Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.
Dossier d’œuvre architecture IA06003239
| Réalisé par
Aliotti Jean-Marc
(Rédacteur)
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Aliotti Jean-Marc
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Thuin-Chaudron Véronique
(Rédacteur)
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Thuin-Chaudron Véronique
Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).
Albertini Cécilia-Eléna
(Contributeur)
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Albertini Cécilia-Eléna
Chercheur de l'inventaire, opération de recensement de l'architecture de villégiature de Nice.
- recensement du patrimoine balnéaire, patrimoine de la villégiature de Nice
maison de villégiature (villa balnéaire) dite villa Saint-Georges
Œuvre étudiée
Auteur
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Albertini Cécilia-ElénaAlbertini Cécilia-ElénaCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Chercheur de l'inventaire, opération de recensement de l'architecture de villégiature de Nice.
Copyright
- (c) Ville de Nice
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
Localisation
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Aire d'étude et canton
Nice - Nice
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Commune
Nice
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Lieu-dit
Cimiez
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Adresse
2 montée Saint-Valérien
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Cadastre
2023
LM
0078
Protection au titre du PLU n°229.
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Dénominationsmaison
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Précision dénominationmaison de villégiature, villa balnéaire
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Appellationsvilla Saint-Georges
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Parties constituantes non étudiéesjardin d'agrément
En décembre 1913, les héritiers Evans de la propriété Torre di Cimella vendent à Georges Latour une parcelle de terrain pour 89 604 francs. En 1914, Georges Latour demande à faire édifier sa villa, domiciliée sur la ruelle Sainte-Rosalie, par l'architecte Jean-Baptiste Bonifassi. L'année suivante, il demande à élever un garage. Le chantier a été perturbé du fait de la guerre.
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Période(s)
- Principale : 1er quart 20e siècle
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Dates
- 1914, daté par source
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Auteur(s)
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Auteur :
Bonifassi Jean-Baptistearchitecte attribution par sourceBonifassi Jean-BaptisteCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Architecte actif à Nice, fin 19e - début 20e siècle. Né à Villefranche-sur-Mer le 13 novembre 1867, il est le fils de Jacques Bonifassi, entrepreneur de menuiserie à Nice. Il est élevé par sa mère qui exerce la profession de sage-femme à Villefranche. Il fait ses études à l'Ecole Nationale d'Art Décoratif de Nice, où il suit les cours de Lucien Barbet. Sa première année à l'école, il obtient le premier prix pour le dessin géométrique et pour le lavis, la seconde année, deux premiers prix pour composition architecturale et la troisième année une médaille d'or et une bourse de voyage. Il obtient des prix et une bourse de voyage de 500 f en 1886 (Le Petit Niçois, 4-10-1886). Il obtient en 1887 une bourse du département pour poursuivre ses études à Paris. Le conseil municipal de Villefranche lui accorde une subvention annuelle de 300 F pour 2 ans. Il entre à l'Ecole Nationale des Beaux-Arts de Paris en 1887, accède à la première classe en 1889. Il est 6ème sur 154 candidats. Il y suit les cours de André et de Laloux. Il obtient le diplôme qui lui donne le titre de D.P.L.G. en 1893. Il s'est également formé dans la pratique de son art dans les bureaux et chantiers de M. Friésé architecte à Paris. Il obtient le second prix du concours pour les édicules du métro. Il construit le temple et le presbytère de Raincy (Seine et Oise) avec Bosshard en 1895. Il est professeur breveté aux écoles de dessin de la ville de Paris. Il revient à Nice vers 1904 et devient professeur de résistance des matériaux à l'Ecole Nationale d'Art Décoratif de Nice. Il est directeur des travaux de la commune de Villefranche, il y construit un hôpital, le monument aux morts, (il en fait un autre à Vallauris). Il est également l'architecte de l'école de Falicon. Il est sélectionné en 1910 pour faire le groupe scolaire du Cap d’Ail. Il habite 13 rue Saint François de Paule de 1903 à 1910 puis rue de l'Opéra en 1910 et 24 rue Pastorelli en 1913. Il devient maire de Villefranche en 1936-1937. Il meurt à Villefranche le 28 Mai 1944 (V. Thuin).
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Auteur :
Latourauteur commanditaire attribution par sourceLatourCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
Georges (Henri René) Latour ou Corcelot-Latour est né à Paris 10ème arrondissement le 7 décembre 1852. Il est le fils d’Antoine Latour et d’Henriette Burlin. Il a épousé Odile (Marie) Seeger à Bruxelles en 1888. Il entre à l’école des arts et manufactures en 1872 et il en ressort avec le diplôme d’ingénieur. Il habite Paris,136 boulevard Magenta puis Senlis, villa des Arènes. Il meurt dans sa villa de Nice le 18 janvier 1942. Il est enterré au cimetière de Cimiez.
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Auteur :
Maison compacte sur un plan quasiment carré présentant une animation affirmée de façades, tant dans la modénature que dans le décor. De plus, des avant-corps découpent le volume, en façade principale au midi et au nord (volume de l'escalier). Un oriel sur deux niveaux (à l'original couvrement en écailles maçonnées imitant une toiture) est présent sur la façade occidentale. Une terrasse-loggia, avec rares piliers en gaine, supporte le large balcon de l'étage au-dessus. La maison est élevée de quatre niveaux (dernier niveau partiel, du côté oriental), plus tour-belvédère terminant la cage d'escalier, avec ascenseur dès l'origine. Les façades sont enduites hormis le rez-de-chaussée aux pierres à taille rustiquée. Excepté au rez-de-chaussée, toutes les ouvertures sont des portes-fenêtres ouvrant sur balconnet ou balcon.
La toiture semble accoler dès l'origine une partie en charpente et tuiles plates mécaniques et une partie en terrasse-ciment accessible depuis le belvédère (avec balustrade, au dessus du dernier niveau partiel). Toutes les façades et le belvédère reçoivent un débord prononcé de la toiture, couvert en tuiles plates mécaniques, avec de larges aisseliers sculptés. Le belvédère, sommé d'une balustrade, est couvert en ciment, les tuiles mécaniques recouvrant uniquement un débord décoratif. À noter la clôture maçonnée pleine et opaque avec de belles piles à bossages rustiques et portail en ferronnerie.
Originellement, l'étage de service (avec cuisine liée à l'étage supérieur par un monte-plat) est le rez-de-chaussée, de belle hauteur sous plafond. L'étage de réception se situait au 1er étage, accessible par un porche et une terrasse au sud, depuis le jardin (escaliers droits). Le 2ème étage comportait les chambres et le 3ème deux pièces, dont un "atelier de peinture" et des pièces de domestique et débarras sous la toiture en charpente. Escalier intérieur tournant à retours avec jour.
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Murs
- enduit
- pierre grand appareil
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Toitsbéton en couverture, tuile mécanique
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Étages3 étages carrés
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Élévations extérieuresélévation à travées
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Couvertures
- toit à plusieurs pans croupe
- terrasse
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Escaliers
- escalier de distribution extérieur : escalier droit
- escalier demi-hors-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie, suspendu
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Autres organes de circulationascenseur
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Techniques
- décor stuqué
- ferronnerie
- peinture
- mosaïque
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Représentations
- fleur, rinceau, rosace, vase, chimère, guirlande
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Précision représentations
Décor maçonné de style éclectique, à forte dominante néoclassique dans le décor des travées de baies. Contrairement aux balcons dessinés sur les élévations jointes au permis de construire (à tendance rocaille), les ferronneries réalisées développent un profil de lignes droites renflées avec simple boucle, de tendance davantage moderne. La frise peinte décorative se trouvant en couronnement est remarquable. Sous une ligne maçonnée de denticules, la représentation se décline par large panneau entre les éléments de charpente. Les représentations anthropomorphes (notamment chimères ailées) et architecturées sont majoritaires (vases fleuris, rinceaux de feuillage). A ces représentations s'insèrent, en façade sud, les linteaux en arc-de-cercle des baies avec vase fleuri, entrelacs et écoinçons d'accompagnement. Directement au-dessus des baies est inscrit une ligne peinte de postes et postes renversées. La tonalité profonde des fonds ocres et de certaines représentations pourraient faire penser aux oxydes de fer contenus dans de la sanguine. Le vestibule offre des sols en mosaïque, restaurés en 2021.
Z Nice repérage
- 01-DENO maison
- 02-CHRONO 1860-1919
- 03-CARACTERE éclectique
- 04-TENDANCES néo-classique
- 05-INTEGRITE complète
- 06-VISIBILITE bonne
- 07-SITUATION isolé
- 08-IMPLANTATION sur jardin ou parc
- 09-MATERIAUX non applicable
- 10-MACONNERIE enduit avec parements
- 11-SUR FACADE corps en avancée
- 12-ENTREE porche
- 13-TOIT aisseliers sculptés
- 14-COMBLES non applicable
- 15-DOME non applicable
- 16-BELVEDERE oui
- 17-FRISE frise peinte
- 18-CERAMIQUE non applicable
- 19-MATERIEUX GROS OEUVRE non applicable
- 20-SITE dimension paysagère
- 21-LOTISSEMENT non applicable
- 22-PERGOLA non applicable
- 23-JOINTS non applicable
- 24-CLOTURES oui
- 25-AGREMENTS oui
- 26-COUR ANGLAISE non applicable
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Statut de la propriétépropriété d'une personne privée
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Intérêt de l'œuvreà signaler
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Éléments remarquablescharpente en bois, portail, porche, élévation
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Précisions sur la protection
Protection au titre du PLU n°229.
Grande qualité de la frise peinte sous-toiture.
- (c) Ville de Nice
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Ville de Nice
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- (c) Ville de Nice
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- (c) Ville de Nice
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- (c) Ville de Nice
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- (c) Ville de Nice
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- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Documents d'archives
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[Villa Latour, Nice-cimiez, acquisition du terrain]. Archives départementales des Alpes-Maritimes, Nice : conservation des hypothèques, vol 10305 - n°6 (11 décembre 1913).
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Nice, demande de permis de construire un garage à la villa de M. Latour, 1915. Archives communales, Nice : 2T325 126.
Documents figurés
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Propriété de Monsieur Latour à Cimiez-Nice, façade sud. / Tirage de plan par Jean-Baptiste Bonifassi, juin 1914. Archives communales, Nice : 2T303 350.
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Propriété de Monsieur Latour à Cimiez-Nice, façade est. / Tirage de plan par Jean-Baptiste Bonifassi, juin 1914. Archives communales, Nice : 2T303 350.
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Propriété de Monsieur Latour à Cimiez-Nice, coupe longitudinale. / Tirage de plan par Jean-Baptiste Bonifassi, juin 1914. Archives communales, Nice : 2T303 350.
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Propriété de Monsieur Latour à Cimiez-Nice, coupe transversale. / Tirage de plan par Jean-Baptiste Bonifassi, juin 1914. Archives communales, Nice : 2T303 350.
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Propriété de Monsieur Latour à Cimiez-Nice, plan du sous-sol. / Tirage de plan par Jean-Baptiste Bonifassi, juin 1914. Archives communales, Nice : 2T303 350.
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Archives communales, Nice : 2T303 350
Propriété de Monsieur Latour à Cimiez-Nice, plan du rez-de-chaussée. / Tirage de plan par Jean-Baptiste Bonifassi, juin 1914. Archives communales, Nice : 2T303 350.
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Propriété de Monsieur Latour à Cimiez-Nice, plan du 1er étage. / Tirage de plan par Jean-Baptiste Bonifassi, juin 1914. Archives communales, Nice : 2T303 350.
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Propriété de Monsieur Latour à Cimiez-Nice, plan du 2e étage. / Tirage de plan par Jean-Baptiste Bonifassi, juin 1914. Archives communales, Nice : 2T303 350.
Date d'enquête 2017 ;
Date(s) de rédaction
2017
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
(c) Ville de Nice
Aliotti Jean-Marc
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Aliotti Jean-Marc
Architecte du patrimoine. Prestataire extérieur pour l'opération de repérage du patrimoine de la villégiature de Menton en 2013-2014, de Beausoleil (06) et de Roquebrune-Cap Martin (06) en 2016 et 2017, de Nice en 2017.
Prédal Christophe
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Prédal Christophe
Responsable de la cellule "inventaire du patrimoine architectural et paysager" à la ville de Nice, depuis septembre 2018.
Thuin-Chaudron Véronique
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Thuin-Chaudron Véronique
Auteur, Docteur, sa thèse ayant pour titre : Nice, de la colline du Château aux châteaux des collines, architecture, construction, urbanisation de 1860 à 1914. (publiée chez Serre éditeur en 2009).
Albertini Cécilia-Eléna
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Albertini Cécilia-Eléna
Chercheur de l'inventaire, opération de recensement de l'architecture de villégiature de Nice.
Architecte du patrimoine. Prestataire extérieur pour l'opération de repérage du patrimoine de la villégiature de Menton en 2013-2014, de Beausoleil (06) et de Roquebrune-Cap Martin (06) en 2016 et 2017, de Nice en 2017.