Dossier d’œuvre architecture IA06001304 | Réalisé par ;
  • enquête thématique régionale, architecture militaire de Provence-Alpes-Côte d'Azur
ligne fortifiée : 4e caposaldo Lubaïra
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Alpes-Maritimes - Tende
  • Commune Tende
  • Lieu-dit col de Loubaïra
  • Dénominations
    ligne fortifiée
  • Dossier dont ce dossier est partie constituante
  • Parties constituantes non étudiées
    batterie, ouvrage mixte, ouvrage d'infanterie

Ce groupe d'ouvrages qui constitue le quatrième caposaldo de la première ligne de défense du Vallo Alpino dans le sous-secteur II A dit de la Haute-Roya, s'organise sur les versants de la vallée de La Roya en amont de Saint-Dalmas (sur la commune de Tende, à l'exception de l'ouvrage 20, sur La Brigue), jusqu'au col de Loubaïra. Il comporte donc, outre quelques ouvrages situés autour de Saint-Dalmas sur la ligne de défense proprement dite, un élément de barrage de la vallée de la Roya, composé des trois ouvrages 17-18-20.

La plupart des ouvrages ont été construits à partir de 1931 en application de la circulaire 200. Certains résultent de la transformation de postes de tir en caverne sommairement aménagés en 1924-1925.

Ils sont repérés et renseignés, avec cartographie et plans, dans le rapport du service des renseignements militaires français daté du 15 février 1934.

Un important ouvrage mixte (artillerie-infanterie) formant barrage antichar, commencé en 1939 au nord de Saint-Dalmas, est resté inachevé, limité à ses galeries et abris passifs.

Une batterie de mortier permanente avait été également établie en 1940 au nord de ce caposaldo.

1. 260° batterie SP dit Batteria Gato, pont des 14 arches.

Cette batterie opérationnelle en 1940 était équipée d'une pièce correspondant au plus gros calibre de l'artillerie italienne, le mortier Skoda de 420/12. La pièce en batterie était sur un affût tournant, les projectiles, grenades de 800 kg, étant apportées depuis le dépôt de munitions par un wagonnet Decauville.

De cette implantation, ne reste en place que l'abri caverne qui servait de dépôt de munitions, de projectiles et d'outillage, ménagé dans le versant droit de la vallée de la Roya. Il se compose d'une galerie deux fois coudée décrivant en plan trois côtés d'un trapèze, les côtés latéraux parallèles aboutissant aux deux portes d'accès, ouvertes vers la vallée, à l'est. Les magasins sont ménagés dans les parois extérieures de la galerie, dans la branche médiane, et en prolongement de la branche de droite. Après l'entrée de la branche gauche, se trouve à gauche le local du groupe électrogène de 1,62 kW, qui devait éclairer l'ensemble de l'ouvrage.

2. Ouvrage mixte dit Barrage antichar de Saint-Dalmas, Pont de la Brigue.

Ouvrage mixte dit barrage antichar de Saint-Dalmas : grand escalier de communication vers l'ouvrage n° 15.Ouvrage mixte dit barrage antichar de Saint-Dalmas : grand escalier de communication vers l'ouvrage n° 15.

Le projet de ce grand ouvrage casematé en caverne, présenté en 1939, était motivé par le fait qu'aucun des centres de résistance de la première ligne du système défensif de la Haute Roya n'était équipé de pièces d'artillerie antichar. Les nouvelles préconisations sur la conception des fortifications édictées par la circulaire15000, du 31 décembre 1939, eut une influence décisive sur la conception de cette implantation, entrant dans la catégorie des ouvrages majeurs: Il s'agit d'un très vaste complexe en caverne conçu pour desservir cinq blocs échelonnés du nord au sud, le premier étant un bloc d'entrée, les trois suivants des blocs actifs. Les deux premiers de ces trois blocs actifs devaient avoir deux positions de tir chacun (pour pièces d'artillerie antichar dans le premier, pour mitrailleuse dans le second), toutes dans la même direction sud-ouest, vers la route nationale, et le troisième une position de tir de revers, vers le nord-ouest, pour mitrailleuse.

Le cinquième bloc, établi plus haut que les autres sur le versant montagneux, très près de l'ouvrage n° 15, devait être passif, à usage d'observatoire avec visées tri directionnelles sud, sud-ouest et ouest/nord-ouest. Les trois blocs médians devaient être desservis par des galeries de longueur variable s'embranchant perpendiculairement sur le grand côté ouest de la longue chambre-abri, tandis que le bloc observatoire devait se trouver au bout d'une longue galerie-escalier montant de l'extrémité sud de la chambre-abri,

A l'état réalisé, très incomplet, manquent les cinq blocs et les galeries de desserte des trois premiers blocs, dont la galerie d'accès initialement prévue à l'extrémité nord de la chambre-abri. La galerie correspondant au troisième bloc actif non réalisé, près de l'extrémité sud de la chambre-abri, est utilisée comme galerie d'accès de l'ouvrage.

Celle-ci prend la forme d'un immense tunnel long de 100 mètres, dépourvu de la plupart des aménagements qui y étaient prévus. La galerie-escalier sud, longue de 153 marches, aboutit à un palier ou vestibule casematé qui aurait dû être la chambre-abri interne de l'observatoire sous bloc. Dans l'état réalisé, seule existe cette chambre, avec sa poterne de sortie vers l'extérieur au nord, et elle donne accès vers le sud-est à une autre galerie-escalier de 18 marches dans le prolongement de la précédente, quoique plus étroite.

Cet escalier permet une communication directe avec l'ouvrage d'infanterie n° 15, qu'on a probablement jugé bon d'associer à l'ouvrage de barrage lorsqu'il a été décidé que celui-ci resterait inachevé.

3. Ouvrage d'infanterie n° 14, dit de "Regione Sagge" ou "Cameroni".

Ouvrage casematé en caverne de type 200, construit entre 1931 et 1932 sur le versant ouest de la Roya, vis à vis de l'ouvrage 15, à partir d'un premier poste de tir en caverne pour une mitrailleuse, l'un de ceux qui avaient été construits à Saint-Dalmas en 1924. Il était affecté à une garnison de 20 hommes de troupe dirigés par un officier et un sous officier, et était armé de trois mitrailleuses et d'un fusil mitrailleur destiné à la porte-guérite de l'entrée. Repéré sous le n° 12 dans le rapport du service des renseignements militaires français du 15 février 1934, qui produit un descriptif et un plan assez bien renseignés.

L'entrée, au nord, qui était pourvue d'une porte guérite, est suivie d'une galerie rectiligne allant vers le sud, qui dessert à gauche les deux premières positions de tir orientées est et sud-est, vers La Roya. La première position de tir sous casemate est située plus de 3m en contrebas de la galerie, qui y communique non par un escalier (comme indiqué au projet) mais, faute de recul, par un puits avec crampons de fer. L'embrasure est entièrement taillée dans le rocher naturel à l'extérieur. La galerie se coude ensuite à droite pour aboutir à la seconde position de tir dénivelée de seulement 5 marches, dont l'embrasure externe s'ouvre dans une paroi de béton décoffré rechargeant le rocher sans revêtement de camouflage. Presque en face de l'accès en puits de la première casemate active, à droite de la galerie d'entrée, s'étend perpendiculairement la chambre-abri, flanquée des habituels locaux techniques, et prolongée dans l'axe d'une longue galerie qui dessert à droite la réserve d'eau, tourne à gauche et se prolonge jusqu'à la troisième position de tir, dénivelée de 11 marches, dont l'embrasure est orientée au sud, vers Saint-Dalmas

4. Ouvrage d'infanterie n° 15, dit du Pont de La Brigue.

Ouvrage d'infanterie n° 15 : porte d'entrée avec camouflage.Ouvrage d'infanterie n° 15 : porte d'entrée avec camouflage.

Ouvrage casematé en caverne de type 200, construit entre 1931 et 1932 sur le versant est de la vallée de la Roya, au dessus du pont de La Brigue, à la place d'un premier poste de tir en caverne pour une mitrailleuse créé en 1924. Il était affecté à une garnison de 16 hommes de troupe dirigés par un officier et un sous officier, et était armé de deux mitrailleuses et d'un fusil mitrailleur. Repéré sous le n° 15 dans le rapport du service des renseignements militaires français du 15 février 1934, qui produit un descriptif et un plan très inexacts.

L'entrée, au nord, qui était pourvue d'une porte guérite adaptée au fusil mitrailleur, a été mise en relation directe, en 1940, avec l'ouvrage mixte dit barrage antichar de Saint-Dalmas (voir plus haut), qui ont donc une issue commune. Elle est suivie d'une galerie deux fois coudée qui dessert au passage le local du groupe électrogène (socle métallique en place) et la réserve d'eau. La galerie se divise ensuite en deux branches: celle de droite dessert après un coude à 45° à droite, la première position de tir casematée pour mitrailleuse, orientée au sud, avec plaque de blindage métallique; celle de gauche distribue la chambre-abri, inhabituellement disposée en L, avec les locaux techniques dans la première branche, la niche du ventilateur dans la seconde. Après la partie de la chambre en retour d'équerre, la galerie se poursuit au sud pour desservir la seconde position de tir, identique à la première, dans un segment légèrement coudé à gauche pour orienter l'embrasure vers le sud-ouest. Les embrasures sont à trémie au-dehors, enchâssées dans le rocher sans former un bloc complet, la ligne horizontale de leur plafond étant un peu déformée dans un but de camouflage.

5. Ouvrage n° 17: poste à ciel ouvert avec abri souterrain, dit "du Rio delle Code".

Abri-caverne actif desservant deux positions de tir à ciel ouvert pour mitrailleuse au devant de ses deux portes, probablement construit vers 1932-1933. Repéré dans le rapport du service des renseignements militaires français du 15 février 1934, qui l'identifie à tort à un ouvrage d'infanterie avec position de tir sous casemate, et produit un plan assez mal renseigné.

Ils se compose d'une chambre-abri avec niche du local de ventilation au centre, et autres locaux techniques inclus latéralement: magasins (vivres, munitions), poste de commandement. Cette chambre-abri est accessible aux deux extrémités par deux galeries opposées, pourvues toutes deux d'une entrée en chicane. La galerie la plus longue dessert au passage les latrines.

6. Ouvrage d'infanterie n° 18, dit "la Cava de pietra" ou "Cava Cassini".

Ouvrage casematé en caverne de petites dimensions, sur le sommet d'une petite éminence en bas du versant ouest de la vallée, dans un méandre de la Roya, éminence que coiffe un pylône de ligne électrique à haute tentions. Adapté en 1931-1932 à partir d'un premier poste de tir en caverne construit en 1924. Il était affecté à une garnison de 12 hommes de troupe dirigés par un sous officier, et était armé d'une mitrailleuse et d'un fusil mitrailleur destiné à la porte-guérite de l'entrée.

Repéré sous le n° 17 dans le rapport du service des renseignements militaires français du 15 février 1934, qui produit un descriptif et un plan assez mal renseignés.

L'entrée, à l'est, qui était pourvue d'une porte-guérite, est suivie d'une très courte galerie coudée qui dessert à droite les latrines, avant de déboucher dans la petite chambre-abri, équipée de tous les locaux techniques souhaitables: magasins de vivres et de munition, groupe électrogène, réserve d'eau, poste de commandement...Sortant en formant un coude à droite, le prolongement de la galerie d'accès suit ensuite l'itinéraire court mais sinueux créé lors du forage des galeries de 1924 (qui comportaient une seconde issue), et aboutit à la position de tir casematée pour mitraillette, orientée à l'ouest, vers la Roya. L'embrasure externe, à trémie, réalisée en béton, s'ouvre dans une anfractuosité du rocher.

7. Ouvrage d'infanterie n° 19, dit de la Cime de Lubaira.

Ouvrage casematé en caverne de type 200, probablement de la génération 1932, construit sur une éminence ou éperon en contrebas au sud-ouest de la cime de Lubaira. Il était affecté à une garnison de 19 hommes de troupe dirigés par un sous officier, et était armé de deux mitrailleuses. Repéré sous le n° 18 dans le rapport du service des renseignements militaires français du 15 février 1934, qui produit un descriptif et un plan assez bien renseignés.

La disposition des deux galeries d'accès divergentes et de la chambre-abri transversale aux extrémités de laquelle elles se raccordent, rappellent le plan-type d'un abri-caverne. On note les deux portes (jadis des portes-guérite) encaissées chacune dans un versant (celle de droite: versant nord, coté Lubaira, celle de gauche: versant sud, vers La Brigue), l'entrée en chicane, les latrines et la réserve d'eau desservies par la galerie de droite. La chambre-abri est équipée au centre de la niche du ventilateur, et, latéralement, des locaux techniques: magasin de vivres, de munitions, poste de commandement. En vis à vis du débouché des galeries d'accès dans la chambre-abri, s'embranchent les deux galeries convergentes qui desservent les deux positions de tir casematées pour mitrailleuses, logées sous deux gros blocs béton contigus laissés bruts de décoffrage. Les embrasures, orientées sud et sud-ouest, équipées de plaques de blindage, sont à trémie à l'extérieur: le maître d’œuvre s'y est ingénié à déformer le cadre rectangulaire normal pour créer des lignes brisées: l'embrasure du bloc de droite (sud) particulièrement, prend à l'extérieur une forme de bicorne.

8. Ouvrage d'infanterie n° 20, dit du Col de Lubaira, ou "Boseglia".

Ouvrage casematé en caverne de type 200, achevé au plus tard en 1933, armé de 2 mitrailleuses et d'un fusil mitrailleur, affecté à une garnison de 18 hommes. Repéré sous le n° 19 dans le rapport du service des renseignements militaires français du 15 février 1934, qui produit un descriptif et un plan mal renseignés, qui ne font état que d'une position de tir casematée, et le créditent à tort de communications verticales par puits à échelons.

C'est un ouvrage à caractère troglodytique affirmé, ménagé dans une paroi rocheuse dominant de loin au nord la route de vallée entre Saint-Dalmas et La Brigue, non loin de la gare de La Brigue.

Le plan général s'apparente à celui d'un abri-caverne, avec chambre-abri centrale, dont la niche du système de ventilation occupe le centre d'un grand côté, les magasins (vivres, munitions), et le poste de commandement étant incorporés latéralement. Deux galeries au tracé compliqué en chicane allant vers le sud se raccordent à cette chambre-abri, celle de droite (partie en escalier), qui débouche dans le petit coté est, étant la galerie d'accès; elle dessert au passage la galerie de la première position de tir, puis la réserve d'eau et les latrines. La seconde galerie part du grand côté sud de la chambre-abri pour desservir la seconde position de tir. La porte de l'ouvrage, munie d'une porte-guérite pour fusil mitrailleur, s'ouvre à plus de 10m de hauteur dans la paroi rocheuse et n'était accessible que par une série d'échelons scellés dans le rocher, encore en place. De son seuil, on pouvait longer la paroi à gauche sur une coursive faite de dalles de métal portant sur des IPN scellés dans le rocher, et gagner une petite terrasse en balcon, avec mur d'appui en blocage, située au pied de l'embrasure de la première position de tir. A côté de cette embrasure, la terrasse dessert une issue de secours de l'ouvrage forée dans le rocher.

Le rapport d'espionnage militaire français de 1934 fait état d'une autre issue en galerie, longue de 120m, située en contrebas pour déboucher sur le versant à 150m de la gare de La Brigue; cette galerie aurait communiqué à l'intérieur de l'ouvrage par un puits à échelon impossible à mettre en évidence dans l'état actuel des lieux. Peut-être s'agit-il d'un projet non réalisé. Les embrasures de tir pour mitrailleuse ont une plaque de blindage métallique et sont taillées à même la paroi rocheuse vers l'extérieur.

Ce groupe d'ouvrages constitue le quatrième caposaldo de la première ligne de défense du Vallo Alpino dans le sous-secteur II a de la Haute-Roya. La plupart ont été construits à partir de 1931 en application de la circulaire 200. Certains résultent de la transformation de postes de tir en caverne sommairement aménagés en 1924-25. Ils sont repérés et renseignés avec cartographie et plans dans le rapport du service des renseignements militaires français daté du 15 février 1934. Un important ouvrage mixte (artillerie-infanterie) formant barrage anti-char, commencé en 1939 au nord de Saint-Dalmas, est resté inachevé, limité à ses galeries et abris passifs. Une batterie de mortier permanente avait été également établie en 1940 au nord de ce caposaldo.

Ce groupe d'ouvrages qui constitue le quatrième caposaldo de la première ligne de défense du Vallo Alpino dans le sous-secteur II A s'organise sur les versants de la vallée de la Roya en amont de Saint-Dalmas (sur la commune de Tende, à l'exception de l'ouvrage 20 situé sur celle de La Brigue) , jusqu'au col de Loubaïra. Il comporte, outre quelques ouvrages situés autour de Saint-Dalmas sur la ligne de défense proprement dite, un élément de barrage de la vallée de la Roya, composé des trois ouvrages 17-18-20. Ce caposaldo regroupe 6 ouvrages d'artillerie casematés en caverne, de type 2000 ou 7000, selon la circulaire dont ils dépendent (numérotés 14, 15, 17 à 20) et un abri-caverne. Les premiers comprennent en général une chambre-abri entre une ou deux galeries d'accès en chicane ; des galeries transversales desservent parfois d'autres pièces pour les ouvrages les plus complexes : citerne, ventilateur, magasins de vivres et de munitions ; des couloirs annexes mènent à des positions de tir. On trouve ici les techniques de camouflage citées dans les généralités : coupoles hérissées de pierres brutes espacées, en saillie ou entièrement recouvertes de pierrailles collées sur l'enduit ciment ; enbrasure de tir taillées à même la paroi rocheuse vers l'extérieur. Certaines disposent encore de portes blindées en fer avec fenêtre-guérite. Le grand ouvrage mixte du Pont de la Brigue devait être équipé de pièces d'artillerie anti-char et construit selon les principes de la circulaire 15000, dans la catégorie des ouvrages majeurs : vaste complexe en caverne (cinq blocs successifs dont trois actifs) ; il ne reste qu'un immense tunnel de 100 mètres de long, dépourvu de la plupart des aménagements prévus et la galerie-escalier sud qui aboutit à un vestibule casematé qui correspond au 5e bloc, destiné à un observatoire. L'ouvrage 20 est à caractère troglodytique affirmé, ménagé dans une paroi rocheuse non loin de la gare de La Brigue. Une batterie SP vient compléter l'ensemble, avec un système de wagonnet Decauville pour amener les munitions de 800 kg.

  • Murs
    • béton
  • Toits
    béton en couverture, pierre en couverture, terre en couverture
  • Étages
    sous-sol
  • Couvertures
    • extrados de voûte
    • terrasse
    • toit bombé
  • Typologies
    ouvrage casematé en caverne
  • Statut de la propriété
    propriété publique

Documents figurés

  • Fascicolo contenente il piano d'insieme, la planimetria, la pianta e le sezioni delle opere che costituiscono il campo trincerato del Colle di Tenda [Document contenant le plan d'ensemble, la planimétrie, le plan et les coupes des ouvrages qui constituent le camp retranché du Col de Tende] / Dessin, vers 1887. Archivi del Genio Militare, Turin : fonds de la Sezione Staccata di Cuneo (référencé S.S.C.). Original disparu.

Date d'enquête 2001 ; Date(s) de rédaction 2002
(c) Région Provence-Alpes-Côte d'Azur - Inventaire général
Articulation des dossiers