture de Nice (1800-1940), catalogue pour l’exposition " Les Américains”, Archives Municipales de Nice, 2017).

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    • Auteur :
      Gaujoin René
      Gaujoin René

      Ingénieur et architecte actif à Nice pendant l'entre-deux-guerres. René (Paul) Gaujoin s'occupe d'une société de construction à Hongkong avant la Première Guerre mondiale. Pendant quelques années, il travaille en association avec l'architecte Raphaël Argentino. Ils se présentent dans les publicités comme spécialistes en ciment armé et en hydraulique. Il est installé 25 avenue du Maréchal Foch à Nice. Il fait partie de la Société des ingénieurs civils de France depuis 1909.

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    • Auteur :
      Argentino Raphaël
      Argentino Raphaël

      Ingenieur-architecte, Nice, 1ère moitié du 20e siècle. Raphaël Argentino fait ses études au collège militaire de Naples, puis à l'école polytechnique de Turin (Ecole polytechnique d'artillerie et de génie). Il obtient son diplôme d'ingénieur en 1891, à l'Ecole royale d'application pour les ingénieurs à Naples, d'où il sort premier. Il débute sa carrière à Turin, où il travaille à des constructions civiles et pour les chemins de fer. Il s'installe à Nice en 1898, il prend part à la construction du réseau de tramways électriques (ingénieur de la compagnie Thomson Houston) et participe à l'installation de lignes de transport de force (ingénieur de la société de l'énergie électrique du littoral méditerranéen jusqu'en 1903). En 1903, il quitte la  Société et se consacre à la construction et l'architecture. Après la Grande guerre, il travaille en association avec l'architecte - ingénieur René Gaujoin. Ils se présentent dans les publicités comme spécialistes en ciment armé et en hydraulique. Il est membre du groupe régional du syndicat des architectes français. Sur son monument funéraire au cimetière de Saint Barthélémy est mentionnée sa profession d'ingénieur. (Véronique Thuin)

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    • Auteur :
      Boyer René
      Boyer René

      Architecte-décorateur parisien fait chevalier de la Légion d'honneur en 1926. Installé avenue de l'Opéra à Paris, il propose des installations de mobilier (Revue L'Intransigeant, 25 septembre 1924).

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      décorateur attribution par source
    • Auteur :
      Fischer Arthur
      Fischer Arthur

      Arthur Fischer est un peintre fresquiste du XXème siècle qui travaille à Nice. Il est né en 1872 en Allemagne et il décède en 1948. Il réalise notamment les fresques du château d'Azur en 1931.

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    • Auteur :
      Pastorini René
      Pastorini René

      René Pastorini est un peintre fresquiste du XXème siècle qui travaille à Nice. Il est né à Pistoia le 22 novembre 1882. Il est, vers 1925, domicilié 9 avenue Saint Lambert à Nice.

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      peintre attribution par source
    • Auteur :
      Daum (1878 - )
      Daum

      Verrerie créée à Nancy en 1878. Elle devient rapidement l'une des plus renommée, notamment pour ses collections de vases de style art nouveau et les services de table et décor de verre des paquebots de l'époque art déco.

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      maître verrier (incertitude), attribution par source

L'édifice prend place au sommet d'une colline formant éperon, délimité par deux vallons, et ouvert très largement sur le panorama. Par son emplacement, le château constitue ainsi une silhouette très familière du cercle de collines fermant la plaine, au nord de la ville. Reproduisant assez ouvertement la forme et la modénatures du château renaissance d'Azay-le-Rideau (Indre-et-Loire), l'édifice présente un plan compact symétrique, cantonné par quatre tourelles. Chacune des façades offre un avant-corps : galerie couverte avec terrasse au sud, porche en portique couvert d'un étage au nord, avant-corps polygonaux des façades latérales (dont l'un des deux contient l'escalier principal). Sur deux niveaux partiels semi-enterrés (dont l'un bien éclairé par des soupiraux ouverts en soubassement des façades), le bâtiment est élevé de trois niveaux principaux : rez-de-chaussée surélevé et deux étages carrés dont un attique. L'étage attique reprend ainsi la disposition du faux chemin de ronde d'Azay-le-Rideau. L'ensemble est surmonté d'un étage de comble. Les façades sont enduites d'un ton clair, sur une structure utilisant le béton armé, comme le montre la charpente de la toiture majoritairement en béton. L'édifice est couvert de hauts brisis en ardoise (et terrasson en zinc ou ciment). Les tours rondes flanquant la façade sud sont coiffées d'une flèche conique. Les tours marquant les angles de la façade nord (façade antérieure) sont des pentagones avec flèches polygonales. Présence d'épis de faîtage en zinc et lucarnes-oculi en zinc.

L'inspiration néo-renaissance de l'ensemble, s'appliquant à répondre à la vision fantasmée du château français, est prépondérante sur les quatre façades : fenêtres à meneau encadrées de pilastres, corniche sous attique avec consoles à ressaut, motifs d'enroulements en allège...Toutefois, quelques éléments renvoient à un éclectisme plus large : ordre toscan des portiques, baies en arrondi des façades latérales (reproduisant une forme très usitée par les oriels) et pots de céramique bleu omniprésents dans les lieux balnéaires.

Les intérieurs sont davantage représentatifs d'un certain éclectisme, toujours apprécié par certains maîtres d'ouvrage dans les années 1920 : cheminée néo-renaissance du hall, salon rococo, bureau néo-pompéien, salle-à-manger de style Empire, verrières art déco des salles-de-bain (non vues), toiles représentant des scènes antiques (non vues), billard néo-mauresque (non vu, détruit ?). Le sous-sol comprend une exceptionnelle pièce à l'effet d'architecture pétrifiée avec stalactites. Les domestiques logeaient sous les combles. Le bâtiment comprend deux escaliers et ascenseurs (principal et de service). Escalier droit au sein du vestibule, escalier principal tournant à deux volées droites, escalier de service tournant à retours avec jour.

  • Murs
    • béton béton armé enduit
  • Toits
    ardoise, zinc en couverture, ciment en couverture
  • Plans
    plan symétrique
  • Étages
    étage de soubassement, sous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 2 étages carrés, étage de comble
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à plusieurs pans brisés croupe polygonale
    • flèche conique
    • flèche polygonale
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit
    • escalier dans-oeuvre : escalier droit en maçonnerie
    • escalier hors-oeuvre : escalier symétrique en maçonnerie, suspendu
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Techniques
    • maçonnerie
    • décor stuqué
    • vitrail
    • peinture
    • sculpture
    • menuiserie
    • miroiterie
  • Représentations
    • salamandre, animal fantastique, scène de chasse, paysage, armoiries, scène galante
  • Précision représentations

    Décor cimenté ou stuqué omniprésent à l'extérieur et intérieur. Présence d'un parement en faux tuffeau au sein des principales circulations horizontales. Peintures présentes sur des panneaux (vestibule, salons), murs et plafonds (salons), en dessus-de-porte...Les vitraux du grand escalier et du jardin d'hiver (ouvrant sur le corridor du 1er étage) sont à forme avec scènes (chasse, scène galante). Ceux du hall et du dernier repos présentent des armoiries (vitraux héraldiques). Présence de ferronneries pour la rampe de l'escalier principal et les portes de communication, avec verre sablé pour la porte que l'on attribue à Daum. Travail du bois pour certains lambris. Sculptures en ronde-bosse (positionnées autour du bassin, sur les balustrades, dans le vestibule...), tapisseries dans hall.

Z Nice repérage

  • 01-DENO maison
  • 02-CHRONO 1920-1945
  • 03-CARACTERE éclectique
  • 04-TENDANCES néo-renaissance
  • 05-INTEGRITE réduite
  • 06-VISIBILITE limitée
  • 07-SITUATION isolé
  • 08-IMPLANTATION sur jardin ou parc
  • 09-MATERIAUX non applicable
  • 10-MACONNERIE non applicable
  • 11-SUR FACADE corps en avancée
  • 12-ENTREE porche
  • 13-TOIT non applicable
  • 14-COMBLES comble haut
  • 15-DOME non applicable
  • 16-BELVEDERE non applicable
  • 17-FRISE non applicable
  • 18-CERAMIQUE poterie
  • 19-MATERIEUX GROS OEUVRE non applicable
  • 20-SITE dimension paysagère
  • 21-LOTISSEMENT non applicable
  • 22-PERGOLA non applicable
  • 23-JOINTS non applicable
  • 24-CLOTURES oui
  • 25-AGREMENTS oui
  • 26-COUR ANGLAISE non applicable
  • 27-Châssis vitré et verrière Vitrail avec armature à la forme
  • 28-Eléments de distribution intérieur en verre Verre sablé
  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    élévation, plafond, salon de réception, vestibule, grotte artificielle, couverture
  • Précisions sur la protection

    Protection au titre du PLU n°64.

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Documents d'archives

  • Vente Mosselman - S.C.I. franco anglo américaine [futur Château d'Azur, Nice]. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice : conservation des hypothèques, vol 257 - n°28 (3 septembre 1924).

  • [Château d'Azur, Nice, 1927-1932]. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice, fonds Adrien Rey : 94 J 13.

    Identifie les différentes interventions des architectes et le décorateur René Boyer.
  • [Création de la Société Immobilière du Château d'Azur, Nice]. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice : conservation des hypothèques, vol 1533 - n°31 (6 octobre 1949).

  • Lotissement du Château d'Azur, Nice, dossier de suivi [1955 - . Archives communales, Nice : 3T472

Bibliographie

  • GAYRAUD, Didier. Belles demeures en Riviera, 1835-1930. Nice : Éditions Gilletta-Nice-matin, 2005, 303 p.

    p. 162
  • THEVENON, Luc. Les folies : fantaisies architecturales de la Belle Époque à Nice. Nice : Serre, 2003. 127 p.

    p. 102-108 (mention notamment du décorateur Arthur Fischer).
  • DALLO, Roberte. Art déco, une méditerranée heureuse. E. Gilletta, 2015. 165 p.

    p. 133
  • DE TARNOWSKY Françoise. Michel de Tarnowski, catalogue des oeuvres connues. Nice : Association des amis de Michel de Tarnowsky, 2007, 3 vol.

    p. 443-446

Documents figurés

  • [Château d'Azur, Nice, façade principale depuis le jardin]. / Négatif noir et blanc par Jean Giletta, [circa 1930], 13 x 18 cm. Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Charenton-le-Pont : APGLT00862.

  • Le Château d'Azur à Gairaut [Nice] : [Le Château d'Azur, les terrasses du Château, un coin du grand salon, le hall]. / Photographies imprimées, 1926. Dans : L'Eclaireur du dimanche, 1er août 1926, p. 13.

  • Une invitation à prendre le thé au Château d'Azur [Nice], le hall. / Photographie imprimée sur un dépliant publicitaire de la société Tokalon, anonyme, [circa 1930]. Collection particulière V. Thuin.

  • Une invitation à prendre le thé au Château d'Azur [Nice], la salle-à-manger, le salon d'hiver. / Photographie imprimée sur un dépliant publicitaire de la société Tokalon, anonyme, [circa 1930]. Collection particulière V. Thuin.

  • Une invitation à prendre le thé au Château d'Azur [Nice], la bibliothèque, un salon. / Photographie imprimée sur un dépliant publicitaire de la société Tokalon, anonyme, [circa 1930]. Collection particulière V. Thuin.

Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2023
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Prédal Christophe
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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Thuin-Chaudron Véronique
Thuin-Chaudron Véronique

Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).

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