Dossier d’œuvre architecture IA06003491 | Réalisé par
Aliotti Jean-Marc (Rédacteur)
Aliotti Jean-Marc

Architecte du patrimoine. Prestataire extérieur pour l'opération de repérage du patrimoine de la villégiature de Menton en 2013-2014, de Beausoleil (06) et de Roquebrune-Cap Martin (06) en 2016 et 2017, de Nice en 2017.

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Thuin-Chaudron Véronique (Rédacteur)
Thuin-Chaudron Véronique

Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).

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Prédal Christophe (Rédacteur)
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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  • recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
Hôtel de voyageurs dit Hôtel de France, puis Hôtel Plaza et de France, puis Hôtel Plaza, actuellement Anantara Plaza Nice Hôtel
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Ville de Nice
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Nice - Nice
  • Commune Nice
  • Lieu-dit Médecin
  • Adresse 10 avenue de Verdun , 12 avenue de Verdun , rue Paradis
  • Cadastre 2023 KT 0294  ; 2023 KT 0295  ; 2023 KT 0296  ; 2023 KT 0300 (correspond partiellement à l'hôtel)
  • Dénominations
    hôtel de voyageurs
  • Appellations
    Hôtel de France, Hôtel Plaza et de France, Hôtel Plaza, Anantara Plaza Nice Hôtel

L'Hôtel de France est construit par l'architecte Jean-Antoine Scoffier, sur le quai occidental du fleuve Paillon, pour le compte du marseillais Dominique Leyraud qui a acheté en 1840 un terrain détaché de la propriété Coppon. Le premier Indicateur de Nice, publié en 1845, mentionne l'hôtel mais ce dernier a sans doute ouvert les années précédentes. En décembre 1855, il vend à Joseph Polonnais pour 96 300 frs. Le dernier héritier Polonnais, Edouard Mayrargue, lègue l'immeuble aux hospices de Nice. Le premier propriétaire du fonds est l'hôtelier suisse Feder puis la famille Zundel. En décembre 1909 Alfred Donadeï et Fredéric Ernest Weber s'associent pour exploiter le fonds d'hôtel.

L'Hôtel de France évolue dans le temps avec notamment l'acquisition de bâtiments mitoyens (vers le sud). En 1844, Leyraud élève un quatrième étage (attique) en même temps que l'immeuble mitoyen au nord. En 1875, un chambranle en stuc est ajouté à la porte du quai Masséna. En 1892, Mme Zundel, épouse du prince Di Cannito, place une marquise et, en 1899, fait modifier la façade et ajouter des balcons par l'architecte Pierre Romanille. Sans que l'on en connaisse la date, l'étage attique devient étage identique aux autres et des lucarnes sont ouvertes en toiture.

Une modernisation de l'hôtel s'impose. Elle est l'oeuvre de l'architecte Charles Dalmas (avec son fils Marcel). Elle voit le jour en 1919 avec le remodelage des façades et la surélévation d'un étage, l'extension des salles de réception dans un bâtiment construit sur cour. Le projet de la Société Immobilière et d’Exploitation de l’avenue Masséna, désirant établir une percée (nommée "galerie Masséna") dans le tissu urbain ancien à partir de cet hôtel jusqu'à la rue Masséna est pris en compte dans les travaux, mais le projet n'aboutit finalement pas. Demeure la grande arcade qui devait marquer le début de la rue. A la même époque, la société se transforme en société Anonyme Hôtel de France, tandis que l'Hôtel de France devient Hôtel Plaza et de France. Le journal L'Eclaireur du dimanche du 17 avril 1921 nous apprend qu'il a rouvert le 1er mars 1921 ainsi que le nom des entreprises ayant participé au chantier : l'entrepreneur de maçonnerie est Colla, l'entrepreneur de ciment armé est Assimon, l'entrepreneur de menuiserie est Andreis, les entrepreneurs de serrurerie sont Massiera et Broccardi, l'entrepreneur de peinture est Demagistri, les décorateurs sont les frères Dessignori, les entrepreneurs de plomberie sont Genet et Brunelli. Martinez dirige alors l'hôtel. Il a 150 chambres en 1921 (toutes avec WC et salle-de-bains) et il est prévu d'en porter le nombre à 250 (?). En 1921, l'Auto Riviera fait édifier dans la cour, accessible par la grande arcade, un local-abri pour automobiles.

Après la Seconde Guerre mondiale, la famille d'hôteliers Agid devient propriétaire. En 1957 est déposée une demande de permis de surélévation pour un étage supplémentaire en retrait et une terrasse accessible, en partie vitrée (architecte René Livieri). A cette occasion, le couronnement avec frontons triangulaires et balustrade cachant les pans de toiture est donc démoli. A l'intérieur le décor de Charles Dalmas disparaît, au profit d'une ambiance aztèque et Maya. Des salles de séminaire et un sauna sont créés. La fin de la rhéhabilitation est inaugurée en mars 1964.

La fin de l'année 2022 marque la fin du dernier long chantier de transformation. Le projet de l'architecte britannique Norman Foster (en association avec le niçois Jean-Paul Gomis) reprend la totalité de l'intérieur ainsi que le profil du dernier niveau. Ouvre un hôtel 5 étoiles de la chaîne Anantara de 151 chambres.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle
    • Secondaire : 2e quart 19e siècle
    • Secondaire : 3e quart 20e siècle
    • Secondaire : 1er quart 21e siècle
  • Dates
    • 1840, daté par source
    • 1920, daté par source
    • 1957, daté par source
    • 2022, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Scoffier Jean-Antoine
      Scoffier Jean-Antoine

      Architecte niçois, architecte de la ville de Nice, 19e siècle. Il travaille notamment au palais sarde vers 1825.

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Romanille Pierre
      Romanille Pierre

      Architecte actif à Nice, 2nd moitié du 19e siècle. Né le 5 mai 1840 à Saint-Andiol (Bouches-du-Rhône), Pierre Romanille est le fils de Laurent Marie Romanille, entrepreneur. Il habite à Nice, 15 rue Cassini dans les années 1860, 1 rue Emmanuel Philibert en 1874 puis 6 rue Fodéré de 1879 à 1887 puis 20 rue Gioffredo en 1892 et 34 boulevard du Pont Neuf  ou Mac Mahon  à partir de 1893. Il fonde à Nice le premier cercle républicain. Il a aussi une activité de journaliste, collaborateur de La France méridionale, ami d’Alfred Borriglione. Il se présente comme "architecte-paysagiste". En 1867, il dirige les travaux à la propriété du baron Haussmann. En 1900, il loue avec Auguste  Dubois une propriété à la Colle sur Loup pour fournir à la société niçoise d'électro-chimie de la chaux provenant de carrières à ouvrir. En 1902 il fonde avec l'entrepreneur Antoine Faraut, A. Dubois et A. Giraud la "société des plâtres de la Clave". Pour Paul Verhoeven, il rédige un Mémoire sur des mines de cuivre, de plomb argentifère, de blende et de fer existant dans les Alpes-Maritimes ou sur les frontières de l'Italie  que Verhoeven s'apprête à exploiter en association avec Pastoret. Il meurt le 9 février 1913 à Nice, 34 boulevard Mac Mahon. Il est enterré au cimetière de Caucade. (Véronique Thuin).

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    • Auteur :
      Dalmas Charles
      Dalmas Charles

      Architecte niçois, né en 1863, formé à l'École des Arts Décoratifs de Nice puis à l'École des Beaux-Arts de Paris où il intègre l'atelier de Victor Laloux. Reçu au concours du Grand Prix de Rome. Il enseignera plus tard à l'École des Arts Décoratifs de Nice. Son style se caractérise par l'élégance décorative, la clarté de la composition en plan comme en façade. Spécialiste des programmes d'hôtels et d'immeubles de standing, Il a été président du Syndicat des Architectes de la Côte d'Azur. Son fils Marcel Dalmas a étroitement collaboré avec lui.

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    • Auteur :
      Dalmas Marcel
      Dalmas Marcel

      Architecte niçois. Fils de l'architecte Charles Dalmas, formé à l'École des beaux-arts, il est Grand prix de Rome 1914. Architecte du département des Alpes Maritimes, il prépare les plans d'urbanisme de la ville de Nice. Enseignant à l'école des arts décoratifs de Nice il devient conseiller municipal de la ville de Nice.

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    • Auteur :
      Livieri René
      Livieri René

      Architecte, Nice, 20e siècle. Il est formé à l'École Nationale des Arts Décoratifs de Nice. Il a travaillé essentiellement à Nice où il est l'auteur d'un nombre très important de réalisations de 1934 à la fin des années 1970. Influencé par l'Italie, il s'inscrit au début de sa carrière dans le courant Art Déco pour évoluer vers le Mouvement moderne dans ses réalisations postérieures à la deuxième guerre mondiale.

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    • Auteur :
      Foster Norman
      Foster Norman

      Architecte britannique du dernier tiers du 20e siècle, fer de lance de l'architecture dite "high tech".

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    • Auteur :
      Gomis Jean-Paul
      Gomis Jean-Paul

      Architecte niçois. A ouvert son cabinet en 1984.

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    • Auteur :
      Designori ou Dessignori ou De Signori
      Designori ou Dessignori ou De Signori

      Lignée de peintres décorateurs sur la Côte d'Azur, à compter de la 2nd moitié du 19e siècle. C'est le père, François Designori, (né à Vérone le 8 janvier 1852 et mort à Cannes le 21 février 1927), qui le premier s'installe à Cannes après s'être formé tout seul au cours de ses voyages. Sa spécialité est la grisaille. Il a collaboré aux fresques du Panthéon en 1906. Il fait l'objet d'une notice dans le Dictionnaire biographique et historique Alpes-Maritimes et Monaco (p. 518). Son frère Dominique (né à Vérone le 18 novembre 1860 et mort à Cannes le 24 mai 1928) est également peintre. Ses fils sont aussi devenus peintres et décorateurs. François (né à Cannes en 1881) et Ferdinand (Cannes, 1889-Cannes, 1946). Ils sont installés à Cannes mais interviennent dans la région. Ils collaborent souvent avec les architectes Dalmas comme à l'hôtel de France, à la villa Laure au Mont-Boron, au Ruhl ou au Palais de la Méditerranée à Nice. (Véronique Thuin)

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      décorateur attribution par source
    • Auteur :
      Colla
      Colla

      Entrepreneur de maçonnerie, Nice, début 20e siècle.

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      entrepreneur de maçonnerie attribution par source
    • Auteur :
      Assimon Paul
      Assimon Paul

      Entrepreneur de maçonnerie, basé à Cannes, début du 20e siècle, concessionnaire d'un brevet de béton armé.

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      entrepreneur de maçonnerie attribution par source
    • Auteur :
      Andreis
      Andreis

      Entrepreneur de menuiserie, Nice, début du 20e siècle.

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      menuisier attribution par source
    • Auteur :
      Massiera
      Massiera

      Entrepreneur de serrurerie, Nice, 1ère moitié 20e siècle.

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    • Auteur :
      Broccardi
      Broccardi

      Entrepreneur de serrurerie, Nice, 1ère moitié 20e siècle.

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      serrurier attribution par source
    • Auteur :
      Demagistri
      Demagistri

      Peintre, Nice, 1ère moitié 20e siècle.

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      peintre attribution par source

L'hôtel, de style éclectique, est bâti à l'alignement sur plusieurs parcelles contiguës engendrant un linéaire de façade très développé (107 mètres de long). L'ensemble est construit en maçonnerie enduite avec une modénature et un décor stuqué qui peut être très abondant. L'homogénéité est de rigueur. Dans la configuration actuelle (travaux de Charles Dalmas de 1920 et surélévation de 1957) l'immeuble s'élève sur sept niveaux. Ils se répartissent selon une partition horizontale avec un rez-de-chaussée accueillant des boutiques et deux niveaux supplémentaires prolongeant la modénature du rez-de-chaussée. Le niveau intermédiaire, plus bas, constitue réellement un entresol, faisant partie des boutiques. Ces dernières, ouvertes progressivement dans le bâtiment (dernier tiers du 19e siècle) et considérées depuis longtemps comme les plus luxueuses de la ville, conservent pour certaines des dispositions et ornements tranchant sur l'ordonnancement des travées. Au-dessus de ces trois niveaux bas, séparés par un bandeau épais et généreusement décoré, trois étages carrés s'élèvent, dont les variantes des arcs établissent de fait une animation utile contre la monotonie du linéaire. Les 28 travées de la façade principale sont réparties selon une importance déterminée par le niveau de décor (présence de pilastres en trumeau, chaînages d'angle, colonnettes en marbre). La composition de 1920 est complétement anéantie depuis que les travées (en légère surépaisseur) encadrant la baie bénéficiant de colonnettes en marbre ne sont plus sommées d'un fronton triangulaire. En effet, deux fois trois travées se démarquaient alors, tels des pavillons. Un des pavillons coïncidait avec l'entrée sous porche, avec grand arc monumental en anse de panier et voûte à caissons. Les travées courantes sont soumises au rythme des trumeaux organisés par des légères saillies encadrant volontairement les baies. L'angle sud-ouest est traité simplement en pan coupé avec légère incurvation et imitation de bossages. Remarquer l'entrée de l'hôtel, uniquement de la largeur d'une travée, en raison de la place prise par les boutiques avant 1920. Une seconde entrée se positionne dans la cour sous arcade. Noter que, au cours de son histoire, l'hôtel s'est agrandi en coeur d'îlot sous forme de bâtis d'un seul niveau, accueillant réceptions et services. Depuis 1957, la toiture est une terrasse accessible (bar, restaurant), dont des éléments bâtis ou éphémères évoluent dans le temps. Escalier dans oeuvre, ascenseurs.

  • Murs
    • pierre moellon enduit
  • Toits
    béton en couverture
  • Étages
    entresol, 6 étages carrés
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Techniques
    • maçonnerie
    • sculpture
    • décor stuqué
    • ferronnerie
  • Représentations
    • tête d'homme, mufle de lion
  • Précision représentations

    Décor stuqué de style éclectique au droit des baies, par des mascarons à tête humaine (homme) ou animal (lion) flanqué souvent de guirlandes de fleurs, qui peuvent aussi être répandues par des couronnes et des bouquets en linteaux ou dans les écoinçons des arcatures. Des médaillons peuvent compléter le dispositif décoratif. La travée concernant le passage sous porche dispose du décor le plus fourni : berceau à caissons, agrafe monumentale rainurée, bouquets, pendants, guirlandes, médaillons, triglyphes sur entablement, cartouche. Les travées centrales offrent des pilastres cannelés montant de fond.

Z Nice repérage

  • 01-DENO hôtel de voyageur
  • 02-CHRONO avant 1860
  • 03-CARACTERE éclectique
  • 04-TENDANCES néo-classique
  • 05-INTEGRITE complète
  • 06-VISIBILITE bonne
  • 07-SITUATION mitoyen
  • 08-IMPLANTATION sur rue
  • 09-MATERIAUX non applicable
  • 10-MACONNERIE enduit avec parements
  • 11-SUR FACADE non applicable
  • 12-ENTREE non applicable
  • 13-TOIT toit terrasse
  • 14-COMBLES non applicable
  • 15-DOME non applicable
  • 16-BELVEDERE non applicable
  • 17-FRISE non applicable
  • 18-CERAMIQUE non applicable
  • 19-MATERIEUX GROS OEUVRE non applicable
  • 20-SITE composition urbaine
  • 21-LOTISSEMENT non applicable
  • 22-PERGOLA non applicable
  • 23-JOINTS non applicable
  • 24-CLOTURES non applicable
  • 25-AGREMENTS non applicable
  • 26-COUR ANGLAISE non applicable
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée
  • Éléments remarquables
    élévation, porte, balcon, porche, colonne, chapiteau, console

Documents d'archives

  • Nice, demande pour construire un chambranle [hôtel de France], 1875. Archives communales, Nice : 2T46 63

  • Nice, demande pour placer une marquise à l'hôtel de France, 1892. Archives communales, Nice : 2T137 295.

  • Nice, demande pour installer des balcons à l'hôtel de France, par Pierre Romanille architecte, 1899. Archives communales, Nice : 2T172 319.

  • Nice, demande de permis de construire pour un local-abri pour voitures automobiles, dans la cour de l'hôtel de France, 1921. Archives communales, Nice : 2T320 221.

  • Nice, demande de permis de surélévation et transformation de l'hôtel Plaza et de France, par René Livieri architecte, 1957. Archives communales, Nice : 22 W 42.

Bibliographie

  • L'indicateur niçois pour l'année 1845 - 1ère année. Nice : Société typographique, 1845. 292 p.

  • STEVE, Michel. Charles Dalmas architecte 1863-1938. Nice : Institut d'études niçoises, 2018. 166 p. ; 30 cm.

    p. 72-73
  • BOTTARO, Alain, THUIN-CHAUDRON Véronique (et al.). Hôtels et palaces, Nice. Nice : Gilletta, 2019. 197 p.

    p. 32, 72, 96, 146

Documents figurés

  • [Hôtel de France et immeubles mitoyens, Nice, surélévation]. / Plan d'architecture géométral, [1844], encre sur papier entoilé, 43 x 60,6 cm. Archives communales, Nice : O4 / 10-23.

  • Hôtel de France [Nice], le hall. / Carte postale noir et blanc. Nice : F. Ch. Braun, [circa 1870]. Collection particulière.

  • 267 - Nice. Le jardin public et l'Hôtel de France. / Carte postale noir et blanc. Paris : Lévy et Neurdein réunis, [circa 1916]. Archives communales, Nice : 10 Fi 383.

  • Hotel Plaza et France [Nice], vue sur la façade de l'hôtel à partir du jardin. / Négatif noir et blanc par Jean Giletta, non daté [circa 1925], 13 x 18 cm. Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Charenton-le-Pont : APGLT 02424.

  • Hotel Plaza et France [Nice], l'entrée principale. / Négatif noir et blanc par Jean Giletta, non daté [circa 1925], 13 x 18 cm. Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Charenton-le-Pont : APGLT 02425.

  • Hotel Plaza et France [Nice], vue d'angle salle-à-manger. / Négatif noir et blanc par Jean Giletta, non daté [circa 1925], 13 x 18 cm. Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Charenton-le-Pont : APGLT 02440.

  • Hotel Plaza et France [Nice], salle-à-manger, vue rapprochée [rotonde]. / Négatif noir et blanc par Jean Giletta, non daté [circa 1925], 13 x 18 cm. Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Charenton-le-Pont : APGLT 02430.

Date d'enquête 2017 ; Date(s) de rédaction 2017
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Aliotti Jean-Marc
Aliotti Jean-Marc

Architecte du patrimoine. Prestataire extérieur pour l'opération de repérage du patrimoine de la villégiature de Menton en 2013-2014, de Beausoleil (06) et de Roquebrune-Cap Martin (06) en 2016 et 2017, de Nice en 2017.

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Thuin-Chaudron Véronique
Thuin-Chaudron Véronique

Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).

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Prédal Christophe
Prédal Christophe

Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.

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