La villa est construite à flanc de falaise, vers 1930, par un architecte inconnu.
- recensement du patrimoine balnéaire
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Dossier non géolocalisé
-
Aire d'étude et canton
Villefranche-sur-Mer - Villefranche-sur-Mer
-
Commune
Villefranche-sur-Mer
-
Lieu-dit
Darie la Madone
-
Adresse
boulevard de la Corne-d'Or
-
Cadastre
1980
AO
183
-
Dénominationsmaison
-
Précision dénominationmaison de villégiature, villa balnéaire
-
AppellationsVilla La Coraline
-
Période(s)
- Principale : 2e quart 20e siècle
-
Auteur(s)
- Auteur :
La villa a un plan composite, avec un étage de soubassement et un étage carré. Elle est couverte par des toits en pavillons et par des croupes, en tuile plate, soulignées par des génoises. Les façades sont revêtues d'un crépi ocre rouge. La façade nord, en U, abrite au centre, l'entrée principale protégée par un auvent, du côté ouest, un garage avec une porte surmontée d'un larmier en tuile creuse et du côté est, une pièce d'habitation éclairée au nord et à l'est par deux fenêtres en plein cintre séparées par un pilier circulaire disposé sur l'angle. La partie est de la façade nord est ornée d'une niche en cul-de-four surmontée d'un larmier arrondi. Les pièces situées au rez-de-chaussée surélevé et exposées à l'est sont éclairées par un oculus encadré de deux fenêtres, l'une, rectangulaire, l'autre, en plein cintre. Du côté sud, l'étage de soubassement partiellement en porte-à-faux est soutenu par des pilotis en béton. Ses façades sont individualisées par un parement en moellon de calcaire polygonal. Sa façade sud, soulignées en partie basse par un bandeau de crépi de couleur ocre rouge, est percée de trois fenêtres rectangulaires. Du côté sud, le rez-de-chaussée se projette en avant par un volume semi-circulaire en porte-à-faux, éclairé par trois fenêtres jumelles en plein cintre. Ce volume est encadré par deux terrasses indépendantes. Celle à l'est est desservie par une porte-fenêtre rectangulaire, celle à l'ouest est aménagée dans le prolongement d'une loggia formée de deux arcs en plein cintre supportés par des piliers circulaires sur piédestaux. La distribution intérieure n'est pas connue.
-
Murs
- calcaire
- crépi
- maçonnerie
- moellon
-
Toitsciment en couverture, tuile plate mécanique
-
Étagesétage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré
-
Couvertures
- terrasse
- toit en pavillon
- croupe
-
Escaliers
- escalier intérieur
-
Typologiesplan-masse régulier ; volumétrie régulière ; élévation avec axe ; caractère régionaliste niçois
-
Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
- (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Photographe au service régional de l'Inventaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1970 à 2006.